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      chapitre 17 À quoi sert l'école ? extrait 88

      Angélique Andthehord · Thursday, 19 January, 2023 - 12:09

    Se retournant pour voir à qui je parlais, toutes les filles virent Murielle sortir précipitamment son tablier de son cartable sans demander son reste. Alors, elles se dispersèrent comme une volée de moineau, chacune plongeant sur son cartable et…


    extrait de : Obéissez !


    #classe #ennui #obligation #copine #plaisanterie #tablier #persuasion #bêtise #contrariété #explication #alerte #confiance #inquiétude #panique #sagesse #obéissance

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      chapitre 17 À quoi sert l'école ? extrait 86

      Angélique Andthehord · Tuesday, 17 January, 2023 - 13:37

    Carole me regardait en hochant la tête d'un air sceptique. Il est vrai que je ne manquais jamais une occasion de la taquiner, tant elle prenait la mouche facilement.

    Ça n'a rien à voir ! Èe sait même pas faire la part des choses. Qu'elle est bête, celle-là !… Murielle !

    Murielle me connaissait. Encore, le mercredi d'avant, elle m'avait reçue chez elle et nous avions passé l'après-midi ensemble. Où était-elle donc ? Je ne parvenais pas à la repérer à l'intérieur de l'attroupement que j'avais devant moi.


    extrait de : Obéissez !


    #école #classe #ennui #copine #plaisanterie #tablier #persuasion #réprimande #bêtise #contrariété #explication #méfiance #alerte #confiance #inquiétude #panique #sagesse

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      Euthanasie : après le serment d’Hippocrate, le serment d’hypocrite ?

      PABerryer · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 17 January, 2023 - 03:40 · 6 minutes

    Alors qu’un comité discute de l’euthanasie en court-circuitant la représentation nationale, il serait intéressant de se demander quels seraient les impacts d’une telle légalisation. L’étude des pays européens l’ayant fait le permet et j’ai pu en faire l’expérience à l’occasion d’un séjour aux Pays-Bas.

    Lors de mes études, j’ai eu la chance de bénéficier du programme Erasmus. J’ai donc passé une année à l’Université d’Utrecht en 2009/2010. De façon tout à fait ordinaire, il m’a fallu aller chez le coiffeur de temps à autre. Le salon dans lequel je me rendais était tenu par une jeune professionnelle avec laquelle je tâchais de pratiquer mon anglais. Au cours d’un de nos échanges, elle m’apprit que ses parents venaient lui rendre visite quelques jours. Je m’enquis alors de savoir d’où ils venaient et je fus surpris d’apprendre qu’ils résidaient en Allemagne et n’avaient aucune attache particulière avec ce pays. Ce n’est que plus tard que j’ai compris la raison de cette situation.

    Le débat sur l’euthanasie en France revient à échéance plus ou moins régulière, en particulier lors de cas médiatisés pour manipuler l’opinion publique, « l’émotion l’emportant toujours sur la raison » comme l’énonçait le grand propagandiste du Komintern Willi Münzenberg. Mes recherches sur le sujet m’ont conduit sur l’information suivante : depuis la légalisation de l’euthanasie aux Pays-Bas, en 2001, beaucoup de Néerlandais âgés avaient émigré en Allemagne tant et si bien que dans certaines localités frontalières le néerlandais était devenu la langue la plus courante. Pour le dire autrement, les Néerlandais craignant d’être euthanasiés contre leur gré préféraient s’exiler.

    Relation de confiance et euthanasie

    Il faut savoir que les médecins jouent un rôle important dans la procédure d’euthanasie (diagnostic, réalisation/supervision de l’acte). Ce que traduit cet exil est la perte de confiance des anciens dans la médecine et le système mis en place. De fait, en étudiant un peu le sujet, l’on se rend vite compte qu’aucun des pays ayant légalisé l’euthanasie n’a réussi à le faire sans erreurs ou dérives. En matière d’euthanasie, une dérive est un meurtre. Dès lors, il est peu surprenant d’assister à cette érosion dans la confiance envers les médecins.

    Cette perte de confiance a des conséquences dramatiques. La relation de confiance entre un médecin et son patient est un des piliers fondamentaux de la démarche médicale. C’est grâce à cette confiance que je crois aux compétences de mon médecin et à son souci de bien me soigner. Si sa vision de mon bien-être peut éventuellement impliquer mon décès, alors je ne lui ferais pas confiance. Cela aura un impact conséquent sur la capacité des médecins à soigner une population. Déjà qu’après le covid, la confiance dans le corps médical n’est pas brillante, une telle légalisation ne fera qu’empirer les choses.

    Enfin, il faut rappeler qu’avant d’exercer tout médecin prête le serment d’Hippocrate . Ce texte est le fondement de la déontologie médicale détaillant les devoirs et engagements d’un médecin envers ses patients. Il fait partie de ces jalons qui ont simplement rendu la médecine possible. L’euthanasie est en contradiction totale avec ce dernier. Si jamais le processus engagé par Macron va jusqu’à son terme, il faudra avoir le courage de renoncer à ce serment devenu hypocrite. Cela en vaut-il la peine ?

    Serment d’origine (Traduction Littré) :

    « Je jure par Apollon, médecin, par Asclépios, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l’engagement suivants :

    Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon savoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s’ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l’enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.

    Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté.

    Je ne pratiquerai pas l’opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s’en occupent.

    Dans quelque maison que j’entre, j’y entrerai pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.

    Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l’exercice de ma profession, je tairai ce qui n’a jamais besoin d’être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.

    Si je remplis ce serment sans l’enfreindre, qu’il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire ! »

    Serment actuel (2012) :

    « Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.

    Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.

    Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.

    J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.

    Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.

    Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.

    Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.

    Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.

    Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.

    J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.

    Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque. »

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      Les titres négatifs des journaux américains ont augmenté depuis 2000

      Reason · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 26 October, 2022 - 02:30 · 5 minutes

    Par Ronald Bailey.

    Environ 42 % des Américains évitent désormais sciemment les reportages sur l’actualité, selon le rapport 2022 sur l’actualité numérique de l’institut Reuters.

    C’est une augmentation par rapport aux 38 % de 2017. Près de la moitié des Américains qui se détournent des nouvelles disent le faire parce qu’elles ont un effet négatif sur leur humeur. Il se trouve qu’une nouvelle étude publiée dans la revue PLoS One , qui suit les titres de 47 publications populaires aux États-Unis , rapporte qu’ils ont eu une tendance résolument négative au cours des deux dernières décennies. Une coïncidence ?

    Dans leur étude, l’équipe de chercheurs en médias basée en Nouvelle-Zélande a utilisé un modèle de langage entraîné à catégoriser comme positifs ou négatifs les sentiments de 23 millions de titres entre 2000 et 2019. En outre, le modèle a été affiné pour identifier les six émotions de base d’Ekman (colère, dégoût, peur, joie, tristesse, surprise), plus le neutre, afin d’étiqueter automatiquement les titres.

    À l’aide du tableau 2019 des partis pris médiatiques d’Allsides , les publications ont été catégorisées idéologiquement comme étant de gauche, de droite ou du centre. Par exemple, le New Yorker , le New York Times Opinion et Mother Jones ont été classés à gauche ; National Review , Fox News Opinion et le New York Post à droite ; et A.P. , Reuters et le Wall Street Journal au centre. ( Reason est classé à droite).

    La peur et la colère ont très largement augmenté dans les titres de journaux

    Après avoir lâché leur modèle linguistique sur les millions de titres, les chercheurs ont constaté « une augmentation de la négativité des sentiments dans les titres des médias écrits depuis l’an 2000 ».

    Dans l’ensemble, les chercheurs ont constaté que la prévalence des titres évoquant la colère a augmenté de 104 % depuis l’an 2000. La prévalence des titres évoquant la peur a augmenté de 150 %, le dégoût de 29 % et la tristesse de 54 %. La catégorie émotionnelle de la joie a connu des hauts et des bas, augmentant jusqu’en 2010 et diminuant ensuite. Les titres dénotant une émotion neutre ont diminué de 30 % depuis 2000.

    Si l’on décompose ces résultats par idéologie, les titres des médias d’information de droite ont été, en moyenne, toujours plus négatifs que ceux des médias de gauche.

    Pourquoi les titres négatifs sont-ils de plus en plus fréquents ?

    L’aphorisme journalistique « If it bleeds, it leads » résume le fait bien connu que les histoires dramatiques, voire sanglantes, attirent l’attention des consommateurs de nouvelles. En d’autres termes, les journalistes fournissent ce qu’attendent ces consommateurs. Compte tenu de la portée mondiale des médias d’information modernes, il y a toujours une horreur susceptible d’attirer l’attention qui s’est produite quelque part et qui peut être insérée en évidence entre la météo et les sports dans votre journal télévisé local.

    Les journalistes qui répondent aux préjugés négatifs des gens finissent par induire en erreur une grande partie de leur public en lui faisant croire que l’état du monde ne cesse de se dégrader. Pourtant, si l’on regarde les tendances à long terme, c’est le contraire qui se produit. Oui, oui, il y a des guerres en Ukraine, en Éthiopie et au Yémen et, bien sûr, une pandémie mondiale au cours des deux dernières années a tué environ 6,5 millions de personnes jusqu’à présent.

    L’économiste Deidre McCloskey a écrit :

    « Pour des raisons que je n’ai jamais comprises, les gens aiment entendre que le monde devient un enfer, et deviennent hargneux et méprisants lorsqu’un optimiste idiot vient perturber leur plaisir. Pourtant, le pessimisme a toujours été un mauvais guide pour le monde économique moderne. »

    La réalité est plus optimiste

    Faisant partie de ces optimistes idiots, j’ai passé une grande partie de ma vie de journaliste à réfuter les affirmations apocalyptiques et à souligner les énormes progrès réalisés par l’humanité depuis le siècle des Lumières.

    Par exemple, ma co-auteure Marian Tupy et moi-même citons des données non controversées dans Ten Global Trends Every Smart Person Should Know , qui montrent l’augmentation énorme et continue du bien-être humain au cours des 100 dernières années.

    Par exemple, le revenu mondial par habitant est passé (en dollars réels) de 2000 dollars en 1900 à près de 15 000 dollars en 2016. En conséquence, la proportion de la population mondiale vivant dans la pauvreté absolue (1,90 dollar par jour ou moins) est passée de 84 % à moins de 9 %.

    En outre, l’espérance de vie mondiale a plus que doublé, passant d’une moyenne de 30 ans en 1820 à 72 ans aujourd’hui. Et les décès dus aux catastrophes naturelles ont diminué de près de 99 % depuis les années 1920.

    En ce qui concerne les États-Unis, nous documentons, entre autres tendances, le déclin abrupt des attitudes racistes, par exemple, entre 1958 et 2002, le pourcentage de Blancs qui ont déclaré approuver les mariages raciaux est passé de 4 à 90 %. En outre, alors que l’économie américaine a connu une croissance de plus de 250 % depuis 1970, la pollution atmosphérique globale a diminué de 74 %.

    Quoi qu’il en soit, les chercheurs néo-zélandais affirment que leur étude ne permet pas de dire si l’augmentation des titres négatifs dans les médias d’information exprime un état d’esprit plus large de la société ou s’ils reflètent plutôt des sentiments poussés par ceux qui créent le contenu des nouvelles .

    Ils avancent :

    « Des incitations financières visant à maximiser les taux de clics pourraient être à l’origine de l’augmentation de la polarité des sentiments et de la charge émotionnelle des titres au fil du temps. Il est concevable que la tentation de façonner le sentiment et les sous-entendus émotionnels des titres d’actualité pour faire avancer les agendas politiques puisse également jouer un rôle. »

    Les deux semblent probables.

    Bien sûr, ces tendances et ces incitations activent probablement une boucle de rétroaction positive pernicieuse dans laquelle un climat social et politique amer engendre des titres lugubres qui, à leur tour, démoralisent davantage les gens et ainsi de suite. Pas étonnant que de plus en plus d’Américains évitent activement les nouvelles.

    Sur le web

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      chapitre 16 On ne peut vivre qu'une destinée à la fois extrait 60

      Angélique Andthehord · Wednesday, 27 July, 2022 - 19:29

    - Pourquoi tu l'chasses ? insista mon père sur un ton réprobateur.

    - Parce que ! j'en ai marre, moi. Il est tout l'temps méchant. Même, un jour, il a dit que c'est lui qui a fait mourir Pépère et qu'il allait faire mourir toute la famille autour de moi.

    - Qu'est-ce que c'est qu'ces histoires ? C'est des bêtises, ça. C'est juste un petit enfant qui raconte n'importe quoi pour se rendre intéressant, pour que tu fasses attention à lui. Tout c'qu'y veut, c'est qu'tu l'écoutes.


    extrait de : Le Fantôme


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      chapitre 16 On ne peut vivre qu'une destinée à la fois extrait 58

      Angélique Andthehord · Monday, 25 July, 2022 - 19:31

    « Mort, Nicolas ? bredouillai-je. Mais quand ? Qu'est-ce qui s'est passé ? Comment ça s'fait qu't'es au courant ? Tu l'connaissais ?

    - Non, moi, j'en sais rien mais si tu dis qu'c'est un fantôme, c'est que tu le perçois comme étant mort, continua mon père sur le même petit ton délicat.

    - Mais non ! m'exclamai-je, c'est une blague. J'le surnomme le Fantôme parce qu'il aime pas que j'l'appelle comme ça mais il est pas mort, j'crois pas. J'ai pas l'impression d'le voir dans la mort. Il a l'air en pleine forme, en tout cas. Même, quand il a ses p'tits nerfs, y rouspète : "Chuis pas un fantôme ! J'existe et je m'appelle Nicolas !" »


    extrait de : Le Fantôme


    #copain #personnage #enfant #problème #père #confiance #émotion #imagination #conflit #Amoureux #fantôme #surnom #embêtement #rouspétances #chamailleries #ennui

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      chapitre 16 On ne peut vivre qu'une destinée à la fois extrait 49

      Angélique Andthehord · Thursday, 14 July, 2022 - 17:58

    Quoi de plus universel ? Finalement, la première chose qui nous est offerte, quand on entre dans le monde des rêves, c'est de faire l'expérience de l'essence divine. Je suis Dieu, maître de la création.

    La création, au départ, elle se résume à que dalle. On invente les rêves qu'on veut ; ou qu'on ne veut pas, si les émotions l'emportent. De toute façon, une fois qu'on est pris au jeu à l'intérieur du rêve, les émotions finissent toujours par l'emporter. Alors, on efface tout et il ne reste plus rien.


    extrait de : Les lumières du temple


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      chapitre 16 On ne peut vivre qu'une destinée à la fois extrait 47

      Angélique Andthehord · Tuesday, 12 July, 2022 - 18:11

    Mon père m'annonça qu'il était temps de mettre toutes les cartes en ordre, pas celles du jeu de belote mais celles de mon monde imaginaire. Mes personnages, que racontent-ils ?

    Pour le savoir, il faut commencer par remonter à la source. Elle est au chapitre XII, c'est le rêve que j'avais fait, une nuit, à propos de Dieu et Lucifer


    extrait de : Les lumières du temple


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      chapitre 16 On ne peut vivre qu'une destinée à la fois extrait 46

      Angélique Andthehord · Monday, 11 July, 2022 - 18:10

    J'obéis. Je marchai sur les dalles du temple en direction de la sortie ; mes pieds foulaient le plancher de la salle à manger, j'étais en parfait équilibre, marchant vers la chambre de mes parents pour aller parler de tout ça avec mon père.

    Entrant dans la chambre parentale, je trouvai mon père assis à la tête du lit, en train de lire paisiblement. Quand il me vit arriver, il posa son livre et me fit asseoir à côté de lui.

    Bien évidemment, nous parlâmes de visions, d'imaginaire et de ce qui venait de m'arriver.


    extrait de : Les lumières du temple


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