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      Les dirigeants grenoblois se veulent rassurants après la relégation administrative du FCG

      sport.movim.eu / LEquipe · Thursday, 8 June, 2023 - 12:11


    Le FC Grenoble a été relégué administrativement en Nationale. (P. Lahalle/L'Équipe) Les dirigeants du FCG se sont réunis lors d'une conférence de presse ce jeudi pour assurer que l'argent nécessaire au maintien du club en Pro D2 sera injecté, alors que Grenoble a été relégué administrativement en Nationale en début de semaine.
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      Grenoble : le menu végétarien à la cantine ne séduit pas les parents d'élèves

      eyome · Monday, 5 September, 2022 - 21:38

    (Avec un titre pareil, c'était soit Lyon, soit Grenoble... Bè c'est encore Grenoble.)

    La quadrature du cercle était pourtant atteinte : halal, kasher, anti-réchauffement planétien, BBQ-free (et donc anti-viriliste), éco-compatible, aucun animaux maltraité pendant la séquence... Oppressions et discriminations free !

    Le Saint Graal !!!

    Et là Paf le chien, les parents n'en veulent pas. Il va falloir éduquer ces parents réfractaires aux changements. Heureusement pour ça, il y a FranceTV.

    Une question néanmoins me brûle le bulbe : ils étaient où ces 94% pendant les municipales ? Non parce que, la couleur était annoncée, tout était marqué ! Donc maintenant, bè mâchez bien compatriotes Grenoblois, on en profite et avec le sourire !

    #France, #Politique, #fr, #Grenoble, #CtropBien, #MerdeCestEncorePasUnVraiProbleme

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      L'interdiction du burkini dans les piscines à Grenoble confirmée par le Conseil d'État

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 21 June, 2022 - 12:57 · 2 minutes

    Piscine, Grenoble (photo d'illustration) Piscine, Grenoble (photo d'illustration)

    POLITIQUE - Victoire du gouvernement dans le bras de fer qui l’opposait à la mairie de Grenoble au sujet du burkini . Le Conseil d’État a confirmé, ce mardi 21 juin, l’interdiction du port de ce vêtement de bain dans les piscines municipales.

    “Le communautarisme d’ Éric Piolle , maire de Grenoble, est définitivement sanctionné par le Conseil d’Etat qui confirme la suspension de la délibération “Burkini” du conseil municipal, a salué le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur Twitter. Une victoire pour la loi “séparatisme” , pour la laïcité et au-delà, pour toute la République.”

    Dans sa décision, la plus haute juridiction administrative a confirmé la décision rendue fin mai par le tribunal administratif de Grenoble, estimant que le nouveau règlement des piscines imposée par la municipalité grenobloise constituait une “dérogation très ciblée” destinée à “satisfaire une revendication religieuse”.

    Selon le Conseil d’État, le port du burkini “est de nature à affecter le bon fonctionnement du service public et l’égalité de traitement des usagers dans des conditions portant atteinte au principe de neutralité des services publics”.

    Tempête politique

    L’affaire avait débuté mi-mai, avec l’adoption par le conseil municipal de Grenoble - à une courte majorité et sur fond de polémique nationale - d’un nouveau règlement pour les piscines de la ville autorisant, sans le nommer, le burkini.

    Le ministère de l’Intérieur, via la préfecture de l’Isère, avait alors déposé un “déféré laïcité”, une procédure issue de la loi contre le “séparatisme” qui permet aux préfets de saisir le juge administratif d’un acte d’une collectivité locale jugé contraire aux principes de laïcité. Le tribunal administratif leur avait donné raison, la ville de Grenoble fait appel et l’affaire avait été examinée en audience par le Conseil d’État la semaine dernière.

    Le nouveau règlement, qui permettait également la baignade seins nus pour les femmes et les maillots anti-UV pour tous, avait déclenché une tempête politique nationale, comme régulièrement sur les sujets liés à la culture islamique (voile, burkini, nourriture halal) et à ses rapports à la laïcité en France. La droite et l’extrême droite avaient notamment à nouveau demandé davantage d’“encadrement” du port du burkini via une loi.

    À voir également sur Le HuffPost: “Je ne veux pas être Premier ministre des piscines”, Mélenchon refuse d’être enfermé dans le débat sur le burkini

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      La justice suspend l'autorisation du burkini à Grenoble, la ville fait appel

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 25 May, 2022 - 18:31 · 2 minutes

    Le maire EELV de Grenoble, Eric Piolle (ici lors d'un meeting de la présidentielle en janvier 2022 à Lyon) voulait autoriser le burkini dans les piscines de sa ville.  Le maire EELV de Grenoble, Eric Piolle (ici lors d'un meeting de la présidentielle en janvier 2022 à Lyon) voulait autoriser le burkini dans les piscines de sa ville.

    POLITIQUE - Gouvernement 1, mairie de Grenoble 0. La justice a suspendu ce mercredi 25 mai la décision du maire EELV Eric Piolle d’autoriser le port du burkini dans les piscines de la ville. Ce dernier a annoncé sur Twitter ce jeudi 26 mai son intention de faire appel devant le Conseil d’État.

    Le conseil municipal de Grenoble avait validé un nouveau règlement intérieur pour ces établissements qui prévoit d’autoriser plus de tenues qu’actuellement. Outre l’autorisation du burkini, il devait permettre à partir du 1er juin de se baigner seins nus.

    Mais la préfecture de l’Isère, poussée par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmarnin, avait dénoncé cette décision et promis avant même qu’elle soit adoptée de la contester en justice via un “référé laïcité”. C’est dans ce cadre que le tribunal administratif qui statuait en référé estime que ce règlement porte “gravement atteinte au principe de neutralité du service public”.

    Sans surprise, la décision de justice qui n’est pas définitive mais empêchera le nouveau règlement intérieur d’entrer en vigueur, a été saluée par Gérald Darmanin. Ce dernier voit en effet dans la position du maire de Grenoble l’expression d’une accointance avec l’islamisme.

    L’édile écologiste récuse bien évidemment ces accusations. Pour défendre l’autorisation du burkini, il a invoqué un combat “féministe”, de “santé” et de “laïcité”. Il s’était même déclaré “ravi que le gouvernement nous attaque”, relevant qu’il n’avait “pas attaqué Rennes” lorsque cette ville avait pris une disposition similaire en 2018.

    A l’époque, le ministre de l’Intérieur s’appelait Gérard Collomb. Quatre ans plus tard, le locataire de la place Beauvau a changé, une nouvelle loi (très critiquée) sur le séparatisme a été votée. Et le gouvernement a décidé d’en faire un combat. Il vient de gagner la première manche.

    À voir également sur Le HuffPost: “Je ne veux pas être Premier ministre des piscines”, Mélenchon refuse d’être enfermé dans le débat sur le burkini

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      Burkini: le Conseil municipal de Grenoble donne son feu vert dans les piscines

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 16 May, 2022 - 19:23 · 2 minutes

    Une femme portant un burkini entraîne son enfant à nager dans un bassin (photo d'illustration).  Une femme portant un burkini entraîne son enfant à nager dans un bassin (photo d'illustration).

    GRENOBLE - La décision en faveur du burkini l’emporte. Le conseil municipal de Grenoble a validé ce lundi 16 mai une modification du règlement intérieur des piscines de Grenoble se traduisant par l’autorisation du port du burkini à partir du 1er juin, un sujet qui a suscité une polémique politique nationale.

    La délibération a été adoptée avec une courte majorité de 29 voix pour, 27 contre et deux abstentions, au terme de 2h30 de débats parfois tendus. Le maire écologiste Eric Piolle a balayé les objections de l’opposition, en invoquant un combat “féministe”, de santé et de “laïcité” parce que rien n’interdit le port de vêtements religieux dans l’espace public, “y compris à la piscine”.

    Dimanche, la préfecture de l’Isère avait d’ores et déjà annoncé que le préfet demanderait au tribunal administratif d’ annuler l’autorisation du burkini à la piscine si le conseil municipal de Grenoble modifiait en ce sens la réglementation des piscines. “Conformément aux instructions qu’il a reçues du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin , le préfet de l’Isère saisira le tribunal administratif de Grenoble en cas d’adoption de cette délibération”, indiquait en ce sens la préfecture dans son communiqué.

    Le dossier, qui défraye la chronique depuis déjà plusieurs semaines, figurait sobrement sous l’intitulé “Conditions et tarifs d’accès aux piscines municipales” à l’ordre du jour de la réunion qui s’est ouverte vers 15 heures.

    Grenoble, une “ville féministe” pour Piolle

    Une bonne centaine de manifestants anti-burkini menés par l’opposition municipale s’était rassemblée au pied du bâtiment accueillant -sous bonne garde- la réunion du conseil municipal, scandant “Piolle démission!” et arborant des pancartes proclamant des slogans comme “Faut pas se voiler la face, burkini=mysogynie”.

    Le maire écologiste Eric Piolle a ouvert la séance en confirmant que le conseil allait débattre “de la liberté vestimentaire des femmes dans l’accès aux piscines publiques de Grenoble” malgré les appels à supprimer cette question de l’ordre du jour. Il a appelé à le faire dans “l’écoute et la tolérance”.

    Il a dénoncé “les injonctions sur le corps des femmes ” et ceux qui “s’autorise(nt) à commenter de façon plus ou moins menaçante l’apparence physique des femmes et leur façon de s’habiller” en rappelant que Grenoble, de par son passé, est “une ville féministe”.

    Eric Piolle n’a de cesse de répéter que le burkini est un “non-sujet”. Selon lui, la modification du règlement intérieur des piscines municipales ne visait qu’à “lever les interdits vestimentaires aberrants”. Pour cette position, il a reçu le soutien d’une centaine de personnalités dont des féministes qui estiment dans une récente tribune que “personne ne doit être stigmatisé jusque dans les bassins en raison de son choix de maillot”.

    À voir également sur le HuffPost : Sports Illustrated fait poser un mannequin en hijab et burkini pour la première fois

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      Burkini à Grenoble: la préfecture prévient qu'elle contestera la décision

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 16 May, 2022 - 06:18 · 3 minutes

    Alors que la mairie de Grenoble compte autoriser le burkini, mais aussi le topless dans les piscines municipales, la préfecture de l'Isère a d'ores et déjà annoncé qu'elle s'apprêtait à contester la mesure (photo d'illustration prise en Indonésie). Alors que la mairie de Grenoble compte autoriser le burkini, mais aussi le topless dans les piscines municipales, la préfecture de l'Isère a d'ores et déjà annoncé qu'elle s'apprêtait à contester la mesure (photo d'illustration prise en Indonésie).

    POLÉMIQUE - La réplique est déjà prête. La préfecture de l’Isère a annoncé dimanche 15 mai au soir qu’elle demanderait au tribunal administratif d’annuler l’autorisation du burkini dans les piscines municipales si le conseil municipal de Grenoble modifiait en ce sens la réglementation, comme il prévoit de le faire ce lundi.

    “Conformément aux instructions qu’il a reçues du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, le préfet de l’Isère saisira le tribunal administratif de Grenoble en cas d’adoption de cette délibération”, a indiqué la préfecture dans un communiqué diffusé dimanche dans la soirée.

    Cette délibération, “dont l’objectif manifeste est de céder à des revendications communautaristes à visées religieuses, paraît contrevenir au principe de laïcité posé par la loi de 1905 ainsi qu’aux dispositions de la loi du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République”, ajoute le communiqué.

    Arrêter de “toujours réglementer le corps des femmes”

    Or “le maire, dans le cadre de ses compétences, s’il doit garantir la liberté religieuse de ses administrés, doit également s’assurer du respect de ces règles”, selon la préfecture. Si la délibération est adoptée ce lundi, la préfecture saisira donc le tribunal “par le biais d’un référé laïcité en vue d’en obtenir la suspension, en complément du déféré d’annulation” qui sera examiné plus tard.

    Cette disposition a été introduite par la loi séparatisme votée en août 2021 et concerne les actes qui portent “gravement atteinte au principe de laïcité et de neutralité du service public”. Elle permet aux préfets de saisir le juge administratif face à un acte d’une collectivité locale qu’ils estiment contraire aux principes de laïcité.

    Le conseil de municipal de Grenoble s’apprête à modifier lundi le règlement des piscines pour lever les actuelles prescriptions vestimentaires, très restrictives. Pour le maire écologiste Éric Piolle , il s’agit “d’assurer l’égalité d’accès aux services publics et la liberté de se vêtir ou se dévêtir, dans le respect de l’hygiène et de la sécurité”.

    Sur franceinfo ce lundi 16 mai au matin, l’édile a précisé que la délibération ouvrirait ainsi la possibilité de porter le burkini, mais aussi de pratiquer le “topless”, et qu’il souhaitait avant tout cesser de “réglementer le corps des femmes”.

    “Laissons les femmes libres: il y a dix ans, on ne pouvait pas rentrer en pantalon à l’Assemblée nationale ou au Sénat quand on était une femme, tout cela n’a aucun sens”, a-t-il encore argué. Éric Piolle avait promis de longue date que le sujet, qui polarise depuis plusieurs mois la classe politique, serait remis sur la table après l’élection présidentielle et avant l’ouverture estivale des piscines municipales, mi-juin.

    À Rennes, la ville a modifié sa réglementation en 2018 et le burkini est autorisé depuis dans les piscines.

    À voir également sur le HuffPost : Sports Illustrated fait poser un mannequin en hijab et burkini pour la première fois

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      Youpi, du bon gros régalien, juste là où il faut !

      h16 · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Monday, 18 January, 2021 - 08:30 · 6 minutes

    par h16

    En France, malgré les crises économiques, sanitaires ou politiques, on sait conserver le sens des priorités. Récemment, c’est dans le département de l’Isère que ce sang-froid républicain s’est le mieux illustré, avec une intervention aussi pertinente qu’indispensable des forces de l’ordre pour garantir une société apaisée et une morale sauvegardée.

    Il était temps : de dangereux retraités menaçaient d’utiliser leur droit d’expression et d’association pour réfléchir à des questions existentielles et apporter des réponses que la société réprouve.

    C’est ainsi qu’un retraité, ancien professeur de philosophie à l’Université, s’est vu placé en garde à vue avec une dizaine d’autres personnes pour soupçon de trafic de drogues. Non, il ne s’agit pas d’une resucée de Breaking Bad puisque la drogue dont il s’agit ici n’est pas de la métamphétamine mais plutôt du pentobarbital, un barbiturique interdit en France depuis 1996 dont un juge, saisi d’une enquête, soupçonne qu’il ait été fait usage pour aider certaines personnes à se suicider.

    Pour le moment, les recherches de stupéfiants n’ont rien donné, l’association – dont le professeur était un ancien responsable – ne faisant que réfléchir et militer pour le droit à l’euthanasie.

    Mais gageons qu’en mobilisant un nombre considérable d’heures de gendarmes, d’avocats, de juges et de fins enquêteurs, on parviendra à enquiquiner durablement ceux qui tentent de mettre fin à leurs jours avec des barbituriques, et qu’on les poussera plutôt à choisir des moyens d’en finir moins réprouvés par la société comme la pendaison, se jeter sous un train, se faire péter le caisson au calibre de chasse ou inhaler une bonne goulée de butane avant de faire partir en fumée le pâté de maisons environnant.

    Il faut dire qu’on n’a que ça à faire, dans le pays et dans la région : tout est très calme .

    Tenez, toujours en Isère, prenez Grenoble, tout à côté : c’est une ville fort calme, si calme, si paisible et si policée que cela permet aux forces de l’ordre de s’occuper de toutes ces petites affaires qui paraîtraient bien futiles pour les villes où délinquance, criminalité, trafics de stupéfiants et insécurité sont monnaie courante et qui, en conséquence, mobilisent la police en permanence.

    C’est une bourgade à ce point calme que j’en parle assez régulièrement dans ces colonnes : grâce aux actions décisives d’Éric Piolle, son kmaire vert en charge de saboter la ville et sa communauté, on a déjà pu voir une nette amélioration du niveau de vie des trafiquants d’armes et de drogues (et pas que du pentobarbital, hein !), une vitalité renouvelée du marché des stupéfiants régionaux, une vigueur retrouvée des guerres de gangs locaux, en parallèle d’une redéfinition complète de ce que peut être un centre-ville permettant à toute l’équipe municipale de propulser le chef-lieu de l’Isère vers le royaume envié des villes à effet donut .

    Encore une fois, les naïfs et les occasionnels de passage ici pourraient croire que j’exagère, mais la réalité a ce petit côté facétieux qui placent plutôt mes observations dans l’euphémisme. Ainsi, on découvre les palpitantes aventures de la crèche de l’Arlequin qui est fermée depuis le 5 janvier.

    Il apparaît en effet que de sympathiques commerçants en substances euphorisantes mais malencontreusement illicites occupaient aussi régulièrement qu’illégalement le bâtiment de la crèche de l’Arlequin et que, suite sans doute à un petit différend commercial ou organisationnel, nos frétillants vendeurs en étaient arrivés à menacer le personnel de la crèche qui, le lendemain, avait alors exercé son droit de retrait.

    La crèche fermée depuis lors, sa cinquantaine d’enfants et son personnel ont été habilement éparpillés par l’équipe municipale dans les crèches alentours, cette même équipe jugeant nécessaire que la tension retombe pour que tout rentre dans l’ordre.

    Pour le moment, l’idée ne semble pas avoir germé au niveau municipal que ce genre de tensions puisse être résolu par l’usage de la force légale et qu’elle mène à un petit nettoyage des environs de la crèche, pour faire bonne mesure. Un peu de procrastination, une bonne couche de bisounourserie, quelques bougies parfumées accompagnées de solides prières pour un retour au calme permettront, on s’en doute, de régler le problème avec le brio qui caractérise Piolle et son équipe .

    On a donc d’un côté les autorités légales qui s’amollissent progressivement au point de n’offrir plus aucune résistance à la pire racaille alentours, et de l’autre côté, les gangs qui usent de plus en plus d’arrogance et de violence, ces dernières se révélant largement rentables.

    De fil en aiguille, Grenoble et sa région, à force de choix vraiment fûtés dans l’emploi du régalien, vont parvenir à gentiment remonter le classement des villes les plus violentes du monde (sachant que Grenoble est déjà bien positionnée dans le classement européen ).

    Pas de doute, à la lecture de ces éléments, on ne peut que s’exclamer, goguenard, « Sacré Grenoble ! Sacré Piolle ! » et les plus optimistes d’entre nous pourrons feindre de croire que ce qui se passe à Grenoble reste à Grenoble.

    Malheureusement, il faut comprendre que cette ville est devenue, en quelques années de gouvernance écolo-boboïde gluante, un des phares nationaux indiquant la direction prise par toutes les autres villes à sa suite : Paris, Marseille, Nantes, Rennes, Lille et tant d’autres ont largement suivi la même pente de déliquescence choisie, depuis le choix de l’environnement contre les habitants notamment automobilistes , jusqu’à l’endettement plutôt qu’une gestion saine, sans oublier l’impasse sur l’insécurité, par pur calcul politique et idéologique foireux.

    Ces villes voient s’accumuler les problèmes graves (sociaux, criminels, environnementaux ou simplement d’hygiène), mais une partie de leur population, la seule à continuer coûte que coûte à s’exprimer dans les urnes après avoir écœuré et ostracisé toutes les autres, insiste pour conserver la voie choisie, dans laquelle le simple fait de réclamer des rues propres et normalement sûres revient à passer pour un extrémiste de droite.

    Ce qu’on observe en Isère est très malheureusement une parfaite illustration de la tendance générale : le régalien et la force légale ne sont plus utilisés qu’envers des citoyens sans défense et qui n’offrent aucune résistance. C’est catastrophique pour un pays de droit, ce sera en revanche parfait pour une dictature qui ne dit pas son nom.

    Le pire n’est pas certain, mais il se met en place, fait divers après fait divers.

    Français, tenez-vous prêts.


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    Sur le web