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      Ukraine wants ban on game allegedly funded by Russians and set in glorified USSR

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 22 February, 2023 - 21:29

    Scene depicting a Soviet utopia in alternate history game

    Enlarge / How Soviet-era Russia looks inside Atomic Heart , at least at the beginning. (credit: Mundfish / Focus Entertainment)

    Ukraine's Digital Ministry has said it will ask Steam, Microsoft, and Sony to remove Atomic Heart from their gaming platforms in Ukraine, and possibly elsewhere, pointing to its retro-Communist aesthetic and reported "Russian roots."

    As reported by the Ukrainian tech news/job site Dev.ua ( Google translation ), Ukraine's Ministry of Digital Transformation (which also provided a statement in English to PCGamesN ) writes that Atomic Heart "has Russian roots and romanticizes communist ideology and the Soviet Union." The Ministry cites the game's "toxicity," "potential data collection of users," and use of funds from the game "to conduct a war against Ukraine." The statement asks for an outright ban on the game in Ukraine but calls on other countries to consider "limiting distribution" of the game.

    The Ministry also cites "media reports" regarding development funds coming from Russian enterprises and banks under sanction and "systematically important for the Russian government" (according to Google translation).

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      Influence étrangère : il est temps de se poser les bonnes questions

      Alexandre Massaux · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 28 October, 2022 - 03:00 · 2 minutes

    L’influence étrangère est devenue un thème à la mode ces dernières années. On parle beaucoup de l’ influence russe , voire chinoise, derrière les forces antisystèmes comme la RN ou l’AfD.

    Mais cette influence étrangère n’est-elle pas aussi présente derrière les forces politiques et les organisations écologistes (du moins certaines) ? Compte-tenu de leur poids dans les décisions politiques de ces dernières décennies , il semble nécessaire que leur financement soit étudié de plus près, surtout que des faisceaux d’indices montrent des éléments hautement suspects.

    En effet, le retour en force des pays comme la Russie et la Chine mêlé à la mondialisation politique et économique a soulevé des questions géopolitiques sur les stratégies des grandes puissances pour influencer ou perturber leurs adversaires, rivaux ou même alliés.

    L’influence de la Russie sur les politiques énergétiques en Europe

    Plusieurs éléments montrent une influence russe dans les politiques énergétiques européennes. L’ancien secrétaire général de l’OTAN Anders Fogh Rasmussen avait déclaré que la Russie avait mené des campagnes de désinformations contre l’extraction du gaz de schiste pour s’assurer la dépendance européenne au gaz russe.

    En 2022, la « Climate and Environmental Protection Foundation » est accusée d’avoir des liens avec Gazprom, l’entreprise d’État russe sur le gaz. Cette fondation allemande a été créée par le land de Mecklenburg-Western Pomerania et a participé au projet NordStream 2.

    Si cet exemple est le plus médiatique, on peut se poser la question de l’ampleur qu’a prise cette influence.

    Rappelons que l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder a été l’un des initiateurs de la politique antinucléaire en Allemagne . Le fait que celui-ci ait rejoint les actionnaires de Nord Stream 1 (financé par Gazprom) après son mandat fait planer d’importants soupçons.

    L’écologie comme outil des rivaux de l’Union européenne

    Ces quelques exemples montrent la capacité d’influencer les milieux des affaires comme des organisations proécologistes. Une stratégie à la fois de soft power (influencer pour promouvoir ses intérêts) et de sharp power (perturber l’adversaire par l’influence).

    La crise énergétique européenne est actuellement le résultat de cette politique russe. Néanmoins, on aurait tort de croire que les Russes sont les seuls à utiliser ce genre de stratégie. La Chine comme les États-Unis qui ont beaucoup plus de moyens que Moscou utilisent très certainement les mêmes stratagèmes. Là où Moscou concentre ses efforts sur l’énergie qui reste le cœur de sa politique étrangère, les deux autres pays peuvent utiliser leur soft power de manière plus large.

    Et à cet effet, l’importance qu’a prise l’écologie dans nos sociétés européennes leur donne des points d’attaques qui peuvent se révéler efficaces. Une situation problématique étant donné que cette influence vient de pays plus pollueurs que ceux de l’Union européenne.

    Il ne s’agit pas de céder à une paranoïa générale, mais il est nécessaire de comprendre que cette influence étrangère existe et ne touche pas juste les forces antisystèmes. Après tout, qu’est-il le plus intéressant de cibler : des partis n’ayant que peu de chances d’arriver au pouvoir ou des forces politiques déjà bien implantées dans les centres de décisions ?

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      Le géant russe du gaz #Gazprom annonce suspendre “complètement” ses livraisons au groupe français #Engie dès jeudi.

      eyome · Tuesday, 30 August, 2022 - 19:54

    du fait de “sommes financières dues”.

    C’est une forme intéressante de boycott.

    “Prends ça Poutine !”

    #France, #Politique, #fr, #Ukraine, #Russie, #OTAN, #UE, #AuxFous

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      Après dix jours de suspense, la Russie rouvre le robinet de gaz alimentant l'Europe

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 21 July, 2022 - 05:42 · 2 minutes

    Après dix jours de suspense, la Russie rouvre le robinet de gaz alimentant l'Europe (photo prise le 14 juin 2022 en Allemagne) Après dix jours de suspense, la Russie rouvre le robinet de gaz alimentant l'Europe (photo prise le 14 juin 2022 en Allemagne)

    INTERNATIONAL - “Il fonctionne.” Le gazoduc Nord Stream reliant la Russie à l’Allemagne a redémarré ce jeudi 21 juillet après dix jours de maintenance, a indiqué à l’AFP la société éponyme gestionnaire de l’équipement, sans toutefois préciser la quantité de gaz en cours d’acheminement.

    Le gouvernement allemand craignait que ce pipeline ne soit pas rouvert par Moscou après ces travaux. Ce gazoduc est, en effet, au cœur de la confrontation entre Européens et Russes depuis le début de la guerre en Ukraine .

    Selon des données transmises par Gazprom à Gascade, l’opérateur allemand du réseau, la pipeline devrait livrer 530 GWh durant la journée. C’est seulement “30%” de ses capacités, a fait remarquer sur Twitter jeudi le président de l’Agence allemande des réseaux, Klaus Müller.

    Ce serait en outre dix points de moins qu’avant les travaux. Arguant de l’absence d’une turbine en maintenance au Canada, Gazprom a déjà réduit à 40% des capacités les livraisons via Nord Stream depuis mi-juin. Le géant gazier russe avait assuré qu’il ne pouvait pas garantir la reprise des livraisons via ce gazoduc en maintenance jusqu’à jeudi matin.

    Une seconde turbine bientôt en maintenance?

    Le groupe invoquait l’absence de cette turbine, nécessaire selon l’entreprise pour faire fonctionner une station de compression. Un “prétexte”, selon Berlin, qui dénonce des décisions “politiques”. L’Allemagne était donc suspendue à la décision de Moscou concernant le redémarrage du pipeline, après ces travaux de maintenance prévus de longue date.

    Le président russe Vladimir Poutine a quant à lui soufflé le chaud et le froid sur les perspectives pour Nord Stream dans les prochaines semaines.

    Il a laissé entendre que le gazoduc pouvait redémarrer jeudi matin, mais que si la Russie ne recevait pas la turbine manquante, il fonctionnerait à 20% de sa capacité dès la semaine prochaine. Car, selon le président russe, une seconde turbine doit à son tour faire l’objet d’une maintenance fin juillet.

    À voir également sur Le HuffPost: Crise de l’énergie : en 1973, les (gros) efforts des Français pour éviter la pénurie

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      Des écologistes ont-ils été financés par le gouvernement russe ?

      Drieu Godefridi · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 4 March, 2022 - 04:30 · 5 minutes

    Des organisations non gouvernementales (ONG) écologistes, des mouvements et partis écologistes occidentaux sont-ils depuis une dizaine d’années les collaborateurs objectifs du gouvernement de la Fédération de Russie, qui les finance ?

    C’est le sens de l’intervention récente de Dominique Reynié, qui dirige la Fondation pour l’innovation politique (FONDAPOL) :

    Ces allégations ne sont pas neuves.

    Des anciens soupcons de financement des écologistes par la Russie

    L’agression de l’Ukraine par la Fédération de Russie oblige à les mener jusqu’à leur terme.

    Dans un article du 19 juin 2014, The Guardian citait le Secrétaire-général de l’OTAN Anders Fogh Rasmussen qui, déjà !, portait l’accusation suivante :

    J’ai rencontré des alliés qui peuvent rapporter que la Russie, dans le cadre de ses opérations sophistiquées d’information et de désinformation, s’est engagée activement auprès de soi-disant organisations non gouvernementales – des organisations environnementales travaillant contre le gaz de schiste – pour maintenir la dépendance européenne vis-à-vis du gaz russe importé.

    Le sol européen regorge de gaz de roche-mère, qu’on appelle aussi gaz de schiste. La mise en exploitation de ces réserves de gaz européen aurait mécaniquement diminué les achats et la dépendance de l’Europe à l’égard du gaz russe, en particulier son géant gazier Gazprom. Il en va de même du nucléaire, qui offre aux Occidentaux une source d’énergie abondante non émettrice de CO2  et alternative au gaz russe.

    D’où l’intérêt, pour le gouvernement russe, de monter une vaste campagne de désinformation contre le gaz de schiste et contre le nucléaire civil en Occident, en finançant massivement les groupes les mieux susceptibles de s’y opposer naturellement : des organisations écologistes.

    En 2016, Hillary Clinton relevait qu’alors qu’elle était Secrétaire d’État du gouvernement fédéral américain,avec accès direct à l’ensemble de l’intelligence des agences de renseignement américaines :

    Nous étions confrontés à de faux groupes environnementaux, et je suis une grande écologiste, mais ceux-ci étaient financés par les Russes…

    Le 29 juin 2017, deux des parlementaires fédéraux américains les plus en pointe sur les questions d’énergie adressaient un courrier au Secrétaire d’État au Trésor, exigeant l’ouverture d’une enquête sur le financement d’organisations écologistes américaines par le gouvernement de la Fédération de Russie.

    Sans rapporter la preuve directe de l’origine initiale des fonds — ce n’est pas leur rôle — ces deux parlementaires en démontaient le mécanisme, qu’on peut résumer de la façon suivante :

    Fonds du gouvernement de la Russie -> Société-écran incorporée aux Bermudes -> Fondation américaine matrice -> Organisations écologistes américaines

    Les liens entre Gazprom et des écologistes européens

    L’intérêt des Bermudes est que ce pays n’oblige en rien à révéler que des fonds proviennent d’un gouvernement étranger, contrairement au droit américain. La fondation américain matrice doit quant à elle révéler qu’elle a reçu des fonds de l’étranger — en l’occurrence une société des Bermudes. Rien de plus, ce qui est le principe et la définition du blanchiment d’argent.

    Les organisations écologistes américaines spécifiées par l’accusation parlementaire sont parmi les principales, dont le Sierra Club, League of Conservation Voters Education Fund , etc. Toutes organisations massivement engagées contre l’exploitation du gaz de schiste aux État-Unis et qui ont perçu, au total, dix millions de dollars par an de la Fondation américaine matrice richemment dotée par la société-écran sise aux Bermudes.

    En Allemagne, il est établi que les principales organisations écologistes WWF, BUND et NABU ont créé une fondation « pour l’environnement » avec l’entreprise Nord-Stream, qui est une émanation de Gazprom . Cette fondation environnementale fut dotée de 10 millions d’euros par Gazprom (ces faits ne sont pas contestés et même revendiqués par Nord Stream). Ces organisations écologistes étaient, par ailleurs et dans le même temps, de farouches opposants au nucléaire civil allemand et à l’exploitation du gaz de schiste en Europe.

    Fait intéressant, l’exemple que donnait Dominique Reynié du mécanisme décrit par lui est celui de la Belgique. En effet, l’actuelle ministre fédérale belge de l’Énergie, Christinne Van der Straeten, du parti écologiste GROEN, était avant son entrée en fonction co-propriétaire — associée à 50 % — d’un cabinet d’avocats dont l’un des gros clients n’était autre que Gazprom , le géant gazier russe. Devenue ministre, la même Christinne Van der Straeten s’employait à démanteler intégralement le parc nucléaire civil belge, en conformité avec la volonté farouche des écologistes depuis près de vingt ans.

    C’est bien sûr le nucléaire qui atteste le mieux de l’incompréhensible duplicité de certaines organisations écologistes. Tandis que celles-ci ne jurent constamment en toutes choses que par la réduction des émissions de CO2, ne les voit-on pas, quand il s’agit du nucléaire, exiger de remplacer une source d’énergie qui n’émet quasiment pas de CO2, par des énergies fossiles qui en émettent quarante fois plus ?!

    Des accusations, fussent-elles signées du Secrétaire-général de l’OTAN, du directeur de la Fondation pour l’innovation politique et de la Secrétaire d’État des États-Unis, ne font pas la culpabilité. La présomption d’innocence vaut pour chacun.

    L’agression de l’Ukraine par la Russie, dont l’armée est très littéralement financée par des fonds européens — achat de gaz russe, 40 % du gaz consommé en Europe — ne nous oblige-t-elle pas à jeter enfin la pleine lumière médiatique et judiciaire qui convient sur ces accusations concordantes ?