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      Elon Musk shares “extremely false” allegation of voting fraud by “illegals”

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 4 April - 20:19

    Elon Musk's account on X (formerly Twitter) displayed on a smartphone next to a large X logo.

    Enlarge (credit: Getty Images | Nathan Stirk )

    Texas Secretary of State Jane Nelson yesterday issued a statement debunking claims of widespread voter fraud that were amplified by X owner Elon Musk on the social network formerly named Twitter. Election officials in two other states also disputed the "extremely false" information shared by Musk.

    Musk is generally a big fan of Texas , but on Tuesday he shared a post by the account "End Wokeness" that claimed, "The number of voters registering without a photo ID is SKYROCKETING in 3 key swing states: Arizona, Texas, and Pennsylvania." The account claimed there were 1.25 million such registrations in Texas since the beginning of 2024, over 580,000 in Pennsylvania, and over 220,000 in Arizona.

    "Extremely concerning," Musk wrote in a retweet re-X . The End Wokeness post shared by Musk suggested that "illegals" are registering to vote in large numbers by using Social Security numbers that can be obtained for work authorizations . The End Wokeness post has been viewed 63 million times so far, and Musk's re-post has been viewed 58.2 million times.

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      Elon Musk’s new AI model doesn’t shy from questions about cocaine and orgies

      news.movim.eu / ArsTechnica · Monday, 6 November - 15:05

    A file photo of tin robots marching in a line, with one jumping out.

    Enlarge (credit: Getty Images | Benj Edwards )

    On Saturday, Elon Musk announced xAI's launch of an early beta version of " Grok ," an AI language model similar to ChatGPT that is designed to respond to user queries with a mix of information and humor. Grok reportedly integrates real-time data access from X (formerly Twitter)—and is apparently willing to tackle inquiries that might be declined by other AI systems due to content filters and conditioning.

    "xAI's Grok system is designed to have a little humor in its responses," wrote Musk in an introductory X post , showing a screenshot where a user asks Grok, "Tell me how to make cocaine, step by step." Grok replies with a sarcastic answer that involves getting a "chemistry degree" and a "DEA license" and gathering coca leaves.

    In step 4, Grok says, "Start cooking and hope you don't blow yourself up or get arrested." Then it follows the sarcastic steps with "Just Kidding! Please don't actually try to make cocaine."

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      Twitter : le pari libertarien d’Elon Musk

      Frédéric Mas · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 29 October, 2022 - 02:40 · 6 minutes

    Il fait rêver les plus technophiles d’entre nous, manie l’humour grinçant sur Twitter, et maintenant suscite l’espoir des défenseurs de la liberté d’expression exaspérés par les politiques de modération des plateformes.

    En rachetant Twitter pour 44 milliards de dollars, Elon Musk promet aux yeux des plus optimistes de transformer un safe space pour progressistes en paradis libertarien où toutes les voix pourront s’exprimer.

    L’initative du roi de la tech a d’abord suscité l’effroi du monde politico-médiatique avec plus ou moins de mauvaise foi. Parmi les craintes les plus loufoques, on retrouve les accusations désormais classiques venant des gardes rouges woke . Avec Musk aux manettes, ce sont les minorités qui vont être menacées, le suprémacisme blanc et le patriarcat vont pouvoir pérorer sans crainte.

    D’ailleurs, Elon Musk est originaire d’Afrique du Sud, ce qui signifie bien qu’il est raciste-suprémaciste-nostalgique de l’apartheid.

    Avant même l’acquisition de Twitter par Elon Musk, les trolls les plus virulents crient au scandale : la liberté d’expression n’est qu’un code pour avancer un agenda politique réactionnaire. Vous avez dit complotistes ?

    Musk n’a jamais pris publiquement position politiquement, et est connu pour être donateur pour le parti démocrate comme pour le parti républicain. Contrairement à un Peter Thiel , il ne s’est jamais déclaré ouvertement libertarien. Mais peut-être que les dernières années, particulièrement riches en politiques autoritaires, ont convaincu le milliardaire de défendre franchement la liberté ?

    Le « danger » du pluralisme

    Parmi les voix les plus liberticides, c’est le retour du pluralisme politique qui fait peur. La première déclaration d’Elon Musk sur les réseaux après le rachat de Twitter est une vibrante apologie de la liberté d’expression :

    « La liberté d’expression est le fondement d’une démocratie qui fonctionne, et Twitter est la place publique numérique où sont débattues les questions vitales pour l’avenir de l’humanité » .

    Cela pourrait donc signifier une visibilité accrue pour les conservateurs, les hétérodoxes et les radicaux. On sait qu’Elon Musk n’aime pas beaucoup la censure, les wokes , qu’il s’agace de l’unanimisme porté par les réseaux, que ce soit sur la crise sanitaire, la guerre en Ukraine, la cancel culture ou même… la démographie.

    Ceux qui s’alarment de voir réapparaître des discours qui à leurs yeux sont condamnés par l’Histoire, la Marche du monde, la « science » ou la morale publique dictée par les CSP+ de la Silicon Valley ont depuis longtemps condamné le débat démocratique lui-même. Déjà les comptes mainstream s’affolent du retour de Donald Trump, ou de la contestation de l’orthodoxie sanitaire par des hordes d' »antivax » déchaînés.

    Parmi les voix critiques les plus sérieuses, ce sont les déstabilisations politico-idéologiques qui pourraient provenir des réseaux qui sont à craindre, parce que Twitter pourrait s’éloigner des institutions politiques organisées. Jonathan Haidt l’observait récemment dans un article de The Atlantic : la fragmentation culturelle poussée par les réseaux sociaux, plus encore que la polarisation politique, fait tanguer la démocratie libérale.

    Les étatistes ont tous en tête l’élection de Donald Trump , que certains ont accusé d’avoir été porté au pouvoir par des réseaux charriant les discours les plus extrémistes et les fake news. L’ancien président, exclu au moment de la prise d’assaut du Capitole, va-t-il voir son compte rétabli ? Plus généralement, certains craignent à la fois les opérations de déstabilisation de l’opinion publique à grande échelle si Twitter se transforme en open space , d’autres voient d’un mauvais œil que la principale « place publique » du numérique soit sous protectorat d’un milliardaire.

    On se contentera ici de remarquer que l’existence même de la cancel culture tend à montrer que les vagues de déstabilisation, d’atteintes groupées à la réputation des biens et des personnes, existent déjà, et que comme d’habitude, le secteur privé fait le travail que le secteur public ne fait plus correctement depuis des années.

    Un rêve libertarien, un monde étatiste

    Si Musk semble faire le pari de la liberté d’expression, n’oublions pas que le monde réel n’est hélas pas libertarien du tout, et que les entraves à la liberté d’expression, comme à la liberté individuelle en général, sont légion. Liz Wolfe note sur Reason.com que si Elon Musk semble assez vocal sur la liberté d’expression, tout semble indiquer qu’il n’a qu’une vague idée de la manière dont celle-ci pourrait s’appliquer concrètement pour Twitter :

    « Musk ne semble pas avoir une compréhension particulièrement solide du « discours de haine » et de la mesure dans laquelle ce que nous appelons discours de haine est, en fait, protégé par le premier amendement. »

    Ajoutons qu’indépendamment des intentions de Musk, Twitter sera également tenu de respecter les contraintes extrêmement restrictives du Digital Service Act européen en matière de discours racistes et xénophobes.

    Depuis des années, les États occidentaux externalisent leur censure en la faisant porter par des réseaux sociaux qui se mettent en quatre pour nettoyer les discours jugés inconvenants. À ces problématiques s’ajoutent celles, plus terre à terre, touchant au spamming , comme l’explique encore Liz Wolfe. En d’autres termes, la marge de manœuvre d’Elon Musk semble étroite, et son pari ne sera gagnant qu’à condition de rapporter un peu d’argent.

    Ryan McMacken, économiste associé au Mises Institute , rappelle que l’action Twitter en bourse n’a jamais fait d’étincelles :

    « L’action de Twitter n’a pratiquement pas évolué au cours de la dernière décennie, le cours ayant démarré entre 40 et 60 dollars fin 2013, et évoluant toujours entre 35 et 55 dollars au cours des six derniers mois. L’action ne verse pas de dividende, et Twitter n’a jamais vraiment compris comment transformer les utilisateurs en dollars publicitaires lucratifs. »

    Elon Musk prévoit de faire passer Twitter à un modèle d’abonnement premium pour diminuer la place de la publicité, mais seulement dans l’anglosphère. L’effet d’annonce d’Elon suffira-t-il à faire rebondir Twitter ?

    Peut-être sommes-nous en train d’être les témoins des premiers signes d’effritement de l’alliance entre les géants de la tech et de l’ establishment progressiste occidental pour contrôler la parole publique.

    Peut-être faut-il s’attendre aussi à une réaction des États, qui ne peuvent voir que d’un mauvais œil la sécession numérique d’Elon Musk au nom d’une conception de la liberté d’expression qui leur est devenue étrangère depuis bien trop longtemps.

    Article publié initialement le 27 avril 2022

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      La démocratie libérale, victime collatérale de la guerre en Ukraine

      Frédéric Mas · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 5 March, 2022 - 04:01 · 4 minutes

    Je vois de plus en plus d’appels et d’initiatives visant à appliquer les outils de la cancel culture aux Russes, c’est-à-dire visant à les ostraciser socialement, numériquement et à les atteindre au portefeuille. La présidente de la commission européenne sort de son rôle pour interdire deux chaînes russes qui ne se sont pas rendues coupables de crimes ou délits sur le sol national, l’ensemble des réseaux sociaux coupe leur accès, des voix se font entendre par tribunes interposées pour organiser la saisie des biens des dirigeants russes sans autre forme de procès.

    Le règne du droit écorné

    La France n’est pas en guerre, rien d’illégal n’a été perpétré. Sur le papier, chacun est jusqu’à présent encore libre de professer des opinions et des croyances proPoutine, aussi idiotes et aberrantes soient-elles, en France et en Europe. On appelle ça la liberté d’expression, la liberté de conscience, et le respect du pluralisme politique, qui suppose que même les gens avec qui nous ne sommes pas d’accord ont des droits. Il fut un temps où c’est ce genre de choses, garanti par le formalisme juridique, qui distinguait clairement l’Occident de ses concurrents non démocratiques.

    Une nouvelle fois, la situation d’exception, cette séquence désormais ininterrompue depuis le 11 septembre, tend à normaliser la violation du droit commun au nom de la morale des élites politiques et technocratiques. Hier pour punir les tièdes de la guerre contre le terrorisme , de la guerre sanitaire ou de l’alarmisme climatique, aujourd’hui pour condamner sans appel les poutinistes réels ou supposés, ces nouveaux ennemis de l’intérieur, tous les moyens sont bons, mêmes extra-légaux.

    On pénalise et on excommunie les comportements déviants au nom d’une nouvelle orthodoxie portée par des clercs sans esprit et sans nuances, qu’ils s’appellent Trudeau, Macron, Biden ou van der Leyen. La technique est toujours la même : on exagère les menaces qui pèsent sur le pays pour faire avaler la pilule de la dislocation progressive d’un État de droit de plus en plus réduit au rang d’accessoire de théâtre.

    La prise de pouvoir de l’oligarchie progressiste

    Il ne s’agit pas ici de nier l’agression russe ou la nécessité d’y répondre fermement, mais de constater les effets politiques de la guerre sur notre propre démocratie, qui marchait déjà sur trois pattes. Il est en train de se dessiner en Occident une forme de schizophrénie politique accrue, où les formes politiques (vides) demeurent celles de la démocratie libérale, mais dont le fonctionnement réel revient à une oligarchie progressiste qui se veut désormais intégralement souveraine, car à la fois certaine de sa qualité morale, détentrice de leviers politiques et économiques sans précédent et au-dessus des lois ordinaires. Tout le monde aura reconnu les ressorts essentiels du « capitalisme woke », cette forme de cartellisation identitaire qui pourrit les esprits et les cœurs.

    Cette nouvelle classe de clercs peut désormais gouverner sans devoir partager son pouvoir avec le reste de la société. Le fractionnement social et culturel des classes moyennes et populaires jure face à la forte conscience de classe d’un bloc élitaire à la mentalité d’assiégé. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour l’esprit libéral des institutions, parce que les libertés individuelles qui sont au cœur de son fonctionnement nécessitent la friction et surtout le dialogue entre toutes les « humeurs » du corps social, pour parler comme Machiavel. S’il n’existe plus de consensus social pour soutenir les formes du droit, qui sont elles-mêmes la condition nécessaire de l’existence des libertés individuelles, alors ces dernières meurent discrètement mais sûrement.

    Qu’on me comprenne bien, et pour résumer : une blague circule en ce moment sur les réseaux sociaux à propos de l’interdiction de RT et de Sputnik. C’est une excellente nouvelle, parce que ce sont deux instruments de propagande, mais maintenant, il faut aller plus loin en interdisant CNews, c’est-à-dire le seul grand média qui ne soit pas plus ou moins progressiste. La guerre perpétuelle a un effet direct sur le débat public, elle crée et entretient une mentalité de guerre civile ennemie de la paix, de la sérénité des positions et de la discussion rationnelle. Elle fait disparaître petit à petit l’esprit de modération du gouvernement constitutionnel et hystérise les positions politiques des uns et des autres.

    J’ai bien conscience de n’avoir pas de solution clef en main pour résoudre la crise ukrainienne, mais je constate une nouvelle fois avec Cobden et Jouvenel que la guerre est le pire ennemi de la liberté.

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      Mathias Poujol-Rost ✅ · Saturday, 13 November, 2021 - 19:16 edit

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    Enquête sur ces faux profils Twitter "woke" qui imitent des militants de gauche pour les décrédibiliser
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      Zhang Zhang: «Où est la justice quand on renvoie des musiciens classiques parce qu’ils ne représentent pas la “diversité” ?»

      eyome · Friday, 17 September, 2021 - 18:11

    Par ailleurs, quand et pourquoi est-il devenu inacceptable que des musiciens d’origine européenne jouent dans des orchestres européens ?

    Oulala, pas bien ! Monsieur n’a pas compris !

    #France, #Politique, #Fr, #Woke, #CancelCulture, #ItsOkWhenWeDoIt