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      "Salam", le documentaire de Diam's, a fait un carton au cinéma

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 5 July, 2022 - 10:23 · 2 minutes

    DIAM’S - Diam’s attire toujours les foules. Son documentaire autobiographique Salam , co-réalisé avec Anne Cissé et Houda Benyamina, est sorti exceptionnellement au cinéma ce vendredi 1er et ce samedi 2 juillet, près d’un mois après sa projection à Cannes . Le film, dont vous pouvez visionner la bande-annonce en tête d’article , sera mis en ligne cet automne sur la plateforme BrutX.

    Une sortie éclair dans 186 salles françaises qui a au total réuni 90.096 spectateurs, dont 50.000 sur la journée de vendredi, soit plus que Top Gun: Maverick (40.000 entrées mais à l’affiche depuis un mois).

    “Un public jeune, assez féminin, très divers”, a confié au Parisien Guillaume Lacroix, cofondateur de Brut et producteur du documentaire.

    Salam a été une bonne rampe de lancement pour la Fête du Cinéma [manifestation qui débutait le lendemain et lors de laquelle toutes les séances sont à 4 euros, ndlr], a de son côté expliqué Philippe Godeau, qui a chapeauté la distribution du film en salles, dans les colonnes du quotidien.

    A titre de comparaison, Coupez de Michel Hazanavicius, avec Romain Duris et Frère et sœur d’Arnaud Desplechin, avec Marion Cotillard, deux films français présentés au Festival de Cannes, ont attiré respectivement 100.000 et 73.000 spectateurs en 7 jours, lors de leur première semaine en salles.

    Salam ne devait pas sortir au cinéma

    D’après lui, “le film a aussi permis de faire venir des gens qui avaient perdu l’habitude d’aller au cinéma. Ces spectateurs ont pu partager des émotions dans des salles remplies de 200 personnes en moyenne, alors qu’en ce moment, les films français affichent des moyennes de 7 à 10 spectateurs par séance en moyenne…”

    Comme le rapporte Le Parisien , il n’était au départ pas prévu que Salam soit proposé dans les salles obscures. C’est Philippe Godeau qui a convaincu Guillaume Lacroix de lui accorder une sortie exceptionnelle. Cependant, certains groupes, comme MK2 ou UGC, ont refusé le documentaire, car produit par une plateforme VOD.

    Nul doute que le succès du documentaire devrait continuer à prospérer compte tenu de la popularité de Diam’s. Sa récente interview accordée Augustin Trapenard sur Brut a d’ailleurs été visionnée près de 20 millions de fois.

    À voir également sur Le HuffPost: Ce docu sur Fort Boyard montre l’incroyable construction d’un fort... inutile

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      Diam's: Dans "Salam", vous n'entendrez aucun des sons de la rappeuse

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 1 July, 2022 - 05:10 · 4 minutes

    DIAM’S - Une décennie après la fin de sa carrière musicale et son retrait de la vie médiatique, Diam’s revient sur le devant de la scène. Pas de nouvel album au programme, mais un documentaire autobiographique ( dont vous pouvez visionner la bande-annonce en tête d’article ) qu’elle a co-réalisé avec Anne Cissé ( Lupin ) et Houda Benyamina ( Divines ). Intitulé Salam , le film, projeté en avant-première le 26 mai au Festival de Cannes , sort exceptionnellement au cinéma ces vendredi 1er et samedi 2 juillet.

    Une sortie événement à plus d’un titre, puisque l’ex-rappeuse star, Mélanie Georgiades à l’état civil, y livre, après des années de silence, sa bouleversante vérité. “Pendant des années, on a frappé à ma porte me demandant l’autorisation de mettre ma vie en scène, de la jouer, de l’interpréter. Des demandes nombreuses de documentaires, de biopics, de séries n’ont cessé d’affluer”, raconte-t-elle dans les notes de production du documentaire.

    “J’avais comme le sentiment que l’on me demandait de donner les clefs de ma vie pour que d’autres puissent en faire un film. Un spectacle. Ma dépression, mes souffrances, ma quête, ma renaissance: un film? Un divertissement? J’ai été touchée que l’on s’intéresse à mon parcours mais il m‘était impossible de laisser des inconnus parler à ma place”, ajoute-t-elle.

    C’est pour cette raison qu’elle a décidé de prendre les choses en main, dans le but “de se réapproprier [son] histoire”. De son ascension fulgurante à ses dépressions, en passant par sa conversion à l’Islam et ses derniers projets, rien n’est laissé de côté... ou presque. En effet, aucun extrait de ses titres phares comme La Boulette ou encore Jeune Demoiselle , qui ont pourtant marqué des générations entières, n’est diffusé dans le film.

    “Elle a été très claire là-dessus”

    Un détail, en apparence, mais en réalité un choix explicite de l’artiste. “Mélanie n’avait pas envie de revenir sur Diam’s”, explique la co-réalisatrice Anne Cissé, au Le HuffPost . “Elle a d’entrée de jeu été très claire là-dessus. On lui a souvent demandé de s’exprimer sur ce qu’elle a été en tant que chanteuse. Pour elle, ses tubes ne lui appartiennent plus vraiment mais continuent de vivre à travers son public.”

    Son objectif avec Salam ? Montrer une autre facette d’elle-même, en racontant celle qui cohabitait avec la rappeuse aux millions de disques vendus. Ce n’est plus Diam’s, mais Mélanie, la mère de famille, la femme musulmane, l’humanitaire qui se retrouve, cette fois, sous le feu des projecteurs.

    L’occasion pour elle d’aborder, entre autres, sa santé mentale, tant fragilisée par la célébrité. Dans une interview accordée au Parisien il y a un mois, elle dit avoir “touché du doigt la folie”, et a aussi révélé s’être scarifiée, chose dont elle n’est “pas fière”. “J’ai l’impression de revenir de la mort”, a-t-elle reconnu dans les colonnes du quotidien, ajoutant que ce qui l’a sauvée, c’est la religion. “Si je n’avais pas ouvert le Coran un soir sur une plage de l’île Maurice et trouvé un sens à ma vie, je pense que je me serais vraiment foutue en l’air.”

    Elle avait déjà abordé le sujet de la santé mentale dans son autobiographie, et il prend une place majeure dans le récit de son film. ”C’est quelque chose qui lui tient profondément à cœur”, livre Anne Cissé. “Encore aujourd’hui, beaucoup de personnes lui écrivent au quotidien pour lui faire part de leur souffrance”.

    Mais ce n’est pas tout, puisqu’à en croire la scénariste, il était également nécessaire, pour Diam’s, de “révéler que ce qui était important pour elle n’était pas tant la musique que l’écriture”. Celle-ci fait en effet plusieurs fois mention de son envie incessante d’écrire, un exercice qui lui sert “d’exutoire”. Bien qu’ayant définitivement rangé les micros, elle n’a donc pas pour autant laissé tomber la plume.

    Diam’s prend la plume pour Salam

    “Elle restera toujours une artiste, une poète qui a des choses à dire”, confie la cinéaste. La preuve en est, trois textes originaux - À force de courir , De plus en plus et Je me sens coupable - rédigés spécialement pour l’occasion, sont présentés dans le documentaire.

    Mais si aucun des titres qui ont fait son succès n’est entendu dans Salam , ce n’est pas le cas de certains de ses concerts. Des images d’archive sont diffusées dans le film, mais sous une forme particulière, puisqu’elles ne montrent que le public. Ce qui, là aussi, est mûrement réfléchi. “On s’est beaucoup interrogées là-dessus. Cela nous permettait de mettre en évidence le fait que ses fans étaient nombreux et fidèles. Ces scènes d’exposition rappellent la folie Diam’s, ce dont les nouvelles générations n’ont pas forcément conscience”, justifie Anne Cissé.

    Après sa sortie provisoire dans les cinémas ce vendredi et ce samedi, Salam sera mis en ligne sur la plateforme BrutX.

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      Diam's se confie dans "Sept à huit" sur sa conversion à l'islam, sa dépression...

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 27 June, 2022 - 09:14 · 4 minutes

    Diam's, ici dans Diam's, ici dans "Sept à huit" sur TF1, dimanche 26 juin.

    PEOPLE - Elle est redevenue Mélanie. Ce dimanche 26 juin, l’ancienne star du rap français Diam’s s’est livrée dans une longue interview fleuve donnée à Sept à huit sur TF1. Des entretiens qui se comptent sur les doigts d’une main depuis sept ans.

    À cette occasion, l’interprète de Jeune demoiselle est revenue sur plusieurs sujets qui l’ont marquée, et notamment sa dépression. En 2008, alors qu’elle est au sommet de la gloire, Diam’s est internée en hôpital psychiatrique. “Ils m’ont donné plein de cachets. Plein de cachets, du matin au soir, je prenais plein de cachets”, souffle-t-elle dans une séquence de Salam , documentaire qui lui a été dédié et qui a été diffusé au dernier Festival de Cannes.

    “Moi, à ce moment-là, je suis comme quelqu’un qui est dans une tempête et qui avance”, commente Diam’s dans Sept à huit, au sujet de cette période. C’est-à-dire que j’essaye de me battre contre un vent très très fort, qui cherche à m’amener vers la mort. [...] Ce labyrinthe, et ce vide intérieur, je l’oublierai jamais de ma vie.”

    Comme elle a déjà pu le raconter par le passé, la religion a joué un rôle important dans son apaisement. Issue d’une famille catholique, elle était déjà croyante. C’est lors d’un voyage à l’Île Maurice qu’elle décide de s’intéresser davantage à l’Islam, peu de temps après avoir prié pour la première fois avec une amie de son amie Vitaa .

    “Je n’ai rien prôné ni affiché”

    “Je pense que le plus grand des bouleversements à ce moment-là, il a vraiment été lié à l’éveil, à la méditation. C’était vraiment regarder la Création, ce qui était autour de moi, commencer à m’émerveiller à d’autres choses... [...] Tout d’un coup, j’ai pris le temps de regarder le ciel, de regarder la lune, de regarder le soleil”, poursuit l’artiste.

    Cette prise de conscience et cette recherche spirituelle ont bouleversé sa vie. ”Être un croyant, c’est prendre conscience de la valeur de cette vie, continue-t-elle. Je ne suis pas sur cette terre pour rien. J’ai plein de belles choses à accomplir. J’ai plein de belles choses à faire.” C’est seule, sur une plage, qu’elle décide de se convertir.

    Est ensuite venu le sujet du voile. “On en parle d’une question presque centrale et principale mon histoire. Alors que moi, c’était une étape qui allait sûrement arriver dans ce cheminement spirituel que j’étais en train de mener”, explique Diam’s. À cette époque, elle ne voulait pas en parler publiquement. “Que les choses soient claires, moi je n’ai rien prôné ni affiché, c’est vous qui avez pris cette photo et l’avez placardée partout”, se défend-elle.

    “Ne faire que le bien”

    “Je ne suis pas qu’un voile, je suis une femme. Je ne suis pas qu’une femme voilée . Je suis une femme comme toutes les femmes. Je trouve injuste qu’on demande aux femmes voilées de porter tout ce qui se passe dans le monde. Je suis désolée que certaines en souffrent. Mais nous, celles qui avons décidé de le porter, on ne vit pas les choses comme certains peuvent le penser”, a-t-elle ensuite martelé.

    Maman de trois enfants, Diam’s a désormais une vie de famille bien remplie. “C’est-à-dire que moi, ma vie, elle est autour de mes enfants, raconte-t-elle. Mes enfants qui se lèvent le matin, qui doivent aller à l’école, mes enfants qui rentrent de l’école, les devoirs, etc. Je suis comme toutes les mamans, et toute maman vous dira que ça remplit une journée. […] Cette famille, c’est un peu comme un rêve. Même si je sais qu’on peut se construire sans, j’ai vécu des épreuves, j’ai divorcé dans ma vie. Je ne dis pas que c’est un tout, mais ça fait partie de mon équilibre.”

    Le rap, c’est derrière elle. Celle, qui par le biais de son association Big Up Project vient en aide à un orphelinat au Mali, l’a redit: ce qu’elle veut, désormais, c’est “ne faire que le bien”. “C’est le plus grand challenge de ma vie”, a-t-elle assuré.

    À voir également sur Le HuffPost : “Salam” le docu sur Diam’s dévoile ses premières images

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      Dans "Salam", vous n'entendrez aucune des musiques de Diam's

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 26 May, 2022 - 19:30 · 4 minutes

    CANNES - Un retour plus qu’attendu. Une décennie après la fin de sa carrière musicale et son retrait de la vie médiatique, Diam’s revient sur le devant de la scène. Pas de nouvel album au programme, mais un documentaire autobiographique qu’elle a co-réalisé avec Anne Cissé ( Lupin ) et Houda Benyama ( Divines ). Intitulé Salam , celui-ci, dont vous pouvez visionner la bande-annonce en tête d’article , a été projeté en avant-première ce jeudi 26 mai au Festival de Cannes .

    Une sortie événement à plus d’un titre, puisque l’ex-rappeuse star, Mélanie Georgiades de son vrai nom, y livre après des années de silence sa bouleversante vérité. “Pendant des années, on a frappé à ma porte me demandant l’autorisation de mettre ma vie en scène, de la jouer, de l’interpréter. Des demandes nombreuses de documentaires, de biopics, de séries n’ont cessé d’affluer”, raconte-t-elle dans les notes de production du documentaire.

    “J’avais comme le sentiment que l’on me demandait de donner les clefs de ma vie pour que d’autres puissent en faire un film. Un spectacle. Ma dépression, mes souffrances, ma quête, ma renaissance: un film? Un divertissement? J’ai été touchée que l’on s’intéresse à mon parcours mais il m‘était impossible de laisser des inconnus parler à ma place”, ajoute-t-elle.

    C’est pour cette raison qu’elle a décidé de prendre les choses en main, dans le but “de se réapproprier [son] histoire”. De son ascension fulgurante à ses dépressions, en passant par sa conversion à l’Islam et ses derniers projets, rien n’est laissé de côté, ou presque. En effet, aucun extrait de ses musiques phares comme La Boulette ou encore Jeune Demoiselle , qui ont pourtant marqué des générations entières, n’est diffusé dans le film.

    “Elle a été très claire là-dessus”

    Ce qui semble être un détail en apparence est en réalité totalement voulu. “Mélanie n’avait pas envie de revenir sur Diam’s”, explique la co-réalisatrice Anne Cissé, que Le HuffPost a contactée. “Elle a d’entrée de jeu été très claire là-dessus. On lui a souvent demandé de s’exprimer sur ce qu’elle a été en tant que chanteuse. Pour elle, ses tubes ne lui appartiennent plus vraiment mais continuent de vivre à travers son public”.

    Son objectif avec Salam ? Se mettre en lumière autrement, en racontant cette partie d’elle-même qui cohabitait avec la rappeuse aux millions de disques vendus. Ce n’est plus Diam’s, mais Mélanie, la mère de famille, la femme musulmane, l’humanitaire, qui se retrouve cette fois sous le feu des projecteurs.

    L’occasion pour elle d’aborder, entre autres, sa santé mentale, tant fragilisée par la célébrité. Un sujet très sensible dont elle avait déjà parlé dans son autobiographie, et qui prend une place majeure dans le récit de son film. ”C’est quelque chose qui lui tient profondément à cœur”, livre Anne Cissé. “Encore aujourd’hui, beaucoup de personnes lui écrivent au quotidien pour lui faire part de leur souffrance”.

    Mais ce n’est pas tout, puisqu’à en croire la scénariste, il était également nécessaire pour Diam’s de “révéler que ce qui était important pour elle n’était pas tant la musique que l’écriture”. Celle-ci fait en effet plusieurs fois mention de son envie incessante d’écrire, qui lui sert “d’exutoire”. Bien qu’ayant définitivement rangé les micros, elle n’a donc pas pour autant laissé tomber la plume.

    Diam’s prend la plume pour Salam

    “Elle restera toujours une artiste, une poète qui a des choses à dire”, confie la cinéaste. La preuve en est, trois textes originaux - À force de courir , De plus en plus et Je me sens coupable - rédigés spécialement pour l’occasion, sont présentés dans le documentaire.

    Mais si aucun des titres qui ont fait son succès n’est entendu dans Salam , ce n’est pas le cas de certains de ses concerts. Des images d’archive sont diffusées dans le film, mais sous une forme particulière, puisqu’elles ne montrent que le public. Ce qui est là aussi mûrement réfléchi.

    “On s’est beaucoup interrogées là-dessus. Cela nous permettait de mettre en évidence le fait que ses fans étaient nombreux et fidèles. Ces scènes d’exposition rappellent la folie Diam’s, ce dont les nouvelles générations n’ont pas forcément conscience”, justifie Anne Cissé.

    Après sa projection à Cannes, Salam sera exceptionnellement diffusé au cinéma pendant deux jours les 1er et 2 juillet prochains, avant d’être mis en ligne sur la plateforme BrutX.

    À voir également sur Le HuffPost: “Novembre” à Cannes: les avis divergent sur le timing de ce film sur les attentats du 13-Novembre

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      "Salam" le docu sur Diam's dévoile ses premières images

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 25 May, 2022 - 14:22 · 2 minutes

    RAP - Salam , le documentaire qui revient sur les coulisses de la carrière de Diam’s divulgue sa bande-annonce ce mercredi 25 mai, que vous pouvez retrouver en tête d’article . Le film qui a été écrit et réalisé par la principale intéressée, entre autres, est projeté en avant-première au Festival de Cannes ce jeudi 26 mai.

    Star du rap français dans les années 2000, Diam’s avait subitement quitté le monde de la musique en 2010, au top de sa carrière, après trois albums qui se sont écoulés à des millions d’exemplaires. Une décision que Mélanie Georgiades, de son vrai nom, avait prise pour se concentrer sur l’ Islam , religion à laquelle elle s’était convertie en 2008.

    “Allez le voir, vous comprendrez”, dit Vitaa

    Malgré l’immense succès qu’elle a connu durant cette décennie, sa carrière la détruisait de l’intérieur. “Plus les jours passaient, plus je m’enfonçais. Comme la sensation de m’enliser ou de tomber dans le vide et de faire une chute interminable”, explique l’ancienne rappeuse dans la bande-annonce. “Je perdais la tête de plus en plus, je prenais des cachets de plus en plus, je me faisais du mal de plus en plus et puis je pensais à la mort de plus en plus”, continue-t-elle.

    Vitaa , qui a collaboré avec Diam’s sur le tube Confessions Nocturnes, est revenu sur le documentaire autobiographique de son amie dans une story Instagram. “Ce soir, j’ai eu l’immense privilège de voir le documentaire de ma sœur Diam’s et je ne saurais retranscrire avec des mots ce que j’ai ressenti tellement j’ai été bouleversée... À vous qui l’aimez, l’avez écoutée, supportée ou détestée... Allez le voir, vous comprendrez. Je t’aime ma sœur et je suis tellement fière de celle que tu es devenue.”, a-t-elle postée.

    Le documentaire co-réalisée par Diam’s, Houda Benyamina et Anne Cissé et produit par Brut et Black Dynamite sortira en salles pendant seulement deux jours, le 1er et le 2 juillet, avant d’être exclusivement disponible sur BrutX, 12 ans après la retraite de l’interprète de La boulette .

    À voir également sur Le HuffPost : Sexion d’Assaut revient après 10 ans, qu’ont fait les rappeurs pendant ce temps?

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      Diam's explique pourquoi elle a fait le film "Salam"

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 2 May, 2022 - 07:06 · 1 minute

    Près de dix ans après avoir quitté le monde du rap, la rappeuse Diam Près de dix ans après avoir quitté le monde du rap, la rappeuse Diam's va sortir un documentaire sur son parcours, film qu'elle a co-réalisé (photo d'archive prise aux Victoires de la musique 2007).

    MUSIQUE - “Il m’était impossible de laisser des inconnus parler à ma place.” Trois jours après l’officialisation de la diffusion au festival de Cannes de “Salam” , le documentaire retraçant son parcours et qu’elle a co-réalisé, la rappeuse Diam’s s’exprime dans une publication Instagram sur ce qui l’a poussée à entreprendre une telle démarche.

    “Ma dépression, mes souffrances, ma quête, ma renaissance: un film? un divertissement?”, écrit-elle, racontant avoir été maintes fois sollicitée pour que sa formidable ascension soit portée à l’écran, que ce soit sous forme de documentaire, de série ou de biopic . Des propositions qu’elle a toutes déclinées, refusant de “donner les clés de (sa) vie” pour que d’autres puissent en faire “un spectacle”.

    Mais séduite par l’idée de pouvoir enfin se confier en images sur une trajectoire qu’elle a déjà commencé à relater dans deux ouvrages, “j’ai repris la plume”, raconte-t-elle, “celle avec laquelle j’ai toujours aimé me livrer”.

    S’ensuit une “aventure humaine pleine de bienveillance” avec Houda Benyamina, lauréate de la caméra d’or en 2016 à Cannes pour Divines , et Anne Cissé, les deux réalisatrices avec lesquelles elle partage la direction de son documentaire, qui sera diffusé sur la plateforme BrutX.

    Un environnement porteur qui lui permet, raconte-t-elle encore dans sa publication Instagram, de “retourner sur (ses) traces”, de “replonger dans (ses) souvenirs pour leur redonner vie avec (sa) plume et la caméra”. Jusqu’à pouvoir dire sa “vérité”.

    À voir également sur le HuffPost : Orelsan tourne son clip pour “Du propre” au milieu du carnaval étudiant de Caen