-
chevron_right
Comment recharger un passe Navigo avec un iPhone ou un smartphone Android
news.movim.eu / Numerama · 09:12
Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/
La ville de Paris va mettre en place un « Code de la rue »
news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 23 January - 08:00
Un « code de la rue » pour résoudre les problèmes de cohabitation entre tous les utilisateurs des rues parisiennes, c'est la solution proposée par la mairesse de la capitale, Anne Hidalgo. Une concertation publique débutera le mois prochain.
À Paris, un référendum pour interdire les trottinettes électriques
news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 16 January - 16:30
Les trottinettes en libre-service pourraient être interdite dès avril prochain dans les rues de Paris. Un référendum local va statuer sur le sujet.
À Paris, un référendum pour interdire les trottinettes électriques
Pour ou contre les trottinettes en libre-service ? Les Parisiens vont voter sur leur interdiction
news.movim.eu / Numerama · Monday, 16 January - 11:10
Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/
Here’s where traffic sucked the most in 2022
news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 10 January - 17:11 · 1 minute
Enlarge (credit: Getty Images)
Did your commute get worse in 2022? Overall, congestion cost the country more than $81 billion, says transportation data company Inrix. It just published its Global Traffic Scorecard for the past year, and the data says the typical US driver spent 51 hours in traffic last year, 15 hours more than in 2021. And due to increased fuel prices and other inflation, the average driver paid $134 more for fuel last year than the year before—and that's in addition to $869 in lost time.
Although it's not as severe as it was in 2020 or 2021 , it's still possible to see the effect of the pandemic in Inrix's data. In the US, vehicle miles traveled (VMT) increased by 1 percent year-on-year, but we still drove 9 percent fewer miles per year than before the pandemic. Interestingly, Inrix says this is due to more people continuing to work from home, which it says now accounts for 17.9 percent of Americans—before the pandemic, work from home accounted for only 5.7 percent of workers, according to the US Census Bureau.
Sadly, road safety is still rather abysmal; the estimated fatality rate of 1.27 deaths per 100 million VMT is 17 percent higher than we saw in 2019, although there has been a slight reduction from 2021's high of 1.3 fatalities per 100 million VMT. And while some of the other trends found in the report exist in countries like the UK or Germany, the rise in road deaths appears to be unique to the US.
Harry Potter : une nouvelle exposition ouvre ses portes en France !
news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 19 December - 10:30
Huit ans après la dernière exposition, les sorciers viennent poser leurs valises à Paris pour une expérience inédite.
Harry Potter : une nouvelle exposition ouvre ses portes en France !
Pass Navigo : une fausse polémique
Claude Goudron · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 17 December - 04:15 · 2 minutes
Navigo, un véritable tour de passe-passe !
En effet, il est ahurissant de voir la polémique qu’engendre l’ augmentation du prix du passe Navigo qui devait passer de 75,20 euros mensuel à environ 90 euros en tenant compte partiellement de l’augmentation du coût de l’énergie mais également d’une baisse de la fréquentation en période covid .
Le passe Navigo donne un accès à l’ensemble du réseau transport en commun francilien soit :
Ce forfait mensuel propose aussi cent espaces de stationnement pour vélo, 9500 places de parking relais à proximité des transports en commun et 1200 places de parking aux portes de Paris.
L’augmentation de 20 % prévue devrait être limitée à 6,5 %, probablement au prix de 80,10 euros.
De nombreux utilisateurs ignorent que le tarif demandé est quatre fois inférieur à celui qu’ils devraient payer. En réalité le prix réel serait de l’ordre de 300 euros mensuel ce qui signifie que les contribuables financent 220 euros par mois et par usager.
En région parisienne environ deux millions de bénéficiaires utilisent ce passe. Ce sont donc plus de cinq milliards d’euros d’impôts supplémentaires qui sont ponctionnés.
Ajoutons les subventions sur les billets SNCF à hauteur de 18,5 milliards ainsi qu’une grande partie des dettes, principalement SNCF, prises en charge par l’État à hauteur de 35 milliards en 2020 .
En comparaison, si la subvention accordée sur le prix à la pompe jusqu’au 15 novembre avait été du même ordre, ce n’est pas une ristourne de 0,30 euro sur le litre de carburant mais de 1,5 euro, soit un prix à la pompe de 0,50 euro pour les 76 % de Français qui prennent leur voiture pour aller travailler et ceci tout au long de l’année !
Alors messieurs les Franciliens acceptez une augmentation qui va vous affecter nettement moins que les travailleurs de province. L’ensemble des Français financent 75 % du coût de votre passe Navigo et ce sont les contribuables (60 % des Français) qui le paient à votre place, contrairement à l’affirmation de François Hollande.
En plus de ces subventions, le transport en commun nécessite des dépenses d’investissement et d’entretien colossales.
L’absence d’entretien correct depuis des décennies va coûter au contribuable pas moins de 100 milliards dans les 10 années à venir pour une mise au niveau équivalent à celui de nos voisins allemands.
Le projet du Grand Paris et dernièrement celui d’un réseau de RER dans 10 agglomérations promis dernièrement par le président vont faire encore plus exploser la dette !
En aurons-nous les moyens ? C’est loin d’être sûr.
Bientôt Paris sous tutelle ? Puis ensuite, la France ?
h16 · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 2 December - 12:00 · 6 minutes
Le vendredi, c’est poisson et la morue en est un excellent qu’on peut par exemple déguster en brandade. Sans rapport aucun, signalons qu’ Anne Hidalgo fait actuellement parler d’elle alors que la ville dont elle a la charge serait en très fâcheuse posture budgétaire.
Il est vrai que la situation économique du pays et l’inflation galopante finissent par toucher tout le monde, même la Ville des Lumières . Ajoutons-y une petite guerre à l’Est, un méchant covid qui a nettement pénalisé les activités touristiques et voilà la capitale française dans la tourmente.
Ou disons, voilà l’explication fournie par la maire de Paris pour expliquer la brandade panade dans laquelle la ville se trouve actuellement sur le plan financier. Mais à bien y regarder, les causes extérieures n’ont que peu à voir avec la dette colossale et la déroute budgétaire, visuelle, urbanistique et hygiénique de la municipalité parisienne.
En effet, lorsque Anne Hidalgo a pris les rênes de la municipalité en 2014, la dette se situait à 4,18 milliards d’euros (au 31 décembre) alors qu’elle s’établit à présent à 8,37 milliards d’euros au 31 décembre 2021 selon la direction générale des Finances publiques. Voilà qui représente un coquet doublement, ce qui, par les temps qui courent, représente une étonnante performance pour une ville dont ni le nombre d’habitants ni la superficie n’ont doublé. Et est-il nécessaire d’évoquer l’attractivité qui n’a pas doublé non plus pour s’interroger sur l’accumulation de ces plus de 8 milliards d’euros de dette.
Si le chiffre ne dit pas grand-chose en lui-même tant les Français ont été habitués par leurs gouvernements à jongler avec les dizaines voire les centaines de milliards, il faut comprendre que cette dette représente 3800 euros par habitant (contre 1640 euros fin 2014), ce qui est déjà une somme rondelette. Certes, d’autres municipalités françaises importantes cumulent parfois plus de dettes par habitant mais aucune n’atteint cependant le montant total de Paris qui bénéficie pourtant d’arrangements et de largesses comptables et financières assez spécifiques.
Lorsque cette dette est mise en rapport avec les réalisations visibles au profit de la capitale, on ne peut que rester pantois. Et lorsqu’on épluche les chiffres , il y a de quoi.
Avec un coût d’administration de la Ville de Paris bien supérieur à ceux qu’on peut comparer pour Lyon (13 % supérieur) ou Marseille (10 % supérieur) par exemple, on se demande en réalité où passe l’argent des contribuables parisiens : depuis 2014, la masse salariale municipale n’a cessé d’augmenter avec une création constante de nouveaux postes salariés (plus de 400 sont ainsi prévus en 2022). À présent, la capitale française compte plus d’un agent pour 39 habitants là où on en compte un pour 95 à Rome et un pour 107 à Londres. S’aligner sur ces chiffres ferait économiser plus d’un milliard et demi d’euros à la capitale…
Rassurez-vous, il n’en est pas question.
On pourrait se consoler en espérant qu’à cette pléthore d’agents correspond un service public au taquet. Las : non seulement ces agents se battent pour travailler toujours moins, mais de surcroît le travail réalisé laisse à désirer. Il suffira de constater l’état lamentable de l’ hygiène , de la sécurité, du trafic routier dans la capitale par exemple en butinant les meilleures pages du site Saccage Paris pour mesurer l’ampleur du véritable trou noir qu’est devenu la municipalité parisienne : des sommes colossales y pénètrent pour ne plus jamais revoir la lumière du jour, sans qu’aucune information claire ne fuite jamais sur ce qui s’est passé entre la collecte et la dépense. La multiplication des bric-à-brac en palettes de ZAD, aussi écolobranchouilles soient-ils, ne permet vraiment pas d’expliquer la dérive des finances parisiennes (même s’il est vrai que cela aide à comprendre l’accroissement notable de sa population de rongeurs ).
Devant ce trou noir, la maire ne semble pas s’inquiéter outre mesure. D’ailleurs, elle a une solution toute simple.
La main sûre, la voix posée, elle annonce donc il y a quelques semaines une sympathique augmentation de la taxe foncière à 20,5 %. En plus, comme Paris est une ville réputée pour avoir une taxe foncière un peu moins élevée qu’ailleurs, cela lui laisse de la marge : les gueux pourront bien rouspéter un peu mais après tout, ce n’est qu’un alignement sur les autres villes du pays.
C’est du reste en partie vrai : même avec cette augmentation, la taxe foncière de 2022 reste moins élevée en regard de ce que d’autres citadins payent. Mais il y a un hic : cette taxe réhaussée a été calculée sur les valeurs locatives de 2022. L’année prochaine, qui verra ces valeurs recalculées à la hausse (et pas qu’un peu), promet donc quelques surprises salées au contribuable parisien…
Il n’en reste pas moins que devant l’écart maintenant affolant des entrées et des sorties d’argent, on commence à murmurer que ces improvisations taxatoires ne suffiront pas. Et alors que le nombre d’habitants de la ville (et donc, de cibles taxables) diminue franchement depuis l’arrivée au pouvoir d’Hidalgo – franchement, on se demande pourquoi, alors que la municipalité redouble d’efforts pour transformer certains quartiers en véritables havres du vivrensemble sous crack – certains évoquent même une petite mise sous tutelle qui reviendrait en substance à retirer les clefs du budget des mains de l’actuelle dispendieuse socialiste.
La surprise est modérée.
Comme toute gestion clientéliste basée sur un accès à l’argent facile (dettes contractées alors que l’inflation et les taux d’emprunt sont faibles et les perspectives riantes), la mairie de Paris a maintenant largement dépassé les années de vaches grasses pour arriver à celles des vaches maigres en étant auparavant passée par celles des rats dodus. En s’obstinant à renouveler à leur place les équipes municipales les plus déconnectées du réel (de plus en plus souvent composé de saleté repoussante, de travaux idiots et d’ insécurité galopante ), les Parisiens se retrouvent maintenant avec une facture particulièrement salée et aucune réelle possibilité d’y échapper.
Il apparaît en effet que la situation parisienne n’est pas unique : non seulement, d’autres villes sont aussi en difficultés financières, mais à vrai dire tout le pays a également été piloté par des équipes de branquignoles économiques comparables à celle de Paris, avec – sans surprise là encore – les mêmes résultats catastrophiques, des dettes à gogo, un système de santé ou d’éducation en déroute complète, une insécurité galopante et un régalien qui ne sert même plus de faire-valoir.
Il faut se résoudre à l’évidence : la gestion par la dette, la multiplication des cadeaux électoraux facturés aux générations futures, ça ne marche jamais. Le socialisme, qu’il soit appliqué au niveau d’une ville ou au niveau d’un pays, aboutit toujours à la faillite.
D’ailleurs, les prochains mois pourraient être amusants et le sort ironique : alors que Paris sera peut-être mis sous tutelle par l’État français, ce même État français pourrait être à son tour mis sous tutelle par le FMI .
Les trottinettes en libre-service désormais formellement interdites aux moins de 18 ans à Paris
news.movim.eu / Numerama · Monday, 28 November - 11:04
Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/