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      Dune: Part Two review – second half of hallucinatory sci-fi epic is staggering spectacle

      news.movim.eu / TheGuardian · Wednesday, 21 February - 17:00 · 1 minute

    Denis Villeneuve’s monumental adaptation expands its extraordinary world of shimmering strangeness. It’s impossible to imagine anyone doing it better

    The second part of Denis Villeneuve’s monumental Dune adaptation lands with a sternum-juddering crash; it’s another shroom of a film, an epic sci-fi hallucination whose images speak of fascism and imperialism, of guerrilla resistance and romance. Villeneuve’s adaptation of Frank Herbert’s 1965 novel – working with co-writer Jon Spaihts – draws on David Lean, George Lucas and Ridley Scott’s Gladiator in the (perhaps inevitable) mega-stadium combat scene with the tiny billions of CGI crowds in the bleachers. But he really has made it all his own: secular political cruelty meets Indigenous people’s struggle in those vast mysterious planetscapes. The sound design throbs and drones in this film’s bloodstream, lending a queasy frisson to its extraordinary visual spectacle and the recurrent horror-fetish BDSM chic which appears to govern so much intergalactic-wrongdoer style.

    My only reservation is that some of the momentum that the first part had built up has been lost since that movie was released more than two years ago. Those outside the existing Dune fanbase could feel that the ending does not deliver the resounding closure to which we all might, maybe naively, consider ourselves entitled to at the end of 330 minutes total screen time. And the final eventful moments of the film feel a bit rushed, as if Shakespeare had decided to shrink Henry VI Part III into a zappy coda to go at the end of Part II.

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      Florence Pugh dézingue ceux qui s'en prennent à sa "poitrine plate"

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 11 July, 2022 - 10:05 · 2 minutes

    Anna Wintour et Florence Pugh assistent au défilé Valentino, le 8 juillet 2022 à Rome. Anna Wintour et Florence Pugh assistent au défilé Valentino, le 8 juillet 2022 à Rome.

    CORPS DES FEMMES - “Libérez nos seins!”. Florence Pugh a profité du show Valentino pour donner une petite leçon de pédagogie sur le corps des femmes , ce vendredi 8 juillet. Alors que la maison présentait sa collection Automne-Hiver 2022-2023 à Rome, l’actrice de Little Women est apparue dans une robe entièrement rose et transparente, laissant apparaitre ses seins.

    “Techniquement, ils sont couverts?”, ironise-t-elle dans un post Instagram publié ce dimanche 10 juillet. À travers cette tenue et un long texte expliquant sa démarche, Florence Pugh dénonce le body shaming régulièrement subi par de nombreuses femmes, dont elle.

    “C’était très intéressant d’observer la manière dont les hommes peuvent détruire aussi facilement le corps d’une femme, publiquement, fièrement, et de façon à ce que tout le monde en soit témoin. Vous le faites même sous votre statut professionnel, et dans vos emails...”, s’indigne-t-elle.

    Totalement consciente que cette robe allait provoquer de nombreux commentaires, “qu’ils soient négatifs ou positif”, l’actrice avait “hâte de la porter, sans aucune nervosité. Je n’étais stressée ni avant, ni pendant, ni après”, ajoute-t-elle.

    “Pourquoi avez-vous si peur de nos seins?”

    “Ce n’est pas la première fois, et certainement pas la dernière, qu’une femme entend des critiques sur son corps, venant d’une foule d’inconnus. Je m’inquiète seulement de la vulgarité de certains hommes. (...) Vous êtes tellement à vouloir m’indiquer de manière agressive à quel point vous êtres déçus par mes ‘petits seins’. Je devrais également être embarrassée par ma ‘poitrine plate’”, s’indigne-t-elle.

    Alors à l’inverse, l’actrice a décidé d’exposer fièrement la poitrine dont elle devrait avoir honte selon ses détracteurs. “Je vis dans mon corps depuis un bout de temps, je suis parfaitement au courant de ma taille de poitrine et je n’en ai pas peur. (...) Je suis heureuse de tous les ‘défauts’ que je ne pouvais pas supporter quand j’avais 14 ans”, affirme-t-elle.

    Florence Pugh en vient finalement à poser les questions qui se cachent derrière tant de réactions aussi impliquées. “Ce qui est bien plus inquiétant, c’est... Pourquoi avez-vous aussi peur de nos seins? Petits? Gros? Gauche? Droite? Un seul? Peut-être aucun?”, demande-t-elle.

    “Que vous est-il arrivé pour que vous soyez autant dérangés par la taille de ma poitrine, ou par mon corps...? (...) C’est tellement effrayant”, ajoute-t-elle. “Grandissez. Respectez les autres et leurs corps. Respectez toutes les femmes”, conclut-elle.

    À voir également sur Le HuffPost: À Cuba, les rares femmes DJ se fraient un chemin dans une île empreinte de sexisme