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      New NSA Information from (and About) Snowden

      news.movim.eu / Schneier · Wednesday, 25 October - 01:00 · 1 minute

    Interesting article about the Snowden documents, including comments from former Guardian editor Ewen MacAskill

    MacAskill, who shared the Pulitzer Prize for Public Service with Glenn Greenwald and Laura Poitras for their journalistic work on the Snowden files, retired from The Guardian in 2018. He told Computer Weekly that:

    • As far as he knows, a copy of the documents is still locked in the New York Times office. Although the files are in the New York Times office, The Guardian retains responsibility for them.
    • As to why the New York Times has not published them in a decade, MacAskill maintains “this is a complicated issue.” “There is, at the very least, a case to be made for keeping them for future generations of historians,” he said.
    • Why was only 1% of the Snowden archive published by the journalists who had full access to it? Ewen MacAskill replied: “The main reason for only a small percentage—though, given the mass of documents, 1% is still a lot—was diminishing interest.”

    […]

    The Guardian’s journalist did not recall seeing the three revelations published by Computer Weekly , summarized below:

    • The NSA listed Cavium, an American semiconductor company marketing Central Processing Units (CPUs)—the main processor in a computer which runs the operating system and applications—as a successful example of a “SIGINT-enabled” CPU supplier. Cavium, now owned by Marvell, said it does not implement back doors for any government.
    • The NSA compromised lawful Russian interception infrastructure, SORM. The NSA archive contains slides showing two Russian officers wearing jackets with a slogan written in Cyrillic: “You talk, we listen.” The NSA and/or GCHQ has also compromised key lawful interception systems.
    • Among example targets of its mass-surveillance programme, PRISM, the NSA listed the Tibetan government in exile.

    Those three pieces of info come from Jake Appelbaum’s Ph.D. thesis.

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      The top-secret leak that led to a spying scandal, infuriating Indonesia – and Tony Abbott | Ten years of Guardian Australia

      news.movim.eu / TheGuardian · Thursday, 25 May, 2023 - 15:00

    Lenore Taylor looks back at Guardian Australia’s first big scoop and its far-reaching repercussions

    Lenore Taylor remembers the pressure she felt carrying a USB stick from Sydney to Canberra with the contents of a top-secret leak implicating the Australian government in a spying scandal that reached the then president of Indonesia’s personal mobile phone.

    It was 2013 – the same year that David Miranda, the late partner of former Guardian journalist Glenn Greenwald, was detained in Heathrow airport for nine hours after a series of stories revealed mass surveillance programs by the US National Security Agency.

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      Pourquoi Aaron Swartz a tellement marqué Internet

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 13 January, 2023 - 10:18

    Aaron Swartz une

    10 ans après sa disparition, Aaron Swartz est devenu une figure du militantisme sur Internet. Son engagement en faveur de la liberté marque encore le web aujourd'hui. [Lire la suite]

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      Pourquoi Aaron Swartz a tellement marqué Internet

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 12 January, 2023 - 14:05

    Aaron Swartz une

    10 ans après sa disparition, Aaron Swartz est devenu une figure du militantisme sur Internet. Son engagement en faveur de la liberté marque encore le web aujourd'hui. [Lire la suite]

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      Edward Snowden devient citoyen russe sur décision de Vladimir Poutine

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 26 September, 2022 - 16:16

    Vladimir Poutine accorde la nationalité russe à Edward Snowden. [Lire la suite]

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      La NSA jure que la prochaine génération du chiffrement ne contiendra pas de porte dérobée

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 16 May, 2022 - 09:01

    porte dérobée ouverte backdoor

    La puissante NSA assure qu'il n'y a aucune porte dérobée (« backdoor ») dans la prochaine génération des standards cryptographiques. Sa prise de parole survient près de 10 ans après les révélations d'Edward Snowden, qui avaient exposé les machinations de l'agence en matière de chiffrement. [Lire la suite]

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      Julian Assange : le refus de l’extrader ne le sauvera pas

      Pierre Farge · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 12 January, 2021 - 04:15 · 3 minutes

    Julian Assange

    Par Pierre Farge.

    Saisie par les autorités américaines, la justice britannique a refusé la demande d’extradition de Julian Assange, le lanceur d’alerte des Wikileaks. Si ce refus semble heureux à l’opinion, il ne permet pas pour autant sa libération. Pierre Farge, avocat de lanceurs d’alerte, témoigne ici comment, en réalité, la situation s’aggrave.

    Début janvier 2021, onze ans après les premières révélations dites Wikileaks , un énième chapitre s’écrit pour Julian Assange, le lanceur d’alerte détenu dans une prison londonienne depuis deux ans et encourant 175 ans d’emprisonnement s’il est extradé.

    Ce n’est qu’à la faveur de fragilités psychiatriques que le refus d’extradition lui a été accordé ; le magistrat appréciant un risque de suicide élevé, plutôt qu’assumant la liberté d’expression ou encore le droit à l’information.

    Il est en effet malheureux que le refus d’extradition d’ un lanceur d’alerte ayant permis de révéler des pratiques gouvernementales nuisant à l’intérêt général, voire diplomatiquement scandaleuses, se fonde essentiellement sur un état mental fragilisé, plutôt que les droits à l’origine de ces troubles. C’est parce que Julian Assange s’est battu pour la liberté d’expression et le droit à l’information dans le cadre de son alerte (la cause) qu’il est aujourd’hui fragilisé physiquement et moralement (la conséquence), et pas l’inverse.

    Il est également malheureux que le magistrat ne se soit pas inspiré des travaux effectués pour la transposition de la directive relative à la protection des lanceurs d’alerte en droit interne, qui aurait dû être transposée au plus tard le 17 décembre prochain, s’il n’y avait pas eu le Brexit. Ce postulat va aux antipodes de pays comme le Danemark ayant annoncé ces jours-ci que cette transposition chez eux interviendrait largement pour s’appliquer à davantage de délits que ceux prévus par le texte européen.

    Cet état de fait pose donc quelques questions au regard de la protection des lanceurs d’alerte, leur laissant certes une possibilité théorique d’alerte, mais d’encourir toujours de lourdes peines ou un harcèlement procédural sur des décennies.

    Dès lors, comparaison n’est pas raison. Toutefois, le cas de Snowden mérite d’être rappelé pour témoigner de la différence de traitement avec Julian Assange. L’un et l’autre font l’objet de poursuites des autorités américaines pour avoir divulgué des informations confidentielles. L’un et l’autre se sont réfugiés dans un État différent de celui dont ils sont originaires. L’un et l’autre font l’objet d’une demande d’extradition des États-Unis.

    Pourtant, la Russie, accueillant Snowden, a refusé de l’extrader, sans jamais le placer en détention ; il a même successivement obtenu l’asile temporaire, un permis de séjour, un droit d’asile, et peut aujourd’hui librement se déplacer sur ce territoire.

    Julian Assange, quant à lui, limite ses déplacements depuis bientôt deux ans à 9 m2. Quand bien même son extradition a été refusée, cet atlantisme britannique fait donc honte à l’État de droit, et une protection mondialisée du droit d’alerte.