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      Netflix veut résoudre des enquêtes impossibles avec sa nouvelle série

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 21 March - 09:28

    Doc Netflix Mystère

    Rencontres du troisième type, apparitions fantomatiques et découvertes étranges sont au cœur de cette nouvelle série documentaire diffusée sur Netflix.
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      Voici l’enregistrement des « coups » entendus autour du sous-marin Titan

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 6 March - 17:15

    L'accident du sous-marin Titan s'était produit en juin 2023. Des mois après l'implosion du submersible parti explorer le Titanic, un enregistrement est diffusé : celui des « coups » entendus lors des recherches.

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      Morgan Freeman raconte les extinctions massives sur Netflix

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 26 September, 2023 - 12:00

    life-on-our-planet-netflix-morgan-freeman-158x105.jpg Life on Our Planet raconté par Morgan Freeman

    Morgan Freeman va raconter les cinq cataclysmes qui ont frappé notre planète bleue tout en explorant notre présent et les défis que doivent surmonter nos écosystèmes.

    Morgan Freeman raconte les extinctions massives sur Netflix

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      Ce gang de crabes protège un robot crabe d’une raie affamée

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 11 July, 2023 - 09:39

    Un documentaire animalier de la BBC montre comment des crabes se protègent face à une raie prédatrice. Les crustacés s'unissent même pour défendre le robot crabe espion utilisé pour filmer la séquence. [Lire la suite]

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      Documentaire « Nous paysans » : dérapage à la minute 1:18:13

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 15 March, 2023 - 03:30 · 9 minutes

    Mme Marie-Thérèse Lacombe a joué un rôle important, peu connu, dans le changement des conditions de vie et de statut des femmes en agriculture. Elle fut l’épouse de Raymond Lacombe, secrétaire général de la FNSEA de 1984 à 1986 et président de 1986 à 1992. Elle apparaît dans le documentaire.

    France 3 a rediffusé le mercredi 8 mars 2023 « Nous paysans » ( disponible jusqu’au 28 mars 2023 ) dont on peut dire qu’il a été excellent jusqu’à la minute 1:18:13.

    On a pioché dans des archives cinématographiques intéressantes, les intervenants ont été de qualité, avec des témoignages sonnant généralement juste – un subtil équilibre de soulagement et de nostalgie… non, ce n’était pas mieux avant.

    Les images auraient pu être plus dures, à l’instar de cette séquence d’un quart d’heure sur le malaise paysan en Bretagne, en 1960 :

    Le résumé de « Nous paysans »

    « En à peine un siècle, les paysans français ont vu leur monde être profondément bouleversé. Alors qu’ils constituaient autrefois la grande majorité du pays, ils ne sont plus aujourd’hui qu’une infime minorité et se retrouvent confrontés à un défi immense : continuer à nourrir la France. De la figure du simple métayer décrite par Émile Guillaumin au début du XX e siècle au lourd tribut payé par les paysans durant la Grande Guerre, des prémices de la mécanisation dans l’entre-deux-guerres à la figure ambivalente du paysan sous l’Occupation, de la course effrénée à l’industrialisation dans la France de l’après-guerre à la prise de conscience qu’il faut désormais repenser le modèle agricole et inventer l’agriculture de demain, le film revient sur la longue marche des paysans français, racontée par Guillaume Canet, »

    On aime bien le « continuer à nourrir la France ». Une évidence que l’on tend à oublier…

    Le début de l’épidémie de Covid-19 a fait prendre conscience de cet impératif stratégique. Les agriculteurs et la filière agroalimentaire au sens large ont assuré… une partie de la population est rapidement retombée dans ses travers, ses préjugés et partis pris. La guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine nous a aussi fait prendre conscience… pour un temps à nouveau limité.

    On aime beaucoup moins « la course effrénée à l’industrialisation dans la France de l’après-guerre » – si « industrialisation » s’applique comme nous le pensons à l’agriculture, dorénavant taxée d’« industrielle » ou « productiviste » par ses détracteurs (bien nourris…).

    Un peu de contexte

    Pour utiliser un cliché, je suis né au milieu du siècle dernier, quand le monde comptait 2,54 milliards d’habitants. Nous sommes 8 milliards aujourd’hui et serons 9,7 milliards à l’horizon 2050 selon le scénario central de l’ONU. Pour la France, ces chiffres sont respectivement de 41,6 millions, 68 millions et, selon les différents scénarios retenus, 61 à 79 millions d’habitants, 70 selon le scénario central.

    En France, l’agriculture occupait 39 millions des quelque 55 millions d’hectares du territoire métropolitain, contre 33 millions aujourd’hui (26,9 millions d’hectares de surface agricole utilisée selon ce document ). La différence est partie à l’« artificialisation », la friche et… le reboisement.

    Il y avait 416 436 exploitations en activité en 2020, pour quelque 700 000 unités de travail annuel.

    En moyenne triennale centrée sur l’année suivante, le rendement du blé s’établissait à 18 quintaux/hectare . C’était le début de l’ascension vers un rendement en gros quatre fois plus élevé aujourd’hui, autour de 71 quintaux, en stagnation. Enlevons 150 kg pour la semence : un hectare de 1950 fournissait quelque 6100 rations quotidiennes de pain (325 g) ; il fournit aujourd’hui 69 500 rations (120 g). Voir un article devenu un classique sur mon blog.

    ( Source )

    L’« industrialisation » de l’agriculture s’est faite plutôt lentement sous l’influence de plusieurs facteurs agricoles, économiques, sociologiques et technologiques.

    J’ai connu le dernier agriculteur qui attelait des vaches, dans une région qui n’était pas pauvre. J’ai une pensée émue pour sa mère : les écoliers devaient périodiquement vendre des timbres dont le revenu servait à la lutte contre la tuberculose… et c’est chez Mme Jeanne Kniebiehler, qui vivait très modestement avec son fils à deux pas de l’école, que le plus dégourdi d’entre nous vendait son premier timbre. J’ai aussi connu le derniers attelage de bœufs.

    La tuberculose… Si on ne saurait critiquer le choix éditorial des réalisateurs pour un documentaire de 145 minutes très dense, on peut néanmoins regretter l’absence de points de référence pour mettre certaines choses en contexte.

    J’ai vu arriver les premiers tracteurs modernes et partir le dernier attelage de chevaux. Les machines agricoles se sont converties lentement à la traction mécanique (au début, en remplaçant les timons des machines tirées par les chevaux par des attelages). Les machines autonomes comme la moissonneuse-batteuse ne sont arrivées que bien plus tard.

    Le discours convenu

    On peut franchement détester la « prise de conscience qu’il faut désormais repenser le modèle agricole et inventer l’agriculture de demain ».

    Déjà « le modèle », comme s’il n’y en avait qu’un… Mais c’est le discours à la mode… les douces rêveries. Il faudra toujours nourrir 68 millions de Français, 70 millions en 2050 selon le scénario moyen, et si possible contribuer à l’alimentation de nos voisins et amis (et moins amis, pour des raisons stratégiques). Avec les rendements du « bio » ? D’un bio qui n’est viable ni à grande échelle, ni à long terme ?

    Le dérapage

    Passons au film.

    La première partie est une superbe description de l’évolution du monde agricole et rural. Elle fait à juste titre une grande place aux femmes.

    On clôt la séquence « réduction du nombre d’agriculteurs et désertification rurale »… et patatras. Un tracteur hors d’âge avec une barre de coupe (certains sont encore en service…), et :

    « [Voix off] Le désenchantement gagne les campagnes. Pourtant, il faut bien continuer à produire pour nourrir le pays. Mais comment faire à un ce qu’on faisait à 10, 20 ou 100 auparavant ? C’est une dernière révolution qui va permettre de résoudre l’impossible équation. Une révolution de la chimie dont l’objectif est d’obtenir encore plus de rendement de la terre avec toujours moins de bras pour s’en occuper. D’abord on propose aux agriculteurs de nouvelles céréales sélectionnées. Dans les champs de démonstration on fait venir les exploitants et on leur explique que ces nouvelles variétés de blé auront des rendements bien supérieurs. Seule difficulté : elles sont trop fragiles, alors il faudra bien les protéger grâce aux nombreux produits que les groupes agrochimiques sont en train d’inventer pour eux. Et ces produits, il va falloir les utiliser à outrance.

    [ M. Jean-Luc Malpaux s’exprime] « Les sociétés chimiques vont commencer à proposer des fongicides. Et puis après, à partir de 1976, on a vu qu’on nous a présenté des variétés de blé qui valorisaient les fongicides. Par les coopératives, ce sont les techniciens de coopératives qui nous disaient cela. Et donc sur même pas 10 ans, on est passé d’une application d’un herbicide et de 100 kg d’azote à un herbicide, quelquefois un deuxième, parce qu’en mettant plus d’azote, on avait plus d’herbes, deux fongicides, quelques fois trois et un ou deux insecticides. Donc comme changement c’est quand même terrible au niveau intensification. Et donc, dans les années 1974-75, quand je faisais 64-65 quintaux de rendement, c’était de bons rendements. Après, on est passé à 85, 90 et 100 quintaux, ceux qui mettaient mettaient toute la panoplie. »

    [Voix off] « Et voilà l’agriculture française qui prend massivement le tournant des produits que l’on appelle phytosanitaires pour ne pas effrayer sur leur dangerosité. Une dernière révolution technologique, celle des pesticides, qui va s’avérer la révolution de trop. En quelques années, des agriculteurs vont devenir malades tant ils ont été exposés à ces produits dangereux. Des produits qui se sont disséminés partout et aujourd’hui, les sols et l’eau sont souvent empoisonnés.

    Capture d

    Et bien au-delà de ces pesticides, il y a surtout ce modèle agricole productiviste qui pousse à la ruine de nombreux producteurs endettés. Ruine, désepoir et parfois suicide. La profession devient bientôt celle qui connaît le taux de suicide le plus élevé du pays […]. »

    Non, non et non

    Tout est faux ou quasi. Et la loi de Brandolini est trop dure pour que l’on s’attaque à tous les poncifs. Mais faisons un petit effort sur quatre points.

    Non, le bond en avant à partir des années 1970 ne se limite pas à la chimie honnie. Et d’ailleurs ce n’est pas la chimie qui a permis de compenser le « manque de bras ».

    Non, les variétés mises sur le marché dans les années 1970 n’étaient pas plus sensibles aux maladies que les générations précédentes, bien au contraire : la résistance aux bioagresseurs est un élément clé des stratégies d’amélioration des plantes dans la perspective de l’amélioration et de la sécurisation des rendements. La variété de blé Renan représente à cet égard un tour de force ; elle serait sans nul doute conspuée par le militantisme en tant qu’« OGM caché » si, trois décennies après sont introduction, elle n’était pas une des variétés les plus cultivées en bio.

    Non, ces variétés n’avaient pas besoin de plus de chimie. Mais elles valorisaient les apports d’engrais et les traitements phytosanitaires. Et c’est une outrance que d’affirmer : «  il va falloir les utiliser à outrance ».

    L’utilisation d’une séquence avec un hélicoptère – dont l’utilisation, normalement interdite, est exceptionnelle en France – est indécente. Il en est de même, en particulier, pour l’emploi du mot « empoisonnés », et pour l’évocation des suicides (et l’agriculture est malheureusement dépassée par d’autres professions s’agissant des suicides).

    Ce documentaire s’arrête fort opportunément à ces années maintenant d’un autre temps, zappant tous les progrès qui ont été réalisés depuis lors, tant dans les sciences que dans les technologies… et ne disant mot sur tous les espoirs qu’il est permis de raisonnablement mettre dans l’inventivité et l’ingéniosité humaines.

    Le monde avance grâce au génie humain. Il est important de savoir d’où nous venons. Il est tout aussi important de voir l’avenir comme un défi à relever.

    Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté. Winston Churchill

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      Le ras-le-bol des clichés sur son prénom "Kevin" l'a poussé à en faire un documentaire

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 3 July, 2022 - 06:00 · 2 minutes

    CLICHÉS - Le prénom Kevin est souvent source de moqueries . Il symbolise à lui tout seul toute une génération : celle née dans les années 1990 . Au départ, les parents nomment leurs enfants Kevin car il s’agit du prénom des stars . Kevin Costner, Kevin McCallister, Kevin Richardson, les acteurs les plus cotés du moment à Hollywood se prénomment tous Kevin. Chaque année, des dizaines de milliers d’enfants sont appelés ainsi à leur naissance.

    Mais rapidement, ce prénom devient la risée des cours d’école. Des expressions péjoratives sont créées à partir du prénom: kekos, kéké... De plus, l’arrivée d’internet et de la téléréalité ancre les stéréotypes dans l’esprit des gens. Le prénom Kevin est désormais assimilé à un beauf fan de tuning ou à une star de téléréalité.

    Rendre ses lettres de noblesse au prénom Kevin

    Mais aujourd’hui, un homme a décidé de lui rendre ses lettres de noblesse. Kevin Fafournoux, motion designer et réalisateur freelance, s’est lancé dans un nouveau projet qui le concerne particulièrement: partir en croisade contre les clichés qui perdurent autour de son prénom et déconstruire les préjugés qui en découlent. Les stéréotypes ont une influence sur plusieurs pans de la vie: la confiance en soi comme la crédibilité dans la vie professionnelle ou amoureuse.

    Le documentaire cherche à comprendre les mécanismes qui ont conduit à la stigmatisation du prénom et à montrer qu’ils ne sont fondés sur rien. Le film sera en grande partie tourné en France mais le réalisateur se rendra aussi en Allemagne où une application a été créée afin d’indiquer les prénoms avec lesquels votre enfant pourrait avoir des problèmes à l’avenir, le Kevin-O-meter. Il ira également découvrir l’origine du prénom en Irlande, où Saint-Kevin est apparu pour la première fois.

    Pour financer le film, Kevin Fafournoux a lancé une campagne de financement participatif sur Ulule, d’un montant de 8000 euros. L’objectif a été atteint, plusieurs jours avant la date de clôture de la campagne. La prochaine étape ? L’organisation d’un événement rassemblant tous les Kevin à Paris.

    Si les choses semblent donc aller en s’arrangeant pour les Kevin, ce n’est que lors des élections législatives de cette année que les deux premiers députés s’appelant Kevin ont fait leur entrée à l’Assemblée nationale.

    À voir également sur Le HuffPost: Ces vidéos d’un couple gay dans son quotidien vont vous rappeler “Un gars, une fille”

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      Guerre en Ukraine: Guy Lagache dévoile un échange Macron-Poutine juste avant le début du conflit

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 24 June, 2022 - 10:14 · 3 minutes

    Guy Lagache dévoile cette discussion lunaire entre Macron et Poutine (Entretien vidéo entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron le 26 juin 2020 par Mikhail Klimentyev, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP) Guy Lagache dévoile cette discussion lunaire entre Macron et Poutine (Entretien vidéo entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron le 26 juin 2020 par Mikhail Klimentyev, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP)

    INTERNATIONAL - “Je ne sais pas où ton juriste a appris le droit, mais moi, je regarde les textes et j’essaie de les appliquer!”. Cette phrase, c’est Emmanuel Macron qui l’adresse à Vladimir Poutine lors d’un de leurs entretiens téléphoniques , le 20 février dernier, quelques jours avant l’invasion russe en Ukraine, comme le dévoile une séquence inédite, diffusée dans “C à vous” ce jeudi 23 juin.

    Elle est extraite du documentaire de Guy Lagache, Un président, l’Europe et la guerre , qui sera diffusée sur France 2 le jeudi 30 juin, à 21h10. Un documentaire qui permet au public de découvrir le cœur de la cellule diplomatique de l’Elysée et d’assister aux prémices de l’escalade diplomatique entre l’Europe et la Russie et à l’explosion du conflit.

    Après cette première saillie, Emmanuel Macron ajoute d’ailleurs: “Je ne sais pas quel juriste pourra te dire que dans un pays souverain les textes de loi sont proposés par des groupes séparatistes et pas par les autorités démocratiquement élues”.

    La réponse de Vladimir Poutine est, elle, intéressante à plus d’un titre puisqu’il déroule alors déjà l’ensemble de la propagande employée par la Russie depuis le début du conflit. ”Ce n’est pas un gouvernement démocratiquement élu. Ils ont accédé au pouvoir par un coup d’Etat sanguinaire. Il y a eu des gens brûlés vifs. C’était un bain de sang. Et Zelensky est l’un des responsables”, répond ainsi Vladimir Poutine au président français.

    Selon l ’Opinion qui a pu voir d’autres extraits du documentaire, le chef du Kremlin, voulant jouer la provocation, aurait répondu un peu plus tard: “J’aurais bien passé quelques coups de fil mais j’avais prévu d’aller jouer au hockey sur glace”. Au bout d’une heure et quarante-cinq minutes de conversation, Vladimir Poutine aurait également précisé même qu’il avait passé cet entretien depuis sa salle de sport.

    L’un des sujets les plus difficiles de Lagache

    Pour ce reportage, Guy Lagache, qui est aussi derrière la caméra, s’est immergé dès le mois de janvier dans les coulisses de l’Élysée. Au départ, le but était de raconter de l’intérieur, ”à hauteur humaine”, la présidence française du Conseil de l’Union européenne. Il a finalement assisté au début d’une guerre.

    “C’est l’un des sujets les plus difficiles que j’ai réalisés dans ma vie. J’ai eu des accès, mais ce n’était pas open bar, a-t-il expliqué à quelques médias dont 20 Minutes , lors de la présentation de son documentaire. Tout a été négocié avec eux, jour après jour, heure après heure. Une fois que vous entrez le premier jour, il ne faut pas croire que le deuxième est acquis. Tout est à recommencer”.

    Si Emmanuel Bonne, le chef de la cellule diplomatique française a eu droit à un visionnage “technique”, Emmanuel Macron n’a, lui, pas encore vu ce documentaire.

    À voir également sur Le HuffPost: Après les législatives, Emmanuel Macron défie les oppositions

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      M6 dit adieux aux téléfilms de l’après-midi

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 13 June, 2022 - 14:17 · 2 minutes

    En berne, les audiences des téléfilms de M6 poussent la chaîne privée à opter pour une nouvelle formule l’après-midi. En berne, les audiences des téléfilms de M6 poussent la chaîne privée à opter pour une nouvelle formule l’après-midi.

    TÉLÉVISION - C’est la fin d’un cycle pour la Six. Depuis ce lundi 13 juin, la chaîne M6 a dit adieu à l’une de ses cases historiques: les téléfilms de l’après-midi.

    En lieu et place de cette case horaire historique depuis près de 30 ans, M6 a opté pour un changement radical, puisque ce sont des documentaires qui occuperont désormais la grille des programmes de l’après-midi.

    Une volonté de changement et de renouvellement qu’a expliqué au Parisien Christine Bouillet, directrice de la programmation. “Il faut innover en permanence dans ce que nous proposons comme dans la structure de nos grilles. Prendre des risques, c’est notre ADN”, explique-t-elle.

    “Un jour, un doc”

    Baptisé depuis près de vingt ans, “un jour, une histoire”, la case horaire des téléfilms devient donc “un jour, un doc”, qui promet déjà du contenu “positif, informatif et dépaysant”. Ces documentaires présenteront “des personnalités et des lieux, tels que vous ne les avez jamais vus”, indique à ce titre la chaîne dans un communiqué.

    “Il y aura des documentaires sur les loisirs, sur des métiers originaux ou sur des activités à faire en famille comme le rafting”, précise Christine Bouillet au Parisien . Pour profiter de ces nouveautés à l’antenne, il faut désormais allumer son téléviseur entre 14h et 15h50 sur M6.

    Une concurrence plus violente

    Derrière l’envie d’innover de M6 se cache surtout une bataille acharnée pour ce créneau horaire. En effet, les audiences des téléfilms de la Six sont en berne depuis plusieurs années, en raison d’une forte concurrence de la part de TF1 , qui s’est positionné sur un format similaire avec des téléfilms dramatiques. France 2 fait aussi son bout de chemin l’après-midi, notamment avec l’émission ”Ça commence aujourd’hui” de Faustine Bollaert, qui ne cesse de convaincre de nouveaux téléspectateurs.

    Avec ces deux chaînes concurrentes aux trousses, M6 fait donc un choix de “contre-programmation” au regard de ses audiences d’après-midi, en baisse depuis cinq ans. Les téléfilms de M6 ont perdu la moitié de leurs téléspectateurs sur cette période, ce qui coïncide avec l’arrivée de la Une sur cette plage horaire avec ses propres téléfilms.

    À voir également sur Le HuffPost: Un “Top Chef” édition All Stars? ”Ça pourrait arriver”, selon Stéphane Rotenberg

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      Quelles sont les séries documentaires incontournables à voir sur Netflix ?

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 11 June, 2022 - 15:57

    Amateurs d'histoires vraies et de récits historiques, cette sélection est pour vous ! Voici dix séries documentaires pour explorer de sombres histoires policières, rouler à 300 à l'heure ou découvrir les dessous des jeux vidéo. [Lire la suite]

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