• chevron_right

      Sixth Westfield Bondi Junction stabbing victim named as Chinese student Yixuan Cheng

      news.movim.eu / TheGuardian · Monday, 15 April - 02:22

    Detectives pursuing ‘obvious’ line of inquiry – that attacker Joel Cauchi targeted women and avoided men, police commissioner says

    Yixuan Cheng has been confirmed as the sixth person stabbed to death in Bondi Junction on Saturday in what police are now investigating as a murderous rampage possibly targeting women.

    The Chinese national, a University of Sydney student who was in her 20s, was killed by a Queensland man, Joel Cauchi, at the shopping centre on Saturday afternoon alongside five others .

    Sign up for Guardian Australia’s free morning and afternoon email newsletters for your daily news roundup

    Continue reading...
    • chevron_right

      À 2 jours du jubilé de la reine, l'Australie prend le risque de se fâcher avec Elizabeth II

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 31 May, 2022 - 16:08 · 2 minutes

    La monarchie anglaise s'effrite après cette décision du nouveau Premier ministre australien, en plein milieu des préparatifs du jubilé de la reine d’Angleterre. La monarchie anglaise s'effrite après cette décision du nouveau Premier ministre australien, en plein milieu des préparatifs du jubilé de la reine d’Angleterre.

    REINE D’ANGLETERRE - Une nouvelle qui pourrait venir entacher les derniers préparatifs des 75 ans de règne d’Elizabeth II . Le nouveau Premier ministre australien , de centre gauche, Anthony Albanese, a nommé mardi 31 mai son gouvernement qui comprend un “ministre délégué pour la République”, dans un pays qui est une monarchie selon sa Constitution.

    Il s’agit pour l’Australie d’une étape symbolique vers une sortie de la monarchie britannique, en pleins préparatifs à Londres du jubilé de la reine Elizabeth II.

    Matt Thistlethwaite, député de Sydney, a vu cette attribution lui échoir parmi d’autres. Des dirigeants travaillistes avaient déjà promis dans le passé un référendum pour défaire la reine d’Angleterre de son titre de chef d’État de l’Australie. Une promesse qu’Anthony Albanese, républicain de longue date, s’est gardé de réitérer pendant la campagne.

    Cette nomination a été saluée par le Mouvement pour la République australienne qui milite pour un chef d’État australien. “Nous sommes sur la voie!”, a tweeté l’éminent républicain Peter FitzSimons.

    “Pour la première fois dans l’histoire du Commonwealth, l’Australie a un membre du gouvernement qui se consacre à la suppression de la Couronne et à aider l’Australie à devenir une république”, a ajouté cet écrivain. Par le passé, Anthony Albanese avait décrit le passage du pays au régime républicain comme “inévitable”.

    En 1999, une faible majorité d’Australiens (55%) s’était opposée au passage à la république, à la suite d’un désaccord sur le mode d’élection du remplaçant de la reine, qui aurait été choisi par le Parlement et non au suffrage universel.

    Une monarchie qui s’effrite en Angleterre?

    Dans le cadre des préparatifs du jubilé de platine de la reine d’Angleterre, au Royaume-Uni, une campagne d’affichage met également à mal le trône royal. Comme le rapporte la BBC , des panneaux anti-monarchie ont fleuri çà et là, comme dans la ville de Reading.

    Sur ces panneaux, un message clair: “Make Elizabeth the last” (à comprendre en français comme “Faites d’Elizabeth la dernière reine sur le trône). Derrière cette initiative, le groupe Republic, qui a profité d’un financement participatif (à hauteur de 43.000 livres) pour mettre en place cette campagne d’affichage qui prévoit de s’étendre à Manchester, Bournemouth, Birmingham, Dundee, Leeds, Glasgow, Newcastle et Bristol.

    Une projection dans l’après-monarchie au Royaume-Uni partagée par un certain nombre de Britanniques, à en croire un sondage IPSOS qui pointe une légère tendance à mettre fin à ce système, malgré la forte popularité de la reine Elizabeth II.

    Selon ce sondage publié juste avant le jubilé, un Britannique sur cinq serait enclin à voir le pays basculer dans une république. Une tendance assez stable sur ces vingt dernières années, même si cette dernière ne faiblit pas, surtout auprès des jeunes, bien plus favorables à un abandon de la monarchie au profit d’une république.

    À voir également sur Le HuffPost: La reine était (un peu) présente malgré tout à son traditionnel discours du trône

    • chevron_right

      Australie: Anthony Albanese, futur Premier ministre et miraculé

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 21 May, 2022 - 15:15 · 4 minutes

    Après pratiquement une décennie sans gouvernement travailliste en Australie, Anthony Albanese, Italo-Australien ayant survécu à un terrible accident de voiture, a mené le Après pratiquement une décennie sans gouvernement travailliste en Australie, Anthony Albanese, Italo-Australien ayant survécu à un terrible accident de voiture, a mené le "Labour" à la victoire face au sortant Scott Morrison.

    AUSTRALIE - Cela faisait pratiquement dix ans que les libéraux étaient au pouvoir en Australie, notamment avec Scott Morrison , l’homme de l’affaire des sous-marins décommandés à la France . Mais ce samedi 21 mai, c’est bel et bien le camp travailliste qui l’a emporté lors des élections législatives, portant au pouvoir un miraculé: Anthony Albanese.

    Le prochain Premier ministre de l’Australie est en effet un homme du peuple et un dirigeant politique qui a survécu à un accident de la route en plus d’avoir su redresser le Parti travailliste jusqu’à le mener à une victoire sur le fil. “J’ai pensé que c’était la fin”, a récemment raconté Anthony Albanese en décrivant son hospitalisation dans un état critique l’an dernier, après une collision entre sa voiture et un véhicule tout-terrain conduit par un adolescent.

    À l’époque, les travaillistes étaient à la traîne dans les sondages, loin derrière les conservateurs du Premier ministre Scott Morrison. Mais celui qui est surnommé “Albo” par ses partisans a expliqué qu’avoir frôlé la mort lui a donné l’énergie nécessaire pour tout changer.

    Des origines modestes et éduqué par une mère seule

    À 59 ans, il peut aujourd’hui se vanter d’un rétablissement sur tous les fronts. Il a retrouvé la santé, consolidé son autorité à la tête de son parti, et perdu 18 kilos. Ses costumes sont devenus plus chics, et il a troqué ses lunettes métalliques de bouquiniste pour des montures noires à la “Mad Men”.

    Surtout, il ramène au pouvoir les travaillistes après une course en tête depuis plus d’un an dans les sondages, grâce à des attaques ciblées contre la gestion gouvernementale de la pandémie de Covid et des incendies catastrophiques pendant l’été austral 2020.

    L’apogée d’un long parcours politique. Car avant cela, Anthony Albanese avait été élu au parlement pour la première fois en 1996. À l’époque, il avait dédié son premier discours à sa mère, Maryanne Ellery, qui l’avait élevé seule dans un logement social de Sydney “dans des circonstances économiques très difficiles”.

    Militant travailliste depuis le lycée, premier membre de sa famille à étudier à l’université, il affirme que ses origines ouvrières ont façonné sa vision du monde. “Cela en dit long sur ce pays”, a-t-il déclaré en votant samedi, la voix fendue par l’émotion, “que quelqu’un avec mes origines puisse se tenir devant vous aujourd’hui, en espérant être élu Premier ministre de ce pays”.

    Retrouvailles avec un père absent

    Anthony Albanese a raconté que sa mère, catholique, avait décidé de lui donner le nom de son père, même s’ils ne s’étaient jamais mariés et n’avaient jamais vécu ensemble. “J’ai été élevé en croyant qu’il était mort”, a-t-il expliqué. “Cela en dit long sur la pression qui était exercée sur les femmes”.

    Après la naissance en 2000 de son fils unique, Nathan, “Albo” s’était lancé à la recherche de son propre père, Carlo Albanese, avec une vieille photographie pour seul indice. Il l’avait finalement retrouvé dans sa ville d’origine, Barletta, en Italie, et s’était réconcilié avec lui avant sa mort en 2014. “La dernière conversation que nous avons eue, c’était pour se dire qu’on était contents de s’être retrouvés”, a-t-il confié.

    Anthony Albanese sera d’ailleurs le premier chef du gouvernement australien à porter un nom de famille autre qu’anglo-saxon ou celtique.

    Quant à son parcours politique, après avoir gravi les rangs du Parti travailliste, “Albo” était devenu ministre des Transports en 2007 lors de l’arrivée au pouvoir de Kevin Rudd, conservant ce portefeuille sous la Première ministre suivante, Julia Gillard. Il était finalement devenu leader de l’opposition après la déroute des travaillistes aux élections de 2019.

    Quid de son programme en matière d’écologie?

    Dans l’impossibilité de parcourir le pays pendant la pandémie, Anthony Albanese a néanmoins réussi à se faire connaître des électeurs. Pendant sa campagne, il a séché devant des journalistes qui l’avaient piégé en lui demandant quel était le taux de chômage en Australie et le taux directeur de la banque centrale. Mais il a relativisé ce faux pas. “Tout le monde se trompe dans la vie. La question est de savoir si l’on peut en tirer les leçons. Ce gouvernement ne cesse de répéter les mêmes erreurs”, avait-il dit.

    Il a promis de mettre en place un puissant organisme anticorruption, d’augmenter le salaire minimum au gré de l’inflation et de réduire de 43% les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Dans son discours de victoire, il a aussi promis de transformer l’Australie en “super-puissance” des énergies renouvelables.

    Il s’est, jusqu’à présent, abstenu de dire s’il comptait renoncer au charbon ou interdire l’ouverture de nouvelles mines, un secteur dont dépend encore lourdement l’économie du pays.

    À voir également sur le HuffPost : Réchauffement climatique: aux pôles, l’autre catastrophe qui passe inaperçue

    • Th chevron_right

      Can Australia’s Labor party match Joe Biden’s winning message on climate action? | Van Badham

      pubsub.dcentralisedmedia.com / TheGuardian-Australia · Friday, 5 February, 2021 - 19:00 · 1 minute

    Biden dissolved the decades-old wedge between jobs and the environment. It’s an electoral field that is Labor’s to claim

    Democrat Joe Biden had only been the US president for a week when, on one single day, he rained down enough executive orders to completely reframe the global politics of climate action. After eight years of our local Liberal/National government stalling on meaningful climate policy, Australia is embarrassingly unprepared for the new reality.

    Biden already rejoined America to the Paris climate accord on his first day in office. His subsequent action includes protecting a third of America’s land and ocean resources. He’s ditched the contentious Keystone XL pipeline and introduced climate-friendly policies for urban communities and farmers alike. He’s moving the entire US federal road transport fleet to zero-emissions vehicles , there are plans for oil and gas drilling to be prohibited on public land, and for a citizen-led “green corps” to restore damaged lands and waterways. There are mooted tax breaks for wind and solar investment, vast infrastructure spending, carbon pricing and a US$2tr clean energy plan to shift America’s climate grid to run carbon-free within 15 years, building “energy-efficient homes and electric cars and mopping up pollution”.

    Continue reading...
    • Th chevron_right

      Calls grow for national approach to Covid quarantine after Australian Open hotel worker tests positive – politics live

      pubsub.dcentralisedmedia.com / TheGuardian-Australia · Thursday, 4 February, 2021 - 01:01 · 1 minute

    Increased testing at South Australian border as positive case throws tennis tournament preparations into chaos. Follow the latest news, live

    • Australian Open hotel worker positive for Covid
    Victoria Covid hotspots
    WA Covid restrictions explained ; WA hotspot locations
    Labor urges Facebook to act against Craig Kelly’s ‘harmful’ content
    • Follow our global coronavirus live blog

    1.00am GMT

    There is hope the Australian Open schedule will not be affected by the positive case detected in a hotel quarantine support worker yesterday, and that play can get underway as planned on Monday morning, after Victoria’s deputy chief health officer, Professor Allen Cheng, said the risk to players and their support staff of contracting the virus was low.

    Play in build-up tournaments to the Open at Melbourne Park was called off for today with up to 600 people in the sizeable tennis cohort in Melbourne forced into isolation. Testing of those people is well under way this morning and once a negative result is received, they will be allowed out of isolation.

    ✔ Covid test done, now isolate until negative test result @SevenFriday @SEVENFRIDAYaus #melbourne #australia #atptour #ausopen #AO21 #tennis #covid #covid19 #watch #watches #sevenfriday pic.twitter.com/t9DVXktcyj

    1.00am GMT

    A new community case of Covid-19 has been identified in New Zealand: a close contact of two recent cases, who has been self-isolating.

    The new case is the mother of the toddler (known as Person C) who tested positive for Covid-19 after quarantining at the Pullman Hotel in Auckland. Person B, her partner, also tested positive.

    Continue reading...