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      Greta Thunberg detained at The Hague climate demonstration

      news.movim.eu / TheGuardian · Saturday, 6 April - 14:20


    Climate activist detained after Extinction Rebellion protesters tried to block road near Dutch parliament

    Greta Thunberg was detained by police at a demonstration in The Hague, in the Netherlands.

    The climate activist was put in a bus by local police along with other protesters who tried to block a major highway into the city.

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      Swedish police forcibly remove Greta Thunberg from parliament entrance

      news.movim.eu / TheGuardian · Tuesday, 12 March - 09:14


    Thunberg and other activists dragged away from doorway they were obstructing in climate protest

    Swedish police have forcibly removed Greta Thunberg and other climate activists after they blocked the entrance to the Swedish parliament for a second day.

    Two officers lifted Thunberg and dragged her away before putting her down on the ground about 20 metres away from the door she had been obstructing.

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      Greta Thunberg joins climate protest blocking Swedish parliament

      news.movim.eu / TheGuardian · Monday, 11 March - 11:37

    Activist accuses Sweden of being ‘very good at greenwashing’ as group sits outside building’s main entrance

    Greta Thunberg has accused Sweden of being “very good at greenwashing” as she staged a protest along with about 50 other activists outside her home country’s parliament.

    The activists – who she said were acting as a group of concerned, largely young individuals rather than representing a particular organisation – sat outside the main entrance to Sweden’s government buildings in Stockholm on Monday morning in an attempt to stop politicians from getting to work.

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      Public transport workers join climate activists for week of strikes across Germany

      news.movim.eu / TheGuardian · Monday, 26 February - 13:40

    Verdi union in unusual alliance with Fridays For Future, founded by Greta Thunberg, over common goals

    Public transport workers across Germany are joining forces with climate activists for a week of strike action culminating in a collective nationwide walkout and climate protest on Friday.

    One of Europe’s largest trade unions, Verdi, which represents the majority of public transport workers in Germany, is collaborating with the youth-led Fridays for Future in what the organisations themselves admit is an unusual partnership, but one born out of recognition of their overlapping goals. More action on climate change requires greater investment in public transport, they argue.

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      What makes Elon Musk tick? I spent months following the same people as him to find out who fuels his curious worldview

      news.movim.eu / TheGuardian · Saturday, 23 September, 2023 - 06:00 · 1 minute

    Tucker Carlson, Greta Thunberg, Covid sceptics, military historians, the royal family … What would my time immersed in the Twitter/X owner’s feed reveal about the richest man in the world?

    What’s it like to be Elon Musk? On almost every level it is impossible to imagine – he’s just too much. Musk is the hands-on head of three mega-companies, one (Tesla) wildly successful, one (SpaceX) madly aspirational, one (Twitter/X) a shambles. He has plenty of other businesses on the side, including The Boring Company (which makes hi-tech tunnels), Neuralink (which makes brain-computer interfaces), and his current pet favourite xAI (mission: “To understand the true nature of the universe”). He is the on-again, off-again richest human being on the planet, his personal net worth sometimes fluctuating by more than $10bn a day as the highly volatile Tesla share price lurches up and down. He is the father of 11 children – one of whom died as an infant, and from one of whom he is currently estranged – with three different women, which to his own mind at least seems to make him some kind of family man. He has 155 million followers on Twitter/X (we’ll call it Twitter from now on for simplicity’s sake), which is more than anyone else. Only a very few people – Barack Obama (132 million), Justin Bieber (111 million) – can have any idea of what that is like.

    However, unlike Obama, who follows 550,000 accounts on Twitter, Musk follows only 415. That anyone can copy (or at least they could, before the platform recently changed its code so you can now only see a small handful of users’ followers rather than the full list). So that’s what I did, spending this past summer following the exact same accounts Musk follows and no one else, to see what the world looks like from inside his personal Twitter bubble. I wanted to be a fly on the wall in the room with the people who are shaping the thoughts of one of the most influential, and unpredictable, individuals on the planet. I should add that I’ve never followed anyone else on Twitter before – I’ve never even had a Twitter account – so it was all new to me. What can I say? It’s pretty mind-blowing.

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      Greta a ressuscité Einstein, par Jean-Paul Oury

      Frédéric Mas · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Sunday, 20 November, 2022 - 04:15 · 4 minutes

    L’écologisme comme idéologie illibérale avait trouvé son égérie avec Greta Thunberg , mais il semblerait, autant par commodité que par opportunité, que sa rhétorique ait glissé de l’antiscience au scientisme le plus étroit.

    Pour Jean-Paul Oury , qui signe un essai au titre évocateur Greta a ressuscité Einstein , c’est désormais au nom du « progrès scientifique » bien compris que les écolos cherchent à imposer leur vision du monde à l’ensemble de la population.

    La « science » comme idéologie

    La « science » dont se réclame Greta n’a pas grand-chose à voir avec l’ensemble des pratiques ordinaires des labos et des centres de recherches. Il s’agit plutôt d’un instrument politique, d’un élément de langage aux mains de ses thuriféraires pour imposer un certain nombre de politiques publiques délivrées comme autant de vérités révélées, indiscutables par le commun des mortels, entendez, ceux qui n’appartiennent pas aux classes dirigeantes technocratiques.

    Aux mains des technocrates, l’idéologie de la science dont se prévaut l’écologisme devient un système de domination imposant ses règles et s’opposant clairement aux institutions libérales et démocratiques.

    Une fois instrumentalisée politiquement, « la science » se fait la servante de plusieurs régimes politiques possibles poussés par les nouveaux militants écolo : la climatocratie, la covidocratie, la biodiversitocratie, la collapsocratie et l’algorithmocratie.

    La climatocratie se sert du réchauffement climatique bien réel pour installer la peur, étendre la sphère gouvernementale et produire des interdits. Le style catastrophiste qui en véhicule le message ne supporte aucune critique, aucun dissident et aucun pas de côté. Au nom du « consensus scientifique » sur le sujet, le pouvoir politique l’impose comme vérité révélée abolissant toutes les limites et les normes qui autrefois définissaient le gouvernement représentatif classique.

    La covidocratie repose sur les mêmes ressorts : s’appuyer sur une pandémie bien réelle pour ensuite consacrer politiquement un groupe d’experts devenu collège sacré et dont les décisions valent paroles d’Évangile pour initier des politiques publiques exceptionnelles.

    Jean-Paul Oury revient avec précision sur la manière dont le docteur Fauci aux États-Unis a assis son autorité scientifique à force de combines politiques, comme la polémique « Raoult » qui aurait dû rester une querelle entre spécialistes mais est devenue politique sous la pression confiscatoire des technocrates. L’idéologisation de la médecine qui en a résulté a considérablement atteint la confiance accordée aux praticiens par leurs patients.

    C’est aussi le catastrophisme écologique qui motive les tenants de la biodiversitocratie. Ce qui menace l’humanité, c’est la fameuse sixième extinction supposée se dérouler devant nos yeux, sous le regard imperturbable des dirigeants accusés d’immobilisme. Pour remédier à la fin de l’humanité annoncée, tous les moyens sont bons et certains de ses idéologues sont même prêts à défendre la dictature de salut public. Si la fin de l’Histoire est réelle, tous les coups sont permis, même l’anéantissement de la démocratie et des libertés individuelles.

    L’idéologie sous couvert de science

    Mais « la science » n’est pas seulement instrument de la nouvelle écologie politique. Jean-Paul Oury rappelle que la politique peut également maquiller l’idéologie en science quand cela lui convient, comme c’est le cas pour la collapsologie et l’algorithmocratie.

    Dans le premier cas, « la science de l’effondrement » est une construction problématique qui ne correspond à rien de connu en pratique :

    « (…) Au lieu de compiler les données et de tirer des statistiques sans aucun présupposé, ils ont posé une hypothèse a priori qui est celle que « la civilisation occidentale nous menait à notre perte » et on voit bien dans leurs exposés successifs qu’ils font une sorte de cherry picking de toutes les données qui corroborent leur hypothèse de départ sans tenir compte de celles qui pourraient l’infirmer. »

    Comme la collapsologie, l’algorithmocratie détourne la science au profit de la politique, cette fois en s’appuyant sur la planification technologique. Il s’agit ici de mettre les nouvelles technologies au service de la reprogrammation des comportements humains. À l’heure où certains évoquent avec gourmandise la possibilité d’adopter un permis carbone , le propos est à la fois clairvoyant et glaçant.

    Il est ici difficile de rendre compte en quelques lignes de la richesse de l’essai comme de la volonté constante de son auteur d’exposer et de déconstruire avec minutie les diktats du nouveau scientisme écologiste. Jean-Paul Oury s’attaque à l’instrumentalisation des sciences mais bien évidemment il ne condamne pas la science. C’est au nom du progrès et de la philosophie des Lumières que le directeur de publication de l’excellent site The European Scientist prend la plume et défend l’intégrité de sa pratique contre sa récupération par ses ennemis d’aujourd’hui. L’éclairage global donné sur les menaces qui planent aujourd’hui sur la démocratie par les différentes versions scientistes de la technocratie mérite une lecture attentive. À mettre entre toutes les mains !

    Jean-Paul Oury, Greta a ressuscité Einstein , VA éditions, 2022.

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      Greta Thunberg effigies burned in Delhi after tweets on farmers' protests

      pubsub.dcentralisedmedia.com / TheGuardian-Australia · Thursday, 4 February, 2021 - 19:04

    Celebrity interventions inflame sentiments in India as police investigate pro-farmers toolkit

    Counter-protesters in Delhi have burned effigies of the Swedish environmental campaigner Greta Thunberg after she tweeted support for India’s protesting farmers in posts that have prompted an investigation by Indian police.

    Crowds gathered in Delhi to protest against several international celebrities including Thunberg and the pop singer Rihanna, who inflamed sentiments in India and angered the government after tweeting about the continuing farmer protests this week. Photos of Thunberg and Rihanna were set alight and banners were held aloft warning that “international interference” in Indian affairs would not be tolerated.

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      Le risque coronavirus peut-il se transformer en opportunité climatique ?

      news.movim.eu / Contrepoints · Wednesday, 4 March, 2020 - 04:15 · 2 minutes

    coronavirus

    Par Philippe Charlez, e xpert en questions énergétiques à l’Institut Sapiens.

    Depuis une semaine, le coronavirus que l’on croyait à peu près confiné en Extrême-Orient s’est massivement invité en Europe.

    L’Italie a d’abord été touchée avec aujourd’hui près de 1000 cas recensés. En France, on a dépassé les 200 cas. D’asiatique, l’épidémie est devenue mondiale. Certains scientifiques annoncent qu’entre 40 % et 70 % de l’humanité pourrait-être infectée ! Et le problème n’est pas que sanitaire.

    La peur d’un crash économique

    La pandémie fait craindre aux plus pessimistes un crash économique mondial . En une semaine, les places boursières au plus haut ont dévissé. L’économie commence à tourner au ralenti, non seulement sur le plan mondial mais aussi sur le plan national, régional et local. En France, le salon de l’agriculture et le carnaval de Nice ont été écourtés, le marathon de Paris supprimé.

    Les rassemblements ont été interdits dans les communes les plus touchées. Les écoles y sont fermées et les parents encouragés à garder leurs enfants à domicile. Quant aux entreprises elles restreignent les longs déplacements et conseillent à leurs salariés le télétravail.

    Si l’épidémie s’étend et perdure durant les semaines ou mois à venir, le gouvernement pourrait annuler les élections municipales, imposer la fermeture de nombreux lieux publics (cafés, restaurants, cinémas, théâtres, musées), annuler de grandes manifestations comme les matches de ligue 1 mais aussi le contrôle air/mer/terre des frontières avec une restriction importante du trafic avions/bateaux/camions.

    Pour la première fois depuis le Front Populaire, les vacances d’été pourraient-elle être annulées ? Pourrait-on assister à l’absence d’embouteillages entre juilletistes et aoûtiens et à des stations balnéaires vides, à des paquebots restant à quai et des avions cloués au sol ? On peine à l’imaginer et pourtant tout semble aujourd’hui possible, l’épidémie de panique semblant prendre le pas sur la crise sanitaire elle-même.

    Les conséquences des restrictions, bénéfique pour le climat ?

    L’ensemble de ces restrictions aura deux conséquences majeures.

    D’une part une récession économique peut-être sans précédent avec tous les effets imaginables en termes d’accroissement de dette, de pertes d’emplois, de niveau de vie et même de niveau de développement.

    Mais de l’autre, les restrictions auront un effet spectaculaire sur les émissions de gaz à effet de serre qui, pour la première fois depuis la crise des subprimes , pourraient baisser de façon significative.

    Serions-nous en train de tester « en vraie grandeur » le modèle prôné par certains mouvements écologistes et jeunistes issus du phénomène Greta Thunberg : la réduction des émissions via la décroissance économique ?

    Cette expérience inédite devrait avoir certains effets positifs. Montrer d’une part que la décroissance économique, même si elle est une source de réduction de GES, peut-être socialement plus dramatique que les conséquences du réchauffement climatique lui-même. Et d’autre part, inculquer que modifier ses comportements énergétivores pour devenir plus sobre ne signifie pas pour autant renoncer à l’essentiel.

    Si tel était le cas, le risque coronavirus se sera transformé en opportunité climatique.