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      4 To sur une carte SD, c’est pour 2025

      news.movim.eu / JournalDuGeek · 10:00

    Sd Card

    Western Digital va lancer la première carte SD de 4 To sous sa marque SanDisk, et c'est prévu pour 2025. De quoi laisser un peu de temps pour économiser : cette solution de stockage avancée pour les professionnels de la création et des médias risque en effet de coûter assez cher.
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      Short Stack – la Nintendo Wii miniaturisée à l’extrême

      news.movim.eu / Korben · Yesterday - 18:17 · 2 minutes

    Ça y est les amis, on a atteint le summum du bidouillage et de la miniaturisation avec le Short Stack , un mod complètement dingue de la Nintendo Wii qui arrive à faire tenir toute la puissance de la console dans un boîtier de la taille d’un paquet de cartes ! C’est juste ahurissant quand on y pense.

    Alors bien sûr, la Wii c’est pas la console la plus grosse à la base, mais quand même, passer de 157 x 60 x 197mm à un truc aussi compact, faut reconnaître que c’est quand même sacrément impressionnant . Et le plus fou dans tout ça, c’est que le moddeur n’a pas triché en passant par de l’émulation. Non non, le Short Stack embarque une vraie carte mère de Wii, juste super bien taillée et optimisée !

    James Smith , le génie derrière ce projet de titan, a réussi à faire rentrer dans son petit boîtier imprimé en 3D la carte mère réduite de la Wii, un tas de cartes électroniques custom empilées les unes sur les autres (d’où le nom du mod) pour gérer le Bluetooth, l’USB, les ports manettes GameCube, et même un dissipateur thermique sur mesure. Niveau intégration, on est donc sur du très très haut niveau.

    Bon par contre, évidemment, pas de lecteur de disque là-dedans, faut pas déconner. Mais ça n’empêche pas d’avoir quand même un petit slice factice qui s’illumine en façade pour faire genre. Les jeux et les sauvegardes sont stockés sur une carte microSD à la place. Et pour faire encore plus pro, le Short Stack se branche en HDMI et s’alimente en USB-C. De quoi faire un joli petit media center rétrogaming , fin et discret.

    Alors certes, c’est pas le premier mod de Wii ultra compact, on avait déjà vu passer la KillMii qui tenait dans une boîte d’Altoids. Mais celle-là intégrait un écran, des contrôleurs et une batterie qui tenait… 10 minutes. Pas top pour les sessions de Mario Kart endiablées. Le Short Stack a au moins le mérite d’être vraiment utilisable au quotidien sans trop de compromis. Après, difficile de dire s’il s’agit vraiment de la « plus petite Wii du monde » comme l’affirme Smith, mais une chose est sûre, c’est probablement la plus compacte que vous aurez vraiment envie d’utiliser !

    D’ailleurs si ce projet de fou vous tente, sachez que Smith a publié tous les détails, les fichiers de conception et les instructions sur GitHub . Vous y trouverez quelques infos sur la réalisation, même si on ne peut pas dire que ce soit un tutoriel complet non plus. Et attention, c’est clairement pas un mod pour débutants ! Il vous faudra de sacrées compétences en électronique, pas mal de matos spécifique et une bonne dose de patience pour arriver à un résultat similaire.

    Enfin bref, je dis chapeau bas Monsieur Smith pour ce boulot de malade mental . On en redemande des comme ça ! Parce que soyons honnêtes, ça sert pas à grand chose mais qu’est-ce que c’est classe !

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      Lunar Lake : les futurs processeurs d’Intel vont imiter ceux d’Apple, pour le meilleur et pour le pire

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Yesterday - 12:31

    Intel Lunar Lake

    En soudant directement la mémoire vive sur la puce, la prochaine génération de processeurs Intel destinés aux portables Intel devrait gagner en performances... et devenir nettement plus pénible à réparer.
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      pubsub.blastersklan.com / slashdot · 3 days ago - 00:03 edit · 1 minute

    An anonymous reader quotes a report from NPR: An owl. A sharky looking bullet. The Hindu deity Ganesh. The Yin and Yang sign. All painstakingly selected and etched onto a microchip that measures about an inch square. Each microscopic silicon doodle was the handiwork of engineers at Qualcomm Incorporated, a San Diego-based company that creates wireless technology-related products and services. The engineers slipped the drawings into Qualcomm's Q1650 data decoder with care not to disturb any of the chip's functions. They were purposeless etchings, never meant to be uncovered. These doodles, also known as silicon art, chip graffiti or chip art, and dozens others like it, are remnants of tech history -- from Silicon Valley's infancy to the early 2000s -- when innovation was rapid fire and the tech still had a very human touch. Engineers would add the sketches to their microchip designs in the techie equivalent of signing their artwork. They'd etch them on chips that may end up in your cellphone, laptop or calculator. They spent hours crafting them, even though they were frowned upon by those in the C Suite. The existence of these doodles came to light decades ago, but social media is discovering them anew. And there is now a small but determined group of online hobbyists working to keep that history alive. They are still cataloguing the miniscule drawings -- many smaller than the width of a human hair and can't be seen without a microscope. These devotees post glossy videos of themselves shucking chips like oysters to see their iridescent insides and the itsy bitsy sketches that may be hidden on them. And they are eagerly saving them from the scrap heap.

    Read more of this story at Slashdot.

    A New Generation Is Uncovering the Tiny Doodles Left By Engineers On Old Microchips
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      hardware.slashdot.org /story/24/04/16/2018241/a-new-generation-is-uncovering-the-tiny-doodles-left-by-engineers-on-old-microchips

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      Le Recovery Kit V2 – Le cyberdeck pour les aventuriers du net

      news.movim.eu / Korben · 7 days ago - 00:15 · 3 minutes

    Vous avez vu le Recovery Kit Version 2 ?

    En gros, c’est un cyberdeck de compète qui renferme un Raspberry Pi dans une valise Pelican Case . Le genre de bidule qui vous donne envie de partir à l’aventure numérique façon Mad Max.

    Alors pour faire simple, un cyberdeck , c’est un ordi portable custom taillé pour les baroudeurs du net . Un truc compact, autonome et qui en a dans le ventre pour pirater la NASA depuis un bunker en plein désert (enfin, façon de parler hein, on est pas là pour finir en taule).

    Ce Recovery Kit V2, c’est une version améliorée du premier modèle conçu par Jay Doscher en 2019. À l’époque, le concept avait fait un petit buzz dans la commu des makers et des nerds. Faut dire que l’idée de fourrer un Raspberry Pi dans une mallette antichoc, c’est quand même stylé.

    Mais alors, qu’est-ce qui change avec cette V2 ? Déjà, on a droit à un Raspberry Pi 5 qui envoie du gros. Ça va vous permettre de faire tourner des trucs costauds sans avoir l’impression d’être revenu au temps du Minitel. Ensuite, y a une batterie de 25 600 mAh pour tenir la distance (4 à 5h d’autonomie), un écran tactile 7 pouces, un clavier ortholinéaire et même un disque SSD NVMe pour le stockage. De quoi vous concocter une config de guerrier nomade.

    La valise Pelican 1300 utilisée pour le boitier offre une protection optimale contre la poussière, l’eau et autres dangers environnementaux, histoire de garder votre matos bien au sec.

    Au niveau des composants, la liste est plutôt complète mais il manque quelques détails techniques qui pourraient être utiles, genre un schéma du montage pour voir comment tout se branche car le tuto de montage complet est réservé aux membres premium.

    En parlant de switches, les célèbres Cherry MX sont un classique mais pour un kit nomade, des switches low profile type Kailh ou Outemu seraient plus adaptés je trouve. Niveau look, comme vous le voyez, on reste dans un style assez brut de décoffrage qui respire la robustesse. La valise Pelican noire avec ses coins renforcés, ça envoie du lourd. On est clairement pas sur un truc fragile à trimballer avec des gants blancs.

    Bon après, faut pas se leurrer, c’est pas non plus le machin le plus ergonomique du monde. Le clavier ortholinéaire , c’est un poil déroutant au début et faut aimer taper sur des touches de la taille d’un timbre poste. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un truc compact qui rentre dans une valise.

    Côté connectique, on est plutôt bien servi avec de l’ Ethernet , de l’ USB-C , un port GPIO pour brancher des modules et même un switch réseau pour partager la connexion. Par contre, va falloir vous coltiner un adaptateur secteur, parce que la recharge se fait via un port barrel. Un poil old school mais bon, on va pas chipoter.

    Pour ce qui est de la config logicielle, Jay propose une image toute prête avec Raspberry Pi OS , mais vous pouvez aussi installer votre distro préférée. Perso, je verrai bien un petit Kali Linux pour partir en mode h@ck3r dans la matrice, mais rassurez-vous, un Windows c’est possible aussi. 😎

    En vrai, ce Recovery Kit V2, c’est clairement pas un truc pour madame Michu qui veut surfer sur Facebook. C’est plutôt une machine pour les passionnés de bidouille qui kiffent l’idée d’avoir un ordi portable custom qui sort de l’ordinaire. Et puis faudra quand même mettre la main au portefeuille parce qu’entre la valise Pelican, le matos électronique et les accessoires, vous allez vite dépasser les 500 balles. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un cyberdeck qui en jette.

    En attendant, si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous invite à checker le site de Jay Doscher . Vous y trouverez plein de photos et des détails sur les composants utilisés.

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      Storage Pod 6.0 – 480 To de stockage pour moins de 5 centimes le Go !

      news.movim.eu / Korben · Friday, 12 April - 21:08 · 4 minutes

    Chers passionnés de bidouille, ce soir je vais vous parler d’un truc qui devrait vous faire saliver d’excitation : le Storage Pod 6.0 de Backblaze !

    En gros, vous prenez un châssis 4U, vous y fourrez 60 disques durs de 8 To et paf, ça vous fait un joli bébé de 480 To pour stocker tous vos fichiers, films, photos de vacances et autres données. Ce monstre mesure seulement 19 cm de haut pour une configuration 3×20 disques. Les disques sont montés sur une hauteur de 1U et espacés uniformément dans le châssis pour assurer un flux d’air optimal et un refroidissement au top.

    Un seul ventilateur situé en haut du châssis aspire l’air à travers le serveur, tandis que deux ventilateurs supplémentaires en bas évacuent l’air chaud. C’est ce qu’on appelle une ventilation bien pensée !

    Mais le Storage Pod c’est pas qu’une grosse boîte à disques, c’est avant tout une philosophie : celle du stockage à prix cassé ! Parce que là où ça devient vraiment intéressant, c’est quand on regarde le coût au Go. Tenez-vous bien, le Storage Pod 6.0 permet d’atteindre un tarif complètement dingue de moins de 5 centimes par Go !

    Mais comment c’est possible un prix pareil ? Eh bien c’est là que le côté bidouille intervient. Chez Backblaze, ils ont décidé de concevoir eux-mêmes leur serveur de stockage en utilisant des composants standard, et surtout en optimisant chaque détail pour tirer les coûts vers le bas.

    Par exemple, le boîtier a été légèrement allongé par rapport à la version précédente pour pouvoir caser 60 disques au lieu de 45. Un gain de place qui permet d’atteindre une densité de stockage de ouf : 120 To par unité de rack, soit 2,4 Po dans une baie 42U. De quoi voir venir côté capacité !

    Les disques sont connectés via des ports SATA à une unique carte mère PCIe 3.0 x16 qui possède aussi un port USB 3.0 pour se connecter à un PC ou un autre appareil pour la gestion et le transfert des données. La carte mère embarque également un slot M.2 2280 NVMe pour un SSD servant à stocker le firmware de boot. Niveau alimentation, ça rigole pas : 6 blocs d’alim 12V 50A sont utilisés, avec 3 branchés de chaque côté du châssis. Chaque bloc alimente un circuit imprimé dédié situé à proximité des disques. Et sur ces circuits, on retrouve des ports USB pour se connecter à la carte mère ainsi que des LED pour le monitoring. Le tout est alimenté par un gros bloc externe 12V 300W qui envoie le jus via des connecteurs SATA 6 broches et Molex 3 broches pour les ventillos. Autant vous dire que ça envoie du lourd niveau watts !

    Côté réseau, un port Ethernet Gigabit unique situé en haut du serveur, à côté du ventilo, se charge de la connectivité. Il est relié à la carte mère via un slot PCIe x1. Un petit câble le relie ensuite au switch réseau du datacenter. L’OS et le logiciel de gestion tournent sur une clé USB bootable 3.0 insérée dans le slot M.2. Ce soft permet de monitorer, alerter et mettre à jour le firmware des disques et autres composants.

    Et le plus cool dans tout ça, c’est que les gars ont décidé de partager les plans du Storage Pod en open source . Comme ça, vous pouvez télécharger les schémas, les fichiers 3D et toute la doc pour construire votre propre Pod . Bon, faudra quand même mettre les mains dans le cambouis et avoir quelques notions en bricolage, mais rien d’insurmontable pour le vrai geek que vous êtes !

    Par contre, je vous préviens tout de suite, si vous voulez atteindre les 5 centimes du Go, va falloir acheter les composants en gros et négocier les prix comme un chef, parce qu’en tarif public, vous serez plus proche des 10 centimes. Mais bon, ça reste quand même une sacrée affaire comparé aux serveurs de stockage traditionnels !

    En tout cas, moi je dis chapeau bas à Backblaze pour cette nouvelle version du Storage Pod. Ça fait avancer le schmilblick et qui permettent de démocratiser le stockage de masse, parce qu’à l’heure des vidéos 4K, des bibliothèques photos qui débordent et des sauvegardes dans le cloud, on n’a jamais autant eu besoin de place pour stocker nos précieux octets.

    Alors si vous avez un peu de temps devant vous et que vous voulez vous lancer dans l’aventure du stockage DIY, je vous invite à jeter un œil au projet Storage Pod . Vous y trouverez tout ce qu’il faut pour construire votre propre serveur à prix mini. Et qui sait, peut-être que vous aussi vous arriverez à stocker vos téra pour quelques centimes du Go ?

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      Imprimantes HP – Un nouveau firmware qui fait grincer des dents

      news.movim.eu / Korben · Friday, 12 April - 20:40 · 4 minutes

    Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP , vous risquez d’être encore plus embêtés !

    En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP . Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.

    Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.

    Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice , en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.

    Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles « . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.

    Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle « . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.

    Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.

    D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.

    Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.

    En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.

    Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…

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      Wozamp – Un lecteur audio rétro pour Apple II

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 10 April - 08:57 · 1 minute

    Ah, les joies de la technologie vintage ! Si vous êtes un passionné d’informatique old-school, vous allez adorer projet qui permet d’écouter une playlist sur un bon vieux Apple II !

    Conçu par l’ingénieux Colin Leroy , Wozamp est un petit logiciel qui transforme votre Apple II en un véritable jukebox des années 80. Bon, on ne va pas se mentir, les capacités audio de cette vénérable machine sont loin d’égaler celles de nos smartphones dernier cri mais, on s’en fiche ! L’important, c’est de pouvoir se la péter en soirée avec son Apple II et de montrer à tous ces jeunes que la musique, c’était mieux avant (même avec un son pourri).

    Pour faire tourner Wozamp, vous n’aurez besoin *que* d’un Apple II équipé d’une carte série et d’un serveur proxy nommé surl-server . Ce dernier se charge de transcoder et de rééchantillonner la musique pour qu’elle soit bien digérée par le processeur de la machine. Et le résultat est étonnamment satisfaisant !

    Une fois Wozamp installé, vous pouvez parcourir vos répertoires musicaux partagés via FTP, lire des fichiers audio dans presque tous les formats, et même écouter des webradios. Le lecteur affiche également les pochettes d’album, les métadonnées et dispose même d’un VU-mètre pour vous donner l’impression d’être un vrai DJ.

    Bien sûr, avec un taux d’échantillonnage de 11,52 kHz et un DAC 5 bits, on est loin de la Hi-Fi. Mais écouter « Never Gonna Give You Up » de Rick Astley sur un ordinateur qui a vu le jour avant même la naissance du chanteur, c’est beau.

    Au final, Wozamp est un projet aussi inutile que génial . C’est le genre de truc qui ne sert à rien, mais qui fait quand même plaisir parce que ça nous rappelle une époque où l’informatique était encore un truc de passionnés, où il fallait bidouiller pendant des heures pour arriver à un résultat médiocre . Et c’est ça qui est bon !

    Bref, si vous avez un Apple II qui prend la poussière dans votre garage, n’hésitez pas à lui redonner une seconde jeunesse, comme ça, vous pourrez enfin écouter vos MP3 comme en 1977, avec la classe en plus.

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