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      After the no-no vote, Ireland must now build a constitution that really recognises the value of women | Dearbhail McDonald

      news.movim.eu / TheGuardian · Tuesday, 12 March - 07:30

    The offensive ‘women in the home’ provision endures. But we can snatch victory from the jaws of defeat

    For years, Ireland has prided itself on the determination of its voters to extract themselves from a constitutional straitjacket of Catholic social teaching and anachronistic views about women and girls.

    The liberal torch was lit in earnest in 1995, when the people of this former Catholic outpost voted to remove its constitutional ban on divorce , albeit by a hair’s breadth. Ireland found itself on firmer ground in 2015, when the constitutionally recognised institution of marriage, on which the family is based, was extended to same-sex couples . That same year, the country passed, without incident, its Gender Recognition Act , allowing trans people to apply to have their preferred gender legally recognised by the state.

    Dearbhail McDonald is an Irish journalist and author

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      Varadkar criticised over ‘gimmicky’ referendum campaign after crushing defeat

      news.movim.eu / TheGuardian · Sunday, 10 March - 14:18

    Taoiseach bungled attempt to change wording of Irish constitution, politicians and commentators say

    Critics have rounded on the Irish taoiseach after the government’s crushing defeat in a dual referendum, accusing him of overseeing a lacklustre campaign that was rushed out of a “gimmicky” desire to make voting coincide with International Women’s Day.

    Politicians and commentators said on Sunday that Leo Varadkar bore serious responsibility for the bungled attempt to change outdated references to family and women in the Irish constitution.

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      Vote count begins after referendums to modernise Ireland’s constitution

      news.movim.eu / TheGuardian · Saturday, 9 March - 10:43


    Amendments will update references to makeup of a family and women’s ‘life within the home’

    Ireland has begun counting votes after a double referendum on proposals to modernise constitutional references to the makeup of a family and women’s “life within the home”.

    The votes, which took place on International Women’s Day, are the latest attempt to reflect the changing face of Ireland and the waning influence of the once-dominant Catholic church.

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      La cohabitation et ses anecdotes racontées par un historien

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 15 May, 2022 - 05:00 · 3 minutes

    POLITIQUE - C’est l’hypothèse rêvée par Jean-Luc Mélenchon, celle qu’il espère depuis l’entre-deux tours de la présidentielle. Une quatrième cohabitation sera-t-elle possible en juin prochain? Quand on lui pose la question, l’historien Jean Garrigues a du mal à y croire. “Aujourd’hui, les institutions et le calendrier des élections font que les législatives sont le prolongement de la présidentielle,” rappelle-t-il.

    Connue à trois reprises sous la Ve République, mais jamais depuis l’instauration du quinquennat en 2002, la cohabitation s’est révélée un challenge dans l’exercice du pouvoir, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article . Voici trois anecdotes qui illustrent ce défi.

    Mai 1986, un G7 sous haute tension

    Voilà seulement quelques semaines que le président socialiste François Mitterrand et son Premier ministre de droite Jacques Chirac apprennent à cohabiter. Les tensions sont déjà palpables, lorsque se profile un G7 organisé au Japon. Si la politique extérieure entre incontestablement dans les prérogatives de la présidence, Jacques Chirac décide s’y rendre lui aussi.

    Transporté en avion privé, logé dans un hôtel privé et non à l’ambassade comme le président, le Premier ministre n’est pas le bienvenu. Une animosité cristallisée par la conférence de presse donnée à Tokyo par François Mitterrand à la fin du sommet : “Jacques Chirac est alors en contrebas, en dessous de l’estrade, et est obligé de regarder François Mitterrand incarner seul la politique extérieure de la France,” raconte Jean Garrigues.

    Août 1994, l’entretien le plus long

    En 1993, on prend les mêmes et on recommence. Ou presque. Toujours chef de l’Etat, François Mitterrand cohabite maintenant avec un autre Premier ministre du RPR, Edouard Balladur , tandis que Jacques Chirac se concentre sur son poste de maire de Paris. Si cette cohabitation commence sans accroc, les relations se tendent à partir de l’été 1994. C’est particulière visible lors des commémorations du cinquantenaire de la Libération de Paris.

    Comme le veut la tradition, François Mitterrand s’entretient avec le maire de Paris dans son bureau de l’Hôtel de ville. Mais la rencontre est savamment mise en scène. “Cet entretien devait durer quelques minutes, et François Mitterrand a tôt fait de l’éterniser, se souvient l’historien. Les journalistes ont capté la tête d’Edouard Balladur qui n’arrêtaient pas de regarder sa montre, et qui attendait. En réalité, c’est une manière pour François Mitterrand d’indiquer sa préférence pour les élections de 1995.”

    Septembre 2001, la déclaration de guerre

    Avec la dissolution de l’Assemblée nationale en 1997, une majorité socialiste émerge et porte Lionel Jospin à Matignon, sous la présidence de Jacques Chirac. Or, les deux hommes se détestent. “On peut même dire que Lionel Jospin méprisait Jacques Chirac. Il ne supportait pas que certains de ses ministres aient une vision plutôt favorable de Chirac,” se souvient Jean Garrigues.

    C’est le 18 septembre 2001, lorsqu’une immense explosion a lieu sur le site de l’usine chimique AZF à Toulouse , que leur animosité s’étale au grand jour. De retour de New York où il est allé rendre hommage aux victimes des attentats du 11 septembre, Jacques Chirac s’empresse de rejoindre la Ville rose, avant son Premier ministre. “Il a complètement accaparé la communication de l’exécutif sur cette question, reléguant le chef du gouvernement au second plan, ce que n’a pas du tout apprécié Lionel Jospin.”

    Grand mal lui en a pris lorsque quelques mois plus tard, ce dernier s’offre une vengeance, en pleine campagne présidentielle. Décrivant à la presse Jacques Chirac en homme “vieilli et usé”, il s’attire les foudres des Français qui n’apprécient pas de voir leur Premier ministre dénigrer leur président.

    À voir également sur le HuffPost : Jean-Luc Mélenchon se voyait déjà gagner les législatives en 2017