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      C à vous: Quand Valérie Pécresse a un message pour Betrand Charmeroy

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 24 June, 2022 - 20:35 · 3 minutes

    Valérie Pécresse avait un message à faire passer à l'humoriste de Valérie Pécresse avait un message à faire passer à l'humoriste de "C à vous" sur France 5, Bertrand Chameroy.

    TÉLÉVISION - Un message inattendu. Afin de clôturer la saison de C à Vous en beauté, l’équipe de l’émission de France 5 a concocté une surprise bien particulière pour l’un de ses chroniqueurs: Bertrand Chameroy . En fin d’émission, ce vendredi 24 juin, Mohamed Bouhafsi a expliqué avoir “une petite surprise” pour son camarade humoriste. Une surprise sous la forme d’un message vidéo, directement adressé à Bertrand Chameroy, qui semblait le premier surpris de cette situation.

    Soudain, le visage de Valérie Pécresse apparaît à l’écran, la cible favorite de Betrand Chameroy dans ces chroniques durant la course à l’Élysée. Dans cette courte vidéo, l’ancienne candidate LR à l’élection présidentielle adresse alors un message sans rancune, même si teinté d’une bonne dose de second degré. “Je voulais profiter de cette vidéo pour vous remercier sincèrement pour votre don à ma campagne”, explique alors la présidente du conseil régional d’Île-de-France, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, à partir de 9min50.

    Par la suite, Valérie Pécresse passe à l’humour et explique qu’en tant que “source d’inspiration inépuisable pour vous ces derniers mois et pour vos blagues à deux balles comme vous dites, il n’était pas anormal que vous me versiez quelques royalties”, lâche alors la femme politique, sans masquer son sourire.

    “Quand vous êtes en vacances, ça m’en fait aussi!”

    Derrière ce drôle de remerciement, la candidate déchue des Républicains opère sa petite vengeance. En effet, dans une interview accordée au Parisien en mai , Bertrand Chameroy avait confié avoir fait un don à Valérie Pécresse, endettée à hauteur de 5 millions d’euros à la suite de son score à l’élection présidentielle 2022.

    “Si Valérie Pécresse s’est endettée à hauteur de 5 millions, je ne crois pas que ce soit à cause de moi. Même si on en a souvent plaisanté avec moi au bureau. D’ailleurs, j’ai tenu mon engagement en envoyant un don. J’ai fait le calcul: à raison de quarante vannes à deux balles pendant la campagne, je suis arrivé à 80 euros. Je n’ai même pas reçu un merci”, avait alors plaisanté Betrand Chameroy au sujet de la campagne calamiteuse de la candidate LR .

    Valérie Pécresse a pu rendre la monnaie de sa pièce à l’humoriste avec ce petit message humoristique. ”Et vous avez vu, je ne vous en veux pas, je ne vous ai pas retourné votre don, ajoute également Valérie Pécresse en référence au don refusé de Nicolas Sarkozy , mais rassurez-vous, vous n’êtes pas pour autant invité à mon anniversaire le 14 juillet”.

    Valérie Pécresse conclut même son message par une “confidence” à l’humoriste. ”Vous m’aviez rêvé en Céline Dion et je vous ai un petit peu déçu, alors je vais vous faire une confidence, l’élection présidentielle, ce n’est pas The Voice , et les Français vont bientôt s’en rendre compte. Alors bonnes vacances, parce que quand vous êtes en vacances, ça m’en fait aussi!”, se permet même de conclure Valérie Pécresse face à un Betrand Chameroy encore hilare face aux images qui viennent de lui être présentées.

    À voir également sur Le HuffPost: Les résultats de Valérie Pécresse sont les pires à la présidentielle pour la droite

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      L'interview de Macron, en route pour Kiev, par Mohamed Bouhafsi ne passe pas

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 24 June, 2022 - 09:53 · 2 minutes

    Mohamed Bouhafsi en interview avec Emmanuel Macron, une interview diffusée le 17 juin sur France 5. Mohamed Bouhafsi en interview avec Emmanuel Macron, une interview diffusée le 17 juin sur France 5.

    POLÉMIQUE - Laurent Guimier est dans le viseur de la rédaction de France Télévisions . Une motion de défiance a été déposée contre le directeur de l’information et doit être soumise au vote, le 30 juin prochain, des journalistes, apprend-on ce jeudi 23 juin dans La Lettre A .

    En cause, “le choix de Mohamed Bouhafsi , chroniqueur dans l’émission C à vous sur France 5 et ancien journaliste sportif sur RMC, pour couvrir le déplacement d’Emmanuel Macron en Ukraine ″, d’après le quotidien numérique qui rappelle aussi “qu’aucun journaliste de la rédaction nationale de France télévisions n’avait été dépêché aux côtés des équipes de C à vous , TF1 et BFMTV”.

    L’interview en question a été organisée dans un train qui les ramenait en Pologne, après 23h, à la mi-juin, et ce, pendant une vingtaine de minutes.

    Cette motion de défiance intervient quelques jours après la diffusion, sur les réseaux sociaux, d’un communiqué du Syndicat national des journalistes dénonçant la situation.

    Un ras-le-bol plus profond

    Pour le SNJ, cet affront pose de nombreuses questions et notamment celle de la proximité entre le pouvoir en place et le patron de Mediawan, la société de production de C à vous . “Qu’en pensent notre présidente et notre numéro 2 directeur des antennes et des programmes? Ont-ils validé sans broncher cette nouvelle attaque en règle contre la rédaction nationale venant directement de l’Élysée?”, s’inquiète le syndicat.

    La méfiance des journalistes de France Télévisions à l’égard de leur direction n’est pas nouvelle. “Il y a un ras-le-bol général contre la direction de l’information qui accumule les erreurs à tous les niveaux. Laurent Guimier ne défend pas du tout la rédaction. Il n’a aucun attachement à cette rédaction, d’ailleurs, on le croise rarement, souffle un journaliste au Figaro , ce jeudi 23 juin. [...] La rédaction n’a plus confiance en lui.”

    Comme le souligne le quotidien conservateur, “le mal est profond”. Et la non-reconduction de plusieurs contrats alors même qu’il avait précédemment annoncé le contraire a jeté de l’huile sur le feu. Ce n’est pas non plus la première fois qu’un directeur de l’information de France Télévisions est visé par une motion de défiance. En 2017, Michel Field avait dû quitter ses fonctions pour cette même raison.

    À voir également sur Le HuffPost : Macron explique pourquoi il est à Kiev

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      Amélie Mauresmo évoque dans "C à vous" la nomination d'Élisabeth Borne

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 17 May, 2022 - 11:10 · 2 minutes

    Amelie Mauresmo durant une conférence de presse le 23 juin 2018 à Paris. Amelie Mauresmo durant une conférence de presse le 23 juin 2018 à Paris.

    PARITÉ - Trente ans après Édith Cresson, Élisabeth Borne vient tout juste d’être nommée à Matignon, devenant la deuxième femme Première ministre . Une annonce qui crée l’événement depuis ce lundi 16 mai.

    “Moi j’attends le jour où on passera au-dessus de tout ça”, a cependant lancé Amélie Mauresmo, la directrice de Roland Garros invitée sur le plateau de C à vous . De la politique au sport, le fait qu’une femme atteigne un poste à responsabilité fait encore beaucoup bruit, et “c’est dommage”, selon elle.

    Celle qui fut joueuse de tennis et entraineuse est bien placée pour le dire. Lorsqu’en 2021, elle a succédé à Guy Forget à la direction du tournoi parisien, personne n’a manqué de lui rappeler qu’elle était la première femme à accéder à ce titre, et que sa nomination représentait un tournant historique pour le monde du tennis. Gilles Moretton, le président de la fédération française de tennis parlait même de “nouvelle ère”.

    Alors, malgré la fierté de briser les plafonds de verre, Amélie Mauresmo dit surtout attendre avec impatience le jour “où on ne parlera plus de genre, mais de compétences et d’aptitudes”.

    “On est à la bourre, mais on avance”

    Sa déclaration fait d’ailleurs écho à celle d’ Édith Cresson à propos de la nomination d’Élisabeth Borne. “C’est un événement parce que la France est ce qu’elle est, que la classe politique est ce qu’elle est, mais dans un autre pays ce n’est pas un événement”, a-t-elle rapporté sur BFM TV ce lundi 16 mai. “Ni Madame Thatcher, ni Madame Merkel , ni au Portugal où une femme a été nommée Première ministre longtemps avant moi, on ne s’est exclamé que c’était quelque chose d’extraordinaire”, a-t-elle renchéri sur la chaine d’info.

    “On est la bourre, mais on avance”, fait tout de même remarquer Amélie Mauresmo à Anne-Élisabeth Lemoine, qui anime C à vous sur France 5. “Peut-être que dans quelques années on se retrouvera et on parlera d’autre chose”, ajoute-t-elle.

    À quelques jours du coup d’envoi de Roland Garros, Amélie Mauresmo rappelle également l’importance du tournoi pour elle. Joueuse professionnelle jusqu’en 2009, elle devient ensuite consultante et entraineuse (notamment de l’écossais Andy Murray). Ce sport, qui lui a “tout apporté”, sera sous le feu des projecteurs pendant une quinzaine à partir du dimanche 22 mai.

    À voir également sur Le HuffPost: Élisabeth Borne dédie son discours ”à toutes les petites filles”

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      Sur "Ç à vous" face à Hollande, l'édito de Patrick Cohen a régalé les partisans de la Nupes

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 10 May, 2022 - 08:48 · 3 minutes

    Dans un édito rappelant les valeurs et ambitions passées du Parti socialiste, dans l'émission Dans un édito rappelant les valeurs et ambitions passées du Parti socialiste, dans l'émission "C à vous", Patrick Cohen a mis a mal les arguments de François Hollande pour discréditer la Nupes, nouvelle union de la gauche en vue des prochaines législatives.

    POLITIQUE - Une démonstration point par point. Lundi 9 mai, sur le plateau de “Ç à vous” sur France 5, François Hollande a passé un quart d’heure difficile face à Patrick Cohen, lequel a repris par le menu les arguments avancés par l’ancien chef de l’État pour se désolidariser de l’accord passé entre les Insoumis et le Parti socialiste , acte de naissance de la Nupes pour les prochaines législatives.

    Un édito dans lequel le journaliste a rappelé les ambitions et les valeurs passées du parti à la rose, et notamment celles se rapprochant du projet que porte l’union de la gauche qui s’est formée autour de la France insoumise. Une chronique très partagée sur les réseaux sociaux par des militants mais aussi des élus LFI, PS et EELV, comme vous pouvez le voir dans les tweets ci-dessous.

    Le “score lilliputien” d’Anne Hidalgo

    Patrick Cohen a commencé son édito en balayant l’idée d’un partenariat qui serait déséquilibré aux dépens du PS, rappelant le poids des socialistes au niveau national, tant aux deux dernières élections présidentielles que lors des législatives de 2017.

    Évoquant le “score lilliputien” d’Anne Hidalgo (1,75%) lors du premier tour de la présidentielle, qui pèse “moins de 6% des votes de gauche”, le journaliste va même jusqu’à expliquer que les socialistes s’en sortent bien, obtenant “12,5% des circonscriptions”.

    Surtout, et c’est là l’argument phare de Patrick Cohen, les socialistes n’avaient pas d’autre choix que de rejoindre l’union de la gauche pour les législatives. “Partir seul à la bataille, et c’était le désastre électoral assuré”, analyse le journaliste.

    Patrick Cohen est aussi allé fouiller le passé rappelant que dès 1997, lorsque la gauche plurielle de Lionel Jospin avait remporté les législatives, l’idée d’une désobéissance aux traités européens était déjà portée par le PS. Et parmi les cadres socialistes et communistes qui avaient négocié l’accord d’alors figurait bien sûr François Hollande.

    Autant d’éléments qui font dire en conclusion à Patrick Cohen que la Nupes “ne rompt pas avec la tradition du PS, du moins avec celui des années 1970 et 80”, mais qu’il “tourne le dos au quinquennat de François Hollande”. Une démonstration implacable qui aura suscité quelques mimiques savoureuses chez François Hollande.

    À voir également sur le HuffPost : Ségolène Royal appelle François Hollande à ne pas “kärchériser” la gauche avant la présidentielle

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      Aymeric Caron dément défendre "un permis de voter" comme le suggère une vidéo de 2017

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 4 May, 2022 - 10:21 · 3 minutes

    Rattrapé par une vidéo de 2017, Aymeric Caron dément défendre Rattrapé par une vidéo de 2017, Aymeric Caron dément défendre "un permis de voter"

    POLITIQUE - “Ce n’est pas ma proposition de candidat à la députation”. Ce mercredi 4 mai, Aymeric Caron , candidat NUPES pour les législatives , s’est expliqué sur le “permis de voter”, après la réapparition sur Twitter d’une vidéo datant d’il y a quelques années. L’extrait a refait surface mardi soir, dans la foulée de l’annonce de la candidature de l’ancien chroniqueur au sein de l’alliance autour de Jean-Luc Mélenchon .

    Sur le plateau de C à vous en 2017 , Aymeric Caron est alors interrogé sur le “permis de voter”. “Le citoyen inculte et irresponsable n’aura plus voix au chapitre”, cite Anne-Élisabeth Lemoine en lisant un extrait du livre Utopia XXI (éd. Flammarion, 2017) d’Aymeric Caron. Avant de questionner “C’est une drôle de démocratie quand même...”.

    “La société décide de qui peut être médecin, qui peut être avocat. Nous avons, nous-mêmes, crée des instances qui avec des sages, avec les plus avisées des personnes de chacun de ces domaines pour ensuite donner des diplômes aux uns et autres. De la même manière c’est la société qui décide qui peut conduire une voiture”, élabore Aymeric Caron sur le plateau.

    Tollé encore 5 ans après

    Comme il y a cinq ans, l’expression “permis de voter” a fait vivement réagir. Sur le plan politique, des personnalités d’extrême droite, comme Gilbert Collard ou Florian Philippot ont vivement tancé la séquence, mais aussi à gauche avec des critiques du sénateur PS Rachid Témal ou de Guillaume Lacroix, président du PRG qui tance: “Donc la nouvelle démocratie c’est… Le vote réservé aux élites. Populaire qu’ils disaient”.

    Invité de Sud Radio ce mercredi 4 mai, Aymeric Caron assure que ce “permis de voter” n’est “pas du tout une mesure [qu’il] porte dans le cadre de l’alliance que j’ai rejointe”.

    “Le permis de voter est une mesure présentée dans mon livre Utopia 21 qui était le préquel du Utopia de Thomas More. (...) J’y faisais un certain nombre de propositions parmi les plus iconoclastes pour proposer des nouveaux modèles de sociétés” explique le candidat aux législatives.

    “Cette proposition de permis de voter n’était jamais que le constat que ce permis existe déjà”, décrypte-t-il. Selon lui, l’âge est en effet le “seul critère” mis en place par la législation pour le vote. Aymeric Caron ne le remet pas en cause. Mais il estime que ce critère “est trop limitatif” et “qu’il faudrait un jour revoir” les modalités d’accès au vote.

    À voir également sur Le HuffPost: Jean-Luc Mélenchon se voyait déjà gagner les législatives en 2017