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      Repris par Intersport, Go Sport souffle après des mois compliqués

      news.movim.eu / Mediapart · Friday, 28 April, 2023 - 17:43


    Go Sport va finalement être repris par son concurrent Intersport, qui s’est engagé à conserver 90% des emplois. Un moindre mal quand on sait que Go Sport était il y a peu au bord de la faillite, plombé par la gestion financière douteuse de son ancien actionnaire, l’homme d’affaires Michel Ohayon.
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      Les défenseurs de Bernard Arnault, entre mensonges et omissions

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 26 April, 2023 - 17:07


    La moindre critique émise à l’endroit de Bernard Arnault suscite l’ire des défenseurs du camp du capital, pour qui le PDG de LVMH est un bienfaiteur pour la France. Mais il y a beaucoup à redire sur les arguments employés pour le défendre.
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      Bernard Arnault, un appétit insatiable de pouvoir et d’argent

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 26 April, 2023 - 16:43


    Au sommet des plus grandes fortunes du monde, le PDG de LVMH poursuit une accumulation capitalistique sans limites. Après avoir cadenassé le contrôle familial du groupe, il entend étendre encore son emprise dans le secteur du luxe, repoussant sans cesse les frontières de son pouvoir.
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      En difficulté, la coopérative Railcoop change de dirigeants

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 26 April, 2023 - 10:15


    La compagnie ferroviaire citoyenne devrait lancer sa ligne Bordeaux-Lyon à l’été 2024, après de nombreux reports. Un signe parmi d’autres des difficultés rencontrées par cette coopérative lotoise, dont la direction va bientôt changer, comme le révèle notre partenaire Mediacités.
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      Banquiers et avocats vont croquer 85 millions d’euros pour restructurer Orpea

      news.movim.eu / Mediapart · Tuesday, 18 April, 2023 - 18:35


    Au bord de la faillite après les révélations du livre «Les Fossoyeurs», Orpea, ses actionnaires et ses créanciers ont fait appel à de multiples conseils juridiques et financiers pour élaborer un plan de restructuration. Une note salée de 85 millions d’euros qu’Orpea va prendre en charge.
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      Les milliardaires font main basse sur l’économie du livre

      news.movim.eu / Mediapart · Monday, 3 April, 2023 - 17:11


    Vincent Bolloré, qui veut racheter Hachette à Lagardère, va céder Editis à Daniel Kretinsky, par ailleurs principal actionnaire de la Fnac, premier libraire de France. Preuve que l’économie du livre est toujours plus concentrée entre les mains de quelques-uns.
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      Engie: des dividendes records malgré des résultats en trompe-l’œil

      news.movim.eu / Mediapart · Monday, 3 April, 2023 - 10:07


    Loin de la confiance affichée, le groupe aurait été en perte sans la cession d’Equans et la créance d’un milliard versée par l’État au nom du bouclier tarifaire. Et pour verser de généreux dividendes à ses actionnaires, le groupe va à nouveau puiser dans ses fonds propres.
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      Comment repérer les mauvaises entreprises ?

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Sunday, 12 March, 2023 - 04:00 · 3 minutes

    Les mauvaises entreprises font peur. On ne veut pas y travailler . On ne veut pas y investir. On ne veut même pas leur acheter quoi que ce soit. Mais comment les repérer ? Il existe deux visions antagonistes. Mais quelques indices convergents.

    Deux écoles de pensée incompatibles

    Qu’est-ce qu’une mauvaise entreprise ? Il existe deux écoles de pensées, incompatibles :

    Première école de pensée : une mauvaise entreprise est une entreprise qui…

    • Ne fait pas assez de bénéfices
    • N’optimise pas assez fiscalement
    • Ne met pas assez la pression sur ses fournisseurs
    • Ne gruge pas assez ses clients
    • Ne fait pas assez travailler ses salariés

    Deuxième école de pensée : une mauvaise entreprise est une entreprise qui…

    • Fait trop de bénéfices
    • Optimise trop fiscalement
    • Met trop de pression sur ses fournisseurs
    • Gruge trop ses clients
    • Fait trop travailler ses salariés

    Ces deux écoles de pensée ont des visions antagonistes du meilleur des mondes. Les deux voient la même chose et sont d’accord sur ce qu’elles voient. C’est juste qu’elles n’ont pas les mêmes attentes : quand l’une est déçue, l’autre est satisfaite. Quand l’une a trop, c’est parce que l’autre n’a pas assez.

    Aux extrêmes de ces deux écoles de pensée, il existe même des visions irréconciliables.

    La mouche du coche et l’homoncule

    À l’un des extrêmes, on estimera que le salarié se prend pour la mouche du coche, il croit savoir quelle est la bonne direction à prendre alors qu’il ne sait même pas où il se trouve, un genre de yakafocon qui n’a rien compris aux subtilités de la vie économique et ferait mieux de retourner bosser plutôt que d’errer à la machine à café.

    À l’autre extrême, on estimera que le boss se prend pour un homoncule, regardant les acteurs jouer la pièce tragicomique qu’il a écrite pour eux, et qui le soir rentre chez lui pour se goberger autour du triclinium en compagnie de ses amis. Et tout ça sur le dos de ceux qui travaillent vraiment et qui se font enfumer.

    Ces deux extrêmes ont donc eux aussi une vision très précise de ce qui caractérise une mauvaise entreprise. L’évidence leur saute aux yeux et paralyse la démonstration. Sauf que cette évidence n’est pas la même pour les deux. A priori, tout débat constructif entre les deux parties semble un défi impossible à relever. On ne le relèvera pas.

    Mais tout n’est pas perdu.

    Car il existe bien quelques indices susceptibles de rabibocher tout le monde. Comme des prodromes trahissant la mauvaise santé d’une entreprise, incontestablement, comme si l’expertise et la contrexpertise livraient alors la même conclusion. Ces indices n’ont rien à voir avec une analyse obéissant aux critères financiers ou extrafinanciers traditionnels. Ils n’ont rien à voir non plus avec les critères plus exotiques identifiés par la recherche académique et susceptibles d’identifier les entreprises qu’il ne faut surtout pas détenir dans son portefeuille d’actions.

    Non, ces critères sont beaucoup plus simples et parlent à tout le monde, je crois.

    Une mauvaise entreprise se caractérise par

    • Cuvettes des toilettes dégueulasses dès 10 heures du matin
    • Ratio têtes de cons croisées dans les couloirs/têtes croisées
    • Ratio décisions débiles/décisions nécessaires
    • Ratio tâches insignifiantes/tâches nécessaires
    • Ratio mails reçus/mails utiles
    • J’ai une idée, pas deux
    • Nombre de comités qui se terminent en étant moins informé qu’au début
    • Sensation du tapis roulant ou pédaler dans le vide
    • Word et excel mettent deux plombes à s’ouvrir
    • Ça sent la cantoche à l’entrée dès 9 heures du matin
    • « Cette année est difficile, mais l’année prochaine sera meilleure »

    Tous ces critères réunis donnent une forme de « mauvaise haleine » à l’entreprise, qu’on n’a donc pas forcément envie de croiser dans l’ascenseur ou avec qui on souhaiterait engager une conversation.

    «… Les façades […] exhalaient une chaleur lourde de serre chaude […]toujours brisées par les cris et les clameurs sans fin, par le bourdonnement et le grondement de la bête collective en train de respirer, elle ne cessait pas d’être immobile : […] c’était l’haleine de la ville, unique et lourde exhalaison de la vie resserrée entre des blocs de pierre, et sa fausse vitalité putride, humus de l’existence, proche de la décomposition… » La mort de Virgile – Ermann Broch

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      Michel Ohayon s’accroche à Go Sport et Gap France

      news.movim.eu / Mediapart · Friday, 10 March, 2023 - 10:46


    L’homme d’affaires Michel Ohayon va présenter une offre de redressement pour Go Sport et Gap France. Deux enseignes qu’il a pourtant envoyées en dépôt de bilan en février. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour les salariés, qui ne veulent plus être sous la coupe du sulfureux magnat de l’immobilier.
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