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      Mais que sont les ETF, ces investissements boursiers dont tout le monde parle ? [Sponso]

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 5 March - 09:29

    Cet article a été réalisé en collaboration avec Fortuneo

    Pas évident de se lancer en bourse. Et si les ETF étaient la solution pour débuter ?

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    Il s’agit d’un contenu créé par des rédacteurs indépendants au sein de l’entité Humanoid xp. L’équipe éditoriale de Numerama n’a pas participé à sa création. Nous nous engageons auprès de nos lecteurs pour que ces contenus soient intéressants, qualitatifs et correspondent à leurs intérêts.

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      Poitou-Charentes : la très chère voiture électrique de Ségolène Royal

      Mathias Poujol-Rost ✅ · Sunday, 26 November - 12:15

    Au final, les emprunts et les dettes que représentent les avances pèseraient à hauteur de 4,225 millions d'euros sur la région. Les prises de participations directes s'élèveraient à plus de 1,6 million et à 5,3 millions aux titres des avances et garanties accordées.

    (Article du 27 juin 2014).

    Nous sommes le 26 novembre 2023, et j'apprends que la société Fox E-Mobility, repreneuse de #Mia (le nom de la #voiture) est carrément côtée en #bourse ! https://fox-em.com/investors/

    Code ISIN : #DE000A2NB551

    #argentPublic

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      Vinfast réussit mieux son entrée en bourse que ses voitures électriques

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 16 August, 2023 - 10:23

    VinFast VF6

    Dès les premières heures de l'introduction en bourse de Vinfast, la valeur des actions a décollé. Comme d’autres constructeurs de véhicules électriques en devenir, Vinfast semble avoir conquis les spéculateurs. Cette nouvelle bulle va-t-elle tenir face à la réalité du marché ? [Lire la suite]

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      Exchange Traded Fund (ETF) : 30 ans déjà

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 4 February, 2023 - 04:00 · 4 minutes

    Les ETF (Exchange Traded Fund) ou trackers , ces fonds indiciels cotés en bourse qui connaissent un succès retentissant, fêtent cette semaine un anniversaire. Il y a exactement 30 ans le premier ETF était coté aux États-Unis sous le code SPY. Il s’agit du SPDR (prononcez Spider ) S&P500 de State Street (troisième gestionnaire d’ETF au monde). À vrai dire, le SPY était prêt dès 1990. Mais l’étude de la SEC (Securities and Exchange Commission) a pris trois ans pour s’assurer du caractère réglementaire de ce qui apparaissait comme un Ovni de l’investissement.

    Lorsque l’on pense à l’histoire des ETF, un nom revient souvent. C’est celui de John Bogle, le fondateur de Vanguard. Vanguard est aujourd’hui le second gestionnaire d’ETF au monde avec une part de marché d’environ 20 %. C’est Bogle qui, dans les années 1970, a créé le premier fonds indiciel après une expérience malheureuse dans la gestion active. C’est sans doute un des grands inspirateurs des ETF.

    Pourtant, il est injuste de lui en attribuer la paternité. À mon sens, la personne ayant eu le rôle le plus décisif est Nathan Most. Il était à tête de l’équipe de développement de nouveaux produits chez AMEX ( American Stock Exchange ). L’idée a commencé à germer après le krach de 1987. L’objectif initial de Nathan Most était d’apporter de la liquidité et de réduire la volatilité du marché grâce aux ETF. Mais Most avait besoin d’une société de gestion. Lorsqu’il est venu voir John Bogle pour lui proposer de lancer les ETF, ce dernier n’a pas apprécié l’idée. Il ne les voyait pas d’un bon œil. Pour lui, les ETF étaient une façon de dévoyer la gestion indicielle car ils risquaient d’inciter les investisseurs au trading . Finalement Nathan Most s’est tourné vers State Street.

    Le lancement n’a pas été un succès. À ses débuts, les actifs sous gestion se sont montés à 6,5 millions de dollar. Les volumes sont longtemps confidentiels. Il a même été question de le fermer. Il a été la risée de la profession. Le patron de Fidelity de l’époque disait : « je ne peux pas croire que les investisseurs américains se satisferont d’une performance d’un indice qui n’est qu’une moyenne ». C’est aujourd’hui le plus gros fonds mutuel au monde avec 370 milliards de dollars. C’est également le titre le plus échangé au monde.

    Nathan Most ne savait probablement pas qu’il venait de révolutionner le monde de la gestion d’actifs. Les chiffres sont parlants.

    • En termes de « stocks », d’ici 2027, il devrait avoir plus d’actifs en ETF que dans les fonds mutuels.
    • En termes de « flux », en 2022, les fonds mutuels ont décollecté un montant record de mille milliards de dollars pendant que les ETF en collectaient 506 milliards.
    • Aujourd’hui, plus de 70 % des nouveaux fonds sont des ETF.
    • Les sociétés de gestion américaines transposent leur Fonds Mutuel en ETF. Les sociétés de gestion les plus adaptées au stock picking comme Fidelity ou Franklin Templeton lancent leur propre gamme d’ETF.

    Ainsi, les ETF constituent sans doute la plus grande révolution financière de ces 30 dernières années. Par essence, ils coupent le lien entre la stratégie d’investissement et le véhicule d’investissement. Ils déplacent la valeur ajoutée du gérant du fonds au sélectionneur de l’ETF. Étant dix fois moins chers qu’un fonds mutuel, ils permettent une économie très substantielle pour l’investisseur. Ils offrent une solution à ceux qui estiment qu’il suffit de détenir une exposition indicielle en réalisant des apports réguliers pour obtenir des résultats satisfaisants, ou à l’autre extrémité du spectre des investisseurs, à ceux qui achètent et vendent plusieurs fois par jour. Ils donnent accès à des marchés inaccessibles jusqu’alors.

    De là à prévoir la disparition des fonds mutuels au profit des ETF, il n’y qu’un pas qui pourrait être franchi lorsque la réglementation européenne autorisera l’implémentation de la gestion active au sein des ETF. Car en réalité, les ETF ne sont finalement qu’un mode de cotation d’un panier de titres plus efficace que les vieux Fonds mutuel dont nous fêterons les cent ans l’année prochaine. D’ailleurs vous aurez noté, cher lecteur, que le terme « ETF » ne fait aucunement mention de la notion d’indice !

    Avec son système de commissionnement des distributeurs le mode de distribution des OPCVM en Europe est un frein au développement des ETF. Est-il suffisant pour réserver les ETF aux seuls initiés ? Je ne le crois pas. Des solutions permettant aux distributeurs de toucher une juste rémunération existent. La réglementation avance également et mets en risque le schéma actuel des rétrocessions.

    Au final, comme dans toutes révolutions, il y a des gagnants et des perdants. Les perdants seront essentiellement ceux parmi les professionnels qui n’auront pas su s’adapter. Les gagnants seront avant tout les investisseurs.

    Pour en savoir plus :

    Invitation à notre webinaire : « ETF : 30 ans déjà » le 12 févier à 11 h 30 : Inscription préalable nécessaire

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      Au Congrès américain, les va-t-en-guerre baignent dans les conflits d’intérêts

      news.movim.eu / LeVentSeLeve · Saturday, 26 November, 2022 - 12:40 · 7 minutes

    De nombreux politiciens américains détiennent des parts importantes dans les sociétés de défense qui bénéficient de contrats fédéraux, qui augmentent chaque année. La solution à cette intrusion flagrante de l’argent du secteur de la défense dans la sphère politique est simple : interdire toute transaction boursière aux membres du Congrès. Article de notre partenaire Jacobin , traduit par Alexandra Knez et édité par William Bouchardon.

    Alors que le Congrès reprend ses activités après les élections de mi-mandat, les représentants américains s’attèlent désormais à définir le budget, les dépenses et la politique du Département de la Défense des Etats-Unis à travers le National Defence Authorization Act (NDAA) pour l’année fiscale 2023. Après le budget record de 778 milliards de dollars de l’année dernière, la fourchette supérieure du NDAA pour cette année, autorisée par la commission des services armés du Sénat, s’élève à la somme stupéfiante de 858 milliards de dollars .

    Ce chiffre dépasse même la demande initiale du Président Joe Biden, déjà astronomique, de 813 milliards de dollars. Avant de prendre des vacances, le Sénat a proposé des amendements au NDAA ajoutant jusqu’à 100 milliards de dollars au budget initialement proposé. Bien que ces amendements varient par leur sujet, ils sont unifiés quant à leurs plus grands bénéficiaires : les fournisseurs militaires comme Boeing et General Dynamics profiteront grandement des largesses du Sénat en matière d’achat d’armes militaires, s’assurant ainsi un marché encore plus grand pour leurs avions V-22 Osprey, leurs chars Abrams ou leurs véhicules Stryker. Or, comme plusieurs membres du Congrès possèdent des montants importants d’actions dans ces entreprises de défense, ils ont aussi beaucoup à gagner en cas d’augmentation du budget du NDAA.

    L’argent de l’industrie de l’armement s’immisce dans la politique américaine sous de nombreuses formes : contributions aux campagnes électorales, affectation d’allocations lucratives, emploi de coûteux lobbyistes coûteux pour représenter leurs intérêts etc. Cependant, le lien le plus direct entre le pouvoir politique et les gains financiers est sans doute la capacité des membres du Congrès à détenir et à échanger des actions dans les industries sur lesquelles ils légifèrent directement.

    Selon une note publiée par le Congressional Progressive Caucus (sorte de groupe parlementaire de l’aile gauche démocrate, au sens large, ndlr) en avril 2022, 284 membres du Congrès, soit 53 %, détiennent des actions – ce qui signifie que leurs finances personnelles sont directement rattachées au succès ou à l’échec d’industries et de sociétés spécifiques. Des exemples flagrants de délits d’initiés, tels que les opérations boursières des membres du Congrès en 2020 basées sur des informations préliminaires secrètes sur le coronavirus , ont mis en lumière le sujet dans la période récente. Mais le problème n’est pas seulement que les membres du Congrès boursicotent en ayant connaissance d’informations auxquelles ils ont un accès privilégié. C’est aussi qu’ils ont le pouvoir de façonner à leur guise la politique des industries dans lesquelles ils détiennent des parts. Il s’agit de la définition même d’un conflit d’intérêts. Un récent reportage du New York Times a ainsi révélé qu’au moins 97 membres du Congrès, ou leurs conjoints ou personnes à charge, ont acheté ou vendu des actions ou autres actifs financiers dans les industries sur lesquelles ces membres légifèrent dans le cadre de leur travail au Congrès.

    Étant donné les montants colossaux en jeu, les commissions des services armés ne font pas exception. De fait, elles ont été reconnues comme étant celles qui ont enregistré le plus de transactions boursières de toutes les commissions du Congrès . Au sein de la Commission des services armés du Sénat (SASC), plusieurs membres détiennent des parts importantes dans les sociétés de défense dont ils votent l’augmentation des contrats fédéraux chaque année. Le sénateur Tommy Tuberville (Républicain de l’Alabama) possède par exemple 200 000 $ en actions des sociétés de défense Honeywell, Lockheed Martin, General Electric, Raytheon et General Dynamics ; le sénateur Jacky Rosen (Démocrate du Nevada) possède jusqu’à 110 000 $ en actions General Electric ; et le sénateur Gary Peters (Démocrate du Michigan) possède environ 15 000 $ en actions Raytheon . Certains membres du SASC spéculent de manière encore plus réactive, comme le sénateur Jim Inhofe (Républicain de l’Oklahoma), qui a acheté et vendu des actions de technologie militaire pendant que le SASC négociait un contrat technologique de 10 milliards de dollars avec le Pentagone .

    Conscient des dangers de tels conflits d’intérêts, en 2012, Barack Obama a fait voter le Stock Act afin d’empêcher les membres du Congrès de faire des transactions et de détenir des actions grâce à des informations privilégiées. Mais cette loi n’est que très peu respectée : Selon Insider , au moins soixante-quatorze membres du Congrès ont enfreint le STOCK Act ce mois-ci . Les sanctions actuelles sont d’un niveau dérisoire par rapport aux gains : l’amende moyenne est de seulement 200 dollars.

    Alors que ces transactions courantes passent largement inaperçues au yeux de la loi, une nouvelle législation du Congrès va peut-être voir le jour. Depuis le début de l’année, de multiples textes de loi ont été introduits pour mettre en œuvre une interdiction du négoce des actions plus efficace et plus solide. La loi sur l’interdiction des transactions boursières au Congrès (Ban Congressional Stock Trading Act) a été introduite en janvier par le sénateur démocrate Jon Ossoff. En février, la loi bipartisane sur l’interdiction de l’actionnariat au Congrès (Bipartisan Ban on Congressional Stock Ownership Act), moins rigoureuse, a elle été introduite par la sénatrice Elizabeth Warren. Toujours en février, le leader de la majorité au Sénat, le démocrate Chuck Schumer, a formé un groupe de travail pour élaborer une législation commune sur l’interdiction des transactions boursières. La séance consacrée à cette législation a été reportée après les élections de mi-mandat, mais elle sera probablement soumise à un vote prochainement .

    Si le va-et-vient qui dure depuis des mois sur cette impérieuse réforme est certes profondément frustrant, il n’est guère surprenant. Pourquoi les politiciens qui possèdent des actions se mobiliseraient-ils pour un vote sur une question populaire auprès de leurs électeurs mais contraire à leurs intérêts particuliers, surtout au moment où ils font campagne pour les élections de mi-mandat ? Toutefois, malgré la lenteur législative, les transactions boursières du Congrès attirent de plus en plus l’attention du public, ce qui n’était pas le cas au cours des dernières décennies. Néanmoins, les opposants à la présence de l’argent en politique – et en particulier les opposants à la guerre qui craignent que les ingérences de l’industrie de la défense n’entraînent une augmentation des budgets militaires – doivent maintenir une forte pression populaire s’ils entendent contrer l’hésitation du Congrès.

    Si de telles pratiques ne sont pas urgemment interdites au Congrès, et à la commission des services armés du Sénat en particulier, le NDAA ne s’arrêtera pas à 853 milliards de dollars. Une étude récente du Syndicat national des contribuables, la National Taxpayers Union, a prédit ainsi que le budget militaire annuel pourrait dépasser 1 000 milliards de dollars d’ici 2027.

    Certes, les investissements personnels des membres du Congrès dans le complexe militaro-industriel ne sont pas la seule raison qui les pousse à voter pour des solutions militarisées plutôt que pour la diplomatie et la paix, mais elles constituent certainement une incitation personnelle majeure. Il est en tout cas certain qu’ils continueront à voter pour des budgets du Pentagone toujours plus élevés tant qu’ils profiteront directement des dépenses d’armement fédérales.

    Bien qu’une interdiction remaniée du commerce d’actions ne réduise pas à elle seule le budget du Pentagone, elle poussera au minimum les membres du Congrès – en particulier ceux qui siègent dans les commissions chargées de prendre des décisions cruciales – à créer des lois et des budgets sans motivation financière personnelle directe. Bien sûr, les dons de campagne et les réseaux de lobbying de l’industrie de la défense sont une autre affaire, qui nécessitent aussi une législation plus stricte. La présence de l’argent en politique a tant de conséquences néfastes, sur de nombreuses vies humaines, qu’il est grand temps de s’y attaquer.

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      L’action d’Amazon a perdu 1.000 milliards de dollars en Bourse !

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 14 November, 2022 - 08:00

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    Après la pandémie qui a permis de booster le chiffre d'affaires, les grands noms de la technologie traversent une période plus difficile où les cours de Bourse sont chahutés. La valorisation d'Amazon a ainsi perdu la bagatelle de 1.000 milliards de dollars !

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      En bourse, Disney+ ne fait clairement pas le poids face à Netflix

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 26 July, 2022 - 13:00

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    Des analystes estiment que Disney+ ne vaudrait qu'un petit dixième de Netflix en termes de valorisation boursière.

    En bourse, Disney+ ne fait clairement pas le poids face à Netflix

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      Tesla a revendu 75 % de ses bitcoins alors qu’Elon Musk jurait qu’il n’en vendrait pas

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 21 July, 2022 - 09:25

    Alors que le bitcoin connait une rude chute depuis plusieurs mois, Tesla révèle qu'il a vendu les trois quarts de ses actifs à peine 18 mois après avoir investi. Un mauvais signal pour le marché des crypto-monnaies, dont le patron Elon Musk n'arrêtait pas de vanter les mérites. [Lire la suite]

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      Cette annonce d'Élisabeth Borne sur EDF s'est immédiatement vue en bourse

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 6 July, 2022 - 14:38 · 2 minutes

    La bourse a réagi au quart de tour à cette annonce majeure de Borne sur EDF La bourse a réagi au quart de tour à cette annonce majeure de Borne sur EDF

    POLITIQUE - L’idée était dans les tuyaux depuis plusieurs mois, elle est désormais confirmée. L’État a l’intention de renationaliser à 100% le producteur et fournisseur d’électricité EDF , a annoncé ce mercredi 6 juillet la Première ministre Élisabeth Borne dans son discours de politique générale.

    “Je vous confirme aujourd’hui l’intention de l’État de détenir 100% du capital d’EDF. Cette évolution permettra à EDF de renforcer sa capacité à mener dans les meilleurs délais des projets ambitieux et indispensables pour notre avenir énergétique”, a-t-elle déclaré devant les députés réunis à l’Assemblée nationale.

    L’État détient aujourd’hui près de 84% de l’électricien. 1% est détenu par les salariés du groupe et 15% par des actionnaires institutionnels et individuels. Le groupe, déjà fortement endetté , est confronté à de lourdes charges financières, parmi lesquelles le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement. Il est aussi mis au défi par le gouvernement de lancer le nouveau programme de réacteurs nucléaires annoncé par Emmanuel Macron.

    Cette annonce a eu un effet immédiat sur le cours des actions de l’entreprise. En net recul de 5% avant le discours, le titre avait déjà pris 5,56% à 8,28 euros vers 15h45, dans un marché en hausse de 1,86%.

    Concrètement, la reprise à 100% de l’entreprise permet d’apporter un gage financier au groupe. Elle fait également espérer aux détenteurs d’actions de pouvoir les revendre à un prix au moins égal et plus probablement plus élevé en cas de rachat total par l’État.

    En février déjà, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire n’avait pas écarté une nationalisation à 100% de l’entreprise, assurant que “toutes les options sont sur la table” pour la relancer. Cela lui avait valu, de façon assez inattendue, les compliments amusés du candidat du PCF à la présidentielle Fabien Roussel, qui, pendant sa campagne, avait justement défendu une nationalisation de l’entreprise.

    À voir également sur Le HuffPost: EDF nationalisée? Bruno Le Maire n’écarte “aucune option”