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      Jean Castex proposé à l’Agence de financement des infrastructures de transport de France

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 7 July, 2022 - 17:30 · 1 minute

    L'ancien Premier ministre Jean Castex a été proposé pour occuper la présidence de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (photo d'archive prise le 28 dernier à l'Élysée). L'ancien Premier ministre Jean Castex a été proposé pour occuper la présidence de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (photo d'archive prise le 28 dernier à l'Élysée).

    POLITIQUE - L’Élysée lui a donc trouvé un point de chute. Ce jeudi 7 juillet, le président de la République Emmanuel Macron a proposé de nommer l’ancien Premier ministre Jean Castex président du conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France, a annoncé l’Élysée.

    Le président de la République “envisage, sur proposition de la Première ministre” Élisabeth Borne, de nommer Jean Castex à ce poste, proposition qui va être soumise à l’avis des commissions parlementaires dédiées, a précisé l’Élysée. Cette Agence est actuellement présidée par Christophe Béchu , nommé lundi ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.

    Passionné de ferroviaire, Jean Castex avait un temps été pressenti pour prendre la tête de la SNCF, lui qui a annoncé prendre ses distances avec la politique nationale depuis qu’il a donné sa démission de Matignon.

    Plus d’informations à suivre...

    À voir également sur le HuffPost : Nommée Première ministre, Elisabeth Borne dédie son discours ”à toutes les petites filles”

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      Revivez l'intervention d'Emmanuel Macron

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 22 June, 2022 - 18:23 · 2 minutes

    POLITIQUE - Emmanuel Macron a reconnu les “fractures” apparues aux législatives et appelé la classe politique à “légiférer différemment” et à des “compromis”, en s’adressant ce mercredi 22 juin aux Français pour la première fois après la perte de la majorité absolue par son camp à l’Assemblée .

    “J’entends et suis décidé à prendre en charge la volonté de changement que le pays a clairement exprimé” parce que “c’est mon rôle comme garant de nos institutions”, a déclaré le chef de l’État au cours d’une courte allocution de moins de 10 minutes ( à écouter dans la vidéo en tête d’article ).

    Pour cela, “j’ai échangé hier et aujourd’hui avec les dirigeants de l’ensemble des formations politiques”. Et, selon lui, “tous ont fait part de leur respect pour nos institutions et de leur volonté d’éviter un blocage pour notre pays”.

    Soulignant que le scrutin avait fait “de la majorité présidentielle la première force politique de l’Assemblée nationale” mais sans majorité absolue, “sa responsabilité est donc de s’élargir, soit en bâtissant un contrat de coalition soit en construisant des majorités texte par texte”.

    Pas de gouvernement d’union nationale

    “Pour agir dans votre intérêt et dans celui de la nation, nous devons collectivement apprendre à gouverner et légiférer différemment”. En bâtissant “des compromis, des enrichissements, des amendements mais le faire en toute transparence, à ciel ouvert si je puis dire, dans une volonté d’union et d’action pour la nation”, a-t-il ajouté en prenant à témoins les Français.

    “Pour avancer utilement, il revient maintenant aux groupes politiques de dire en toute transparence jusqu’où ils ont prêts à aller”, a-t-il estimé.

    Il a par ailleurs estimé que la mise en place d’un gouvernement d’union nationale , évoquée par certains responsables, n’était “pas justifiée à ce jour”.

    Emmanuel Macron a annoncé que, “dès cet été”, il faudra prendre “une loi pour le pouvoir d’achat et pour que le travail paie mieux, les premières décisions pour aller vers le plein emploi, des choix forts sur l’énergie et le climat, des mesures d’urgence pour notre santé, qu’il s’agisse de notre hôpital ou de l’épidémie”.

    Il a précisé que “nous commencerons à bâtir cette méthode et cette configuration nouvelle” à son retour du sommet européen de jeudi et vendredi à Bruxelles.

    À voir également sur Le HuffPost : Un gouvernement d’union nationale? L’opposition dit déjà non

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      Fête de la Musique: La DJ ukrainienne Xenia transforme la cour de l'Élysée en rave party

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 21 June, 2022 - 23:07 · 2 minutes

    La cour d'honneur de l'Élysée. (photo d'illustration) La cour d'honneur de l'Élysée. (photo d'illustration)

    FÊTE DE LA MUSIQUE - Difficile de croire il y a quelques mois encore que le concert de la Fête de la Musique organisé dans la cour d’honneur de l’Élysée, ce mardi 21 juin, se terminerait par un set techno d’une DJ ukrainienne.

    C’est pourtant bien ce qu’ont vécu 2000 personnes ce mardi soir, dont notamment des jeunes bénéficiaires du pass Culture, en compagnie d’Emmanuel et Brigitte Macron.

    Tout au long de la soirée, le chanteur pop britannique Charlie Winston, le musicien sénégalais Youssou N’Dour, le duo français de l’électro Synapson et la DJ ukrainienne Xenia se sont succédé sur scène.

    Emmanuel Macron , qui a rendu hommage à l’ex-ministre de la Culture Jack Lang pour les 40 ans de la Fête de la Musique, a aussi fait une brève allusion à la guerre en Ukraine avant la prestation de Xenia ( voir les images ci-dessous ), évoquant “la solidarité qui est la nôtre” à l’égard de ce pays. “Avec Brigitte, on est très heureux de vous avoir à l’Élysée (..) Vive la Fête de la Musique! Soyez heureux!”, a-t-il conclu.

    Après l’annulation de la fête en 2020 à cause du Covid, l’Élysée avait reçu le 21 juin 2021 deux grands noms de l’électro et du disco, Jean-Michel Jarre et Cerrone, après une rencontre entre Emmanuel Macron et les patrons de discothèques, alors fermées à cause de la pandémie.

    À voir également sur Le HuffPost : À Cuba, les rares femmes DJ se fraient un chemin dans une île empreinte de sexisme

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      La forte émotion des parents de Samuel Paty lors de l'investiture d'Emmanuel Macron

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 7 May, 2022 - 13:11 · 1 minute

    TERRORISME - Un très fort moment d’émotion. Les parents de Samuel Paty , l’enseignant assassiné en octobre 2020 par un terroriste, ont été invités à l’investiture d’Emmanuel Macron , ce samedi 7 mai à l’Élysée. Leur échange avec le président de la République a été l’un des moments les plus marquants de la cérémonie.

    “Merci monsieur le Président pour votre invitation”, a déclaré la mère du défunt professeur d’histoire-géographie, les larmes aux yeux, à Emmanuel Macron , après une longue étreinte. “Je vous serai toujours fidèle”, lui a répondu le chef de l’État. Juste avant, il avait également pris dans ses bras le père de Samuel Paty, lui aussi très ému.

    La mort de Samuel Paty, poignardé puis décapité par Abdoullakh Anzorov près de son collège à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), a été l’un des moments tragiques du premier quinquennat d’Emmanuel Macron.

    Le chef de l’État avait déjà rencontré les parents de l’enseignant mort à 47 ans en marge d’un déplacement dans le Cher et l’Allier, le 8 décembre dernier. Aucune information sur cette rencontre n’avait été dévoilée.

    À voir également sur Le HuffPost: Hommage à Samuel Paty: à Conflans-Sainte-Honorine, ils racontent pourquoi ils sont venus marcher

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      Pour sa cérémonie d'investiture, Emmanuel Macron confrontés aux défis du temps

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 7 May, 2022 - 10:50 · 5 minutes

    Emmanuel Macron a été officiellement investi pour un second mandat ce samedi 7 mai à l'Elysée. Le général Puga lui présente ici le collier de la légion d'honneur.  Emmanuel Macron a été officiellement investi pour un second mandat ce samedi 7 mai à l'Elysée. Le général Puga lui présente ici le collier de la légion d'honneur.

    POLITIQUE - En l’absence de successeur à qui passer la main, le tapis rouge a été raccourci, mais les personnalités politiques, syndicales, religieuses ou proches du président se sont pressées toute la matinée à l’Elysée pour assister à la cérémonie d’investiture d’ Emmanuel Macron ce samedi 7 mai.

    Cinq ans jour pour jour après son élection de 2017, Emmanuel Macron a choisi, comme ses prédécesseurs réélus Jacques Chirac et François Mitterrand, une cérémonie qui se voulait “sobre”, a minima, sans remontée des Champs-Élysées ni moment à la mairie de Paris, comme il y a cinq ans.

    La maire de Paris, Anne Hidalgo, est là, au second rang. Pas loin, Édouard Philippe, ancien Premier ministre avec qui les relations ne sont pas au beau fixe. Tout près du grand collier de la Légion d’honneur et de Brigitte Macron qui accompagne Richard Ferrand et Jean Castex, le gouvernement est au premier rang. Les têtes de Bruno Le Maire et d’Olivier Véran dépassent. Devant eux, le tailleur-pantalon vert de Roselyne Bachelot est très remarqué.

    Les anciens présidents, Nicolas Sarkozy et François Hollande sont côte à côte, mais vraisemblablement pas très heureux de se voir. Ils seront tous les deux remerciés pour leur présence par Emmanuel Macron lors de son discours.

    Paix, climat et démocratie, trois défis selon Fabius

    En proclamant les résultats, Laurent Fabius a usé d’un ton grave pour décliner face au président réélu les trois grands défis qui l’attendent. “La paix ou la guerre réimposée de façon criminelle sur notre continent”, “l’absolue urgence pour le climat et la biodiversité”, ainsi que “la démocratie” et son “corollaire, la justice sociale” dans les territoires de métropole et d’Outre-mer. C’est aussi l’ancien président de la Cop 21 et de l’accord historique de Paris en 2015 qui parle.

    Comme en écho, le discours du président de la République d’une dizaine de minutes ( visible en tête d’article ) a débuté sur ces mots: “rarement notre monde et notre pays n’ont été confrontés à une telle conjonction de défis”. Sur le fond, Emmanuel Macron a repris beaucoup des idées de son discours de victoire, le 24 avril au Champ de Mars.

    Rappelant les “sirènes des idéologies dont nous pensions avoir fini à la fin du siècle dernier” pour qualifier sans le nommer le projet de sa concurrente du second tour Marine Le Pen, le président s’est félicité que le peuple français ait choisi “un projet d’avenir, fidèle à l’esprit des Lumières qui s’inscrit dans l’histoire de notre République”. “Ce choix souverain m’oblige”, a-t-il redit, comme au soir de sa victoire.

    Les Français ont fait le choix d'un projet d'avenir. Emmanuel Macron, lors de son discours d'investiture

    Dans la veine de ses promesses d’une nouvelle forme de gouvernance, le président réélu a décrit ainsi la situation: “Le peuple français n’a pas prolongé le mandat (...) Ce peuple nouveau, différent, a confié à un président nouveau un mandat nouveau”. Une façon de poursuivre la réinvention qu’il a promise tout au long de l’entre-deux-tours, sans vraiment en dessiner les contours à ce stade.

    Quelques mots-clés permettent d’y voir un peu plus clair - et lui seront forcément ressortis en cas de promesse non tenue -, alors que le projet pour l’école et la réforme des retraites crispent déjà ses opposants. “Rassemblement, respect considération et association de tous”, a décrit le président sortant. Il promet encore “une méthode nouvelle, loin des rites usés” et “un nouveau contrat” avec l’engagement de tous.

    “Agir” en anaphore

    Pour autant, “rassembler et pacifier ne sauraient signifier accepter de ne plus rien faire”, a-t-il déclaré, en énumérant ses prochaines actions avec le verbe “agir”, en anaphore. Agir pour “le plein emploi”, pour “faire de notre pays la grande puissance écologique” ou encore pour “réunir et rassembler nos territoires”.

    Un discours qui devait “donner du sens”, selon l’Élysée quelques jours plus tôt et qui a parfois pris des airs de politique générale, pourtant censée être évitée. “Ça été ajouté à la dernière minute”, a décrypté auprès HuffPost Jonathan Guémas, plume du président qui écoutait le discours sans regarder les écrans, concentré sur les paroles auxquelles il contribue. “C’est toujours le président”, a-t-il évacué de manière réservée, mais souriante.

    Dans ce discours qui marque le début du second quinquennat, Emmanuel Macron a multiplié les promesses. “Chaque jour du mandat qui s’ouvre; je n’aurai qu’une boussole: servir”, a-t-il proclamé. “À nos enfants et notre jeunesse, je fais le serment de léguer une planète plus vivable et une France plus vivante et plus forte”, a-t-il conclu, devant notamment une classe de collégiens de l’Oise accompagnée de leur professeur. Des soignants étaient aussi dans l’assistance pour rappeler la crise du Covid traversée par le pays ainsi que l’emblématique président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy.

    Parmi les invités, Marisol Touraine, ancienne ministre de François Hollande en charge des Affaires sociales et récent soutien d’Emmanuel Macron a pris le temps d’échanger longuement avec le président au moment des salutations après le discours, jusqu’à alimenter les indices que beaucoup cherchent alors que le nom du Premier ministre ne sera pas connu avant le 13 mai, veille de la fin du premier mandat d’Emmanuel Macron.

    À voir également sur Le HuffPost: Toutes ces fois où Emmanuel Macron a promis de changer sa manière de gouverner

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      La cérémonie d'investiture d'Emmanuel Macron se tiendra samedi 7 mai

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 3 May, 2022 - 13:12 · 2 minutes

    Emmanuel Macron le 14 mai 2017, après la cérémonie d'investiture à l'Elysée. Emmanuel Macron le 14 mai 2017, après la cérémonie d'investiture à l'Elysée.

    POLITIQUE - Elle devait avoir lieu au plus tard le 13 mai. La cérémonie d’investiture d’ Emmanuel Macron aura finalement lieu ce samedi 7 mai, deux semaines après le second tour de l’ élection présidentielle , selon des informations de RTL confirmées par BFMTV et Le Figaro .

    Réélection oblige, la cérémonie sera plus courte qu’à l’accoutumée. Alors que la tradition prévoit que le président sortant accueille son successeur d’une poignée de main sur le perron de l’Élysée, Emmanuel Macron sautera évidemment cette étape. Exit aussi l’entretien de passation de pouvoirs et l’échange des codes nucléaires, ainsi que le traditionnel départ du président sortant, sous les flashs des photographes.

    Le président réélu devrait se rendre directement dans la salle des fêtes de l’Élysée pour se voir présenter le grand collier en or de la Légion d’honneur. S’enchaîneront ensuite la proclamation officielle des résultats définitifs de l’élection présidentielle, puis un court discours du président.

    ″À l’issue de cette cérémonie, le Président de la République se rend sur la terrasse du parc en compagnie du Premier ministre et des présidents des deux assemblées”, précise le site de l’Élysée. Après avoir reçu les honneurs de la garde républicaine et après le retentissement de la Marseillaise, le Président passe les troupes en revue. Vingt-et-un coups de canon sont aussi traditionnellement tirés depuis l’hôtel national des Invalides. Un honneur auquel avaient tour à tour renoncé François Mitterrand et Jacques Chirac lors de leur réélection.

    En 2002, Jacques Chirac ne souhaitait rien d’autre qu’une cérémonie protocolaire, sobre et rapide pour sa réinvestiture. Vingt ans plus tard, Emmanuel Macron en fera-t-il de même? Le reste du programme de la journée reste pour le moment inconnu. En 2017, Emmanuel Macron avait choisi de remonter l’avenue des Champs-Élysées dans un véhicule militaire . Il était descendu de voiture quelques mètres avant la fin de son parcours pour se rendre à pied -et sous la pluie- devant la tombe du Soldat inconnu. Une météo capricieuse qui pourrait refaire des siennes ce samedi.

    À voir également sur le HuffPost : Toutes ces fois où Emmanuel Macron a promis de changer sa manière de gouverner

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      Valérie Rabault explique pourquoi elle a refusé Matignon

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 3 May, 2022 - 12:57 · 1 minute

    Valérie Rabault, présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a refusé Matignon. Valérie Rabault, présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a refusé Matignon.

    POLITIQUE - Est-ce un poste qui se refuse? Emmanuel Macron a en tout cas bien du mal à convaincre certaines personnalités issues du Parti socialiste de devenir Première ministre .

    Après Véronique Bédague, ancienne directrice de cabinet de Manuel Valls à Matignon, qui a décliné la proposition selon nos confrères du Parisien , c’est Valérie Rabault, actuelle présidente du groupe socialiste à l’Assemblée nationale qui vient de dire non à l’un des postes les plus prestigieux de la République, occupé une seule fois par une femme, Édith Cresson, en 1991-1992.

    “Je suis toujours fidèle à mes idées”, explique la députée du Tarn-et-Garonne au HuffPost , confirmant les informations de BFMTV. Contactée la semaine dernière, la spécialiste des finances publiques a décliné en raison de la réforme des retraites.

    “Je suis toujours fidèle à mes idées”

    “Ils feront la retraite à 65 ans, c’est contraire à mes convictions”, explique la responsable politique de 49 ans. “Je suis élue d’une circonscription rurale, quand je vois les petites retraites des agriculteurs, je ne peux pas défendre un tel texte”, ajoute-t-elle auprès du HuffPost .

    À propos de l’accord en cours de négociation par le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, avec les Insoumis en vue des élections législatives, la députée du Tarn-et-Garonne évacue: “je n’ai pas la moindre idée de ce qu’il y a dans cet accord”.

    Dans son département, Marine Le Pen est arrivée en tête au premier et au second tour avec 52,2% des voix le 25 avril dernier face à Emmanuel Macron. Dans sa circonscription, au premier tour, la candidate de son parti, Anne Hidalgo n’ a recueilli que 2,2% des voix.

    À voir également sur Le HuffPost : Le résultat d’Anne Hidalgo signe une déroute historique du PS

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      Adèle Exarchopoulos raconte cette anecdote très gênante à l'Élysée

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 2 May, 2022 - 10:54 · 2 minutes

    En plus de la Palme d En plus de la Palme d'Or, Adèle Exarchopoulos a remporté la Palme de la pire honte avec cette anecdote face à François Hollande.

    INSOLITE - “Elle a bu le rince-doigts!” Adèle Exarchopoulos a raconté la fois où elle a eu le plus honte de sa vie dans la dernière vidéo de Mcfly et Carlito le 1er mai sur Youtube. Et il est question de François Hollande!

    Devant Jonathan Cohen, Leila Bekhti ou Géraldine Nakache, tous les trois prochainement dans la série Le Flambeau , l’actrice est revenue sur un impair commis à l’Élysée en juin 2013. Alors âgée de 19 ans, Adèle Exarchopoulos venait de briller à Cannes avec Léa Seydoux dans La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche . Film pour lequel ils avaient tous les trois remporté la Palme d’or, une première dans l’histoire du Festival.

    Invitée à l’Élysée pour célébrer ce succès, Adèle Exarchopoulos découvrait pour la première fois le lieu de résidence du président de la République. “Pour moi l’Élysée, c’est comme la Maison-blanche. On rentre et j’ai envie d’appeler mon père. Tout est grand”, se souvient la jeune actrice qui était surexcitée, rêvant d’installer “une tyrolienne pour aller aux toilettes”.

    “Même le rince-doigts est bon” à l’Élysée!

    Arrivée à la fin du repas, l’actrice commet une boulette qui n’a pas manqué de faire rire les autres invités. “Le serveur nous ramène le cocktail de fin de repas. Donc je me dis que c’est un limoncello. Il y a un pétale de rose, je me rappelle. Donc je le prends, je suis trop contente, j’ai l’impression d’être Audrey Hepburn (...) Et je le bois d’un coup.”

    Sauf qu’il ne s’agissait pas d’un limoncello. “J’entends un ricanement. Et je lève la tête et là je vois le président et sa compagne en train de se rincer les doigts dans le verre car c’était un rince-doigts. Même le rince-doigts est bon”, a raconté celle qui était à l’affiche dans Bac Nord en 2021, provoquant les rires de la salle. Une séquence à découvrir dans la vidéo ci-dessous (dès 30:00).

    Adèle Exarchopoulos s’est depuis habituée aux cocktails très chics (et aux rince-doigts), notamment lors des cérémonies où l’actrice a brillé, comme les César. Elle avait d’ailleurs remporté le prix du meilleur espoir féminin en 2014 pour La vie d’Adèle. L’histoire ne dit pas en revanche si du limoncello était aussi servi à cette soirée.

    À voir également sur Le HuffPost: Emmanuel Macron a attendu la rentrée pour tenir sa promesse faite à McFly et Carlito