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Pourquoi Aaron Swartz a tellement marqué Internet
news.movim.eu / Numerama · Friday, 13 January - 10:18
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news.movim.eu / Numerama · Thursday, 12 January - 14:05
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Edward Snowden devient citoyen russe sur décision de Vladimir Poutine
news.movim.eu / Numerama · Monday, 26 September - 16:16
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La NSA jure que la prochaine génération du chiffrement ne contiendra pas de porte dérobée
news.movim.eu / Numerama · Monday, 16 May, 2022 - 09:01
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La censure de la fin de "Fight Club" par la Chine a inspiré Snowden
Athena Rivas · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 26 January, 2022 - 12:14 · 3 minutes
CINÉMA - Il vaut mieux parfois en rire qu’en pleurer. Depuis le mardi 25 janvier, le célèbre film de David Fincher, Fight Club , est (enfin) disponible en Chine . Sauf que la fin a été modifiée pour correspondre à la morale défendue par le régime, ce qui en change complètement le sens. Une forme de censure qui en a inspiré certains, avec des montages transformant la fin de films cultes.
Dans la version originale de Fight Club , le narrateur joué par Edward Norton tue son alter ego imaginaire joué par Brad Pitt, puis assiste à l’explosion d’immeubles. Mais dans la version chinoise, le film se termine sur une sorte de “happy end”. Le personnage joué par Brad Pitt est bel et bien tué mais les images de fin du monde sont remplacées par un écran noir et un texte disant: “La police a déjoué le projet et arrêté tous les criminels, empêchant l’explosion des bombes”. Quant au personnage de Brad Pitt , il est précisé qu’il a été interné dans “un asile de fous”.
Une séquence qui a donné des idées à certains, à l’image du lanceur d’alerte Edward Snowden. Ce dernier a choisi de modifier la fin du film Star Wars IV: Un nouvel espoir . “Ouais, la Chine qui censure la fin de Fight Club , c’est mauvais, mais au moins ils ont laissé Star Wars tranqui-oh”, ironise-t-il sur Twitter.
Yeah, China censoring the ending of Fight Club was bad but at least they left Star Wars alo—oh #ChinaEditChallenge pic.twitter.com/j6z5SMn8pf
— Edward Snowden (@Snowden) January 25, 2022
Dans son montage, l’informaticien américain (qui a révélé la surveillance de masse de la NSA et s’est exilé en Russie) coupe la fin du film de George Lucas, censée montrer la destruction de l’Etoile Noire par Luke Skywalker. À la place, il insère un texte sur fond noir, comme la Chine a fait pour Fight Club , où il reprend les éléments de langage utilisés par le régime.
“La police a rapidement compris tout le plan et a arrêté tous les criminels, empêchant ainsi avec succès l’attaque terroriste. Après le procès, les rebelles ont été envoyés dans un asile d’aliénés pour y recevoir un traitement psychologique. Ils sont sortis de l’hôpital après s’être repentis”, écrit-il dans un humour grinçant qui cible évidemment le régime chinois. Il finit par une petite blague: “Veillez à régler votre réveil pour le travail demain matin”.
L’initiative d’Edward Snowden a inspiré d’autres internautes, qui lui ont emboîté le pas. L’un deux a décidé de modifier la fin de Gladiator , en reprenant la conclusion sur fond noir insérée dans la version chinoise de Fight Club : “La police a rapidement compris tout le plan et a arrêté tous les criminels, empêchant ainsi l’explosion de la bombe”.
#ChinaEditChallenge pic.twitter.com/pfAmeDnrHr
— 8𝑩𝒊𝒕𝓦𝓸𝓵𝓯 🐺 (@8BiTw0LF) January 26, 2022
Un autre internautes a quant à lui modifié le dénouement du film Casablanca . “Rick a été arrêté par la police et condamné à la prison à vie pour le meurtre du général. Sam a été déporté à Singapour, où il a passé ses derniers jours à jouer pour des pennies. Ilisa a divorcé peu après et a épousé un riche bureaucrate, lui donnant 3 fils. Les clients du bar de Rick ont été arrêtés et envoyés dans un asile de fous, où ils ont été conditionnés à ne pas chanter d’hymnes sans permission”.
Il conclut par une référence à la propagande du régime: “Le capitaine Louis Renault a reçu une médaille, une augmentation de salaire et des vacances pour avoir protégé le continent.”
#ChinaEditChallenge pic.twitter.com/Hlx6B3kavo
— re 🇵🇪dact🇺🇲 ed🇧🇪_✌💛✝️🌓 (@EddyBrock_YT) January 26, 2022
Même les dessins animés ont droit à leur version chinoise humoristique. “Assurez-vous de vous brosser les dents le matin”, s’amuse ce twitttos qui a changé la fin du film Yu-Gi-Ho.
China may be censoring Fight Club, but they can't censor Yu-Gi-Oh... #chinaeditchallenge pic.twitter.com/o1AO6uDTFw
— Rise and Fall of Tech News (@riseandfalloft2) January 26, 2022
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Espionnage par les USA et le Danemark: Macron et Merkel attendent des explications
AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 31 May, 2021 - 19:20 · 4 minutes
INTERNATIONAL - La France, l’Allemagne et d’autres pays européens ont sommé, ce lundi 31 mai, les États-Unis et le Danemark de s’expliquer sur les allégations d’espionnage de certains responsables, dont la chancelière allemande, une nouvelle page du dossier des écoutes entre alliés huit ans après le séisme de l’affaire Snowden.
Selon une enquête de la télévision publique danoise Danmarks Radio (DR) diffusée dimanche soir avec plusieurs autres médias européens, Washington s’est servi au moins jusqu’en 2014 du réseau de câbles sous-marins danois pour écouter des personnalités de quatre pays (Allemagne, Suède, Norvège, France), parmi lesquelles Angela Merkel.
“Si l’information est juste (...) ce n’est pas acceptable entre alliés” et “encore moins entre alliés et partenaires européens”, a réagi lundi à l’issue d’un conseil des ministres franco-allemand à Paris Emmanuel Macron, dont la chancelière allemande a aussitôt approuvé les propos, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article .
“Je suis attaché aux liens de confiance qui unissent Européens et Américains” et “il n’y a pas de place entre nous pour le soupçon”, a ajouté le président français. “C’est pourquoi ce que nous attendons, c’est la clarté complète. Nous avons demandé à ce que nos partenaires danois et américains apportent toutes les informations sur ces révélations et sur ces faits passés et nous sommes en attente de ces réponses”.
“Je ne peux que m’associer aux propos d’Emmanuel Macron”, a répondu Angela Merkel. “J’ai été rassurée par le fait que le gouvernement danois, dont la ministre de la Défense, a également fait savoir très clairement ce qu’il pense de ces choses (...) C’est une bonne base non seulement pour clarifier les faits mais aussi pour établir des relations de confiance”, a-t-elle ajouté.
Sollicités le même jour par l’AFP, la Maison Blanche, le département d’Etat américain et la National Security Agency (NSA) se sont refusés à tout commentaire.
L’espionnage par Washington de ses alliés européens jusqu’au plus haut niveau est largement connu depuis les révélations du lanceur d’alerte Edward Snowden, mais le rôle qu’auraient pu jouer certains pays de l’Union européenne dans l’opération accroît encore la portée du scandale.
Selon DR, la NSA a pu accéder aux SMS, aux appels téléphoniques et au trafic internet, y compris les recherches, les chats et les services de messagerie, de responsables, parmi lesquels également le ministre allemand des Affaires étrangères de l’époque, Frank-Walter Steinmeier.
Que savait Copenhague ? Cet espionnage de dirigeants, rendu possible grâce à la collaboration des services dans le programme “XKeyscore”, a-t-il pu avoir lieu à son insu ?
Les révélations de DR reposent sur un rapport confidentiel du renseignement militaire danois (FE). Baptisé “Operation Dunhammer”, il avait été commandé à une date inconnue par la direction de FE après l’affaire Snowden - suggérant que le service aurait pu ne pas être au courant - puis remis en mai 2015.
Sollicité par l’AFP, FE s’est refusé à tout commentaire. Sans s’exprimer directement sur les faits, la ministre de la Défense Trine Bramsen a jugé “inacceptable”, dans un bref communiqué, “l’espionnage systématique de ses proches alliés”.
“C’est inacceptable si des pays qui entretiennent une coopération étroite entre alliés ressentent le besoin de s’espionner”, a également estimé la Première ministre norvégienne, Erna Solberg.
“C’est pourquoi nous souhaitons en savoir le plus possible de la part du Danemark. Il a mis en place une commission d’enquête. Nous avons demandé les informations en sa possession”, a-t-elle dit, citée par la radiotélévision NRK.
La Suède a aussi dit avoir demandé des explications.
L’affaire éclaire d’un jour nouveau le limogeage en août 2020 du chef de FE, Lars Findsen, de son prédécesseur, Thomas Ahrenkiel -alors promis à un poste d’ambassadeur à... Berlin- et de trois autres agents. Ils avaient été renvoyés par Mme Bramsen qui, selon DR, a justement été informée de l’espionnage des Européens au même moment.
La raison précise de leur mise à l’écart n’a jamais été rendue publique. Mais le gouvernement leur a reproché d’avoir “caché des informations essentielles et cruciales” et “fourni des informations incorrectes” sur des renseignements obtenus entre 2014 et 2020.
Le service s’est aussi vu reprocher d’avoir obtenu de manière “non autorisée” des informations sur des citoyens danois et de ne pas “avoir suivi ni enquêté davantage sur des indications d’espionnage”.
“Ce sont de nouvelles pièces du puzzle. C’est exactement le même scandale que celui montrant que les services allemands avaient aidé les Américains à espionner il y a quelques années”, a souligné Thomas Wegener Friis, un expert du renseignement à l’Université du Sud-Danemark.
Seul pays nordique membre à la fois de l’Otan et de l’UE, le Danemark figure parmi les plus proches alliés en Europe des États-Unis. Quant à Edward Snowden, qui vit désormais en Russie, il a appelé sur Twitter Copenhague et Washington à une transparence “complète” sur le dossier.
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Edward Snowden récolte 5,5 millions de dollars pour son NFT (qu’il a cédé à une fondation)
Olivier · news.movim.eu / JournalDuGeek · Sunday, 18 April, 2021 - 08:00 · 1 minute
La folie des NFT ( non fungible token ), ou certificats d’authenticité numériques, a inspiré Edward Snowden. Le lanceur d’alertes à l’origine des révélations sur le programme de surveillance de masse des services de sécurité américains a lancé son propre NFT. Le jeton cryptographique donnera à l’acquéreur la propriété numérique d’un montage réalisé par le photographe britannique Platon.
Le visuel représente le visage stylisé d’Edward Snowden devant la décision de justice américaine qui, en 2015, établissait l’illégalité des agissements de la NSA dont les méthodes de surveillance ont été exposées par le lanceur d’alerte en 2013. Ce qui lui vaut depuis de vivre en Russie pour éviter les représailles des autorités américaines.
L’intégralité des bénéfices de la vente du NFT, organisée par la plateforme Foundation, iront remplir les coffres de la Fondation pour la liberté de la presse. Les enchères se sont terminées vendredi soir sur une somme faramineuse : 2 224 ETH, soit plus de 5,5 millions de dollars ! Le montant a étonné et ravi l’instigateur du projet.
FIVE POINT FIVE MILLION from @PleasrDAO . It feels like the whole staff of @FreedomOfPress is watching live, and we've never seen anything like this. This is more than a spectacle — this is drama. All eyes turn to the dark horse. https://t.co/GOcrOiraXS
— Edward Snowden (@Snowden) April 16, 2021
Devançant les accusations de pollution liée aux NFT, qui s’appuient sur les technologies de blockchain, Snowden a tenu à rassurer : la production de carbone nécessaire à la création de son jeton cryptographique a été compensée. La folie des NFT est impressionnante, toutefois il convient d’être prudent : des escrocs rôdent. Aucun problème par contre avec le jeton d’Edward Snowden…
Edward Snowden récolte 5,5 millions de dollars pour son NFT (qu’il a cédé à une fondation)
Julian Assange : le refus de l’extrader ne le sauvera pas
Pierre Farge · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 12 January, 2021 - 04:15 · 3 minutes
Par Pierre Farge.
Saisie par les autorités américaines, la justice britannique a refusé la demande d’extradition de Julian Assange, le lanceur d’alerte des Wikileaks. Si ce refus semble heureux à l’opinion, il ne permet pas pour autant sa libération. Pierre Farge, avocat de lanceurs d’alerte, témoigne ici comment, en réalité, la situation s’aggrave.
Début janvier 2021, onze ans après les premières révélations dites Wikileaks , un énième chapitre s’écrit pour Julian Assange, le lanceur d’alerte détenu dans une prison londonienne depuis deux ans et encourant 175 ans d’emprisonnement s’il est extradé.
Ce n’est qu’à la faveur de fragilités psychiatriques que le refus d’extradition lui a été accordé ; le magistrat appréciant un risque de suicide élevé, plutôt qu’assumant la liberté d’expression ou encore le droit à l’information.
Il est en effet malheureux que le refus d’extradition d’ un lanceur d’alerte ayant permis de révéler des pratiques gouvernementales nuisant à l’intérêt général, voire diplomatiquement scandaleuses, se fonde essentiellement sur un état mental fragilisé, plutôt que les droits à l’origine de ces troubles. C’est parce que Julian Assange s’est battu pour la liberté d’expression et le droit à l’information dans le cadre de son alerte (la cause) qu’il est aujourd’hui fragilisé physiquement et moralement (la conséquence), et pas l’inverse.
Il est également malheureux que le magistrat ne se soit pas inspiré des travaux effectués pour la transposition de la directive relative à la protection des lanceurs d’alerte en droit interne, qui aurait dû être transposée au plus tard le 17 décembre prochain, s’il n’y avait pas eu le Brexit. Ce postulat va aux antipodes de pays comme le Danemark ayant annoncé ces jours-ci que cette transposition chez eux interviendrait largement pour s’appliquer à davantage de délits que ceux prévus par le texte européen.
Cet état de fait pose donc quelques questions au regard de la protection des lanceurs d’alerte, leur laissant certes une possibilité théorique d’alerte, mais d’encourir toujours de lourdes peines ou un harcèlement procédural sur des décennies.
Dès lors, comparaison n’est pas raison. Toutefois, le cas de Snowden mérite d’être rappelé pour témoigner de la différence de traitement avec Julian Assange. L’un et l’autre font l’objet de poursuites des autorités américaines pour avoir divulgué des informations confidentielles. L’un et l’autre se sont réfugiés dans un État différent de celui dont ils sont originaires. L’un et l’autre font l’objet d’une demande d’extradition des États-Unis.
Pourtant, la Russie, accueillant Snowden, a refusé de l’extrader, sans jamais le placer en détention ; il a même successivement obtenu l’asile temporaire, un permis de séjour, un droit d’asile, et peut aujourd’hui librement se déplacer sur ce territoire.
Julian Assange, quant à lui, limite ses déplacements depuis bientôt deux ans à 9 m2. Quand bien même son extradition a été refusée, cet atlantisme britannique fait donc honte à l’État de droit, et une protection mondialisée du droit d’alerte.
La surveillance téléphonique secrète de millions d’Américains par la NSA n’a servi à rien contre le terrorisme
Julien Lausson · news.movim.eu / Numerama · Thursday, 3 September, 2020 - 09:42
Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//
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