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      Python en toute sérénité avec Calmcode

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 29 March, 2023 - 07:00 · 1 minute

    Si vous voulez vous améliorer en Python, mais que vous manquez de temps et que vous ne voulez pas vous prendre la tête, alors Calmcode.io est la solution pour vous.

    Avec plus de 600 vidéos assez courtes et simples à comprendre dans différents cours, vous pourrez facilement apprendre les bases de Python et découvrir de nouveaux outils open source.

    Notez que le site propose également une newsletter pour être tenu informé des nouveaux contenus mis en ligne.

    Capture d'écran de la page d'accueil de Calmcode avec un fond bleu et le texte 'Calmcode'

    L’objectif de Calmcode est de remédier à l’anxiété liée à vos perceptions de vos compétences en développement en proposant des leçons vidéo courtes et simples à capter qui partent de zéro.

    Par exemple, vous y trouverez une bonne introduction à l’outil Bandit qui permet de renforcer la sécurité de votre code Python.

    Capture d'écran de la page de documentation de Python avec un fond blanc et le logo Python en haut à gauche

    Le contenu est axé sur des outils et des réflexions qui peuvent comme ça, rendre votre vie professionnelle plus agréable. Calmcode s’efforce ainsi de suivre des principes importants tels que fournir un contenu clair et concis, mettre l’accent sur la patience et l’itération plutôt que sur des délais à respecter, et surtout « montrer » comment on fait les choses plutôt que simplement les expliquer.

    C’est vraiment cool et je suis certain que vous en retirerez des choses. Bref, à fouiller !

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      L’innovation dans l’éducation : vers le développement des compétences

      Kaoutar Zaidane · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Sunday, 8 January, 2023 - 04:00 · 4 minutes

    Les nations changent et évoluent à travers l’enseignement, ce dernier est au cœur des civilisations. Selon Le Robert , dictionnaire en ligne, l’enseignement est « l’action, l’art d’enseigner, de transmettre des connaissances ».

    L’enseignement se distingue de l’apprentissage qui est l’activité de l’étudiant lorsqu’il s’accommode des connaissances et l’éducation dont le but est l’acquisition globale des connaissances d’un individu à différents niveaux : intellectuel,  moral, social, culturel et scientifique. Nous pouvons donc dire que l’enseignement est l’une des composantes de l’éducation.

    Actuellement, les revendications des apprenants évoluent et certaines découvertes de la recherche sur l’apprentissage invitent à une nouvelle méthodologie pédagogique appliquée à l’ensemble de l’environnement éducatif. Dans le même sens, le philosophe et publiciste allemand, Richard David Precht demande davantage de souplesse du système traditionnel dans les écoles et les universités.

    En tant qu’enseignants nous avons cette responsabilité du développement de nos nations à travers l’inculquation de valeurs, de messages positifs et surtout de savoirs, ce qui favorise sans aucun doute le niveau de compétence des lauréats et futurs employés ou porteurs de projets. La compétence, cette notion complexe et primordiale dans toute réussite professionnelle, peut être développée. Personne n’est compétent de nature.

    L’enseignement au service du développement des compétences

    La compétence peut très bien être expliquée à travers le savoir, le savoir-faire et le savoir-être de l’individu. Pour les professionnels du recrutement, on ne cherche plus les majors de promotion, ni ceux ayant un nombre important d’années d’expérience, un mix entre les trois constituants de la compétence est le reflet du meilleur profil pour les chasseurs de têtes.

    À cette cause, l’enseignant de nos jours devra changer les méthodes qui se limitent à la simple transmission du savoir par une innovation pédagogique qui servira l’étudiant à être le candidat recherché par les firmes.

    Les courants actuels en éducation, inspirés des pédagogies dites alternatives , telles celle de Célestin Freinet et de Maria Montessori ainsi que des théories de l’apprentissage du constructivisme de Jean Piaget et le socioconstructivisme de Lev Vygotski , tendent de plus en plus à demander aux apprenants des productions concrètes plutôt que de mémoriser un certain contenu.

    Ici, une première méthode vers un meilleur apprentissage, à savoir : « l’enseignement par projet », une manière pour faire vivre une expérience bien déterminée à l’étudiant, une occasion pour développer son savoir à travers un encadrement et un enseignement des bases théoriques, son savoir-faire par le biais de la mise en pratique de ces mêmes instructions théoriques sous forme de projets palpables, et enfin son savoir-être en évaluant ses compétences agiles ( soft skills ) tel que la gestion du temps (les projets sont souvent limités dans le temps, la gestion du stress engendré par l’idée du projet elle-même, le délais…) ou même le travail d’équipe (dans le cadre d’un travail collectif).

    Une expérience de plus de dix années m’a permis de conclure que nos méthodes doivent se concentrer sur l’étudiant, ses préférences, ses capacités et surtout son réel besoin pour mieux lui transmettre la connaissance par différentes méthodes.

    En seconde position, nous proposons aux professeurs pour qui l’intérêt de l’étudiant vient en premier lieu de participer à la professionnalisation de l’enseignement à l’aide de l’animation de séminaires métiers lors de leurs séances de cours en invitant des professionnels exterieurs qui vont partager leurs expériences, parler du profil réel demandé par les entreprises, de permettre à l’étudiant de donner davantage de valeur aux matières de son programme et de renforcer son réseau de connaissances. Une manière pour permettre aux étudiants de travailler leurs lacunes et de développer ainsi leurs compétences.

    En troisième lieu nous voudrions mettre les projecteurs sur l’importance d’une relation de proximité avec les étudiants. Une écoute active et une approche d’échange bilatérale vont renforcer leur taux d’engagement et donc leur capacité à suivre le cours et en tirer profit. Et là j’emprunte les paroles de Jules Michelet pour qui l’enseignement est une amitié.

    Donner des exemples concrets est toujours un plus pour renforcer les apports théoriques dans un cours académique, le favoriser par des visites aux entreprises sera bienveny pour compléter l’idée que peut se faire un étudiant du milieu professionnel, étant donné que nous avons tendance à oublier les paroles et à nous rappeler des preuves. Ces visites constituent donc la quatrième méthode dans notre quête d’une innovation éducative.

    « Tout être humain est un amalgame complexe formé de l’enseignement reçu, des  événements vécus et des prédispositions génétiques particulières à son clan, sa famille, son  pays, leurs traditions et leurs ancêtres » Alice Parizeau – 1930-1990 – Une Femme, 1991

    En conclusion, et comme j’ai l’habitude de dire, l’enseignement n’est pas un simple métier, il s’agit d’une vocation.

    Kaoutar Zaidane est professeure à l’ISGA.

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      chapitre 15 Mon choix extrait 80

      Angélique Andthehord · Tuesday, 22 February, 2022 - 08:14 · 1 minute

    Du point de vue de l'école, si l'on en juge à mon année de cours préparatoire qui venait de s'achever, je ne savais lire que très moyennement parce que je lisais lentement et raccrochais sur tous les mots alors que d'autres filles de ma classe lisaient beaucoup plus vite. Ça dérangeait la maîtresse parce que, quand c'était moi qui lisais, elle trouvait que je faisais perdre son temps à tout le monde. Pour moi, cette lenteur ne constituait pas une gêne, du moment que je détenais les clefs pour enfin découvrir tous les messages qui foisonnaient autour de moi, sur tous les emballages quelconques, les bouteilles sur la table, les autocollants sur les carrosseries des voitures…

    En l'occurrence, ce qui était apparu comme une difficulté aux yeux de la maîtresse fut un atout parce qu'ayant du mal à lire vite et raccrochant sur tous les mots, lorsque j'avais lu, dans mon script, la même phrase deux ou trois fois, il m'était plus aisé, pour me la remettre à l'esprit, de m'appuyer sur ma mémoire que de la relire encore.


    extrait de : … et je le prends


    #école #maîtresse #projet #connaissances #compétences #performances #théâtre #envie #volonté #choix #livre #lecture #capacités

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      chapitre 15 Mon choix extrait 76

      Angélique Andthehord · Thursday, 17 February, 2022 - 08:10

    Le lendemain, après l'école, alors que j'étais tranquillement dans la salle à manger, Maman y entra en brandissant un petit livre à la couverture jaunâtre et me dit :

    « Regarde c'que j'ai trouvé ! C'est le script d'une pièce de théâtre. L'histoire met en scène cinq personnages dont le rôle principal est tenu par un enfant de sept ans.

    - J'ai sept ans !

    - Ça tombe bien ! On peut envisager de la présenter chez Tonton et Tata pour le jour de l'an, si t'arrives à apprendre ton texte.

    - J'veux l'faire.

    *- D'accord, j'te confie le script mais c'est à toi d'te débrouiller toute seule pour l'apprendre. T'auras personne derrière ton dos pour te pousser à l'faire. Si toi, toute seule de ton côté, tu t'arranges pour connaître ton texte, on sera là pour te donner la réplique mais si ça n'avance pas assez vite pour être prêt à temps, tant pis, on laisse tomber. On fait les choses bien ou pas du tout. »


    extrait de : C'est mon temps…


    #projet #compétences #fête #réveillon #préparatifs #joie #théâtre #spectacle #envie #volonté #choix #livre

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      chapitre 15 Mon choix extrait 72

      Angélique Andthehord · Saturday, 12 February, 2022 - 07:28 edit

    Au cours préparatoire, j'appris à lire et à écrire et bien d'autres choses avec une maîtresse gentille mais le fonctionnement de l'école, en trame de fond, était toujours le même, toujours aussi pénible et nocif. Alors quoi, y retourner une année supplémentaire ? Et après, quand est-ce que ça allait s'arrêter ? Allais-je devoir y perdre tout le reste de mon enfance ?

    Alors oui, l'école clame haut et fort qu'elle apporte des connaissances mais ce qu'on y perd est considérable et ça, elle n'en parle jamais ; ça disparaît dans l'inconnu.

    « Eh ben, sers-toi de tes talents maintenant ! Comme ça, même si tu les perds par la suite, ys disparaîtront pas dans l'inconnu. Tu les garderas en souvenir. »

    suggéra ma mère.


    extrait de : C'est mon temps…


    #école #maîtresse #projet #reconnaissance #connaissances #compétences #performances #talent #gain #perte #volonté #capacités #découragement

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      chapitre 15 Mon choix extrait 71

      Angélique Andthehord · Friday, 11 February, 2022 - 07:18 · 1 minute

    À l'école, la maîtresse tenait le discours inverse. L'annexe en préfabriqué dans laquelle nous étions abritait deux classes de grande section et quand la maîtresse discutait avec la maîtresse de l'autre classe, elle me désignait en disant, genre : « Regardez-moi ça ! Voilà c'que ça donne quand les parents tardent à mettre leur enfant à l'école. »

    Je savais compter jusqu'à 10, je savais reconnaître et nommer les lettres de l'alphabet, je savais énumérer dans l'ordre les jours de la semaine, je connaissais ma gauche et ma droite, je connaissais les couleurs de l'arc-en-ciel. Je savais même chanter la gamme en montée et en descente mais la maîtresse écarta cette performance, mon chant lui faisant apparemment le même effet que le salut théâtral par lequel je m'étais présentée à elle le premier jour.

    Non, à l'évidence, ce qui lui déplaisait dans mon entrée tardive à l'école était le fait que je découvrais avec un regard neuf ce vers quoi les autres enfants avaient glissé lentement sans vraiment s'en rendre compte. Un enfant lucide est un enfant qui dérange.


    extrait de : J'ai tout vu !


    #école #maîtresse #connaissances #compétences #performances #talent #capacités #découragement

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      Pourquoi la diversité n’est pas un critère de sélection

      Thomas Viain · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Thursday, 14 January, 2021 - 03:30 · 7 minutes

    diversité

    Par Thomas Viain.

    Le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf a suscité la controverse le 1er janvier dernier, en tweetant sur le manque de diversité du Philarmonique de Vienne, lors du traditionnel concert du Nouvel An.

    La violoniste Zhang-Zhang, du Philharmonique de Monte-Carlo, a immédiatement réagi, affirmant que les musiciens étaient sélectionnés à l’aveugle, sur leurs seules compétences. Et s’il y avait un quiproquo sur la notion de mérite ?

    La méritocratie et le ressentiment des laissés-pour-compte

    Mis à part qu’en réalité, les auditions à l’aveugle n’ont souvent lieu qu’au début du processus de sélection, rarement d’un bout à l’autre, la réponse de Zhang-Zhang est instructive : elle oppose le processus de sélection méritocratique, sans voir qu’Ibrahim Maalouf ne nie nullement l’excellence des musiciens composant le Philharmonique, bien au contraire.

    Essayons d’éclaircir cet échange entre Maalouf et Zhang-Zhang en faisant un bref détour par Michael Sandel et son dernier ouvrage, The Tyranny of Merit . Sandel y désespère que la conception méritocratique se soit imposée comme un dogme et que les débats ne tournent qu’autour de cette seule question : comment réaliser au mieux l’égalité des conditions sur la ligne de départ ?

    Résumons brièvement la critique de Sandel à l’égard de la méritocratie.

    Dans une société méritocratique, chacun veut croire tenir son succès de son talent et de son labeur. Et plus on se croit self-made man , plus on oublie le bien commun, qui a en réalité permis le succès.

    Naissent alors un fort ressentiment et une humiliation chez celui qui n’a pas réussi car dans une méritocratie, celui qui échoue ne peut plus s’en prendre qu’à lui-même. Cette perte d’estime expliquerait la montée des populismes, qui suit le gradient des diplômes bien davantage que des revenus.

    Dans les années 1960-1970, les philosophes américains dominants refusaient la rhétorique de la méritocratie, considérant qu’il était contingent que le marché demande certains talents ou que certains talents soient communs ou rares ; Sandel prend comme exemple LeBron James : il a la chance que son talent soit recherché, mais durant la Renaissance italienne, à Florence, c’eût été celui du peintre.

    Le marché n’évalue pas en réalité la véritable contribution d’un individu à la société. Sandel prend l’exemple du professeur de chimie de Breaking Bad : sa contribution en vendant de la meth pour des millions de dollars est inférieure à celle qu’il avait comme professeur de chimie.

    Il ne faudrait pas oublier la leçon de Hegel : le moteur principal de l’humanité, c’est la lutte pour la reconnaissance. Cela implique d’avoir une idée du bien commun et des contributions respectives à ce bien commun, autres qu’évaluées par le marché. Mais comme on ne sait plus définir un bien commun, on préfère en rester à la neutralité du marché ; le débat a resurgi lors de la crise covid, avec une reconnaissance de l’utilité sociale des travailleurs du quotidien, dont les contributions n’étaient pas reconnues par les mécanismes du marché.

    Sandel n’ignore pas les solutions à droite et à gauche.

    À droite, Hayek reconnaît que le marché n’a rien à voir avec le mérite, mais reflète simplement le choix et les désirs des consommateurs. À gauche, Rawls ne considère pas non plus qu’une société rétribue les mérites. Les mieux dotés en talents auront au contraire une dette à l’égard des moins bien dotés. À l’objection que les mieux dotés auraient pu ne rien faire de leur talent, Rawls répond que la capacité d’effort est également héritée ou encouragée.

    Mais selon Sandel, ces deux paradigmes ne répondent pas à la difficulté majeure du ressentiment des laissés-pour-compte. Même la solution rawlsienne (le chirurgien est mieux payé que le concierge pour des raisons incitatives seulement, qui contribuent ultimement au bien des moins bien lotis) ne répond pas à la perte d’estime de soi que connaît celui qui est en bas de l’échelle des mérites.

    Diversité, sélection et seuil de compétences

    Est-ce à dire que toute sélection est malvenue et que les moins bons pourraient remplir des postes exigeants et techniques ? Sandel ne nie nullement qu’il faille sélectionner des compétences, mais on pourrait éliminer selon lui le biais de l’humiliation et de la perte d’estime de soi par un mécanisme simple : fixer un seuil de compétences, puis tirer au sort.

    Sur les 40 000 étudiants postulants à Harvard, en fixant un simple seuil de compétences, les examinateurs se retrouveraient avec environ 20 000 restants, tous excellents selon Sandel. Au-delà de ce seuil, il est trop difficile de prévoir la carrière académique et la réalité de ce qui est sélectionné : la sélection devient non signifiante. On tirerait alors au sort un sous-groupe. Celui-ci ne pourrait se targuer de ses qualités supérieures et les non tirés au sort ne connaîtraient pas non plus le stigmate du laissé-pour-compte.

    Il propose de faire l’expérience pour prouver la chose en comparant, au moment de leur diplôme de sortie ou durant leur carrière académique, un groupe qui aurait été tiré au sort et un autre sélectionné classiquement. Sandel prend le pari que les différences ne seront pas notables.

    Comment juge-t-on la musique ?

    Appliquons maintenant ces analyses à notre exemple du Philharmonique de Vienne. Ibrahim Maalouf ne semble pas nier l’excellence de l’orchestre, il la vante même sans ambages. Mais ces musiciens en haut de l’échelle des mérites n’ont pas été pris à partir d’un seuil de compétences, mais passés dans un crible qu’il est légitime d’analyser.

    Or, selon Sandel, passé un certain seuil, la sélection devient non signifiante : on ne sait plus vraiment ce qu’on sélectionne. Un musicien issu de la diversité aurait tout aussi bien pu être pris (au-delà d’un seuil de qualifications) et la musique qu’il aurait produite au Philharmonique eût été également sublime. Sandel reconnaîtrait que dans des cas très particuliers et limités (le génie en maths), l’hyper sélection peut encore atteindre une réalité. Mais dès que les compétences deviennent complexes et multiples ou liées à l’émotion musicale dans notre exemple, une foule de paramètres non contrôlés ou contrôlables ont en réalité plus d’importance que le processus de sélection.

    Utiliser Sandel pour interpréter la réaction de Maalouf n’est pas forcément une aberration pour un libéral. La sélection abstraite et académique n’a jamais vraiment été un Graal pour le libéralisme. En l’occurrence, le fait qu’un musicien rencontre une demande de la part d’un public est un critère bien plus sûr de sa plus-value (relative, bien sûr à un goût et un public donnés). Mais il est vrai que même ainsi, la question posée par Sandel sur la perte d’estime du déclassé doit être prise au sérieux par le courant libéral.

    Sélection institutionnelle vs choix du public

    On pourrait ici faire une distinction capitale, que ne fait étrangement jamais Sandel dans son ouvrage : le sentiment de rejet et de déclassement du laissé-pour-compte dans une sélection institutionnelle (université, orchestre) est d’un tout autre ordre que la déception de ne pas retenir les faveurs d’un public (en musique, dans le commerce, etc.) : dans le premier cas, la sélection prétend dire quelque chose des qualités objectives du candidat quand bien même, au-delà d’un seuil de compétence, ce que le processus sélectionnerait serait douteux, alors que dans le deuxième cas, l’impétrant sait ne subir qu’un échec circonstancié (moment particulier, public particulier), qui ne le réduit pas à cette tentative.

    Il pourrait être intéressant pour le courant libéral de travailler dans cette direction, en distinguant la sélection institutionnelle et la sélection par le marché en termes d’estime de soi.

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      Dev Fullstack + React + Symfony + SGBD SQL/NoSQL + Java/C# + Unity + Scrum Master (15 ans d'expérience)

      Luc Damas · comics.movim.eu / Humeurs · Thursday, 30 April, 2020 - 11:15

    Dev Fullstack + React + Symfony + SGBD SQL/NoSQL + Java/C# + Unity + Scrum Master (15 ans d'expérience)