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      Cette étude veut prédire l’arrivée d’une inondation des heures à l’avance

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 18 October, 2022 - 14:01

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    Les inondations sont très difficiles à prévoir mais un chercheur allemand pense avoir trouvé la solution dans les relevés sismométriques.

    Cette étude veut prédire l’arrivée d’une inondation des heures à l’avance

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      En Australie, les pluies torrentielle menacent des milliers d'habitants

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 3 July, 2022 - 16:38 · 1 minute

    AUSTRALIE - C’est la troisième fois en cette année 2022 que l’ Australie doit faire face à des inondations intenses. Des milliers d’habitants de Sydney ont été appelés dimanche 3 juillet par les autorités à évacuer leurs foyers, devant la menace des inondations à la périphérie de la plus grande métropole d’Australie, en proie à des pluies torrentielles.

    Les routes ont été bloquées et au moins 18 ordres d’évacuation sont en vigueur dans l’ouest de la ville, une zone touchée par de graves inondations en mars.

    “Il s’agit d’une situation d’urgence menaçant des vies”, a alerté Stephanie Cooke, ministre des Services d’urgence de l’État de Nouvelle-Galles du Sud.

    Le barrage de Warragamba a commencé à déborder aux premières heures dimanche matin. À Camden, une banlieue au sud-ouest de Sydney abritant plus de 100.000 personnes, des magasins et une station-essence étaient déjà inondés.

    Avec de nouvelles intempéries attendues dans les jours à venir, la ministre a décrit une “situation qui évolue rapidement” et a prévenu que les gens devaient être “prêts à évacuer”.

    L’Australie est particulièrement éprouvée par le changement climatique, régulièrement frappée par des sécheresses, des feux de forêt dévastateurs, sans compter des inondations répétées et de plus en plus intenses.

    À voir en vidéo sur Le HuffPost: Sauvetage spectaculaire dans un navire coupé en deux par un typhon

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      Sauvetage spectaculaire dans un navire coupé en deux par un typhon

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 3 July, 2022 - 08:44 · 1 minute

    HONG KONG - Vingt-sept personnes sont portées disparues le naufrage d’un navire en mer de Chine . Trois membres d’équipage ont pu être secourus par un hélicoptère, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article .

    Le bateau d’ingénierie se trouvait au sud-ouest de Hong Kong lorsqu’il a été pris dans la tempête Chaba ; il “a subi des dommages importants et s’est brisé en deux morceaux”, a précisé le Hong Kong Government Flying Service.

    Les secours ont été dépêchés sur place après avoir été notifiés vers 07h25 heure locale. Des images fournies par les autorités de Hong Kong montrent une personne en train d’être hélitreuillée tandis que des vagues s’écrasent sur le pont du navire à moitié submergé.

    Selon les trois survivants, d’autres membres de l’équipage ont pu être emportés par les vagues avant l’arrivée du premier hélicoptère, a rapporté un communiqué du gouvernement hongkongais.

    Le typhon Chaba s’est formé au centre de la mer de Chine méridionale et a touché terre samedi après-midi dans la province du Guangdong, dans le sud de la Chine. L’endroit où se trouvait le navire a enregistré des vents de 144 kilomètres par heure et des vagues atteignant 10 mètres de haut, ont indiqué les autorités. Les secouristes vont élargir la zone de recherche “en raison du grand nombre de personnes disparues” et prolonger l’opération dans la nuit si les conditions le permettent.

    À voir également sur Le HuffPost: Sauvetage à haut risque sur un cargo à la dérive aux Pays-Bas

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      Marseille sera touché par un tsunami d'ici 30 ans, c'est quasi sûr selon l'Unesco

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 24 June, 2022 - 12:28 · 4 minutes

    Un équipement d'alerte aux tsunamis. Ce genre de dispositif devrait se développer sur les côtes méditerranéennes françaises. Cinq centres d'alerte sont placés en Grèce, Turquie, Italie, France et Portugal. Un équipement d'alerte aux tsunamis. Ce genre de dispositif devrait se développer sur les côtes méditerranéennes françaises. Cinq centres d'alerte sont placés en Grèce, Turquie, Italie, France et Portugal.

    DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE - Un tsunami pourrait bientôt frapper de grandes villes méditerranéennes , comme Marseille. Il s’agit même d’une quasi-certitude comme l’expliquait le 21 juin dernier lors d’une conférence de presse Vladimir Ryabinine, secrétaire exécutif de la Commission océanographique intergouvernementale de l’Unesco.

    Ce dernier a affirmé que les scientifiques estiment à plus de 95% la probabilité qu’un “tsunami ait lieu au cours des 30 prochaines années en mer Méditerranée”. Dès lors, de nombreuses villes se retrouvent en première ligne pour faire face à la catastrophe à venir , dont Marseille, Cannes, Alexandrie ou encore Istanbul.

    Problème, si les communautés du Pacifique et de l’océan Indien, où se produisent la plupart des tsunamis, sont conscientes des dangers , il reste généralement sous-estimé en Méditerranée. Un travail de prévention et préparation semble alors nécessaire. C’est d’autant plus vrai que le risque de tsunami devrait augmenter avec l’élévation du niveau de la mer.

    Extension du programme “Tsunami Ready” de l’Unesco

    Afin d’aider à la protection face aux Tsunamis, l’Unesco a décidé d’étendre son programme nommé “Tsunami Ready” à toutes les zones à risque dans le monde d’ici à 2030. Plusieurs milliers de sites seront ainsi concernés contre 40 villes situées dans 21 pays actuellement.

    L’objectif est de “s’assurer que 100% des populations côtières à risque soient prêtes à réagir” face à une catastrophe. Concrètement, cela signifie dresser un plan d’identification de la menace, de sensibilisation et de préparation des populations pour y faire face.

    “Les tsunamis de 2004 et 2011 ont été un signal d’alarme”, a déclaré pour The Guardian Bernardo Aliaga, expert en chef des tsunamis à l’Unesco. Balayant de nombreuses côtes de l’Océan Indien le 26 décembre 2004, le tsunami le plus meurtrier de l’histoire, avait tué environ 230.000 personnes dans 14 pays. En 2011, suite à un tremblement de terre au large du Japon, des vagues de près de 40 mètres ont tué environ 18.000 personnes.

    Ces catastrophes ont servi d’apprentissage dans la douleur. Comme l’explique pour The Guardian Bernardo Aliaga, “nous avons parcouru un long chemin depuis 2004. Nous sommes plus en sécurité aujourd’hui. Mais il y a des lacunes dans la préparation et nous devons nous améliorer. Nous devons nous assurer que les avertissements sont compris par les visiteurs et les communautés”.

    Manque actuel de préparation

    Pour se préparer au mieux, il faut tout d’abord pouvoir anticiper les tsunamis. À ce niveau, “des travaux ont été réalisés pour établir 12 centres d’alerte aux tsunamis couvrant la majeure partie de l’océan, y compris la Méditerranée”, relate Bernardo Aliaga. Parmi eux, cinq sont placés en Grèce, Turquie, Italie, France et Portugal.

    Néanmoins, le risque est régulièrement sous-estimé en Méditerranée. La cause? “Les événements ne sont pas très fréquents et le risque ne se traduit pas d’une génération à l’autre”, explique l’expert en chef des tsunamis à l’Unesco. Or, la question n’est plus si, mais quand aurait lieu un tsunami sur les côtes méditerranéennes.

    Car l’avertissement ne fait pas tout, il est aussi essentiel de préparer les populations en cas de catastrophe. Et c’est peut-être là qu’il reste le plus de chemin à faire, car les habitants des villes côtières n’ont jamais vraiment eu à faire face au risque de tsunami. Afin d’y remédier, en novembre dernier, la préfecture marseillaise a réalisé un exercice grandeur nature dans plusieurs communes (à Fos-sur-Mer et Martigues notamment).

    Concrètement, il s’agit de mettre en place des plans d’évacuation, avec des alertes via haut-parleurs ou même par message Whatsapp. L’objectif est d’évacuer rapidement. “S’il s’agit d’un tsunami local, vous avez 20 minutes maximum avant que la première vague ne frappe. La deuxième vague est plus importante et survient 40 minutes après la première”, synthétise Bernardo Aliaga.

    Dangerosité accrue par le dérèglement climatique

    Ces mises en situation sont essentielles, alors que la menace se précise. Depuis la catastrophe de 2004, le centre d’alerte aux tsunamis dans le Pacifique de l’Unesco (hébergé par les États-Unis), en a recensé 125 pour une moyenne de sept par an. Or, avec le dérèglement climatique et l’élévation du niveau des mers, les tsunamis voient leur dangerosité augmenter.

    C’est notamment ce qu’a présenté une étude de 2018 modélisant les tsunamis à Macao, en Chine. Elle a révélé que l’élévation du niveau de la mer permettait aux tsunamis de se déplacer plus loin à l’intérieur des terres. Même son de cloche pour Pascal Roudile, responsable du centre national d’alerte aux tsunamis (Cenalt) interrogé par Le Figaro durant l’exercice marseillais de novembre 2021.

    “Ce ne sont pas que des études . En mars 2021, un tremblement de terre de magnitude 6 dans le nord de l’Algérie a provoqué des vagues (...). Un degré de plus pourrait impacter nos côtes, avec une vague de plus d’un mètre qui (...) emporterait notamment voitures et piétons”. D’où l’importance de prendre conscience de la menace que représente un tsunami.

    À voir également sur Le HuffPost: Face à la canicule, les astuces pour se rafraîchir sans réchauffer la planète

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      L'été ne devrait plus s'appeler la "saison des barbecues" pour ces climatologues

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 21 June, 2022 - 04:30 · 4 minutes

    En été, les canicules, sécheresses, feux de forêt deviendront de plus en plus nombreux dans les années à venir. En été, les canicules, sécheresses, feux de forêt deviendront de plus en plus nombreux dans les années à venir.

    CLIMAT - C’est l’été! La saison débute ce mardi 21 juin et réveille en nous les souvenirs de vacances, relance les envies de barbecues entre amis et de séances de bronzage sur la plage. Que des moments agréables. Pourtant, ce n’est plus vraiment “Vamos a la playa” avec le réchauffement climatique. Dans quelques années, l’été sera plutôt synonyme de vagues de chaleur extrême , de tempêtes, de feux de forêt et de sécheresses. À tel point que des scientifiques lui ont trouvé un nouveau nom symbolique: “la saison du danger”.

    “Si je vous dis la canicule de juin 2019 , ça vous rappelle quoi? Rien du tout. Il faut personnaliser les événements climatiques majeurs, leur donner des noms pour marquer les esprits”, pense le climatologue Serge Zaka interrogé par Le HuffPost. Pour lui, la sémantique est cruciale pour sensibiliser le grand public aux enjeux climatiques.

    Une saison de plus en plus dangereuse

    Nommer l’été “la saison du danger” est de plus en plus approprié tant la saison devient chaude, selon Kristy Dahl, une climatologue à l’Union of Concerned Scientists interrogée par le magazine américain Wired . Elle et ses collègues l’ont imaginé alors que la période de mai à octobre est aujourd’hui marquée par une série de catastrophes aux États-Unis. Les habitants continuent de barboter dans les piscines et d’aller à la plage, mais de plus en plus, ils subissent également des vagues de chaleur.

    La France vient aussi d’être frappée par des températures caniculaires anormalement précoces. “Le 18 juin 2022 a été la 18e journée la plus chaude en France depuis 1959 et le début des relevés météorologiques, indique Serge Zaka. C’est aussi la 3e en termes d’anomalie en France, c’est historique, il n’a jamais fait aussi chaud mi-juin.”

    Avec le changement climatique, ces anomalies de températures vont devenir récurrentes et s’étendre dans l’année . D’ici 2100, l’été durera six mois et l’hiver plus que deux, selon une étude de chercheurs chinois publiée dans Advancing Earth and Space Science en février 2021. “Des personnes âgées sans accès à l’air conditionné vont mourir de la chaleur et de jeunes athlètes vont mourir d’un coup de chaleur alors qu’ils s’entraînent sous des températures caniculaires”, anticipe Kristy Dahl. Le concept de “saison dangereuse” permettrait selon elle de mieux comprendre les menaces de l’été et donc, de s’y préparer.

    “Le fait de voir que la ‘saison du danger’ s’allonge aidera les gens, les entreprises et les gouvernements à reconnaître la nécessité de prendre des mesures dès maintenant (...)”, selon Edward Maibach, directeur du Center for Climate Change Communication de George Mason, dont les paroles ont été rapportées par Wired .

    Une canicule baptisée “Lucifer” en Italie

    Une opinion que partage le climatologue Serge Zaka qui souhaiterait aller encore plus loin en donnant aussi des noms aux vagues de chaleur. Il rappelle d’ailleurs que certains pays nomment déjà leurs canicules. L’Italie a baptisé “Lucifer” la vague de chaleur qui a déferlé sur le pays en août 2021. Le thermomètre était monté jusqu’à 48,8°C en Sicile , un record en Europe.

    D’autres climatologues sont également de cet avis et souhaitent que les vagues de chaleur portent des noms, à l’instar des cyclones et des tempêtes, pour qu’elles s’inscrivent dans l’histoire. Sur Twitter, Serge Zaka a d’ailleurs ouvert un sondage pour trouver le nom de la vague de chaleur que l’on a vécu en France la semaine dernière.

    Un jeu sérieux qui a emballé les scientifiques et les internautes. Le glaciologue Heïdi Sevestre a proposé de lui donner le nom d’une source de pollution, celui d’“une compagnie pétrolière” par exemple. Finalement, c’est “Balrog, serpent de feu”, créature de fiction de l’écrivain Tolkien, qui se classe en tête du sondage derrière Cerbère, Sheitan, Belzébuth... Un problème se pose cependant, si les canicules sont trop nombreuses dans les années à venir, il n’y aura peut-être pas assez de noms démoniaques pour les nommer.

    À voir aussi Le HuffPost : Canicule en Asie: Passé ce seuil on meurt de chaud, voici pourquoi

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      Pour l’ONU, l’humanité est embarquée dans une “spirale d’autodestruction”

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 6 May, 2022 - 15:30

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    Après le rapport accablant du GIEC, c'est au tour de l'ONU d'en remettre une couche en mettant les décideurs face à leurs responsabilités.

    Pour l’ONU, l’humanité est embarquée dans une “spirale d’autodestruction”