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      Après 5 greffes de visage, ce chirurgien vient de réussir la première greffe d’un oeil

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Wednesday, 15 November - 11:00

    Chirurgie Greffe Oeil Medecine

    Les équipes autour du Dr Rodriguez viennent de réussir un nouvel exploit. Elles ont greffé un oeil humain entier et ont réussi à le raccorder au système nerveux.

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      La seconde transplantation d’un cœur de porc vers un humain n’aura tenu que 6 semaines

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 1 November - 14:41

    Lawrence Faucette, 58 ans, est décédé six semaines après avoir reçu une greffe de cœur de porc génétiquement modifié, une opération expérimentale menée par des médecins du Maryland. Malgré un début prometteur, l'organe aurait été rejeté par son corps. [Lire la suite]

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      Des chercheurs ont ramené les cellules de cochons morts à la vie

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 4 August, 2022 - 14:30

    cochon-158x105.jpg

    Ces travaux pourraient permettre à davantage de patients de bénéficier des greffes d'organes dont ils ont tant besoin.

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      La toute première oreille imprimée en 3D a été greffée sur un humain

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 3 June, 2022 - 16:30

    ear-158x105.jpg

    Cette esgourde artificielle imprimée en 3D à partir du cartilage de la patiente témoigne des avancées spectaculaires de ce pan de la médecine.

    La toute première oreille imprimée en 3D a été greffée sur un humain

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      Un implant d'oreille imprimé à partir de cellules humaines greffé pour la première fois

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 3 June, 2022 - 11:00 · 2 minutes

    Un bioimplant d'une oreille externe imprimé en 3D - 3D Bio Therapeutics Un bioimplant d'une oreille externe imprimé en 3D - 3D Bio Therapeutics

    SCIENCE - Pour la première fois, jeudi 2 juin, une équipe médicale américaine a greffé un implant d’ oreille humaine créé à partir des cellules de la patiente soignée et à l’aide d’une imprimante 3D . Une procédure qui doit pouvoir aider les personnes souffrant d’une rare malformation à la naissance.

    Cette opération a été réalisée dans le cadre d’un essai clinique destiné à évaluer la sûreté et l’efficacité d’un tel implant pour les personnes atteintes de microtie, c’est-à-dire dont l’oreille externe (le pavillon) ne s’est pas développée correctement.

    Une opération encore à l’essai

    La procédure est réalisée en créant une empreinte 3D de l’autre oreille pleinement développée du patient, puis en collectant des cellules du cartilage de son oreille. Celles-ci sont ensuite mises en culture pour en obtenir une quantité suffisante, puis elles sont mélangées à un hydrogel de collagène. C’est ce mélange qui est utilisé pour imprimer l’implant.

    L’implant est entouré par une coque imprimée et biodégradable pour le soutenir, qui est absorbée par le corps du patient avec le temps.

    L’oreille greffée est supposée au fil du temps développer l’aspect et le toucher d’une oreille naturelle, y compris son élasticité.

    L’essai clinique doit comprendre au total 11 patients, en Californie et au Texas.

    Un espoir pour des formes de microtie plus graves

    “En tant que médecin ayant traité des milliers d’enfants atteints de microtie à travers le pays et le monde, je suis enthousiasmé par cette technologie et ce qu’elle pourrait signifier pour les patients et leurs familles”, a déclaré le chirurgien Arturo Bonilla, fondateur d’un institut spécialisé dans le traitement de cette malformation, à San Antonio, au Texas.

    Il dit espérer que cet implant puisse un jour remplacer les traitements existants, qui impliquent la création d’une prothèse à partir du prélèvement de cartilage d’une côte, ou d’une substance appelée polyéthylène poreux.

    La première solution est une procédure lourde, et l’implant utilisant le polyéthylène poreux est moins flexible que celui testé aujourd’hui, a-t-il expliqué.

    La microtie touche environ 1.500 bébés aux Etats-Unis chaque année, selon 3DBio Therapeutics, l’entreprise qui a crée l’implant. S’ils ne présentent pas d’autres problèmes de santé, ces enfants peuvent vivre tout à fait normalement. Mais certains peuvent mal vivre le regard des autres sur cette malformation.

    À l’avenir, 3DBio souhaite développer des implants pour des formes plus sévères de microtie.

    Les implants imprimés en 3D pourraient également être utilisés pour d’autres affections impliquant du cartilage, notamment des défauts ou des blessures au nez, des reconstructions mammaires ou un ménisque endommagé au genou.

    À voir également sur Le HuffPost: Malgré un accident d’hélicoptère puis une chute, ce cœur a pu être greffé en Californie

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      Un foie a été greffé avec succès après trois jours hors du corps humain

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 2 June, 2022 - 07:00

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    Ces travaux pourraient améliorer la prise en charge des patients en attente de greffe de foie, et à terme, d'autres organes.

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      Le premier cœur de cochon greffé sur un humain était infecté par un virus

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 7 May, 2022 - 08:29

    Le MIT Technology Review révèle dans un article que l'organe du porc était infecté par un élément pathogène difficilement détectable. Ce virus pourrait être la cause de décès du patient. [Lire la suite]

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      Le premier cœur de porc greffé à un humain était porteur d’un virus

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 6 May, 2022 - 16:30

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    Aucun lien entre le décès du patient et le virus en question n'a été établi jusqu'à présent, mais les médecins veulent tout de même connaître le fin mot de l'histoire.

    Le premier cœur de porc greffé à un humain était porteur d’un virus

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      Le premier coeur de porc transplanté sur un humain était porteur d'un virus

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 5 May, 2022 - 16:03 · 3 minutes

    Pour la 1re fois, des chirurgiens ont réussi à greffer un coeur de porc sur un humain (photo de l'opération, le 7 janvier 2022) Pour la 1re fois, des chirurgiens ont réussi à greffer un coeur de porc sur un humain (photo de l'opération, le 7 janvier 2022)

    SANTÉ - Elle avait été saluée dans le monde entier. Le 7 janvier 2022, des chirurgiens avaient réussi à greffer sur un patient humain un coeur issu d’ un porc génétiquement modifié. La joie avait cependant été de courte durée puisque l’école de médecine de l’université du Maryland avait annoncé le décès de David Bennett deux mois après , le mardi 8 mars.

    Jusqu’à présent, la cause de sa mort n’avait pas été clairement identifiée. S’appuyant sur un nouveau rapport (qui n’a pas encore été rendu officiel), le MIT Technology Review affirme à présent qu’une réponse potentielle a été trouvée.

    Un virus porcin à l’origine ?

    “Nous commençons à comprendre pourquoi il est décédé”, explique pour la revue du MIT Bartley Griffith, chirurgien spécialiste des greffes de l’école de médecine de l’Université du Maryland qui a réalisé la transplantation. En effet, le cœur porcin de M. Bennett aurait été infecté par un virus porcin appelé cytomégalovirus, une infection évitable pouvant avoir des effets dévastateurs sur les greffes.

    Le cytomégalovirus est un virus endogène (naissant de l’intérieur, ndlr) à tous les porcs. Néanmoins, les chercheurs ont expliqué qu’ils n’avaient détecté aucune transmission de ce virus à l’homme ou aux primates non humains dans des études antérieures. Cependant, pour le docteur Griffith, ce virus ”était peut-être l’acteur, ou pourrait être l’acteur, qui a déclenché tout cela”.

    En effet, de précédentes recherches testant des techniques de greffe de porc à l’humain sur des babouins ont montré que les greffes de rein échouaient environ quatre fois plus rapidement lorsque le fameux virus porcin (cytomégalovirus) était présent. Une autre étude de 2020 menée aussi sur des babouins avait conduit à des résultats similaires.

    Il est néanmoins complexe de supprimer toute trace du virus, car les systèmes immunitaires du donneur sont généralement inhibés intentionnellement, afin de diminuer les risques de rejet. En effet, le système de défense d’un corps, humain comme animal, ne différencie pas les éléments étrangers, qu’il s’agisse d’un virus ou bien d’un organe.

    Une opération imparfaite, mais une avancée majeure

    Inédite, l’opération avait permis de montrer pour la première fois qu’un cœur d’animal pouvait continuer à fonctionner à l’intérieur d’un humain sans rejet immédiat. Pour ce faire, les scientifiques avaient modifié génétiquement le porc pour supprimer les gènes de l’animal, tout en ajoutant des gènes humains.

    Il s’agissait de l’opération de la dernière chance pour David Bennett, qui avait été déclaré inéligible à recevoir une greffe humaine. “C’était soit la mort, soit cette greffe. Je veux vivre. Je sais que c’est assez hasardeux, mais c’était ma dernière option”, expliquait le principal intéressé.

    Si la finalité est dramatique, cette opération permet néanmoins de nouveaux espoirs selon Bartley Griffith: “C’est une avancée chirurgicale majeure et qui nous rapproche encore un peu plus d’une solution à la pénurie d’organes”. En effet aux États-Unis, près de 110.000 Américains sont actuellement sur liste d’attente pour une greffe d’organe et plus de 6000 personnes qui auraient besoin d’une greffe meurent chaque année dans le pays.

    À voir également sur le HuffPost: Ces chimpanzés sont capables de se fabriquer des pansements avec des insectes