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      « La tyrannie du divertissement » d’Olivier Babeau

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 3 March, 2023 - 03:30 · 15 minutes

    Cet ouvrage absolument passionnant et particulièrement instructif s’inscrit dans la réflexion sur le temps long, à l’instar de deux autres essais que nous avons présentés très récemment : Les écologistes contre la modernité de Ferghane Azihari et L’amour et la guerre de Julien Rochedy. Même remontée dans le temps depuis le Paléolithique et le Néolithique jusqu’à aujourd’hui, en retraçant de grands bouleversements ayant eu lieu à différentes époques entre les deux. Même apport de connaissances époustouflant, qui ne manque pas de surprendre le lecteur par les enseignements que l’on peut en tirer. Un vrai travail de fond, des réflexions approfondies qui interrogent nos pratiques à l’aune du monde contemporain.

    La civilisation du loisir

    À l’heure où une partie des Français sont dans la rue pour protester contre la énième tentative de réforme des retraites, il est intéressant de prendre du recul afin de réfléchir à l’évolution des sociétés humaines au cours des millénaires, en particulier en matière de travail et de loisirs.

    Jamais, remarque Olivier Babeau , l’être humain n’a eu autant de temps libre depuis le début de la civilisation. Mais l’utilise-t-il de manière opportune ? Rien n’est moins sûr. Surtout à l’ère du numérique , qui a favorisé le plaisir immédiat , la recherche du moindre effort, la superficialité, le divertissement, et… l’isolement. Au détriment de la culture qui enrichit, de l’ouverture aux autres, de l’équilibre personnel.

    Pourtant, la question de l’utilisation du temps libre est une question relativement nouvelle. Pris en tenaille entre travail et nécessités, les humains n’ont pas toujours eu cette chance de pouvoir bénéficier d’autant de temps pour soi. Allongement de l’espérance de vie et recul du temps de travail ont bouleversé nos modes de vie en nous permettant d’accéder à beaucoup plus de temps qu’avaient pu en avoir les générations qui se sont succédé depuis au moins la révolution industrielle. Mais pour en faire quoi ? C’est un vrai défi en soi. Et la thèse défendue par Olivier Babeau est que nous traversons une crise du loisir. Ce temps disponible étant presque entièrement dominé par le divertissement , pris dans un tourbillon ravageur qui a pour effet d’enfermer et de creuser les inégalités de manière dramatique, voire tyrannique.

    Une histoire du temps libre

    Ce qui m’a véritablement frappé à la lecture du livre est, d’une part que l’on connaisse aujourd’hui avec tant de précision comment nos ancêtres préhistoriques occupaient leur temps et d’autre part que la très longue histoire des premiers hominidés (qui remonte à deux millions et demi d’années) jusqu’au Néolithique est marquée par une vie orientée en grande partie vers l’oisiveté, contrairement à tous les a priori que l’on peut avoir selon une sorte de « présent éternel » bien éloigné de ce que nous pouvons connaître au cours de notre ère. Je n’entrerai pas dans la précision mais j’ai dévoré la lecture des chapitres et conseille à tous ceux qui sont curieux la lecture du livre, tant il est riche en surprises.

    La vraie rupture est le passage au Néolithique, la sédentarisation ayant transformé profondément les communautés humaines mais paradoxalement restreint sensiblement le temps libre, contrairement à ce qui avait pu en partie en motiver l’érection. Il devient alors un marqueur et un outil de pouvoir, jusqu’à nos jours, la hiérarchisation des sociétés datant en quelque sorte de cette époque.

    Olivier Babeau nous invite à un voyage à travers le temps, mettant en lumière les trois grands usages du temps libre au fil des siècles et des époques, avec en exergue la conception du sens de l’existence et de l’art de vivre. On distingue ainsi le loisir aristocratique – tout entier tourné vers la préoccupation de tenir son rang, de se définir par l’appartenance au groupe -, le loisir studieux – fondé sur le perfectionnement de soi, l’amélioration de ses capacités -, et le loisir populaire – qui s’épuise dans l’instant et dont la finalité semble être de passer le temps, se délasser, se divertir. Avec son lot d’implications, à chaque époque, bien marquées.

    La sagesse antique ne propose pas de se tourner vers une divinité mais de se tourner vers soi. Elle est, chez les Romains, une conversio ad se . C’est une éthique de la maîtrise dont le but est, comme chez Sénèque , de dépasser la simple voluptas (plaisir) pour parvenir à la laetitia (bonheur, joie). […] Quand Cicéron emploie le terme d’ humanitas , des humanités, il désigne les activités de l’esprit qui font devenir pleinement humain, par opposition à l’animal, et pleinement civilisé, par opposition aux Barbares […] L’humaniste italien Plutarque écrit au XIV e siècle La Vie solitaire , un éloge de la solitude permettant à l’homme de progresser vers la perfection morale et intellectuelle.

    Autre élément qui m’a frappé au cours de cette lecture, ce chiffre éloquent (toujours au moment où le pays s’émeut sur la question des retraites et où certains jugent de bon ton de réclamer un droit à la paresse ) : le temps de travail représentait 12 % de celui d’une vie éveillée en 2015, contre… 70 % en 1841 ! On mesure à quel point la déconnexion avec le temps long est préoccupante en matière de réalités.

    De fait, le temps pour soi s’était largement éclipsé pour le plus grand nombre depuis la révolution industrielle en particulier et dans une moindre mesure depuis la révolution néolithique, comme nous l’avons vu. Sa renaissance s’inscrit dans les fantastiques progrès économiques réalisés, permettant cette tendance au cours des toutes dernières décennies . Un nouvel arbitrage entre travail et loisir a permis cette « explosion du temps libre », mais il s’agit aussi d’un « cadeau empoisonné ».

    L’accroissement des inégalités

    Car tout le problème est là : l’accroissement des inégalités se fait sans qu’on en ait conscience, par la différence dans les temps de travail des professions dites supérieures et de celles qui exigent toujours moins de temps de travail (il convient de lire le détail des explications pour bien en comprendre les mécanismes), et plus encore dans la mauvaise utilisation de ce temps libre, cœur du livre. Sans que l’auteur porte de jugement moral sur le travail, précisons-le bien.

    Même si Olivier Babeau juge heureux ce retour historique à plus de temps de loisirs et le voit comme un réel progrès, il entend en effet nous interroger non plus sur le sens du travail mais sur la question « non moins redoutable » du sens du loisir. Le problème étant que le triomphe du loisir est allé de pair tant avec une forme de désespérance existentielle (et de consommation d’antidépresseurs et autres drogues) que d’une inégalité croissante du fait que le divertissement est venu occuper presque tout le temps de loisir disponible de certaines catégories de gens.

    Les conditions de la réussite se sont ainsi profondément transformées. Les classes supérieures ont fait du loisir un travail devenu clef de la reproduction sociale, qu’on le veuille ou non. Et c’est ce que notre auteur explore de manière passionnante.

    Les hiérarchies sociales ont été longtemps déterminées par la puissance physique. Puis, dans les sociétés de classe, par la naissance. Au XIX e siècle, la possession du capital en était la clé. Depuis un siècle, les places s’attribuent désormais par ce que l’on peut appeler le talent. Les muscles, les ascendants, le patrimoine financier, ne sont plus la clé la plus générale et certaine du succès. Désormais, c’est le cerveau.

    Dans cette course à la compétence, les laissés-pour-compte sont ceux qui s’enferment dans le culte de l’immédiat et du divertissement sans fond, sans même prendre conscience qu’ils seront les perdants de demain. Car en matière d’inégalités, on se trompe de cible en se fixant sur les revenus ou le patrimoine, qu’il faudrait selon beaucoup prélever en vue de fabriquer une égalité durable. Or, montre Olivier Babeau, ce n’est pas le facteur le plus déterminant. Ces politiques échouent d’ailleurs, car fondées sur un mauvais diagnostic, insiste-t-il. En ce sens, faire le procès du mérite est une grave erreur , dont la faute revient aux conceptions erronées de Jean-Jacques Rousseau sur la société pervertie et l’idéalisation de la nature qui serait bonne .

    Le nouvel ordre du monde lance des défis inédits. L’occupation des meilleures places sociales y demande plus que jamais une forme d’excellence qui ne s’acquiert que par un effort prolongé et méthodique. La compréhension de ce mécanisme nous livre une grille de lecture des dynamiques égalitaires qu’il faut à présent détailler, car le temps libre y joue un rôle central.

    En effet, le capital culturel joue un rôle important dans les trajectoires de vie. Hélas, le système éducatif échoue à corriger les inégalités en la matière par ses choix hasardeux . On assiste depuis trop longtemps, déplore l’auteur, au déclin du courage . Là où la volonté et le sens de l’effort constituent des facteurs-clé de la réussite, il s’agit de valeurs qui n’ont plus vraiment la cote. Dans ce contexte, le travail sur soi se trouve discrédité et la démocratisation du loisir studieux est un échec.

    Si la culture sert à distinguer, c’est, conclut la vulgate bourdieusienne, qu’elle ne sert qu’à ça et qu’elle a été créée en vue de ça. Il n’est pas envisagé qu’il puisse s’agir d’une conséquence parmi d’autres, d’un effet collatéral de la sophistication de groupes sociaux développant des mœurs particulières. Autrement dit, Bourdieu n’accepte à aucun moment que la distinction puisse être une conséquence et non une fin. Celui qui apprend à lire dans une population d’analphabètes se distingue pourtant profondément, accède à un monde entièrement différent qui changera toute sa manière de vivre. Il n’a pas appris pour s’éloigner de ses semblables, il s’est éloigné car il a appris.

    Le loisir en miettes

    Dès lors, dans la deuxième moitié du XX e siècle, se cultiver devient suspect et cet instrument bourgeois qu’est le savoir doit être aboli. C’est ainsi, qu’au nom de la « justice », on s’ingéniera à affaiblir la mystique du travail et à abandonner la démocratisation de la culture, réalisant ainsi ce que prophétisait Hannah Arendt .

    Le tourisme de masse et ses artifices n’en est que le symptôme. Tandis que le service public de l’audiovisuel s’est fourvoyé dans un divertissement formaté bien éloigné des missions qu’il s’était fixé à l’origine, symbole à la fois de l’horreur politique et du « loisir en miettes », réduit à ce dramatique accaparement du « temps de cerveau disponible » dont le réseau Tik Tok constitue le reflet le plus emblématique.

    L’économie de l’attention est fondée sur la capacité à mettre à profit nos instincts les plus primaires. Une course qui prend notre cerveau reptilien comme levier. En substituant la culture à la nature, la civilisation a créé depuis longtemps une tension entre la façon dont fonctionnent notre corps et notre esprit, conçus pour le monde d’il y a cent mille ans, et notre mode de vie. La civilisation a progressé bien plus vite que nos structures biologiques. Depuis l’accélération époustouflante des évolutions technologiques, le décalage avec notre cerveau est devenu une béance. C’est là, dans ce décalage entre notre cerveau de chasseur-cueilleur et notre vie d’homme vainqueur de la nature et capable d’explorer l’espace, qu’interviennent ceux qui veulent nous influencer.

    On peut ainsi constater que tout le temps gagné grâce aux technologies, aux innovations et aux découvertes scientifiques, a en fin de compte été dilapidé de manière dérisoire, « dans le néant d’une fuite en avant solitaire », à très peu se cultiver ou développer notre rapport aux autres, mais plutôt à « scroller » et à se divertir jusqu’à l’ennui, voire la dépression, inversant le sens même qui pouvait lui être alloué.

    Le divertissement était le moment fugitif de délassement d’une vie harassante. Il est devenu un état de transe habituel, parfois interrompu par de courts moments de labeur. Le loisir distrayait du travail. Aujourd’hui le travail vient distraire d’une vie de loisirs. N’avons-nous pas perdu beaucoup en perdant le sens du temps, de la lenteur, de la durée ?

    Dans cette « dictature de l’immédiateté », les écarts se creusent de plus en plus entre classes sociales, ayant des retentissements aussi bien en termes de réussite que de santé et d’espérance de vie. Les comportements à risque et l’attrait de l’immédiat sont beaucoup plus puissants au sein des classes dites populaires, tandis que ceux qui ont la capacité à différer les plaisirs et ont un rapport différent à la vie auront plus de chances de réussir leur vie.

    Savoir différer une satisfaction immédiate au profit de gratifications futures est une compétence essentielle. Plus grande est la maîtrise de soi, plus grande est la réussite.

    Constat cruel mais imparable qui démontre que la transmission des valeurs joue un rôle déterminant dans notre avenir. Les enfants favorisés « reçoivent un rapport différent à la vie, au savoir, à la prise de risque, à la curiosité, à l’effort. Et c’est sans doute ce qui est le plus déterminant dans l’inégalité des destins ». Inversement, ceux issus de milieux moins favorisés ont une plus forte propension à se laisser soumettre, voire à consentir à la manipulation cérébrale, au culte de l’immédiat, de la captation de l’attention, de la récompense immédiate, laissant toute latitude à ceux qui veulent asservir nos esprits de le faire.

    Et le constat à la fois de leur plus grand échec scolaire, mais aussi du moindre développement de leur cerveau est proportionnel à l’importance de leurs comportements addictifs liés aux écrans, et ce de plus en plus dès leur plus jeune âge, dans un environnement souvent peu propice aux interactions et stimulations, surtout lorsque leurs parents eux-mêmes sont hyperconnectés et repliés sur leurs écrans .

    Se former aux loisirs

    Olivier Babeau ne s’en tient cependant pas au diagnostic et au fatalisme de l’aliénation par le loisir. Il pense au contraire qu’il est tout à fait possible de réagir, d’adopter des stratégies réfléchies de préservation du cerveau. Elles passent bien entendu par l’éducation, l’apprentissage du bon usage des technologies, la restauration de l’égalité des chances par une réforme de l’école, à condition que les politiques ne se contentent pas, comme toujours, de commander des rapports à des commissions de réflexion, qui ne débouchent pour ainsi dire jamais sur quoi que ce soit de concret.

    Il en appelle ainsi à une revalorisation radicale du métier d’enseignant, qui doit « redevenir l’élite et la fierté de la nation » (à niveaux de salaires très fortement revalorisés, qui doivent attirer les meilleurs profils), et à une restauration de l’esprit de la skholè , de la capacité à transmettre du savoir, loin de la démagogie de tout ce qui a sonné le glas de l’école , cette dernière devant être profondément transformée, selon des modalités qu’il détaille dans le livre, en particulier le mentorat.

    À condition de hiérarchiser et équilibrer en parallèle les loisirs, de manière à combattre l’ignorance , sans quoi tout cela serait vain. Là aussi, il consacre la fin de l’ouvrage à en détailler les idées, selon une hiérarchisation fondée sur le principe du « Jouir judicieusement des loisirs », et sans prendre parti pour une forme artistique ou une époque. Sans non plus nier l’importance du divertissement, mais simplement en en réduisant la place excessive et hégémonique, de manière à trouver une meilleure harmonie, par la modération et la véritable émancipation.

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      Billy Crawford au casting de "Danse avec les stars" sur TF1

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 09:36 · 1 minute

    Billy Crawford à Cannes le 18 janvier 2003. Billy Crawford à Cannes le 18 janvier 2003.

    TÉLÉVISON  - Le casting de Danse avec les stars commence à se dévoiler. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le programme frappe déjà fort puisque le nom du premier concurrent n’est autre que celui du chanteur et acteur Billy Crawford .

    Le Philippin, star internationale du début des années 2000, a lui-même officialisé sa participation dans une vidéo publiée ce mardi 26 juillet. “J’ai vraiment hâte de relever ce défi et de commencer les répétitions aussi. On se retrouve très vite sur TF1. Gros bisous, je t’aime à la folie! T’inquiète, j’arrive”, a-t-il déclaré. Le nom de sa partenaire n’est pas encore connu.

    Billy Crawford, star aujourd’hui aux Philippines, avait connu un énorme succès en France après la sortie en 2002 de son album Ride . L’opus comportait des classiques comme Trackin , When You Think About Me , You Didn’t Expect That et Me Passer De Toi (Someone Like You) ”. Il avait aussi fait les choux gras de la presse people pour son idylle avec la chanteuse Lorie. Le couple s’était séparé en 2004.

    La compétition de danse a récemment révélé quel serait son jury pour cette prochaine saison. Bilal Hassani et Marie-Agnès Gillot rejoignent en effet Chris Marquès et François Alu en lieu et place de Denitsa Ikonomova et de Jean-Paul Gaultier. La présentation du programme se fera, elle, sans Karine Ferri.

    À voir également sur Le HuffPost: La mère de Bilal Hassani raconte comment elle a aidé son fils à surmonter le harcèlement

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      Sur TF1, le jury de "Danse avec les stars" renouvelé

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 21 July, 2022 - 19:31 · 2 minutes

    Parmi les membres du jury de la nouvelle saison de Parmi les membres du jury de la nouvelle saison de "Danse avec les stars", deux recrues: Bilal Hassani et Marie-Agnès Gillot.

    TÉLÉVISION - Casting renouvelé pour “DALS”. Pour sa douzième saison sur TF1, l’émission “Danse avec les stars” fait peau neuve et dévoile un jury partiellement renouvelé pour la rentrée prochaine.

    Le Parisien annonce que le concours de danse de la Une a dit au revoir à Jean-Paul Gaultier (pour des raisons d’emploi du temps) afin de s’octroyer les services de nouveaux jurés pour accompagner le danseur étoile de l’Opéra national de Paris François Alu et le danseur et chorégraphe Chris Marques .

    Courtisée depuis plusieurs saisons, la danseuse étoile de l’Opéra de Paris, Marie-Agnès Gillot rejoint donc la bande. “Une personnalité attachante et différente de tout ce qu’on a vu jusqu’à présent”, selon Frédéric Pedraza, directeur adjoint de TF1 Production et concepteur de l’émission.

    Pour la rejoindre, “DALS” s’est également tourné en direction du dernier finaliste de l’émission: Bilal Hassani . Une prise de choix pour la jeune génération de téléspectateurs du programme. “Il a été un candidat qui nous a offert un show exceptionnel l’an passé, semaine après semaine. Et qui connaît bien les rouages et les petits pièges qu’on peut retrouver dans ce type de compétition”, décrit à son sujet Frédéric Pedraza au Parisien .

    Denitsa Ikonomova dans un rôle bien particulier...

    Si Jean-Paul Gaultier reviendra peut-être dans une prochaine saison, l’autre juge de l’année dernière, Denitsa Ikonomova, ne sera pas totalement absente du show à en croire les informations du journal.

    En effet, la danseuse et chorégraphe bulgaro-canadienne qui officiait depuis 2012 avant de rejoindre le jury en 2021 sera tout de même présente dans l’émission. Ni juge, ni candidate, la quadruple gagnante du concours de TF1 n’a pas été en mesure de se libérer pour cette douzième édition (également pour des raisons d’emploi du temps) mais officiera quand même dans “Danse avec les stars.

    Selon Frédéric Pedraza, la danseuse la plus titrée du concours fera son retour “autour d’un événement dans l’émission”. Mais le secret demeure encore autour de cette présence de Denitsa Ikonomova dans l’émission.

    Parmi les autres changements auxquels s’attendre pour cette douzième saison, l’absence de Karine Ferri . L’animatrice avait en effet annoncé son départ volontaire fin juin, pour “d’autres aventures” sur TF1. Laissant Camille Combal seul présentateur à la rentrée prochaine.

    À voir également sur Le HuffPost: La mère de Bilal Hassani raconte comment elle a aidé son fils à surmonter le harcèlement

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      Le Quidditch change de nom pour s'appeler Quadball

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 21 July, 2022 - 13:47 · 2 minutes

    Deux équipes de Quadball s'affrontent à Hanovre en Allemagne le 11 juin 2022. Deux équipes de Quadball s'affrontent à Hanovre en Allemagne le 11 juin 2022.

    SPORT - Ne dites plus Quidditch mais Quadball. Les ligues U.S. Quidditch et Major League Quidditch ont annoncé le 19 juillet qu’elles renonçaient au terme issu de l’univers Harry Potter .

    À la place, les deux entités ont opté pour le nom Quadball après une consultation des joueurs et des fans de ce sport lancé en 2005 dans le Vermont, en réponse aux exploits du plus célèbre apprenti sorcier, à la quête du vif d’or.

    Le nom Quadball fait directement référence aux quatre balles utilisées dans une partie: un souafle (ballon de volley-ball) et trois coignards (ballon de type dodgeball/ballon prisonnier).

    Prendre ses distances avec J.K. Rowling

    Le processus de changement de nom avait débuté en fin d’année 2021, alors que la romancière J.K. Rowling était déjà sous le feu des critiques pour ses sorties transphobes . Elle avait notamment comparé les traitements hormonaux suivis par les personnes trans aux thérapies de conversion dont ont été victimes de nombreux homosexuels.

    Le changement de nom doit permettre à la discipline de ne plus être associée aux propos controversés de la créatrice de la saga Harry Potter . Les règles du jeu, quant à elles, demeurent identiques.

    “Notre sport s’est créé la réputation d’être l’un des plus progressistes du monde sur l’égalité de genre et l’inclusivité”, expliquaient en décembre 2021 ces organisations mettant en avant le fait qu’il est notamment interdit pour une équipe, composée de sept joueurs, d’avoir plus de quatre membres du même genre.

    “Pour nos deux organisations, il semble impératif d’être à la hauteur de cette réputation à tous les niveaux et nous pensons que cela est un pas dans la bonne direction” alors que J.K. Rowling “a été de plus en plus pointée du doigt pour ses positions anti-trans ces dernières années”.

    La décision a également été motivée par des problèmes de droit d’auteur. L’appellation “Quidditch” appartenant à Warner Bros, à l’origine de l’adaptation au cinéma des œuvres de J.K. Rolling.

    “C’est une décision audacieuse, et pour moi personnellement, il y a certainement une certaine nostalgie du nom d’origine”, a déclaré Alex Benepe, qui a aidé à fonder le sport réel en 2005, dans un communiqué . “Mais dans une perspective de développement à long terme, je suis convaincu que c’est une décision intelligente pour l’avenir qui permettra au sport de se développer sans limites.”

    Un sport dans lequel la France excelle puisqu’elle a remporté en 2019 la Coupe d’Europe des Nations. Elle remettra d’ailleurs son titre en jeu les 23 et 24 juillet à Limerick en Irlande, où se déroule la première compétition européenne depuis la pandémie de Covid-19.

    À voir également sur Le HuffPost: “Harry Potter” a 20 ans: qu’est devenu le casting de la saga culte?

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      Sur "Pékin Express", l'abandon de Just Riadh et Abdallah a touché les téléspectateurs

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 21 July, 2022 - 08:25 · 3 minutes

    Just Riadh (à gauche) aux côtés d'Abdallah. Just Riadh (à gauche) aux côtés d'Abdallah.

    PEKIN EXPRESS - Rares sont les abandons dans Pékin Express . Le troisième épisode de cette édition Duos de choc , diffusé ce mercredi 20 juillet sur M6 , a marqué la fin de l’aventure pour le binôme composé de Just Riadh et de son meilleur ami Abdallah, qui concourait pour l’association Les Déterminés.

    Arrivés (une nouvelle fois) derniers lors de la troisième étape au Sri Lanka, les deux comparses ont pris tout le monde de cours en refusant de disputer le duel final, soit face au couple Valentin Léonard - Rachel Legrain-Trapani, soit face à Inès Reg et sa sœur Anaïs.

    Un choix, entre autres, justifié par l’élimination déchirante du duo Théo Curin et Anne, que l’influenceur et son acolyte avaient affronté la semaine passée lors du précédent duel. “Ils ont été traumatisés (...)  et ont préféré ne pas revivre ça s’ils gagnaient à nouveau, preuve d’une grande sensibilité”, “excellentes valeurs”, “Je vais pleurer là”, les internautes, émus par leur départ surprise, ont salué leur geste comme vous pouvez le voir dans les tweets ci-dessous .

    “On ne se voyait pas abandonner au départ! Nous étions même prêts à refaire un duel final. Mais quand on a compris que ce serait soit face à Inès et Anaïs, soit face à Rachel et Valentin, on n’avait plus envie”, a confié Abdallah dans les colonnes de Télé Loisirs .

    “Le départ de Théo m’avait déjà détruit, donc c’était terminé. Impossible pour nous de sélectionner l’une des deux équipes alors que tout le monde s’était battu. En vrai, on aurait préféré choisir Valérie (Trierweiler, ndlr) et Karine, mais elles sont arrivées en première position et étaient intouchables”, a-t-il ajouté.

    Si abandonner une telle aventure est un choix fort, l’intéressé n’a pas le moindre remords pour autant. “A aucun moment je n’ai regretté d’être parti! La règle du duel final est trop dure et elle est injuste. Si on arrive dernier, on arrive dernier, c’est tout. Dans la vie, je fais tout pour être heureux, avoir le cœur léger. Partir était donc la meilleure décision pour moi.”

    A voir également sur Le HuffPost: Dans “Pékin Express” saison 14, le plus grand ennemi des candidats est... leur valise

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      Au Marrakech du rire, Paul Mirabel a mis tout le monde d'accord

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 20 July, 2022 - 08:34 · 2 minutes

    Paul Mirabel sur la scène du Marrakech du rire. Paul Mirabel sur la scène du Marrakech du rire.

    HUMOUR - Paul Mirabel crève encore l’écran. Après trois ans d’absence, le Marrakech du rire -incontournable festival international d’humour créé par Jamel Debbouze - faisait son retour sur M6 ce mardi 19 juillet. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la performance du jeune humoriste de 26 ans a conquis son auditoire.

    Comme vous pouvez le voir ci-dessous , immobile comme à son habitude sur la scène, le Montpelliérain au flegme désormais légendaire a fait mouche à chacune de ses vannes, aussi bien auprès du public présent sur place, que sur les réseaux sociaux.

    “Paul Mirabel le goat” [“greatest of all time”, “meilleur de tous les temps” en français], “Paul Mirabel qui [s]ort masterclass sur masterclass”, “Paul Mirabel a fait rire plus de personnes en 1 min 30 que tous les autres en 2 heures”… Les internautes n’ont visiblement pas boudé leur plaisir devant leur télé ce mardi.

    Un plébiscite qui n’a rien d’une surprise compte tenu de l’actuelle popularité de l’humoriste. Celui-ci, qui a fait du stand-up son métier depuis quelques années maintenant, avait explosé auprès du grand public en 2020. De passage au Montreux Comedy Festival, il y avait présenté son sketch Je me suis fait racketter , devenu depuis l’extrait de spectacle le plus visionné du festival d’humour suisse sur YouTube (21 millions de vues).

    L’édition 2022 du Marrakech du rire, enregistrée du 15 au 18 juin et qui accueillait aussi les humoristes Waly Dia, Nawell Madani, Ilyes Djadel ou encore Camille Lellouche, a réuni près de 3 millions de téléspectateurs sur M6, un record historique pour le programme.

    À voir également sur Le HuffPost: Élie Semoun ironise du retrait d’un de ses sketchs par Instagram

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      Disneyland Paris a 30 ans et sa métamorphose se voit même depuis le ciel

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 20 July, 2022 - 04:30 · 1 minute

    DIVERTISSEMENT - C’est jour de fête à Disneyland Paris . Le parc d’attraction ouvre ce mercredi 20 juillet une toute nouvelle zone intitulée Marvel Avengers Campus (Disney Studios) . Le public pourra ainsi lancer sa toile comme Spider-Man, voler avec Iron Man ou encore manger dans un laboratoire expérimental.

    Cette extension est la dernière d’une longue série pour Disneyland Paris, qui a soufflé cette année ses 30 bougies. Les cartes de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) nous le prouvent , dans la vidéo à découvrir en tête d’article.

    Lors de son inauguration le 12 avril 1992 , le parc situé sur la commune de Marne-la-Vallée comptait déjà “Phantom Manor’ ou “Big Thunder Mountain”, des attractions encore proposées aujourd’hui. Mais les visiteurs ont dû attendre 1993 avant d’embarquer pour la première fois dans les montagnes russes “Indiana Jones et le Temple du Péril” et 1995 pour tester le mythique “Space Mountain”, manège complètement dans le noir.

    En plus de proposer ces nouvelles attractions, Disneyland a également ouvert un second parc en 2002, Disney Studios. Une zone située au sud du parc d’origine, et dont les différents aménagements sont, là encore, aisément visibles sur les archives passionnantes de l’IGN .

    Depuis le ciel, on peut constater la transformation d’un parking en un roller coaster, le “Crush’s Coaster”, attraction inaugurée en 2007 et inspirée du film Le monde de Némo . À quelques mètres, se dresse la désormais incontournable “Tour de la Terreur” elle aussi inaugurée en 2007.

    D’autres attractions autour de Toy Story et Ratatouille ont depuis été ajoutées à ce parc, respectivement en 2010 et 2014. Deux nouveaux univers doivent sortir de terre dans les prochaines années: le premier consacré à la saga Star Wars , le second à La Reine des Neiges.

    À voir également sur Le HuffPost:Il y avait un peu de Disney dans la soirée électorale de France 2

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      "Masterchef" de retour sur France 2: on a vu les premières images

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 7 July, 2022 - 16:36 · 2 minutes

    Ancien juré de Ancien juré de "Top Chef", Thierry Marx rejoint "Masterchef" pour son retour sur France 2 à la rentrée 2022

    TÉLÉVISION - Yves Camdeborde est toujours là, mais beaucoup d’autres choses ont changé. À l’automne, c’est sur France 2 que les téléspectateurs pourront suivre en prime time “Masterchef” , concours de cuisine et cousin éloigné de “Top Chef” réservé aux amateurs.

    L’émission - “un blockbuster international dans la jungle des programmes de cuisine”, décrit Matthieu Bayle, le directeur des programmes d’Endemol France qui produit le format - avait connu ses heures de gloire sur TF1 de 2010 à 2015. Sept ans plus tard, c’est sur France 2 qu’elle (re)trouve sa place alors que le service public cherchait “un grand prime time de cuisine” pour remplir sa grille des programmes.

    Au cours du premier épisode, que Le HuffPost a pu voir en partie, on découvre les 18 cuisiniers amateurs (10 femmes et 8 hommes) de cette nouvelle saison. Dans la vie, ils sont puéricultrice, architecte d’intérieur, scientifique, fermière, ont à peine 20 ans ou plus de 50 ans, et doivent pour se qualifier préparer “leur plat préféré” aux trois jurés: Yves Camdeborde, visage des saisons 1 à 4 de “Masterchef”, Georgiana Viou, finaliste de la saison 1 de “Masterchef” et Thierry Marx . Seuls 9 passeront cette stressante première étape.

    Des Top Chefs s’invitent dans Masterchef

    Dans les épisodes suivants, ils devront revisiter des classiques de la cuisine familiale, passeront des “tests de connaissance” pour reconnaître des sortes de pâtes ou des variétés de pommes, et des ”épreuves sous pression” en guise de dernière chance autour d’un légume unique. Ils verront aussi défiler dans les cuisines des figures de la gastronomie (et de la télé) française comme les anciens Top Chef Mory Sacko ou Pierre Augé, mais aussi Frédéric Anton (juré “Masterchef” de 2010 à 2014) et Christian Constant (juré “Top Chef” de 2010 à 2014).

    Jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un gagnant ou une gagnante qui remportera les 100.000 euros, de quoi, s’il le souhaite, se consacrer de façon professionnelle à la cuisine. Et à en voir les réactions des chefs lors des dégustations, certains en ont clairement tout le potentiel. Lors d’une ”épreuve sous pression” autour de la carotte, Thierry Marx a du mal à trouver des défauts à l’assiette d’un candidat. Interrogé par l’animatrice Agathe Lecaron sur la seule critique qu’il ferait à ce plat, il lâche amusé: “C’est agaçant. C’est agaçant tellement c’est bon!” Tandis qu’Yves Camdeborde loue particulièrement “l’audace” de ces amateurs en évoquant, notamment, une association surprenante entre “soupe à l’oignon et fraises”.

    Mais ce qui fait aussi le croquant de cette nouvelle version de “Masterchef” c’est justement le côté pas toujours parfait des rendus. Il y a les mains qui tremblent (vraiment) beaucoup, les assiettes qui ne sortent pas dans les temps et les aliments brûlés (“on a une surcuisson”, préfèrent dire gentiment les chefs). Quand des voix s’élevaient contre le côté trop sophistiqué et spectaculaire de “Top Chef”, le programme de France 2 pourrait s’imposer en contre-pied, revendiquant “une cuisine de proximité”.

    À voir également sur Le HuffPost: Mory Sacko s’est inspiré de Netflix pour “Cuisine Ouverte” sur France 3

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      "Pékin Express, duos de choc" sur M6: quels sont les binômes au casting?

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 6 July, 2022 - 17:00 · 5 minutes

    Valérie Trierweiler (à gauche) et Inès Reg (à droite) sur le tournage de Valérie Trierweiler (à gauche) et Inès Reg (à droite) sur le tournage de "Pékin Express, duos de choc".

    TÉLÉVISION - C’est le jour J. M6 donne le coup d’envoi ce mercredi 6 juillet à 21h10 de la 16e saison de Pékin Express . Baptisée Duos de choc , celle-ci mettra aux prises six binômes qui ne vous seront probablement pas inconnus, pour une mission au Sri Lanka.

    Car oui, la petite particularité,  c’est que chaque duo (sauf un) est composé d’une célébrité et de l’un de ses proches, qu’elle a choisi au préalable. C’est seulement la deuxième fois dans l’histoire du programme présenté par Stéphane Rotenberg (en cinq éditions spéciales) que des personnalités s’affrontent. La grande première avait eu lieu en 2010 (remportée par Taïg Khris et Chloé).

    Quel binôme leur succédera et remportera les 50.000 euros? Avant le début des hostilités ce mercredi soir, Le HuffPost passe en revue l’ensemble du casting, qui s’annonce haut en couleur.

    L’humoriste Inès Reg et sa soeur Anaïs

    Inès Reg (à gauche) et Anaïs sur le tournage de Inès Reg (à gauche) et Anaïs sur le tournage de "Pékin Express, duos de choc".

    Ce n’est pas avec son mari Kévin qu’Inès Reg a fait cette aventure, mais avec sa soeur Anaïs. “C’était totalement une évidence, et on y croyait même pas, même quand on était sur place”, a récemment confié l’humoriste à Gala . Les deux, fans inconditionnelles du programme, concourent pour l’association Utopia 56 qui vient en aide aux personnes exilées.

    L’ex-Première dame Valérie Trierweiler et sa meilleure amie Karine

    Valérie Trierweiler (à gauche) aux côtés de Karine. Valérie Trierweiler (à gauche) aux côtés de Karine.

    Valérie Trierweiler souhaitait au départ disputer cette saison spéciale aux côtés de son mari Romain Magellan. “Mais ce n’était pas faisable, donc elle m’a proposée”, s’est réjouie Karine dans les colonnes de Gala . Les deux meilleures amies concourent de leur côté pour le Secours populaire.

    Le champion de natation paralympique Théo Curin et son agent Anne

    Théo Curin et Anne. Théo Curin et Anne.

    Le champion de natation paralympique Théo Curin est aussi de la partie. Accompagné d’Anne, son agent, celui-ci a d’ailleurs récemment raconté une anecdote assez amusante à propos de son aventure. Le sportif de 22 ans a en effet été reconnu par un habitant sri lankais durant son périple.

    “Moi, j’hallucine sur le coup. Je ne le crois pas parce que ce n’est pas possible qu’un mec à l’autre bout du monde voit une vidéo de moi. Pour moi, il y a une chance sur un milliard même sur plusieurs milliards”, a livré le nageur également apparu dans Plus Belle La Vie sur France 3.

    Le binôme Théo Curin-Anne concourt pour l’association Autour des Williams qui finance la recherche pour le syndrome de Williams et Beuren, maladie
    génétique liée à la perte d’un fragment de chromosome.

    L’ancienne Miss France Rachel Legrain-Trapani et son compagnon Valentin

    Rachel Legrain-Trapani et Valentin. Rachel Legrain-Trapani et Valentin.

    Ce n’est pas la première fois que Rachel Legrain-Trapani, Miss France 2007, participe à une autre émission que celle du concours de beauté. Elle avait en effet (brièvement) pris part à la troisième saison de Secret Story sur TF1 en 2009. Valentin n’est pas inconnu du grand public lui non plus puisqu’il a été au casting de plusieurs émissions de téléréalité dont Moundir et les Apprentis Aventuriers et Les Marseillais . Le couple concourt pour l’association Accolade qui contribue à la prise en charge des enfants atteints du cancer.

    L’influenceur Just Riadh et son meilleur ami Abdallah

    Just Riadh (à gauche) aux côtés d'Abdallah Just Riadh (à gauche) aux côtés d'Abdallah

    Just Riadh est partout. L’influenceur aux 10 millions d’abonnés a récemment participé à la deuxième saison de LOL, qui rit, sort! sur Amazon Prime et sera prochainement au casting du nouveau jeu de M6 Les Traîtres: seront-ils démasqués? . En attendant, c’est avec son meilleur ami Abdallah qu’il tentera de remporter cette saison 16 de Pékin Express . Les deux acolytes jouent pour l’association Les Déterminés, qui aide à développer l’initiative et l’entrepreneuriat en banlieue et en milieux ruraux.

    Le commentateur Xavier Domergue et le journaliste sportif Yoann Riou

    Xavier Domergue (à gauche) et Yoann Riou. Xavier Domergue (à gauche) et Yoann Riou.

    Les deux sont journalistes sportifs et pourtant, ils sont le binôme d’inconnus de cette édition. Xavier Domergue, voix des Bleus sur M6, n’avait en effet qu’une seule exigence, que son partenaire soit sportif. ”[Yoann] a fini deux marathons dans sa jeune vie. C’est quand même quelque chose d’extraordinaire”, a-t-il confié dans les colonnes de Gala .

    “Pour moi, la priorité absolue était de tomber sur quelqu’un de gentil. Bienveillance et gentillesse étaient mes maîtres mots. Et donc, je tombe sur Xavier. C’est vraiment quelqu’un de profondément gentil et de positif”, s’est de son côté réjoui le chroniqueur de la chaîne L’Équipe, qui a d’ailleurs pris des cours de natation avant le tournage de l’émission.

    Le tandem concourt pour les associations Wonder Augustine, qui informe
    et sensibilise sur les cancers pédiatriques, et SNSM, la Société nationale de sauvetage en mer.

    La saison 15 de Pékin Express avait réuni près de 2,7 millions de téléspectateurs en moyenne. Cette édition spéciale célébrités en fera-t-elle autant?

    A voir également sur Le HuffPost: Dans “Pékin Express” saison 14, le plus grand ennemi des candidats est... leur valise