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      Où regarder Drag Race France saison 2 en streaming ?

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 18 August, 2023 - 07:01

    La saison 2 de Drag Race France fait un carton dans l'hexagone : ses participantes deviennent des stars demandées par de nombreux médias, avant de partir bientôt en tournée nationale. Qui emportera cette deuxième édition de l'adaptation de la franchise américaine ? La finale approche à grands pas. Voici comment suivre l'émission et rattraper les épisodes déjà diffusés. [Lire la suite]

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      5 séries merveilleusement queer à regarder en streaming

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 28 June, 2023 - 06:01

    Alors que le Mois des Fiertés, toujours célébré en juin, touche déjà à sa fin, les séries restent un refuge pour retrouver de fabuleux personnages LGBTQIA+. Voici donc 5 fictions et documentaires à découvrir sur les plateformes de SVOD : Drag Race France sur France TV Slash, Adieu ma honte sur Canal+, A League of their Own sur Prime Video, Heartstopper sur Netflix et Pride sur Disney+. [Lire la suite]

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      Il faut vraiment que vous regardiez Drag Race France

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 11 July, 2022 - 15:56

    Avec cette émission adaptée d’un format américain, France TV Slash a tapé dans le mille et mobilise toute une communauté autour d’épisodes diffusés chaque jeudi sur la plateforme. Un démarrage déjà triomphal, notamment grâce à un casting d’une grande diversité. [Lire la suite]

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      "Drag Race France": Il n'y avait pas que des drag queens dans l'épisode 2 et ça n'a échappé à personne

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 1 July, 2022 - 10:00 · 2 minutes

    drag king drag king

    TÉLÉVISION - Après avoir conquis les téléspectateurs avec son premier épisode, Drag Race France a une nouvelle fois marqué les esprits avec le deuxième épisode, diffusé ce jeudi 30 juin sur France.tv Slash puis samedi sur France 2 après Fort Boyard . Aux côtés des drag queens , des drag kings -des artistes qui mettent en scène un personnage masculin- ont été mis à l’honneur.

    Les téléspectateurs pouvaient ainsi voir “trois stars du King”, Jésus la vidange, Judas la vidange et Chico ( de droite à gauche sur la photo en tête d’article ).

    Une pierre de plus dans la nature inclusive du show présenté par Nicky Doll , Daphné Bürki et Kiddy Smile , selon les téléspectateurs pour qui ce deuxième épisode de Drag Race France , dont Marianne James était l’invitée, est déjà “iconique”. Et les drag queens participant à l’émission sont du même avis.

    “TELLEMENT FIER de Drag Race France pour avoir montré au monde que Les DRAG KING sont un art extraordinaire qui mérite plus de visibilité, a commenté sur Twitter Kam Hugh, l’une des queens de l’émission. Et fier de faire partie de cette saison pour ça.”

    À voir également sur Le HuffPost : Apparu en drag queen à la télé, ce pasteur américain sanctionné

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      Finalement Drag Race France sera bien diffusé à la télé tous les samedis

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 28 June, 2022 - 17:49 · 1 minute

    Nicky Doll et les dix drag queens de Nicky Doll et les dix drag queens de "Drag Race France".

    TÉLÉVISION - D’abord destinée à la plateforme France TV Slash, l’émission de téléréalité “Drag Race France”, concours pour choisir la meilleure drag queen, sera finalement diffusée dans son intégralité sur France 2 à partir du samedi 2 juillet, a-t-on appris mardi, confirmant une information de 20 Minutes .

    France 2 avait diffusé le premier épisode le 25 juin en deuxième partie de soirée, jour du début de sa diffusion sur Slash.

    Diffusée à 23h25 sur France 2, l’émission avait réalisé un score d’audience encourageant pour cette tranche horaire, avec 914.000 téléspectateurs (11,6% de part d’audience) selon les chiffres de Médiamétrie.

    Face au succès d’audience, la chaîne a décidé de diffuser à l’antenne l’intégralité de la saison à partir de samedi, après l’émission Fort Boyard, aux alentours de minuit.

    Les drag queens sont des personnes qui se construisent pour la scène une identité fictive basée sur des archétypes de la féminité, à grand renfort de costumes spectaculaires et de maquillage exubérant.

    Dans “Drag Race France”, dix drag queens (choisies parmi 450 candidates selon la production) sont en compétition au fil d’une série d’épreuves: spectacles, chansons, défilés...

    L’émission est présentée par Nicky Doll, drag queen française qui a participé comme candidate à la saison 12 de l’émission américaine. A ses côtés, l’animatrice Daphné Bürki et le DJ Kiddy Smile, figure LGBT connue du grand public pour avoir donné un concert à l’Elysée lors de la Fête de la musique 2018.

    D’un abord léger et très festif, l’émission fait aussi écho à des questions plus sérieuses, comme les discriminations.

    Laboratoire de France Télévisions dédié aux 15-35 ans, France TV Slash traite principalement de thématiques LGBT, d’écologie, de féminisme ou de diversité, ce qui lui a valu d’être taxée de “wokisme” par certains détracteurs.

    À voir également sur Le HuffPost: Aux États-Unis, des étudiants dénoncent la politique anti-LGBT+ de leur école

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      Les drag queens ne débarquent pas seulement à la télé française

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 25 June, 2022 - 16:00 · 7 minutes

    "Drag Race France" démarre, ce samedi 25 juin, à la télé avec Paloma.

    MÉDIAS - En plein concert de la Fête de la musique sur France 2, dans le dernier numéro d’ On est en direct , sur le plateau de Quotidien et de C à vous ... Il aura fallu du temps, mais voilà: les drag queens sont (enfin) présentes à la télévision française . Et ça ne va faire qu’aller de l’avant.

    Ce samedi 25 juin, date symbolique de la marche des fiertés à Paris, démarre Drag Race France , la très attendue adaptation hexagonale de la compétition américaine RuPaul’s Drag Race , déjà quatorze saisons au compteur. Le but, ici, est le même: les concurrentes devront s’affronter autour d’épreuves mêlant chant, comédie, danse et mannequinat afin qu’il n’en reste plus qu’une.

    Parallèlement à sa retransmission sur France 2 en deuxième partie de soirée, le premier épisode sera diffusé sur France.tv Slash dès 20 heures, puis ce sera tous les jeudis à cet horaire sur la plateforme numérique du service public.

    Ce samedi, elles sont dix à se lancer dans l’aventure. Parmi elles, six ont déjà un point commun. La Big Bertha, Kahena, Lolita Banana, Paloma, La Grande Dame et Kam Hugh ont le même agent. C’est l’agence Pop Models. “C’est un beau score”, nous disent ses responsables, Max Bregerie et Mathieu Quadri, qui comptent neuf drag queens dans leur écurie.

    Découvrez ci-dessous la bande-annonce de Drag Race France :

    Dans le milieu du cinéma, de la musique, du mannequinat, mais aussi du théâtre ou des livres, il est fréquent d’avoir un agent. En France, dans le secteur du drag, ça l’est moins. “On s’est rendu compte que les drag queens n’étaient pas du tout entourées, qu’elles étaient très seules”, nous souffle l’un des patrons de Pop Models. Les deux hommes ont lancé leur agence au mois de janvier dernier. “On s’est rendu compte que le drag touchait un public de plus en plus large, expliquent-ils. On a senti un truc bouillonner.”

    Une demande croissante

    Depuis plusieurs années, et notamment avec l’arrivée de RuPaul’s Drag Race sur Netflix, les drag queens ne se cantonnent plus aux bars ou soirées gay. Miss Fame et Violet Chachki sont au premier rang de tous les défilés. Conchita Wurst, sur le podium de Jean-Paul Gaultier. Cookie Cunty, elle, est l’héroïne d’un film dont la sortie est prévue au mois de novembre prochain au cinéma. Côté petit écran, Leona Winter a participé aux Anges de la télé-réalité , en 2020. Et en 2019, Plus belle la vie a même intégré une drag queen dans sa galerie de personnages.

    Ça ne fait que quelques mois que Pop Models existe et pourtant “il n’y a vraiment pas eu de moment de faiblesse, nous renseignent ses fondateurs. On est sur une pente ascendante.” La diffusion de Drag Race France peut-elle accroître davantage l’activité? “On l’espère”, soutiennent-ils. Aujourd’hui, leur carnet de clients compte principalement des entreprises. Ce qu’elles veulent, c’est booker des drag queens pour animer des événements publics, mais aussi en interne.

    Ça inclut des lancements de marque ou de produit et des partenariats avec les enseignes. Kam Hugh a collaboré avec Sephora et Nyx Cosmetics. La Grande Dame a récemment posé et défilé pour Jean Paul Gaultier. Quant à Lolita Banana, elle est sur un vélo Lime dans une publicité pour les deux-roues d’Uber. Minima Gesté et Alice Psycho, elles, ont animé un bingo drag chez Google, en compagnie de Mademoiselle Kiss.

    Faire du drag un métier

    La demande côté clients est croissante. Elle l’est également du côté de celles qui veulent rejoindre l’agence. “Ce sont des artistes qui ont construit tout toutes seules et qui veulent désormais évoluer dans de plus grandes structures, concède Max Bregerie. Ce qu’on veut, c’est qu’elles puissent se consacrer à la partie artistique et se décharger de la relation avec les clients, comme les négociations contractuelles dont on s’occupe, nous.”

    Mathieu Quadri ajoute: “Avec l’ampleur que prend le phénomène, c’est difficile d’affronter tout ça en solo. Nous, notre travail, c’est en quelque sorte d’assurer la transition pour celles qui veulent faire du drag leur métier, plus seulement le soir et les week-ends.”

    Pour la drag queen parisienne Sciatique, cette professionnalisation est une bonne chose. Ça permet “d’habituer les organisateurs d’événements à payer les gens et ce, via des structures légales, nous assure-t-elle. L’étape d’après, ce sera le jour où des drags pourront être intermittentes du spectacle. C’est encore très rare aujourd’hui. Moi, typiquement je suis payée en facture.”

    Bosser “avec les règles de 2022”

    Le drag, ce n’est pas que des blagues, du lip sync ou des belles robes. C’est un art engagé et politique, soucieux de déconstruire les problématiques de genre. Son incursion dans les sphères grand public, comme à la télévision ou dans la publicité, pose des questions en matière de standardisation. Cela peut-il dénaturer le propos?

    D’après Catherine Pine O’Noir, drag queen très en vogue de la capitale, c’est non. “Tu peux faire une pub pour une grande marque un jour et le lendemain te rendre à un show dans un petit bar qui ne brasse pas énormément d’argent au fin fond de Paris. Les deux sont cumulables et doivent s’équilibrer dans ta carrière, estime-t-elle. De plus, faire du drag, ça coûte de l’argent [en termes de cosmétiques, de costumes ou de transports, ndlr]. T’as beau être anticapitaliste, tu dois bosser avec les règles du monde de 2022, un monde dans lequel on a toutes envie de gagner des sous. Après, à toi de voir ce que tu fais de tes sous.”

    Sciatique, à gauche, et Catherine Pine O'Noir, à droite. Sciatique, à gauche, et Catherine Pine O'Noir, à droite.

    La “mainstreamisation” du drag a du bon. “Aller à la rencontre d’un public hétéro ou de non initiés, c’est éduquer d’autres personnes en dehors de la sphère LGBT+ sur nos problématiques, en matière de sexisme, d’homophobie, de transphobie... Si demain, un mec à la machine à café reprend un de ses collègues sur une ‘blague’ raciste parce qu’il a compris ça au cours d’une de mes performances, j’estime que j’ai réussi quelque chose à ma petite échelle”, continue-t-elle.

    “Il n’y a pas de mauvaise publicité”

    Un point de vue partagé par Sciatique, selon qui “l’art du drag c’est de performer le genre. Donc même dans l’art de performer, il y a une déconstruction sociale. Il n’y a pas de mauvaise publicité.” Elle n’accepte, cependant, pas toutes les propositions, notamment quand on veut la booker pour des événements privés toute seule. “Une drag queen, ça détonne. Si demain, je vais dans une soirée où personne ne m’attend, on va se demander pourquoi je suis là”, confie-t-elle. Ça n’a alors rien d’amusant et la non réponse des invités peut être très mal vécue.

    Les demandes sont parfois en inadéquation. “De la même manière, poursuit-elle, j’ai refusé de faire la première partie d’un concert dans une grande salle de musique parisienne. L’artiste ne me connaissait pas. Les organisateurs, eux, m’avaient demandé de faire un lip sync sur une chanson de leur souhait. Tu ne peux pas tout faire en lip sync. Il y a des ressorts.”

    Chez Pop Models, on est preneur de toutes les opportunités, nous dit-on, mais pas question d’imposer quoi que ce soit aux talents. “On respecte à 100% ce qu’elles veulent faire et ce qu’elles nous proposent en fonction de l’image qu’elles veulent développer”, nous assurent ses responsables.

    Pour l’heure, ils ne tirent aucun bénéfice de leur business. “C’est un investissement en termes d’argent et de temps, précisent-ils. On n’est pas du tout sur une dynamique financière. On est sur de l’accompagnement pour qu’elles explosent.” Les voyants sont au vert. La course a commencé.

    À voir également sur Le HuffPost : Apparu en drag queen à la télé, ce pasteur américain sanctionné

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      "Drag Race France" arrive enfin, voici tout ce qu'il faut savoir

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 2 June, 2022 - 16:44 · 4 minutes

    Nicky Doll et les dix drag queens de Nicky Doll et les dix drag queens de "Drag Race France".

    TÉLÉVISION - “Condragulation.” L’adaptation française de la plus célèbre compétition de drag queens RuPaul’s Drag Race arrive (enfin) ce mois-ci sur nos écrans et d’après les premières images qui ont été montrées au cours d’une conférence de presse, organisée ce jeudi 2 juin à Paris, elle n’a rien à envier au programme initial.

    L’émission, qui s’intitule Drag Race France , est produite par Endemol et France Télévisions. Fidèle à la télé-réalité américaine, qui compte aujourd’hui quatorze saisons, elle se présente comme un programme de divertissement drôle, créatif et engagé, soucieux de défendre les intérêts et la diversité de l’art du drag à la française sur fond d’acceptation de soi.

    Le but du jeu est le même: il s’agit d’une compétition au cours de laquelle des drag queens s’affrontent autour d’épreuves mêlant chant, comédie, danse et mannequinat. À la fin de chaque épisode, l’une d’entre elles est éliminée. La gagnante, elle, repart avec une somme d’argent et (souvent) de gros contrats commerciaux.

    Le HuffPost vous résume point par point tout ce que vous devez savoir sur la première saison événement de Drag Race France .

    • La date de lancement

    Le premier épisode sera diffusé le 25 juin, date symbolique de la marche des fiertés en France, sur France.tv Slash à partir de 20 heures. La saison en compte huit. Les suivants, eux, arriveront sur la plateforme de streaming chaque jeudi à la même heure.

    • Le jury

    Les amateurs du programme connaissent bien la présentatrice du show et présidente du jury, il s’agit de la drag queen française Nicky Doll. Cette dernière a participé à la douzième saison du programme américain. Elle s’est dite “très émue et très honorée” de contribuer à “donner davantage de spotlight” à la communauté drag.

    À ses côtés, on retrouve Kiddy Smile. Chanteur, danseur, DJ, acteur et militant queer, c’est un expert de la “culture ball” et du voguing. “C’était important pour moi [de participer à ce projet] parce que c’est un des programmes de télé-réalité les plus primés. Et ça a été créé par une personne queer et noire, comme moi”, a-t-il soufflé.

    L’animatrice Daphnée Burki est, elle aussi, de la partie. Connue surtout pour les diverses émissions qu’elle a présentées sur Canal+ et sur les antennes de France Télévisions, elle a aussi longtemps travaillé dans la mode, chez Dior. Elle se définit comme une “alliée engagée” auprès des la communauté LGBT+ et dit avoir vécu, avec Drag Race France , “l’une des plus belles expériences de [sa] vie”. “Je n’étais pas prête et vous n’êtes pas prêts”, a-t-elle promis.

    • Le casting

    Sur les 450 candidatures reçues, la production en a retenu dix avec la volonté de représenter au maximum l’art du drag français. Les dix prétendantes à la couronne ne sont pas toutes originaires de Paris. L’une vient de Clermont-Ferrand, d’autres de Bordeaux, Toulouse ou de Saint-Denis. Aussi (et alors même qu’il a fallu attendre la treizième saison aux États-Unis), Drag Race France compte dans ses rangs une femme trans, La Briochée.

    Les neuf autres concurrentes portent les noms de La Grande Dame, Soa de Muse, Paloma, La Big Bertha, La Kahena, Lolita Banana, Elips, Kam Hugh et Lova Ladiva.

    • À quoi ressemble le premier épisode?

    Le premier épisode est très drôle et prometteur. Il commence comme chaque début de saison de RuPaul’s Drag Race , à savoir par un défilé dans l’exubérant atelier rose, décoré ici à la française avec des petites touches façon Château de Versailles. Les commentaires de chacune sont désopilants. Le ton est le même: cru et désobligeant.

    On assiste à la première épreuve, il s’agit d’un talent show. Certaines vont nous démontrer leur maîtrise de la danse, du chant et même de la trompette. D’autres, qu’elles sont les reines du lipsync, y compris quand il s’agit de mimer les paroles de Brûler le feu de Juliette Armanet.

    Pour les départager dans cette première épreuve éliminatoire, deux stars ont été invitées aux côtés des jurés permanents: le créateur de mode Jean Paul Gaultier et de l’ancienne Miss France, Iris Mittenaere. Tous les deux devront également donner leur avis sur les tenues que les drag queens auront confectionnées pour leur premier défilé, dont le thème s’intitule “Liberté égalité Jean Paul Gaultier”.

    Mais attention, ne vous attendez pas à entendre des “Okurrr” ou des “Sashay Away”, deux expressions anglophones emblématiques de l’émission outre-Atlantique. Elles n’ont pas non plus été traduites en français. Non, la production dit avoir essayé de créer son propre champ lexical français, un “devoir” envers la communauté drag française, selon Nicky Doll. Une exception: “condragulation”. “Félicidragtion” aurait, effectivement, fait pâle figure.

    À voir également sur Le HuffPost : Ces drag queens ont pris le pouvoir du défilé Open Ceremony à la Fashion Week de New York