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      Toyota, objectif zéro accident

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 23 June, 2022 - 08:00 · 2 minutes

    Toyota Toyota

    Alors que 1,35 million de personnes perdent la vie sur les routes chaque année, l’objectif zéro accident est au cœur de la philosophie du groupe. Dans le cadre de sa mue en entreprise de mobilité, la sécurité est un des objectifs primaires de Toyota. Elle se divise en trois grands pôles : la formation des personnes, l’amélioration des infrastructures et l’innovation au sein des véhicules, cœur de métier de Toyota.

    T-Mate, un compagnon contre les accidents

    Afin de réunir l’ensemble de ses technologies liées à l’aide à la conduite ou à la sécurité, Toyota a imaginé T-Mate, une appellation unique pour un myriade de solutions. On retrouve sous ce nom des dispositifs discrets et puissants pour une conduite plus sereine. Les systèmes de précollision y côtoient une aide à la lecture des panneaux de signalisation. Le régulateur de vitesse adaptatif, les assistants de trajectoire ou la gestion automatique des feux intègrent également T-Mate. Le système de stationnement autonome, la vision à 360°, l’avertisseur de circulation arrière ou les radars de stationnement anticollision facilitent grandement le parking. Enfin, l’avertisseur d’angles morts ou le système de feux de route adaptatifs viennent compléter une gamme d’outils à la pointe des technologies de sécurité, capable de s’adapter à la plupart des dangers de la route.

    Une philosophie : augmenter l’humain.

    Ce foisonnement d’innovations technologiques répond à une philosophie plus globale qui consiste à toujours s’appuyer sur l’humain et les besoins réels des personnes pour imaginer le futur des mobilités. Le célèbre Toyota Human Model for Safety (THUMS) incarne cette volonté depuis 1997. Ce modèle virtuel de corps humain, qui en est aujourd’hui à sa sixième version, permet en effet de simuler la réaction d’un corps humain à un accident, et donc d’optimiser la conception des différentes solutions de sécurité. T-Mate, en simplifiant la compréhension des technologies, s’inscrit également dans cette recherche permanente de proximité. Il incarne - dès son nom - la volonté de créer des systèmes pensés pour l’utilisateur, qui ne sont pas invasifs et ne s’opposent pas à l’autonomie individuelle ou au plaisir de conduite. Ainsi, la sécurité imaginée par Toyota ne se substitue pas au chauffeur, elle augmente simplement ses capacités de réaction et l’accompagne dans son pilotage.

    Ce contenu de marque fait partie de notre rubrique “En Transit.ion” soutenue par Toyota.
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      À Lyon, un vélo inclusif pour rouler avec son propre fauteuil roulant

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 19 May, 2022 - 06:00 · 4 minutes

    MOBILITÉS - “Sans lui, je n’irai jamais en centre-ville toute seule”. À Lyon , la vie quotidienne de Virginie Béjot a drastiquement changé depuis qu’elle utilise “Benur”. Un tricycle qui lui permet de faire du vélo en restant dans son propre fauteuil roulant et sans l’intervention d’une tierce personne. Un gain d’autonomie et de liberté.

    Ce n’est pas un cargo, ni un triporteur mais bien un vélo individuel adapté aux personnes à mobilité réduite. Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo , ce “handbike” (contraction des mots handicap et vélo en anglais) ne se pédale pas avec les pieds mais avec les mains, pour s’adapter à tous les profils.

    “Ce n’est absolument pas fatigant de maindaler. Je fais même du sport, c’est bon pour moi.” souligne la jeune femme. “Au pire, je peux avancer simplement avec le bouton accélérateur”. Le tricycle est un VAE, vélo à assistance électrique , qui se recharge en maindalant, avec une autonomie de 80 kilomètres. Sa rampe permet donc à une personne en fauteuil de s’y installer seule et de rouler “comme tout le monde”.

    Un vélo entre 6000 et 8000 euros

    L’engin a été imaginé par Joseph Mignozzi à la suite d’un accident de la route, en 2012, il se retrouve en fauteuil roulant pendant plus de deux ans. “Du jour au lendemain, je ne pouvais plus utiliser mon propre vélo et encore moins les vélos en libre-service en bas de chez moi”, déplore l’ancien restaurateur.

    L’homme de 49 ans fabrique alors son premier prototype et l’utilise pour ses propres besoins. Avec l’aide de médecins rééducateurs et après plusieurs modèles, la première série de vélo est fabriquée en 2020. Depuis, douze vélos sont disponibles au grand public, à Chambery, sur la gigantesque piste cyclable “ViaRhôna” et bientôt une dizaine de tricycles dans la métropole de Lyon.

    Les vélos sont vendus aux collectivités entre 6000 et 8000 euros selon les modèles. Ces dernières choisissent les modes de location. “Mon objectif est que tout le monde puisse avoir accès au vélo sans avoir à supporter le poids financier”, nous indique Joseph Mignozzi.

    30% d’utilisateurs valides

    Autre ambition pour le créateur de “Benur”, “casser la barrière entre deux mondes”, celui des personnes en situation de handicap et celui des personnes dites valides. Le vélo est dit “inclusif”, il peut accueillir des personnes dites valides grâce à ces sièges amovibles. Selon l’entreprise, ils seraient 30% à utiliser le tricycle.

    Les solutions adaptées au monde du handicap étaient “très mal et très peu utilisées” car trop stigmatisantes , selon lui. Avec les vélos déjà existants, “on remarque encore plus dans la rue les personnes en fauteuil roulant, il fallait changer cela”, conclut-il.

    Un pari réussi sur tous les tableaux pour Virginie Béjot. Plus en sécurité car plus en hauteur sur le tricycle, la quadragénaire a pris l’habitude de rouler avec des personnes valides: “C’est agréable, on partage le même outil, de la même manière. On est à égalité.”

    Cette vidéo fait partie de notre série de vidéos “En Transit.ion” . Comment se déplacera-t-on (mieux) demain? Retrouvez nos sujets et reportages sur cette page . Cette série de vidéos est soutenue par Toyota. Vous pouvez consulter notre charte des partenariats ici. Une idée, une information à partager pour cette série de reportages? Vous pouvez nous écrire à l’adresse entransition@huffpost.fr

    À voir également sur Le HuffPost: Ce harnais intelligent pourrait changer le quotidien des personnes aveugles


    Une intelligence artificielle utilisée dans les véhicules autonomes

    Depuis, l'appareil de 900 grammes en est à son quatrième prototype. Composé de trois caméras stéréos, pour la profondeur de champ, et infrarouges pour une vision de nuit, il utilise une intelligence artificielle capable de prédire les flux à la manière des véhicules autonomes. Les données sont transformées en sons 3D dans le casque de l'utilisateur.

    "ll y a trois grandes catégories d'obstacles: les véhicules, les personnes et les mobiliers urbains." détaille Bruno Vollmer, "Nous utilisons la technique HRTF, fonction de transfert relative à la tête (ndlr), pour donner une sensation de sons 3D et que la personne comprenne ainsi son environnement."

    Vers un remboursement par l'Assurance Maladie

    Le harnais a déjà été testé par plus de soixante-dix personnes aveugles ou malvoyantes aux États-Unis et en Europe avec la participation d'associations et ainsi que l'hôpital ophtalmique de Lausanne. Son objectif n'est pas de remplacer la canne ou le chien guide mais d'apporter "une aide complémentaire, notamment lors de déplacements dans des environnements nouveaux et inconnus " précise Maël Fabien.

    L'appareil sera proposé à un prix unique de 2900 euros ou via un abonnement d'une centaine d'euros par mois jusqu'au remboursement. Mais dans plusieurs pays européens, comme la France, " Biped" pourrait être remboursé par la sécurité sociale. "Nous travaillons à la classification du harnais en dispositif médical de classe 1, c'est-à-dire un détecteur d'obstacle" détaille le jeune entrepreneur, "les premiers pays concernés devraient être la Suisse, les Pays-Bas ou encore la France. "

    Son logiciel continuera être modifié et amélioré en prenant en compte les remarques des utilisateurs qui feront eux-même les mises à jour via le bluetooth de leur téléphone. La commercialisation en Europe de "Biped" devrait commencer en septembre 2022 avant de s'attaquer au marché américain.">
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      Toyota, le numérique au service de la mobilité

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 6 May, 2022 - 12:46 · 2 minutes

    Rares sont les grandes organisations qui n’intègrent pas une dimension logicielle, qui peuvent survivre sans algorithmes puissants, ou qui n’embauchent aucun développeur. Toyota ne déroge pas à la règle et s’impose aujourd’hui comme un acteur des technologies numériques à part entière, toujours dans l’optique de faciliter les mobilités pour tous.

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    Le numérique est partout

    Le logiciel est devenu le centre névralgique de nos mobilités. Quelle que soit l’application, les technologies numériques permettent aujourd’hui d’optimiser le fonctionnement ou l’usage des véhicules. La connexion est devenue la norme et une voiture contemporaine compte environ 50 unités de commande électronique pour plus de 1000 puces.

    Les apports de cette “technologisation” des mobilités sont fondamentaux. Les données sont mises à profit dans l’optimisation de la consommation des véhicules, en particulier électriques. L’intelligence artificielle permet d’anticiper les accidents et d’automatiser les réactions des véhicules. Enfin, le smartphone est devenu la télécommande de nos mobilités à la demande, à travers des applications dédiées et multimodales.

    Toyota en pionnier

    L’internalisation des compétences les plus importantes est un des grands principes de Toyota. Comme l’explique Keiji Yamamoto, Président de Connected Company, “il faut d’abord essayer par soi-même afin de comprendre les grands principes” . Fort de ce mantra, le groupe a mis en œuvre les moyens nécessaires au développement de technologies performantes. À terme, 18 000 personnes travailleront au développement de logiciels chez Toyota Motor Corporation, Toyota Connected, Woven Planet ou au Toyota Research Institute.

    Dans les faits, ces déploiement technologiques doivent être mis au service des personnes en proposant une véritable plus-value ou une expérience plus humaine. Toyota développe par exemple un système de gestion de flotte capable de répartir les véhicules en fonction des besoins réels. Les technologies de maintenance prédictive laissent imaginer une durée de vie allongée pour les véhicules. Le groupe s’est associé à la startup Aurora afin de développer des robotaxis autonomes. L’application MyT propose toute une gamme de services pour planifier les trajets, localiser les véhicules ou optimiser la conduite…

    Destinées à l’usager final ou cachées sous le capot des véhicules, les technologies connectées doivent cependant rester un outil, mis au service d’un projet global : la construction d’une véritable entreprise de mobilité.

    Ce contenu de marque fait partie de notre rubrique “En Transit.ion” soutenue par Toyota.
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