• chevron_right

      Le Recovery Kit V2 – Le cyberdeck pour les aventuriers du net

      news.movim.eu / Korben · 3 days ago - 00:15 · 3 minutes

    Vous avez vu le Recovery Kit Version 2 ?

    En gros, c’est un cyberdeck de compète qui renferme un Raspberry Pi dans une valise Pelican Case . Le genre de bidule qui vous donne envie de partir à l’aventure numérique façon Mad Max.

    Alors pour faire simple, un cyberdeck , c’est un ordi portable custom taillé pour les baroudeurs du net . Un truc compact, autonome et qui en a dans le ventre pour pirater la NASA depuis un bunker en plein désert (enfin, façon de parler hein, on est pas là pour finir en taule).

    Ce Recovery Kit V2, c’est une version améliorée du premier modèle conçu par Jay Doscher en 2019. À l’époque, le concept avait fait un petit buzz dans la commu des makers et des nerds. Faut dire que l’idée de fourrer un Raspberry Pi dans une mallette antichoc, c’est quand même stylé.

    Mais alors, qu’est-ce qui change avec cette V2 ? Déjà, on a droit à un Raspberry Pi 5 qui envoie du gros. Ça va vous permettre de faire tourner des trucs costauds sans avoir l’impression d’être revenu au temps du Minitel. Ensuite, y a une batterie de 25 600 mAh pour tenir la distance (4 à 5h d’autonomie), un écran tactile 7 pouces, un clavier ortholinéaire et même un disque SSD NVMe pour le stockage. De quoi vous concocter une config de guerrier nomade.

    La valise Pelican 1300 utilisée pour le boitier offre une protection optimale contre la poussière, l’eau et autres dangers environnementaux, histoire de garder votre matos bien au sec.

    Au niveau des composants, la liste est plutôt complète mais il manque quelques détails techniques qui pourraient être utiles, genre un schéma du montage pour voir comment tout se branche car le tuto de montage complet est réservé aux membres premium.

    En parlant de switches, les célèbres Cherry MX sont un classique mais pour un kit nomade, des switches low profile type Kailh ou Outemu seraient plus adaptés je trouve. Niveau look, comme vous le voyez, on reste dans un style assez brut de décoffrage qui respire la robustesse. La valise Pelican noire avec ses coins renforcés, ça envoie du lourd. On est clairement pas sur un truc fragile à trimballer avec des gants blancs.

    Bon après, faut pas se leurrer, c’est pas non plus le machin le plus ergonomique du monde. Le clavier ortholinéaire , c’est un poil déroutant au début et faut aimer taper sur des touches de la taille d’un timbre poste. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un truc compact qui rentre dans une valise.

    Côté connectique, on est plutôt bien servi avec de l’ Ethernet , de l’ USB-C , un port GPIO pour brancher des modules et même un switch réseau pour partager la connexion. Par contre, va falloir vous coltiner un adaptateur secteur, parce que la recharge se fait via un port barrel. Un poil old school mais bon, on va pas chipoter.

    Pour ce qui est de la config logicielle, Jay propose une image toute prête avec Raspberry Pi OS , mais vous pouvez aussi installer votre distro préférée. Perso, je verrai bien un petit Kali Linux pour partir en mode h@ck3r dans la matrice, mais rassurez-vous, un Windows c’est possible aussi. 😎

    En vrai, ce Recovery Kit V2, c’est clairement pas un truc pour madame Michu qui veut surfer sur Facebook. C’est plutôt une machine pour les passionnés de bidouille qui kiffent l’idée d’avoir un ordi portable custom qui sort de l’ordinaire. Et puis faudra quand même mettre la main au portefeuille parce qu’entre la valise Pelican, le matos électronique et les accessoires, vous allez vite dépasser les 500 balles. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un cyberdeck qui en jette.

    En attendant, si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous invite à checker le site de Jay Doscher . Vous y trouverez plein de photos et des détails sur les composants utilisés.

    • chevron_right

      Storage Pod 6.0 – 480 To de stockage pour moins de 5 centimes le Go !

      news.movim.eu / Korben · 4 days ago - 21:08 · 4 minutes

    Chers passionnés de bidouille, ce soir je vais vous parler d’un truc qui devrait vous faire saliver d’excitation : le Storage Pod 6.0 de Backblaze !

    En gros, vous prenez un châssis 4U, vous y fourrez 60 disques durs de 8 To et paf, ça vous fait un joli bébé de 480 To pour stocker tous vos fichiers, films, photos de vacances et autres données. Ce monstre mesure seulement 19 cm de haut pour une configuration 3×20 disques. Les disques sont montés sur une hauteur de 1U et espacés uniformément dans le châssis pour assurer un flux d’air optimal et un refroidissement au top.

    Un seul ventilateur situé en haut du châssis aspire l’air à travers le serveur, tandis que deux ventilateurs supplémentaires en bas évacuent l’air chaud. C’est ce qu’on appelle une ventilation bien pensée !

    Mais le Storage Pod c’est pas qu’une grosse boîte à disques, c’est avant tout une philosophie : celle du stockage à prix cassé ! Parce que là où ça devient vraiment intéressant, c’est quand on regarde le coût au Go. Tenez-vous bien, le Storage Pod 6.0 permet d’atteindre un tarif complètement dingue de moins de 5 centimes par Go !

    Mais comment c’est possible un prix pareil ? Eh bien c’est là que le côté bidouille intervient. Chez Backblaze, ils ont décidé de concevoir eux-mêmes leur serveur de stockage en utilisant des composants standard, et surtout en optimisant chaque détail pour tirer les coûts vers le bas.

    Par exemple, le boîtier a été légèrement allongé par rapport à la version précédente pour pouvoir caser 60 disques au lieu de 45. Un gain de place qui permet d’atteindre une densité de stockage de ouf : 120 To par unité de rack, soit 2,4 Po dans une baie 42U. De quoi voir venir côté capacité !

    Les disques sont connectés via des ports SATA à une unique carte mère PCIe 3.0 x16 qui possède aussi un port USB 3.0 pour se connecter à un PC ou un autre appareil pour la gestion et le transfert des données. La carte mère embarque également un slot M.2 2280 NVMe pour un SSD servant à stocker le firmware de boot. Niveau alimentation, ça rigole pas : 6 blocs d’alim 12V 50A sont utilisés, avec 3 branchés de chaque côté du châssis. Chaque bloc alimente un circuit imprimé dédié situé à proximité des disques. Et sur ces circuits, on retrouve des ports USB pour se connecter à la carte mère ainsi que des LED pour le monitoring. Le tout est alimenté par un gros bloc externe 12V 300W qui envoie le jus via des connecteurs SATA 6 broches et Molex 3 broches pour les ventillos. Autant vous dire que ça envoie du lourd niveau watts !

    Côté réseau, un port Ethernet Gigabit unique situé en haut du serveur, à côté du ventilo, se charge de la connectivité. Il est relié à la carte mère via un slot PCIe x1. Un petit câble le relie ensuite au switch réseau du datacenter. L’OS et le logiciel de gestion tournent sur une clé USB bootable 3.0 insérée dans le slot M.2. Ce soft permet de monitorer, alerter et mettre à jour le firmware des disques et autres composants.

    Et le plus cool dans tout ça, c’est que les gars ont décidé de partager les plans du Storage Pod en open source . Comme ça, vous pouvez télécharger les schémas, les fichiers 3D et toute la doc pour construire votre propre Pod . Bon, faudra quand même mettre les mains dans le cambouis et avoir quelques notions en bricolage, mais rien d’insurmontable pour le vrai geek que vous êtes !

    Par contre, je vous préviens tout de suite, si vous voulez atteindre les 5 centimes du Go, va falloir acheter les composants en gros et négocier les prix comme un chef, parce qu’en tarif public, vous serez plus proche des 10 centimes. Mais bon, ça reste quand même une sacrée affaire comparé aux serveurs de stockage traditionnels !

    En tout cas, moi je dis chapeau bas à Backblaze pour cette nouvelle version du Storage Pod. Ça fait avancer le schmilblick et qui permettent de démocratiser le stockage de masse, parce qu’à l’heure des vidéos 4K, des bibliothèques photos qui débordent et des sauvegardes dans le cloud, on n’a jamais autant eu besoin de place pour stocker nos précieux octets.

    Alors si vous avez un peu de temps devant vous et que vous voulez vous lancer dans l’aventure du stockage DIY, je vous invite à jeter un œil au projet Storage Pod . Vous y trouverez tout ce qu’il faut pour construire votre propre serveur à prix mini. Et qui sait, peut-être que vous aussi vous arriverez à stocker vos téra pour quelques centimes du Go ?

    • chevron_right

      Imprimantes HP – Un nouveau firmware qui fait grincer des dents

      news.movim.eu / Korben · 4 days ago - 20:40 · 4 minutes

    Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP , vous risquez d’être encore plus embêtés !

    En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP . Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.

    Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.

    Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice , en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.

    Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles « . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.

    Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle « . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.

    Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.

    D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.

    Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.

    En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.

    Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…

    Source

    • chevron_right

      Wozamp – Un lecteur audio rétro pour Apple II

      news.movim.eu / Korben · 6 days ago - 08:57 · 1 minute

    Ah, les joies de la technologie vintage ! Si vous êtes un passionné d’informatique old-school, vous allez adorer projet qui permet d’écouter une playlist sur un bon vieux Apple II !

    Conçu par l’ingénieux Colin Leroy , Wozamp est un petit logiciel qui transforme votre Apple II en un véritable jukebox des années 80. Bon, on ne va pas se mentir, les capacités audio de cette vénérable machine sont loin d’égaler celles de nos smartphones dernier cri mais, on s’en fiche ! L’important, c’est de pouvoir se la péter en soirée avec son Apple II et de montrer à tous ces jeunes que la musique, c’était mieux avant (même avec un son pourri).

    Pour faire tourner Wozamp, vous n’aurez besoin *que* d’un Apple II équipé d’une carte série et d’un serveur proxy nommé surl-server . Ce dernier se charge de transcoder et de rééchantillonner la musique pour qu’elle soit bien digérée par le processeur de la machine. Et le résultat est étonnamment satisfaisant !

    Une fois Wozamp installé, vous pouvez parcourir vos répertoires musicaux partagés via FTP, lire des fichiers audio dans presque tous les formats, et même écouter des webradios. Le lecteur affiche également les pochettes d’album, les métadonnées et dispose même d’un VU-mètre pour vous donner l’impression d’être un vrai DJ.

    Bien sûr, avec un taux d’échantillonnage de 11,52 kHz et un DAC 5 bits, on est loin de la Hi-Fi. Mais écouter « Never Gonna Give You Up » de Rick Astley sur un ordinateur qui a vu le jour avant même la naissance du chanteur, c’est beau.

    Au final, Wozamp est un projet aussi inutile que génial . C’est le genre de truc qui ne sert à rien, mais qui fait quand même plaisir parce que ça nous rappelle une époque où l’informatique était encore un truc de passionnés, où il fallait bidouiller pendant des heures pour arriver à un résultat médiocre . Et c’est ça qui est bon !

    Bref, si vous avez un Apple II qui prend la poussière dans votre garage, n’hésitez pas à lui redonner une seconde jeunesse, comme ça, vous pourrez enfin écouter vos MP3 comme en 1977, avec la classe en plus.

    Source

    • chevron_right

      Smartphone Xiaomi – Dites adieu à cette option que vous adorez

      news.movim.eu / Korben · Monday, 1 April - 05:00 · 2 minutes

    Dans une annonce surprenante , le géant chinois Xiaomi a décidé de supprimer la fonctionnalité « Appel » de ses smartphones, affirmant que cette option n’est plus utilisée par la majorité de ses clients. Cette décision radicale a suscité de nombreuses réactions parmi les utilisateurs de la marque.

    Xiaomi affirme que les appels passent désormais par les messageries instantanées

    Selon un communiqué officiel de Xiaomi, la fonctionnalité « Appel » sera progressivement retirée de tous les modèles de smartphones de la marque à partir de la prochaine mise à jour. L’entreprise justifie cette décision en expliquant que la plupart des utilisateurs préfèrent désormais passer leurs appels via des applications de messagerie instantanée telles que WhatsApp, Facebook Messenger ou encore WeChat.

    « Nos études montrent que moins de 5% de nos clients utilisent encore la fonction d’appel classique via le réseau de l’opérateur « , indique le porte-parole de Xiaomi. « Il nous a donc semblé logique de supprimer cette option devenue obsolète afin d’o ptimiser les performances de nos appareils. »

    Des avantages et des inconvénients pour les utilisateurs

    Si cette décision peut sembler radicale, Xiaomi met en avant plusieurs avantages pour ses clients. Tout d’abord, la suppression de la fonctionnalité « Appel » permettra de libérer de l’espace de stockage sur les smartphones, offrant ainsi plus de place pour les photos, vidéos et applications. De plus, l’entreprise promet une amélioration significative de l’autonomie de la batterie, les appels via les messageries consommant moins d’énergie que les appels traditionnels.

    Cependant, certains utilisateurs s’inquiètent des conséquences de cette décision. En effet, les appels via les messageries nécessitent une connexion internet stable, ce qui n’est pas toujours le cas dans certaines zones géographiques. De plus, les personnes âgées ou moins à l’aise avec la technologie pourraient se retrouver dans l’incapacité de passer des appels depuis leur smartphone Xiaomi.

    Vers une suppression de l’application SMS ?

    Suite à cette annonce, des rumeurs circulent quant à une possible suppression de l’application SMS dans un futur proche. En effet, Xiaomi aurait également constaté une baisse significative de l’utilisation des SMS au profit des messageries instantanées.

    Si cette information venait à se confirmer, cela marquerait un tournant majeur dans l’histoire de la téléphonie mobile. Les smartphones deviendraient alors de véritables « appareils de messagerie », délaissant progressivement les fonctions de communication traditionnelles.

    Quoi qu’il en soit, cette annonce a eu l’effet d’une bombe dans le monde de la tech, suscitant de nombreux débats sur l’avenir de la téléphonie mobile et une fool en colère. Reste à voir si d’autres fabricants emboîteront le pas à Xiaomi dans cette « pêche » aux fonctionnalités obsolètes.

    • Sl chevron_right

      Contact publication

      pubsub.blastersklan.com / slashdot · Friday, 29 March - 19:43 edit · 1 minute

    Anton Shilov reports via Tom's Hardware: About half of the processors packaged in Russia are defective. This has prompted Baikal Electronics, a Russian processor developer, to expand the number of packaging partners in the country, according to a report in Vedomosti, a Russian-language business daily newspaper published in Moscow (hat tip to Cnews). In addition to GS Group based in Kaliningrad, the company will now use Milandr and Mikron, which are based in Zelenograd, a town near Moscow. What remains unclear is which foundry initially produces the chips for Baikal. [...] There are no contract chipmakers in Russia that can process wafers on 28nm-class fabrication technologies, so Baikal is likely using a Chinese foundry to make its processors. Since 2021, the company has been experimenting with localizing chip packaging at GS Group in Kaliningrad. But transitioning to local packaging has not been smooth. The process is intricate and costly, leading to a high rate of defects. According to industry insiders, more than half of the chip batches end up being defective due to issues with equipment calibration and the lack of skilled personnel. It turns out that GS Group cannot fulfill the demands of Baikal, which has now tapped Milandr and Mikron to assist with chip packaging. Apparently, it hasn't helped much. "More than half of the chip batches turn out to be defective," a source familiar with the matter told Vedomosti. "The reasons lie in both the equipment of the enterprises, which needs to be properly configured, and the insufficient competencies of the people involved in chip packaging." "Russia can package a small number of processors, but when it comes to a series, a lot of defects appear," explained one of the newspaper's sources. "Manufacturers cannot maintain a consistently high level across all products."

    Read more of this story at Slashdot.

    Half of Russian-Made Chips Are Defective
    • chevron_right

      Microsoft prévoit un grand changement pour Copilot, et votre PC n’est pas prêt

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 29 March - 13:06

    Windows Touche Clavier Copilot

    L'ère des "PC IA" dont rêve Microsoft va nécessiter que la majorité des utilisateurs soient équipés de hardware spécialisé, et cette transition risque de prendre un peu de temps.
    • Om chevron_right

      Contact publication

      pubsub.blastersklan.com / omgubuntu · Friday, 29 March - 01:08 edit

    8BitDo, makers of retro-themed gaming goods, have unveiled their latest nostalgia-indulging mechanical PC keyboard — and fair warning: it’s way nerdier than their NES-inspired one. The new edition is sure to press all the right buttons for geeks of a certain age as it pays visual homage to one of the most iconic home computers of all time. Yes, the indomitable Commodore 64 — a ‘bread-bin’-sized home computer packed into a keyboard. The 8-bit machine launched in 1982 and was the first affordable and accessible computer for the masses. An immediate hit, the Commodore 64 went on to sell an […]

    You're reading 8BitDo’s New Mechanical Keyboard is the Geekiest Yet, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.

    8BitDo’s New Mechanical Keyboard is the Geekiest Yet