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      Le secret derrière l’art de verser la bière : pourquoi incliner le verre réduit-il la mousse ?

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 24 February - 17:38

    bière

    Faire couler la bière le long du verre : est-ce vraiment une bonne idée ? Tout dépend de la hauteur et du volume de mousse que vous désirez. Et il y a une explication physique pour ça.

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      Les bulles du champagne ne bougent pas comme les autres : on sait pourquoi

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 2 May, 2023 - 13:25

    Une étude scientifique explique enfin pourquoi les bulles du champagne ne bougent pas comme celles d'autres boissons gazeuses. [Lire la suite]

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      Selon une étude, l’alcool accélère directement le vieillissement

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 28 July, 2022 - 15:00

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    De nouveaux indices statistiques solides montrent un lien significatif entre la consommation d'alcool et le vieillissement cellulaire.

    Selon une étude, l’alcool accélère directement le vieillissement

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      La bière sans alcool est-elle une bonne alternative pour la santé?

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 15 July, 2022 - 06:00 · 4 minutes

    Happy woman drinks a lot of beer in mugs in such a funny alcoholic situation Happy woman drinks a lot of beer in mugs in such a funny alcoholic situation

    SANTE - Un pont du 14 juillet, trois festivals majeurs ( Francofolies , Lollapalooza et les Vieilles Charues ), une vague de chaleur...  Toutes les conditions réunies pour qu’une bonne partie de la France se rafraîchisse autour d’un apéro entre amis ce week-end.

    Pour beaucoup, qui dit apéro dit bière , vin ou autre boisson alcoolisée. Mais il faut le rappeler, l’alcool est responsable de 8% des cancers en France. “À partir d’un verre par jour en moyenne, on considère que vous avez une consommation à risque”, explique au HuffPost Mathilde Touvier, directrice de l’équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle de l’Inserm.

    Les Français sont-ils conscients de ce risque? En tout cas, depuis quelques années, à l’instar des laits et autres steaks végétaux, les bières sans alcool sont de plus en plus plébiscitées. En cinq ans, les ventes ont plus que doublé, rappelle le JDD . Se pose alors une question: est-ce qu’une bière sans alcool est “bonne” pour la santé? Et comparée à quoi?

    Une bière sans alcool plutôt qu’une bière, c’est oui

    “C’est mieux de boire une bière sans alcool qu’une bière normale”, affirme sans hésitation Mathilde Touvier. Encore une fois, l’impact néfaste de l’alcool sur la santé, passé une certaine consommation, n’est plus à démontrer.

    “Boire de l’alcool une fois de temps en temps, cela ne pose probablement pas de problème. Encore une fois, c’est à partir d’un verre par jour qu’on a une augmentation du risque”, précise la chercheuse. Et plus on boit, plus le risque augmente. En conséquence, boire de temps en temps un verre d’alcool pour commencer l’apéro, puis passer à une boisson non alcoolisée fait sens. Mais est-ce qu’une bière sans alcool est meilleure ou pire pour la santé qu’un soda ou qu’un jus de fruits?

    Face aux sodas et jus, la question du sucre

    Concernant l’impact sur la santé des bières sans alcool, il n’y a pas à avoir peur du malte, de l’orge ou des autres ingrédients propres à la bière. “Il y a même des recherches qui font penser que les aliments fermentés seraient bénéfiques pour le microbiote”. Non, le problème de la bière sans alcool est ailleurs.

    “La principale question vient du sucre”, explique Mathilde Touvier. L’impact des boissons sucrées sur la santé est plutôt bien cerné. “Le sucre favorise l’apparition de caries, de NASH ou ‘maladie du foie gras’, augmente la mortalité cardiovasculaire et le risque de diabète”, détaille la chercheuse. En conséquence, les recommandations nutritionnelles pour les boissons sucrées sont de ne pas en boire plus d’une par jour. Comme pour l’alcool.

    Or, les bières sans alcool sont parfois très sucrées. “Pour en avoir le cœur net, il faut regarder la liste des ingrédients ou aller vérifier sur le site Open Food Facts”, conseille Mathilde Touvier. “Si l’on regarde une bière sans alcool classique, on voit que le sucre est le deuxième ingrédient, juste derrière l’eau. On a donc un nutriscore D. Certaines bières sans alcool ont un nutriscore de C car il n’y a pas ou moins de sucres ajoutés”.

    Le nutriscore permet de vérifier la valeur nutritionnelle d’un produit (sucre, graisses saturées, sel...). Étiquette C, cela veut dire que la boisson ou l’aliment présente une qualité nutritionnelle moyenne. Pour “gagner des points en plus” et tendre vers les notes A ou B (ce qui reflète une meilleure qualité nutritionnelle), il faut que le produit comporte des éléments à favoriser dans l’alimentation générale, comme des fibres ou des protéines.

    La boisson parfaite de l’été ne contient ni alcool ni sucre

    “Il n’y a pas d’étude exhaustive, mais quand on regarde quelques références sur Open Food Facts, il semblerait que les bières sans alcool soient souvent moins sucrées que les sodas, par exemple”, note Mathilde Touvier. À l’inverse, les “ginger beer”, ces boissons gazeuses au gingembre sans alcool sont souvent très sucrées.

    Pour faire les choses bien, il faut regarder les informations nutritionnelles (part de glucides, dont le sucre, apport en calories, etc). Mais attention, pour les bières comme les sodas, à un faux ami: les édulcorants comme l’aspartame. “Il ne faut pas recommander les boissons aux édulcorants”, met en garde la chercheuse.

    Les études sur le sujet sont encore limitées et contradictoires sur le sujet, mais des travaux récents , publiés en mars 2022, semblent indiquer un lien entre consommation d’aspartame et cancer dans l’étude NutriNet-Santé.

    Le message n’est donc pas de privilégier le sucre à l’aspartame, mais plutôt de privilégier des boissons sans (trop de) sucre ou édulcorants. “L’été, pour se rafraîchir, il faut clairement éviter l’alcool et les boissons sucrées, qui ne désaltèrent pas. Et choisir par exemple une citronnade ou un cocktail sans sucre avec de l’eau pétillante ou plate et une feuille de menthe”, conseille Mathilde Touvier.

    À voir également sur Le HuffPost : Les boissons à privilégier ou à éviter face à la canicule

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      Vin rouge ou blanc, on en sait plus sur la manière dont les Romains le fabriquaient

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 29 June, 2022 - 17:00 · 2 minutes

    Illustration d'une orgie romaine (Bacchanalia, Messaline), ou le vin coulait à flots. Illustration d'une orgie romaine (Bacchanalia, Messaline), ou le vin coulait à flots.

    HISTOIRE - Breuvage commun dans l’antiquité, le vin était une boisson prisée par les Romains. Mais à l’époque, comment en produisaient-ils? C’est ce sur quoi se sont penchés des chercheurs de l’université d’Avignon et de Rome.

    Pour ce faire, ils ont examiné trois amphores d’époque romaine, des jarres à vin, retrouvées en 2018 dans les fonds marins du port actuel de San Felice Circeo, en Italie. Les résultats de leurs recherches ont été publiés ce mercredi 29 juin dans la revue PLOS ONE .

    Usant de techniques multidisciplinaires comme la paléobotanique (étude des végétaux fossiles) ou l’analyse chimique , les chercheurs ont découvert que les pratiques viticoles italiennes à l’époque romaine consistaient à utiliser des jarres imperméabilisées avec de la poix de goudron.

    Savoir-faire antique

    Après examen des amphores découvertes en Italie, divers composés chimiques allant des résidus de tissus végétaux à divers pollens ont été retrouvés. C’est ce qui a permis de déceler la présence de dérivés de raisins et de pin dans les jarres, suggérant donc qu’elles servaient à faire du vin.

    Plus précisément, les chercheurs estiment qu’elles étaient utilisées dans les processus de fabrication de deux types de vins, rouge et blanc. Le pin permettait lui de créer du goudron, qui servait à imperméabiliser les jarres, mais aussi à aromatiser le breuvage. C’est d’autant plus plausible que d’autres sites archéologiques ont observé la même chose.

    Schéma présentant les différents intervenants dans la fabrication du vin romain. Schéma présentant les différents intervenants dans la fabrication du vin romain.

    Afin de produire du vin, il y avait besoin d’importer. En effet, tous les ingrédients n’étaient pas disponibles localement. Si le pollen de vigne correspond à des espèces sauvages de la région, le goudron de pin en revanche était probablement importé de Calabre ou de Sicile d’après d’autres sources historiques.

    Une approche multidisciplinaire

    Si l’analyse chimique a permis de repérer divers composants, la prudence est de mise concernant l’interprétation. Par exemple de l’acide tartrique a été retrouvé, et est considéré comme une preuve de présence de vin. Or, ce composé chimique peut également provenir des sols environnants, ou bien être contenu dans certains sacs plastiques actuels.

    Là est donc l’intérêt de l’approche multidisciplinaire pour étudier les pratiques culturelles anciennes à partir d’artefacts archéologiques. Dans le cas présent, afin de s’assurer que les amphores contenaient bien du vin, les chercheurs ont couplé l’analyse chimique et la paléobotanique.

    C’est ce qu’affirment les auteurs de l’étude: “En utilisant différentes approches (...), nous avons poussé la conclusion plus loin dans la compréhension des pratiques anciennes qu’elle ne l’aurait été avec une seule approche.”

    À voir également sur le HuffPost: L’épave la plus profonde jamais retrouvée localisée aux Philippines

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      Déboucher une bouteille de champagne, c’est supersonique

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 7 June, 2022 - 10:04

    Lorsque vous déclenchez le fameux « pop » en ouvrant une bouteille de champagne, un mécanisme physique complexe est à l'œuvre. Et il a beaucoup en commun avec les fusées. [Lire la suite]

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      La distribution de vodka en Russie est perturbée par des hacktivistes ukrainiens

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 6 May, 2022 - 12:09

    Un site comptable, destiné à enregistrer l'achat et la vente d'alcool par les commerces en Russie, a été mis en panne durant une journée par une organisation de volontaires ukrainiens. [Lire la suite]

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      Cannabis : encore un long chemin avant la légalisation

      Théophile Gacogne · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 22 January, 2021 - 04:30 · 7 minutes

    cannabis

    Par Théophile Gacogne.

    S’il y a un débat qui reste encore assez fermé en France, c’est celui sur la légalisation ou la dépénalisation du cannabis. Alors que les lois se sont plutôt assouplies un peu partout en Europe et dans le monde, la France privilégie toujours la répression pour les consommateurs.

    L’interdiction du cannabis en France date de 1970 et de nombreux observateurs estiment que ces 50 années de pénalisation sont un échec. Il faut bien avouer que le bilan est difficile à défendre, puisque d’après l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies, nous sommes les plus gros consommateurs d’Europe.

    Le gouvernement est-il en train d’avancer sur la question de la légalisation du cannabis ?

    Depuis l’arrivée à l’Élysée du président Macron, on peine à voir une évolution. Depuis mon dernier papier sur le sujet , un Conseil d’analyse économique rattaché à Matignon avait pourtant apporté des éléments au Premier ministre en faveur de la légalisation en 2019…

    Le rapport, purement financier, pointait du doigt l’échec des politiques actuelles. On pouvait notamment lire que « la prohibition a favorisé l’expérimentation du cannabis du fait de sa très grande disponibilité, et cela en dépit d’investissements massifs dans la répression » . Depuis 1970, les interpellations pour une simple consommation ont été multiplié par 50, sans pour autant que la courbe du nombre de consommateurs ne cesse de monter.

    Cette répression coûte cher, puisque le rapport indiquait que 568 millions d’euros sont dépensés chaque année pour lutter contre le cannabis.

    Les économistes voient surtout une manne fiscale énorme échapper aux poches de l’État. Ils estiment qu’une consommation de 500 à 900 tonnes chaque année en France pourrait rapporter entre 2 et 2,8 milliards de recette fiscale, tout en créant jusqu’à 80 000 emplois dans la production ou la vente de cannabis.

    De plus en plus de convaincus…

    Les économistes rattachés à Matignon ne sont pas les seuls à penser que la politique de répression devrait être abandonnée. Toujours en 2019, une tribune plubliée dans L’Obs et signée par 70 personnalités, dont des économistes, des médecins et des politiques, appelait à la légalisation du cannabis.

    Parmi les signataires, on retrouvait notamment Bernard Kouchner, Benoît Hamon, Raphaël Glucksman, Yannick Jadot, mais aussi les députés LREM Pierre Person et François-Michel Lambert. La tribune rappelait notamment que tous les voisins de la France ou presque ont assoupli leur législation, que le Canada ainsi que certains États des USA ont complètement légalisé le cannabis, mais que « la France est à la traîne ».

    Ils expliquent également que l’alcool et le tabac sont beaucoup plus dangereux et font bien davantage de morts chaque année. Enfin, ils estiment que comme le cannabis n’est pas une substance neutre et qu’il peut être nocif pour la santé, un contrôle des produits serait opportun.

    Un gouvernement qui reste inflexible ?

    Pour l’instant, le gouvernement semble encore très loin de penser à la légalisation. Matignon a simplement cherché à désengorger les tribunaux, en mettant en place une amende forfaitaire de 200 euros pour toutes les personnes en possession de moins de 100 grammes de cannabis sur eux.

    C’est effectivement un bon moyen pour « faire du chiffre », tout en réduisant les dépenses de la justice, mais il n’y a aucune prévention et la police laisse repartir le consommateur sans se soucier de la provenance de la marchandise. Cette amende forfaitaire a été critiquée aussi bien par la droite que par la gauche, et par certains syndicats de police qui y voient une dépénalisation masquée.

    En aout 2020, invité sur le plateau de LCI, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin laissait entendre que le chemin vers plus de souplesse serait encore très long : « Je ne peux pas, en tant que ministre de l’Intérieur, en tant qu’homme politique dire à des parents qui se battent pour que leurs enfants sortent de l’addiction à la drogue, que l’on va légaliser cette m…. Et je dis bien cette m… »

    Une sortie pour le moins populiste, avec un argumentaire très pauvre qu’on pourrait, pourquoi pas, utiliser pour demander l’interdiction de l’alcool…

    La cour européenne contredit la France pour le CBD

    Depuis 2014 quelques boutiques se sont mises à vendre du CBD en France. Il s’agit d’un cannabis doux, avec pas ou très peu de THC, qui est autorisé quasiment partout en Europe et qui n’a juridiquement aucune bonne raison d’être interdit. Pourtant, de nombreuses boutiques ont fait l’objet de perquisitions récurrentes, de blocages de marchandises aux douanes et parfois de gardes à vue pour les entrepreneurs.

    La France a même voulu interdire le CBD (cannabidiol), mais en novembre 2020, la justice européenne rejette cette interdiction, jugeant illégale la répression du CBD. Pour la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), le CBD n’est pas un stupéfiant, et les boutiques spécialisées espèrent désormais pouvoir travailler tranquillement.

    Une évolution à venir ?

    Reprise de volée par la CJUE, la réglementation française n’a pas vraiment d’autre choix que d’évoluer en autorisant la vente de CBD. Désormais de nombreux agriculteurs ou propriétaires de fermes attendent un assouplissement de la loi pour commencer à produire.

    Lentement, mais sûrement, les instances dirigeantes semblent vouloir traiter le sujet sérieusement, pour le CBD, mais aussi pour le cannabis classique. Ainsi, le Parlement vient de lancer le 13 janvier 2021, une consultation citoyenne en ligne sur le cannabis récréatif. Il s’agit d’un questionnaire qui va rester sur le site de l’Assemblée nationale pour un mois environ, et qui doit permettre d’aider la mission d’information à rendre un rapport en mars ou en avril prochain.

    Difficile donc de prédire comment va évoluer la loi française concernant le cannabis, le débat sera probablement de retour dans les médias d’ici quelques mois lorsque la consultation citoyenne aura été étudiée et que le rapport final sera présenté aux députés.

    Faut-il espérer une évolution en faveur de la légalisation du cannabis ?

    D’un point de vue purement économique, tous les spécialistes de la question sont d’accord, la légalisation du cannabis permettrait de faire de grosses économies sur les secteurs de la justice et de la police, tout en apportant une manne fiscale non négligeable et en créant au passage des dizaines de milliers d’emplois.

    D’un point de vue moral, c’est forcément plus complexe. On peut entendre les arguments de ceux qui soutiennent que la légalisation pourrait être un signal pour les plus jeunes, signifiant que le cannabis est inoffensif et qu’il peut donc être consommé sans risque. Une explosion du nombre de consommateurs est alors à craindre.

    Cependant, on voit bien que les pays disposant d’une législation plus souple n’ont pas plus de consommateurs que la France. La question morale se heurte aussi à la légalité de l’alcool ou du tabac, qui sont considérés comme des drogues plus dangereuses que le cannabis, mais qui sont pourtant en vente absolument partout.

    Quid également des trafiquants, qui seraient forcément impactés par une vente légale. Que deviendraient alors les centaines de milliers de petites mains qui vivent de ce commerce ? Peut-on craindre une montée de la commercialisation illégale d’autres drogues plus dures, des braquages ou des cambriolages pour compenser le manque à gagner ?

    De nombreuses questions doivent être étudiées, mais comme trop souvent, c’est un débat essentiellement politique et assez peu pragmatique qui se déroule en France depuis des dizaines d’années et qui risque de se poursuivre encore quelques temps.

    Reste à savoir si Macron aura le courage politique de traiter ce sujet sur le fond. Le cannabis est diabolisé dans l’Hexagone par une grosse partie de la droite et son ministre de l’Intérieur est farouchement opposé à une légalisation. La consultation citoyenne lancée ce mois-ci apparait donc comme une très discrète lueur d’espoir pour les amateurs de cannabis.