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      On va envoyer Idéfix sur une lune de Mars

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 24 June, 2023 - 12:15

    idefix

    Un petit rover conçu par la France et l'Allemagne va partir pour une lune de Mars au milieu de la décennie. Son surnom ? Idéfix, comme le nom du célèbre chien qui accompagne Astérix et Obélix dans leurs aventures. [Lire la suite]

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      Pourquoi les missions spatiales ne voyagent jamais en ligne droite ?

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 7 April, 2023 - 15:05

    De la mission JUICE à Artemis, les missions spatiales voyagent toujours en zigzags et non pas de manière rectiligne. C'est le résultat d'une combinaison de plusieurs facteurs. [Lire la suite]

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      Pour combien resteriez-vous allongé pendant 2 mois ?

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 17 January, 2023 - 10:21

    L'Institut de médecine et de physiologue spatiale organise une nouvelle étude clinique pour simuler les effets de l'impesanteur. Des volontaires sont recherchés pour s'aliter pendant 60 jours. [Lire la suite]

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      Les avions décollent sans mal, alors pourquoi les fusées sont si sensibles à la météo ?

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 9 November, 2022 - 08:26

    Les fusées sont puissantes et imposantes, mais aussi sensibles. Lorsqu'un lanceur comme celui de la mission Artémis I doit décoller, aucun critère n'est laissé au hasard. En particulier, celui de la météo. [Lire la suite]

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      La relativité générale a été validée avec une précision encore plus extrême

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 15 September, 2022 - 08:47

    Albert Einstein

    La mission Microscope consistait à effectuer des expériences en orbite pour évaluer le principe d'équivalence, qui est un socle de la théorie de la relativité générale d'Albert Einstein. De nouveaux résultats valident ce principe à un degré sans précédent. [Lire la suite]

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      On aura bientôt de vraies soucoupes volantes au-dessus de nos têtes

      news.movim.eu / Numerama · Sunday, 10 July, 2022 - 08:02

    Les ingénieurs du DiskSat

    Les satellites de demain ressembleront peut-être à des soucoupes volantes. La Nasa travaille sur des satellites en forme de disque qui seront testés bientôt. Légers, puissants et performants, ils pourraient être cruciaux pour observer la Terre. [Lire la suite]

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      40 ans du premier français dans l'espace: quelle différence avec Thomas Pesquet?

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 24 June, 2022 - 05:00 · 2 minutes

    ESPACE - À jamais le premier. Le 24 juin 1982, le spationaute français Jean-Loup Chrétien décollait de Baïkonour à bord d’une fusée Soyouz pour rejoindre une station spatiale soviétique, aux côtés de deux cosmonautes russes. C’était la première fois qu’un Français s’aventurait dans l’espace, pavant la voie pour plusieurs générations, jusqu’à Thomas Pesquet aujourd’hui.

    Comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo en tête de cet article , l’envol de Jean-Loup Chrétien rappelle à la fois les progrès accomplis en matière de conquête spatiale ...et un certain surplace apparent, comme l’a confié le Français au HuffPost : “Depuis cinquante ans, on reste en orbite basse, et on arrive aujourd’hui au bout d’une longue traversée du désert [...] on a investi dans des stations orbitales, mais ça n’a pas vraiment changé.”

    La station spatiale internationale n’est ainsi que l’arrière-petite-fille de Saliout 7, le petit module orbital sur lequel Jean-Loup Chrétien et son équipe ont, pendant une semaine, réalisé des expériences scientifiques. Certes, elle est loin d’avoir la taille de l’ISS, mais à l’image de Soyouz , qui envoie toujours des cosmonautes à 400 kilomètres au-dessus de la surface de notre Terre, il n’y a pas eu de chamboulement apparent. Est-ce à dire que Thomas Pesquet vit exactement la même expérience que son glorieux aîné?

    Le vrai changement est à l’intérieur

    “Le vécu dans l’espace est le même au niveau des systèmes qui nous permettent de voguer en orbite [...] à l’intérieur, les systèmes sont bien différents. “Communication avec la Terre, guidage de la capsule, équipement des stations...c’est là, souvent loin des regards du grand public, que les choses ont évolué en profondeur. Même chez la doyenne, la plus rustique des capsules, Soyouz justement.

    Au début des années 2010, une nouvelle version de cette dernière a été mise en action: dénommée “digital Soyouz”, elle incluait pour la première fois, entre autres modernisations, un ordinateur central. Cela permet depuis à un seul astronaute, au lieu de deux jusqu’ici, de manœuvrer la capsule en cas de besoin. Ce genre de progrès a permis d’en arriver à SpaceX , et ses plans ambitieux pour l’espace de demain.

    “Je vous donne un exemple”, reprend l’astronaute français, “celui du véhicule d’Elon Musk [Crew Dragon]. L’année dernière, il a envoyé quatre touristes en orbite, qui n’avaient aucune formation, dans un engin contrôlé entièrement du sol.” C’est là le fruit de décennies de progrès vers plus d’automatisation.

    Si ce n’est pas forcément une révolution, c’est pour Jean-Loup Chrétien la suite logique de l’aventure spatiale: “Il faut que l’ascenseur qui nous amène là-haut soit le plus simple possible”, résume-t-il, pour obliger le moins possible les candidats à l’espace à passer du temps à répéter des protocoles complexes. Et s’il n’y a pas eu de grand bouleversement dans les lanceurs eux-mêmes, la technologie embarquée n’a cessé, elle, de progresser dans cette voie depuis 40 ans.

    À voir également sur Le HuffPost: Les trous noirs au centre des théories les plus folles

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      La France vise la Lune en s'alliant à la Nasa

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 8 June, 2022 - 08:49 · 3 minutes

    Image d'illustration Image d'illustration

    ESPACE - L’Hexagone vise la lune. La France a en effet signé mardi 7 juin les “Accords Artémis” . Elle devient ainsi le 20e pays (après notamment le Canada, la Roumanie, l’Ukraine, Israël, les Émirats arabes unis, le Brésil...) à s’associer à cette nouvelle vague d’exploration spatiale.

    Signé par le PDG du CNES (centre national d’étude spatiale) Philippe Baptiste à Washington, en présence de l’administrateur de la NASA Bill Nelson, le texte appuie l’ambition spatiale française. En effet, les accords Artémis s’organisent dans le cadre du programme éponyme lancé par la NASA .

    Ce dernier a pour objectif de renvoyer des astronautes sur la Lune aux alentours de 2025, plus de 50 ans après l’alunissage historique de la mission Apollo 11. Le but est également d’y établir à terme une présence humaine durable, en construisant une station qui sera assemblée en orbite lunaire à partir de 2024? Nommée “Lunar Gateway” elle sera tout simplement le futur tremplin pour des vols habités plus lointains .

    Vers la lune et au-delà

    “À la fois pour notre communauté scientifique et notre industrie, ce nouveau cadre permettra de faire face à de nouveaux défis et de continuer à compter parmi les grandes puissances spatiales” s’est félicité Philippe Baptiste, cité dans un communiqué de l’agence spatiale américaine.

    Aujourd’hui, la #France a rejoint les 19 signataires des accords d’Artémis pour ouvrir la voie à des discussions multilatérales sur la réglementation des futures activités d’exploration. Après 60 ans de coopération exceptionnelle dans le domaine spatial, la France et les États-Unis continuent d’unir leurs forces pour faire face aux grands défis.

    Concrètement, les pays signataires adhèrent à une dizaine de principes s’appliquant à leurs futures activités sur la Lune , mais aussi sur Mars ou des astéroïdes: transparence des missions, interopérabilité des systèmes, assistance au personnel en cas de détresse, partage des données scientifiques , préservation des sites historiques...

    Le texte permet de “cimenter” l’engagement de la France dans l’exploration lunaire, a-t-elle ajouté. À titre d’exemple, le module Esprit de communication et de ravitaillement de la Lunar Gateway doit être conçu en France par Thales Alenia Space.

    La Lunar Gateway est un projet de station en orbite lunaire de la NASA La Lunar Gateway est un projet de station en orbite lunaire de la NASA

    Un droit international de l’espace toujours aussi flou

    Les accords Artémis constituent un ensemble d’ententes bilatérales avec les États-Unis, qui s’appuient eux-mêmes sur le traité international régissant l’espace extra-atmosphérique de 1967. Parmi, ces accords, il y en a néanmoins un qui est le fruit de controverses.

    En effet, une mesure prévoit la possibilité de délimiter des “zones de sécurité” pour éviter des “interférences nuisibles” par un tiers, afin notamment de protéger l’exploitation de ressources, comme l’eau lunaire. Et ce alors que le traité de 1967 interdit toute “appropriation nationale” de ces ressources.

    “D’après notre analyse, les accords Artémis ne sont pas en contradiction avec le traité de 1967”, affirme pour l’AFP Pascale Ultré-Guérard, directrice adjointe des programmes à la direction de la stratégie au CNES. Il n’en reste pas moins que la question de l’exploitation n’est pas réglée, d’autant plus que la Chine et la Russie font cavalier seul pour construire en duo leur propre station lunaire.

    À voir également sur le HuffPost: Vol record sur Mars pour Ingenuity, l’hélicoptère de la Nasa

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      La France rallie les accords d’Artémis pour explorer et exploiter la Lune

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 8 June, 2022 - 08:42

    La France est désormais partie prenante des accords d'Artémis, impulsés par les États-Unis. Ces accords internationaux, déjà signés par plusieurs nations, prévoient dix principes pour explorer la Lune et en exploiter les ressources. [Lire la suite]

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