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      UN names veteran EU official Astrid Schomaker as new biodiversity chief

      news.movim.eu / TheGuardian · Wednesday, 3 April - 16:53

    German’s appointment to head Convention on Biological Diversity follows global failure to meet any targets on protecting ecosystems

    The next UN biodiversity chief will be Astrid Schomaker, an EU civil servant who will be entrusted with helping the world confront the ongoing catastrophic loss of nature.

    Schomaker has been a career official with the EU commission for 30 years. A surprise appointment, she will be tasked with corralling governments to make good on their commitments to protect life on Earth – something they have not done in more than 30 years since the UN biodiversity convention was created.

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      NatureMetrics launches biodiversity platform based on environmental DNA

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 28 December, 2022 - 14:06

    Image of a field filled with different species of flower.

    Enlarge (credit: The Burtons )

    The business sector has had a fraught relationship with conservation. While many companies are now pushing to make their products and operations less damaging to the environment, the private sector, broadly speaking, has made life harder for the world’s complex ecosystems and the organisms in them.

    For those companies looking to understand their environmental impacts better, NatureMetrics, a UK-based company, recently launched a service that can potentially inform conservation efforts in the private sector. The company is in the early stages of launching a subscription service that lets corporations regularly check their sites for biodiversity and keep an eye on any changes—good or bad—their activities have.

    “You need to be doing monitoring over time in a structured way with enough samples to give you statistical significance,” Katie Critchlow, NatureMetrics’ CEO, told Ars.

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      Now that COP15’s over, the work needs to start

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 20 December, 2022 - 21:26

    Image of a field filled with different species of flower.

    Enlarge (credit: The Burtons )

    It was a wild year for the UN Biodiversity Conference, this year known as COP15. The international event brought delegates from more than 190 countries to Montreal to discuss the steps the world needs to take to safeguard its species and ecosystems.

    The conference was pushed back for two years due to the pandemic and had originally been slated to take place in Kunming, China. It was eventually moved to Montreal, which hosts the UN’s Convention on Biological Diversity (CBD) office. The conference saw protests from a group of local anti-capitalists , a walkout from countries concerned over funding, and many hours where countries around the globe debated the finer points of how best to preserve biodiversity.

    Ultimately, the parties agreed to adopt the Kunming-Montreal Global Biodiversity Framework (GBF). “The fact that they actually arrived at the agreement is in and of itself really momentous. A couple of weeks ago, that was looking tenuous,” Will Gartshore, senior director for policy and government affairs at WWF-US, told Ars.

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      The deep sea is an unexpected, but at-risk, trove of biodiversity

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 20 December, 2022 - 18:45

    Image of a deep-sea jellyfish against a black backdrop.

    Enlarge (credit: Cultura RF/Alexander Semenov )

    In the past, scientists thought of the deep ocean as a cold, dead place. While the region—generally considered to be everything between 200 and 11,000 meters in depth—is undoubtedly cold, it actually holds unexpected biodiversity.

    “Back in the 1970s, there was this myth of the deep sea as this empty desert wasteland with nothing alive. For many years, we’ve known this is absolutely false,” Julia Sigwart, a researcher at the Senckenberg Research Institute in Germany, told Ars.

    However, the abyss and the life within it remain poorly understood, despite making up around three-quarters of the area covered by the ocean. At this year’s United Nations Biodiversity Conference (COP15), Sigwart and her international colleagues presented a policy brief that urges more support for research into the biodiversity of the deep ocean, particularly as the region begins to be threatened by human activities.

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      L’ONU, arme d’extinction massive de l’humanité

      h16 · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 9 December, 2022 - 12:00 · 5 minutes

    Mercredi dernier avait lieu l’ouverture de la « COP15 sur la biodiversité ». Oui, vous avez bien lu : il s’agit encore (!) d’un gros pince-fesses international médiatisé où le petit four écoconscient produit en biodynamie se déguste après un voyage en jet privé pour discuter d’un problème créé de toutes pièces et y apporter des solutions forcément géniales. Les élites s’ennuient, il faut bien les occuper, que voulez-vous.

    Rassurez-vous : s’il y a un problème (forcément gros, forcément mondial) qui pèse sur la biodiversité, au moins les choses sont claires dès le début et tout le monde sait d’emblée que le plus grand des dangers, le monstre le plus baveux, le plus dentu, le plus crochu et le plus vorace, c’est sans nul doute l’humanité tout entière.

    D’ailleurs, pour Antonio Guterres, l’actuel dodu en charge de l’ONU, pas de doute : l’ humanité est devenue une « arme d’extinction massive » .

    Pensez donc : comme l’indique très bien l’AFP dans sa petite notule poussivement écrite avec les sourcils froncés et un petit bout de langue au coin des lèvres, il est sûr et certain que « Les produits chimiques, les plastiques et la pollution atmosphérique étouffent la terre, l’eau et l’air » , tandis que « le réchauffement de la planète dû à la combustion des énergies fossiles provoque un chaos climatique – des vagues de chaleur et feux de forêt aux sécheresses et aux inondations » comme en atteste d’ailleurs le graphique suivant de Our World In Data :

    On voit nettement que la tendance est à l’augment ahem bon bref enfin vous comprenez : non seulement nous allons tous mourir mais ce sera de notre faute (et seulement de notre faute), notamment parce que nous sommes coupables à la fois d’exister (ce qui est un crime abominable en soi) mais aussi et surtout parce que nous avons commis moult écocides, notion apparue commodément il y a près de 10 ans et qui revient avec régularité pour ne pas laisser retomber la pression moralisante .

    Ah, l’écocide ! C’est une notion d’autant plus pratique qu’elle est fort mal définie et que n’importe quelle dérive ou exploitation de n’importe quoi peut entrer dans son champ d’application, rendant coupable potentiellement n’importe qui.

    Et à force d’écocide méchant, à force de pollution très méchante et à force de surpopulation très très méchante, il devient maintenant inévitable que tout l’écosystème s’effondre (pouf, d’un coup). Si ce n’est pas demain, ce sera après-demain, dans l’horreur totale (forcément). C’est certain. Promis juré craché : il faut agir maintenant, c’est notre dernière chance pour sauver la biodiversité qui a surmonté l’ère glaciaire, les météorites, les méga-explosions volcaniques mais ne surmontera jamais le plastique produit par les humains. C’est tellement vrai que cela fait même 50 ans qu’on nous répète que les prochains mois sont notre dernière chance.

    Et moyennant une surdose de gloubiboulga environnemental bien-pensant dont le résultat – terroriser les jeunes générations et les citoyens impressionnables, allécher les politiciens peu scrupuleux – est déjà garanti, on va proposer des solutions de plus en plus drastiques qui toutes, très concrètement et à la fin, reviennent à grignoter sans pause et sans merci chacune de nos libertés fondamentales pour ne plus nous laisser que celle de vivre et de travailler pour une élite qui – coïncidence heureuse ! – sera commodément à l’abri des restrictions mises en place.

    Pour le moment, outre l’élaboration quasi-religieuse de 10 commandements flous et niaiseux , on commence avec des petites choses « simples » (sur le papier), des restrictions, des interdictions pas trop contraignantes qui passeront sans encombre, comme par exemple la sanctuarisation d’une portion toujours plus grande de terres et de mers du globe et de certaines zones devenant ainsi inaccessibles au commun des mortels :

    Parmi la vingtaine d’objectifs en discussions, l’ambition phare, surnommée 30 × 30, vise à placer au moins 30 % des terres et des mers du globe sous une protection juridique minimale d’ici 2030. Contre respectivement 17 % et 10 % dans l’accord précédent de 2010.

    Ces zones inaccessibles le seront aussi de facto lorsqu’on aura largement réduit la capacité de la piétaille humaine à se déplacer tout court, puisqu’on trouve aussi dans les cartons des projets de limiter largement les libertés de mouvements d’un maximum de gueux (rappelez-vous le « 4 vols par vie», c’est tout dont il a déjà été fait mention et qui ne manquera pas de trouver un relai frémissant dans la bouche de politiciens militants), jusqu’à l’assignation à résidence pure et simple : la tentative actuellement en cours de mise en place à Canterbury n’est pas une erreur mais bien un galop d’essai de ces restrictions tous azimuts destinées à incarcérer la turbulente population occidentale.

    Cette multiplication de COP et autres sauteries médiatiques ne doit rien au hasard : l’agenda des globalistes repose en effet sur une adhésion aussi large que possible d’un maximum d’individus à ces thèmes qui visent tous très concrètement à ne laisser aucune marge de manœuvre à l’individu et à laisser absolument tout le pouvoir aux institutions puis, par voie de conséquence, à ceux qui sont et seront à leur tête. Le jeu est vieux comme l’humanité puisqu’il s’agit de devenir roi à la place du roi, bien sûr.

    Cependant, cette fois-ci, ce jeu dispose d’un petit twist supplémentaire puisqu’il sera aussi question, par idéologie pure, de réduire autant que possible la base des assujettis (oui, c’est de vous qu’il s’agit).

    Pour le moment, ces gens sont ridicules : avec leur religion en carton, leurs commandements aussi flous que niais et leurs termes attrape-tout et culpabilisateurs, ils ne convainquent que les convaincus et ceux dont la vision de la nature et de l’environnement est totalement décalée avec la réalité.

    Cependant, l’étape suivante sera l’application des interdictions, des vexations et des obligations diverses qui toucheront tous les gueux, transformant rapidement l’humanité en prison à ciel ouvert peuplée de miséreux obéissants.

    Sur le web

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      Disparition des espèces : le gros mensonge des médias

      Olivier Maurice · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 9 December, 2022 - 04:00 · 3 minutes

    Tout le monde a dû entendre cette nouvelle catastrophique diffusée partout ce dernier mercredi 7 décembre 2022 : l’extinction de la biodiversité est 100 fois plus rapide que celle des dinosaures . En cinquante ans, les populations de vertébrés ont chuté de 69 % en moyenne en moins de 50 ans .

    Hé bien, c’est un faux, une fake news , un mensonge éhonté.

    Cette affirmation relayée par tous les médias du pays vient en fait d’une manipulation grossière que l’on pourrait au mieux qualifier de cherry picking , c’est-à-dire de choix ciblé d’informations particulières et absolument pas représentatives dans l’unique but de présenter un argument d’autorité.

    Ce chiffre de 69 % en 50 ans provient du dernier rapport du WWF intitulé Rapport Planète Vivante 2022, comme mentionné par de nombreux articles et d’ailleurs revendiqué par la COP elle-même.

    Vous trouverez la version française de ce document ici ou sur le site de l’ONG .

    Page 34, dans l’encadré en pas à gauche, est expliqué d’où vient ce chiffre :

    « L’évolution moyenne de l’abondance relative de 31 821 populations représentant 5230 espèces suivies dans le monde a diminué de 69 %. La ligne blanche indique les valeurs de l’indice et les zones colorées l’intervalle de confiance entourant la tendance (95 % d’intervalle de confiance, écart de 63 % à 75 %). Source : WWF/ZSL (2022) 184 »

    L’énoncé est déjà un peu plus explicite : il ne s’agit aucunement des populations de vertébrés dans le monde ou du nombre d’espèces comme on aurait aussi pu le comprendre mais d’une diminution sur… suivez bien… l’abondance relative de populations choisies parmi des espèces elles aussi choisies.

    Il nous faut donc aller plus loin et examiner la source en référence pour comprendre ce que cela signifie. L’appendice nous renvoie vers elle : index 184 : WWF/ZSL. (2022). The Living Planet Index database. www.livingplanetindex.org.

    L’indice LPI (Living Planet Index) de 69 % y est expliqué en détails , ainsi qu’une série de « mauvaises compréhensions », qui composent quasiment ironiquement à peu près tout ce que l’on a pu entendre se dire un peu partout dans les différents médias.

    On peut y lire ainsi que : « L’indice LPI ne montre pas le nombre d’espèces disparues ou éteintes mais le chiffre moyen de variation de population ».

    Prenons un exemple pour expliquer ceci.

    Imaginons que l’indice repose sur deux espèces.

    La première est totalement endémique et a une population, disons de quelques dizaines de malheureux spécimens qui se retrouve quasiment anéantie en 50 ans. C’est le cas par exemple de certains poissons qui vivent dans des lacs isolés les uns des autres et qui ont ainsi développé au fil du temps une espèce endémique à chaque lac. L’indice pour cette espèce est de 100 : 100 % de la population a disparu.

    La seconde espèce est une espèce très repandue et très nombreuse et qui a déjà quasiment colonisé tout son habitat mais qui peut encore croître de quelques pourcents, disons 2 %. C’est le cas par exemple des oiseaux ou des insectes qu’il est extrêmement difficile de quantifier. L’indice pour cette espèce est ici de -2.

    Au résultat, on obtiendrait un LPI de 49 % (la moyenne entre les deux indices : 100 – 2, le tout divisé par deux), qui comme on vient de le voir ne signifierait absolument pas une chute de 49 % de la population animale en 50 ans, mais… absolument rien du tout.

    En fait, le document explique également que seule la moitié des espèces (et il faut rappeler que ces espèces sont choisies) décline, l’autre moitié augmente !

    Il est même écrit noir sur blanc :

    « L’indice LPI ne représente pas nécessairement la tendance des autres populations ou de la diversité dans son ensemble »

    Et même que :

    « Les espèces composant l’indice LPI ne sont pas choisies parce qu’elles sont en danger mais parce que l’on possède sur ces populations des données portant sur l’évolution de la population ».

    Ces deux points signifiant clairement qu’il est totalement faux et mensonger, voire totalement malhonnête, d’utiliser l’indice LPI comme argument d’autorité scientifique et que ce chiffre de 69 % ne signifie absolument rien, sauf qu’une ONG dépense une fortune gigantesque pour enfumer la Terre entière (le WWF emploie plus de 5000 personnes réparties dans 100 pays différents) en utilisant intensivement le principe qu’il faudrait dix fois plus d’énergie pour combattre une rumeur que pour la créer.