Dans notre monde hyperconnecté, le smartphone est devenu un compagnon de tous les instants, au point où la question de son rangement peut parfois être négligée.

Voyager est une passion partagée par de nombreux individus à travers le monde, mais le coût des billets d'avion peut souvent être un obstacle majeur, surtout ces derniers temps.

Les objets en plastique font partie intégrante de notre vie quotidienne. Des télécommandes aux poignées de porte, en passant par les jouets pour enfants, les produits tech, de nombreux produits en plastique sont présents dans notre environnement. Cependant, il arrive parfois que ces plastiques deviennent collants au fil du temps, ce qui peut rendre leur utilisation peu agréable. Voici des solutions pour y remédier.

Comment nettoyer un produit en plastique devenu collant ?

Il n'est pas rare de chercher des astuces pour rendre l'entretien de nos piscines et spas moins laborieux et plus économique. Et quand il s'agit de trouver une solution innovante, il semble que le sport et la détente fassent équipe d'une manière surprenante. Aujourd'hui, nous levons le voile sur une astuce qui fait fureur...

Connaissez-vous l’astuce de la balle de tennis pour entretenir votre piscine ?

Google cache une fonctionnalité très pratique sur ses smartphones Pixel. Voici comment l'activer et l'utiliser facilement.

Pixel : comment activer le bouton secret des smartphones Google

Les sachets de "silica gel" (ou gel de silice) sont souvent ajoutés aux emballages de divers produits pour absorber l'humidité et protéger les articles de l'humidité ambiante.

Pourquoi faut-il garder les sachets de “silica gel” présents dans de nombreux emballages ?

<h2 class="sommaire">Sommaire</h2> <ul class="toc"> <li><a href="#toc-lart-et-la-mani%C3%A8re-de-faire-des-marques-de-niveaux">L’art et la manière de faire des marques de niveaux</a></li> <li><a href="#toc-deux-chtites-astuces-techniques-pour-la-route">Deux ch’tites astuces techniques pour la route</a></li> <li><a href="#toc-pourquoi-des-cv-sous-latex-rendent-mieux-que-sous-word-et-pourquoi-en-fait-ce-nest-pas-le-logiciel-qui-est-en-cause">Pourquoi des CV sous Latex rendent mieux que sous Word et pourquoi en fait ce n’est pas le logiciel qui est en cause ?</a></li> <li><a href="#toc-faq">FAQ</a></li> <li><a href="#toc-un-projet-pour-lequel-je-pourrais-avoir-besoin-dun-peu-de-votre-temps-de-cerveau">Un projet pour lequel je pourrais avoir besoin d’un peu de votre temps de cerveau</a></li> </ul> <p>Pour le titre j’ai un peu hésité entre « une histoire de poule et d’œuf » et celui-ci. On perdait un peu effet dramatique avec le premier.</p> <p>L’engrenage c’est la <a href="//linuxfr.org/users/ysabeau/journaux/ces-quelques-modeles-de-cv">petite collection de modèles de curriculum vitae pour Writer</a> qui s’étoffe et donne matière à tutoriel(s). J’ai bien compris qu’avec Latex ça aurait été plus facile et plus intuitif <sup id="fnref1"><a href="#fn1">1</a></sup>, mais j’aime la difficulté donc voilà. Et ça évite d’avoir des questions à se poser sur les paquets (et avec le confinement, on ne sait pas trop comment fonctionnent les services postaux).</p> <h2 id="toc-lart-et-la-manière-de-faire-des-marques-de-niveaux">L’art et la manière de faire des marques de niveaux</h2> <p>Apparemment c’est la mode (oui il y a <em>aussi</em> des modes en matières de présentation de CV). Un curriculum vitae un peu moderne se doit d’avoir, semble-t-il, des éléments visuels pour indiquer des niveaux divers et variés. Forcément, à un moment il fallait que je visse comment faire, et, re-forcément, compte tenu de la nécessité de faire quelque chose qui soit facile à personnaliser, il était hors de question de se réfugier vers la solution « évidente » des images et pas uniquement parce que ça aurait demandé de faire une tripotée d’images en fonction du niveau.</p> <p>Finalement, ce qui a donné lieu à un <a href="https://dutailly.net/des-niveaux-visuels-dans-vos-cv-concus-avec-writer">tutoriel</a> j’ai, pour l’instant, trouvé trois façons de faire ces indicateurs de niveaux :</p> <ul> <li> <strong>la plus simple</strong> : utiliser des caractères « spéciaux », par exemple le carré foncé, Unicode 25a0 ■, avec des styles de caractères appropriés, j’ai exploité ça pour le CV de <a href="https://numericoach.net/CV-colonne-marques-de-niveau">Cléopâtre</a><sup id="fnref2"><a href="#fn2">2</a></sup> et celui de <a href="https://numericoach.net/CV-fleches-jaunes">Frances Allen</a> ;</li> </ul> <p><img src="//img.linuxfr.org/img/68747470733a2f2f64757461696c6c792e6e65742f494d472f706e672f7772697465722d6e6976656175782d6361727265732e706e67/writer-niveaux-carres.png" alt="Symboles de niveaux" title="Source : https://dutailly.net/IMG/png/writer-niveaux-carres.png"></p> <ul> <li> <strong>la plus techniquement accessible</strong> : utiliser un tableau qui va permettre d’ajouter du texte invisible pour les yeux mais pas pour les dispositifs d’assistance (par contre, je ne sais pas trop comment c’est lu), je les ai utilisés pour le CV de <a href="https://numericoach.net/CV-Paves-gris">Jeanne Mance</a> et de <a href="https://numericoach.net/CV-Filets-turquoise">Régine Crespin</a>, tous deux des adaptations de modèles de CV sous Latex ;</li> </ul> <p><img src="//img.linuxfr.org/img/68747470733a2f2f64757461696c6c792e6e65742f494d472f706e672f7772697465725f6e6976656175785f7461626c656175785f7061725f6c69676e652e706e67/writer_niveaux_tableaux_par_ligne.png" alt="Barres de niveau" title="Source : https://dutailly.net/IMG/png/writer_niveaux_tableaux_par_ligne.png"></p> <ul> <li> <strong>la plus astucieuse à concocter</strong> : utiliser un style paramétré avec une image d’arrière-plan (ici une ligne) et des tabulations, positionner la marque de niveau, qui peut un caractère « spécial », par exemple un nombre dans un rond foncé, Unicode e22d et suivants, avec la touche tabulation. On peut, au besoin, compléter avec un style de caractère pour que la ligne ne se voit pas derrière le signe, c’est la méthode utilisée pour le CV de <a href="https://numericoach.net/CV-vert-foret">Huafang Li</a>.</li> </ul> <p><img src="//img.linuxfr.org/img/68747470733a2f2f64757461696c6c792e6e65742f494d472f706e672f7772697465725f6d61727175655f6e69766561755f66696c65742e706e67/writer_marque_niveau_filet.png" alt="Curseur" title="Source : https://dutailly.net/IMG/png/writer_marque_niveau_filet.png"></p> <p>Dans tous les cas, ça n’utilise que les fonctionnalités du logiciel. Et ça peut resservir pour d’autres documents évidemment : par exemple un rapport de présentation de projet.</p> <h2 id="toc-deux-chtites-astuces-techniques-pour-la-route">Deux ch’tites astuces techniques pour la route</h2> <p>Étant donné qu’un modèle de CV c’est un champ d’exploration assez formidable puisque c’est un document court, très structuré et qui doit visuellement être plaisant, voire remarquable, ça ouvre des portes à l’imagination traitement-de-textienne. Et ce d’autant plus que l’idée est que les utilisatrices et utilisateurs finaux puissent facilement alimenter et personnaliser le fichier. Notez que ces astuces fonctionnent pour d’autres documents (manquerait plus ça).</p> <p>Par exemple, dans le modèle <a href="https://numericoach.net/CV-Filets-turquoise">Filets turquoise</a>, basé sur un modèle Latex d’ailleurs, pour avoir des filets derrière le texte des intertitres, j’ai utilisé une image d’arrière-plan et surligné le texte dans la couleur du fond, évidemment c’est paramétré dans le style ad hoc. En fait c’est ça qui m’a donné la solution que je cherchais pour les niveaux à « curseur ».</p> <p><img src="//img.linuxfr.org/img/68747470733a2f2f6e756d657269636f6163682e6e65742f494d472f706e672f7669676e657474655f63765f6372657370696e2e706e673f3339392f38613936646166313331366166643061636430336564643330346133386137343934323766383266/8a96daf1316afd0acd03edd304a38a749427f82f" alt="vignette cv" title="Source : https://numericoach.net/IMG/png/vignette_cv_crespin.png?399/8a96daf1316afd0acd03edd304a38a749427f82f"></p> <p>Toujours pour ce modèle, il y avait une « difficulté » à résoudre : la forme de la photo. Il était, de mon point de vue, hors de question de demander aux personnes qui vont adopter ce modèle de retravailler leur photo. J’ai donc dessiné une forme vide dans Draw (voir ce pas récent, mais tout de même, tousse, <a href="https://dutailly.net/un-medaillon-avec-draw">excellent tutoriel</a> pour savoir comment faire) que j’ai ensuite <strong>copié-collé</strong> dans Writer. J’insiste sur le copier-coller car c’est ça qui permet de garder la forme « vivante » et de pouvoir changer la couleur si on veut changer celle du cadre qui est dessous. La photo est prise en sandwich entre le cadre et le cache, un clic-droit suffit pour remplacer la photo exemple par autre chose. J’avoue que je suis assez satisfaite de cette solution car, non contente, de donner une pleine liberté aux utilisatrices et aux utilisateurs, elle est totalement maîtrisable et rétrocompatible, ce qui n’est pas le cas d’un effet (souvent douteux) préprogrammé.</p> <h2 id="toc-pourquoi-des-cv-sous-latex-rendent-mieux-que-sous-word-et-pourquoi-en-fait-ce-nest-pas-le-logiciel-qui-est-en-cause">Pourquoi des CV sous Latex rendent mieux que sous Word et pourquoi en fait ce n’est pas le logiciel qui est en cause ?</h2> <p>Ce n’est pas très compliqué. Les personnes qui font un CV avec Latex utilisent des modèles, j’en soupçonne un certain nombre, d’ailleurs, de ne pas vraiment connaître Latex et de se reposer entièrement sur le modèle. Comme les modèles sont techniquement propres, ça donne des documents propres. Ça commence à devenir un peu pas terrible quand les mêmes commencent à vouloir un peu bidouiller le modèle (et j’ai vu des horreurs typographiques, passons).</p> <p><strong>Tous</strong> les modèles de CV que j’ai pu télécharger pour Word, soi-disant utilisables sous LibreOffice, dès lors qu’ils ont une mise en page un peu (un peu !) complexe, sont bidouillés à partir de zones de textes et avec une mise en forme sans styles<sup id="fnref3"><a href="#fn3">3</a></sup>. Mais vraiment tous. À partir de là, dès qu’on veut modifier un truc ou, simplement, ben saisir le CV, c’est la catastrophe : les zones de texte se baladent dans tous les sens si on ne maîtrise pas le logiciel, il faut changer ou corriger la mise en forme petit bout par petit bout et, bien sûr, impossible de tout saisir d’une seule traite. Il y a même des modèles de CV faits avec PowerPoint ! Ce qui confirme ce que je pense sur l’ignorance en matière d’utilisation des logiciels de traitement de texte.</p> <p>Et donc, si on conçoit des modèles, c’est valable pour tout, corrects d’un point de vue technique, on a des documents finaux qui tiennent visuellement la route, sont faciles à maintenir et avec lesquels les utilisatrices et utilisateurs finaux pourront travailler sans problème et sans tout bousiller la plupart du temps, comme celles et ceux qui recourent à la facilité d’utiliser un modèle Latex tout fait sans se poser de questions.</p> <h2 id="toc-faq">FAQ</h2> <p>Suivant la procédure habituelle, cette FAQ va s’efforcer de répondre à des questions que vous ne vous posez probablement pas, sans, tout aussi probablement, ne pas répondre à celles qui vous trottent dans le cerveau (désolée<sup id="fnref4"><a href="#fn4">4</a></sup>).</p> <p><em>Pourquoi les modèles sont verbeux</em></p> <p>Normalement un modèle de document doit être dépourvu de tout texte superflu. Ici, je précise comment est fait le modèle et comment l’utiliser. D’expérience, les gens ont rarement le réflexe d’aller voir la documentation associée, là, ils n’ont pas le choix elle est incluse.</p> <p><em>Pourquoi des exemples de CV uniquement féminin ?</em></p> <p>Déjà, dans la série, le <a href="https://numericoach.net/CV-montrianesque">modèle mondrianesque</a> est, évidemment, illustré par la bio de Piet Mondrian. Ensuite, j’ai remarqué qu’un modèle de CV parle plus quand on peut le voir « en action ». Et là il y a quatre possibilités :</p> <ul> <li> <em>mettre du faux texte</em>, sauf que, d’une part j’ai horreur de ça et, d’autre part, ça ne donne pas une réelle idée du résultat final, enfin une mise en forme de CV sera plus adaptée dans certains cas que dans d’autres, le « lorem ipsum » ne permet pas de rendre compte de cela ;</li> <li> <em>faire un faux CV</em> : c’est du travail pas très intéressant (sauf si j’avais le réel projet de construire des personnages pour un bouquin), encore plus si on se cantonne à un seul contenu et, dans ce cas, retour au premier cas de figure ;</li> <li> <em>utiliser mon propre CV</em> : il y a des limites même à mon nombrilisme aussi surprenant que cela puisse paraître, sans parler du retour au premier cas de figure ;</li> <li> <em>prendre des bios de « vrais » gens</em> et en faire le support des exemples de CV. C’est du boulot aussi, mais au moins c’est intéressant, j’ai découvert des personnalités comme <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_Mance">Jeanne Mance</a> qui n’a été reconnue comme fondatrice de Montréal à l’égal du fondateur Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve par la ville qu’en 2012 ou comme la physicienne <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Li_Fanghua">Li Fanghua</a> dont en prime j’ai trouvé le CV authentique (basé sur un modèle latex basique) dont je propose une version mise en forme avec le modèle <a href="https://numericoach.net/CV-vert-foret">vert forêt</a> et je pense que c’est plus efficace. Toutes les informations qui figurent sur ces exemples sont absolument vraies, la seule chose de mon crû, c’est que j’ai dû, en me basant sur la réalité, inventer des « niveaux », j’ai donc, par exemple arbitrairement attribué des niveaux de langues à Cléopâtre qui était polyglotte, j’ai aussi attribué des compétences en langages informatiques et en logiciels à <a href="https://numericoach.net/CV-fleches-jaunes">Frances Allen</a> (qu’elle n’avait peut-être pas pour certaines).</li> </ul> <p>Et pourquoi presque uniquement des femmes ? Pourquoi pas. Hormis pour les musiciennes (Régine Crespin dans les Nuits d’été de Berlioz reste dans mes oreilles comme la version de référence absolue, c’est comme ça), un peu au hasard. En fonction des informations dont on dispose et de la mise en forme sur laquelle je travaille. Pas plus compliqué que ça. Merci Wikipédia :-) </p> <p><em>Pourquoi les coupures de mot ne sont pas configurées dans les styles de paragraphes et que les espacements sont laissés standard ?</em></p> <p>Parce que ces modèles sont susceptibles d’être modifiés, changement de police par exemple, et que cela peut changer la donne de la mise en forme. Donc autant laisser aux utilisatrices et utilisateurs finaux la licence de faire ce qu’ils ou elles veulent pour peaufiner le rendu et l’adapter au contenu.</p> <p><em>Est-ce qu’on peut suggérer des idées de mises en forme ?</em></p> <p>Pourquoi pas, sans aucune garantie que je les utilise. Mais, sait-on jamais.</p> <p><em>Est-ce qu’on peut avoir un modèle sur-mesure ?</em></p> <p>Oui et non. Pas au même tarif on va dire.</p> <p><em>Il y en aura d’autres ?</em></p> <p>Peut-être ou peut-être pas (en vrai j’en ai un dans les cartons qui me pose un défi particulier).</p> <h2 id="toc-un-projet-pour-lequel-je-pourrais-avoir-besoin-dun-peu-de-votre-temps-de-cerveau">Un projet pour lequel je pourrais avoir besoin d’un peu de votre temps de cerveau</h2> <p>Cela fait un paquet d’années que je travaille sur un projet de bouquin sur Writer. Il faut voir les choses en face, je suis partie sur de mauvaises bases qui ne me vont pas du tout en essayant de faire un opus qui part de A pour arriver à Z dans l’ordre.</p> <p>À force de rédiger des tutoriels, je me dis que ce serait mieux et plus efficace de faire quelque chose qui serait un genre de compilation des tutoriels (en mieux) et dont les chapitres seraient plutôt sur le mode « une question, une solution ».</p> <p>Même s’il est possible que mon génie soit grand, on peut envisager qu’il ne l’est peut-être pas tout à fait assez pour envisager toutes les questions que pourraient se poser les gens qui utilisent LibreOffice<sup id="fnref5"><a href="#fn5">5</a></sup>. Ma porte est donc ouverte : n’hésitez pas. Cela pourra faire l’objet d’un tutoriel, voire d’un modèle de document, puis d’un chapitre.</p> <div class="footnotes"> <hr> <ol> <li id="fn1"> <p>ça n’a, évidemment, rien à avoir avec le fait que j’en suis aux pages en chiffres romains du <a href="https://framabook.org/koma-script/">livre sacré</a> et que je n’ai pas encore fini les explications sur l’installation. <a href="#fnref1">↩</a></p> </li> <li id="fn2"> <p>accessoirement, j’ai décroché un entretien d’embauche avec un CV basé sur ce modèle. <a href="#fnref2">↩</a></p> </li> <li id="fn3"> <p>je ne prétends évidemment pas avoir tout vu, et, notamment, je n’ai pas acheté de modèle, mais ce que j’ai récupéré est très tristement édifiant. <a href="#fnref3">↩</a></p> </li> <li id="fn4"> <p>disons que j’essaie d’être désolée, c’est déjà pas mal. <a href="#fnref4">↩</a></p> </li> <li id="fn5"> <p>il n’est pas exclu, en effet, si cela fonctionne, que je fasse la même chose pour Impress et pour Calc. <a href="#fnref5">↩</a></p> </li> </ol> </div> <div><a href="https://linuxfr.org/users/ysabeau/journaux/les-doigts-dans-l-engrenage-fatal.epub">Télécharger ce contenu au format EPUB</a></div> <p> <strong>Commentaires :</strong> <a href="//linuxfr.org/nodes/122137/comments.atom">voir le flux Atom</a> <a href="https://linuxfr.org/users/ysabeau/journaux/les-doigts-dans-l-engrenage-fatal#comments">ouvrir dans le navigateur</a> </p>