Du 23 au 25 Février 2024 le Festival International du Jeu pose ses valises au Palais des festivals et des congrès de Cannes.

La longue présentation a été l'occasion de (re)découvrir les pépites vidéoludiques les plus attendues et d'en apprendre plus à leur sujet.

5 annonces de jeux à retenir du PC Gaming Show Most Wanted

Voici une sélection non exhaustive de jeux de société pour jouer en famille ou entre amis, afin de passer de bons moments.

Découvrez notre sélection de jeux de société pour toute la famille !

Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que je parle très peu matos sur ce site, car je suis du genre à garder mon matériel longtemps. Mais là, j’avais besoin d’un petit PC récent pour faire mes tests sous Windows et Linux.

Pas besoin d’une grosse machine de gamer, ni d’un truc cher, donc je suis parti lurker un peu du côté des Mini PC. Et je suis tombé ce MiniPC AK1PLUS de la marque NiPoGi équipé d’un processeur Alder Lake-N95 (jusqu’à 3,4 GHz), de 16 Go de DDR4 ainsi que d’un SSD M.2 NVMe de 1 TB. Il peut également accueillir 2 écrans 4K et intègre tout le confort moderne en matière de connectivité USB, Ethernet, Wifi et Bluetooth.

Alors oui, je sais que le Alder Lake-N95 c’est vu comme le fond du panier de chez Intel, mais vu que ça ne consomme pas grand-chose et que j’ai pas prévu de faire du gaming dessus (mis à part du Xbox Cloud), je n’en ai rien à faire. Moi j’ai juste besoin d’un truc qui ne prend pas de place, et sur lequel je pourrais faire un dual boot Windows / Linux pour bidouiller.

De base, je trouve que ce AK1PLUS est plutôt cher vu le peu de matos qu’il y a dedans (439 euros au catalogue).

Mais j’avais déjà pris un PC de chez eux et j’en suis content.

Mais hors de question de l’acheter à ce prix là… Toutefois, ce qui m’a vraiment décidé c’est le bon de réduction de 210 € proposé sur Amazon qui fait qu’au final, je l’ai payé 229 euros. Je trouve que c’est son juste prix, surtout qu’à config équivalente, c’est le moins cher rapport à ses concurrents.

Bref, pour une fois, je me suis dit que ce serait sympa de vous le présenter en détail sachant que ça fait bien longtemps que je n’avais pas testé un PC ici.

Dans la toute petite boite, vous trouverez un manuel d’utilisation qui ne sert à rien, un support VESA pour le fixer au mur, derrière un écran ou encore sous un bureau ainsi qu’une alimentation et un câble HDMI.

Au niveau du look de la bête, rien de spécial… C’est une petite boite noire d’environ 13 cm de côté sur 5 cm de haut avec un peu de LEDs bleues qui s’allument quand il fonctionne (ça peut se débrancher facilement si vous ne voulez pas que ça éclaire chez vous). Bref, c’est tout petit, parfait pour les amateurs de minimalisme, car ça peut même se planquer derrière un écran ou dans un tiroir.

Niveau connectivité, y’a un port USB et le bouton d’allumage sur le côté droit afin que ce soit accessible et le reste de la connectique se trouve à l’arrière. Soit au total 4 ports USB, 2 HDMI, 1 Ethernet et une prise casque.

Un truc que j’avais pas capté en achetant ce truc, c’est qu’il dispose d’un socle amovible dans lequel on peut rajouter un SSD. Donc ça fait une bonne extension en matière d’espace disque pour ceux qui ont besoin de place, par exemple si vous voulez vous en faire un média center. Pour ma part, je l’ai retiré pour le moment.

Ensuite au niveau de l’install de l’OS, rien à dire de spécial si ce n’est que c’est livré avec un Windows 11 Pro.

Je m’interrogeais quand même sur la possibilité de mettre un Linux là-dessus, et c’est passé comme une lettre à la poste en dual boot (c’est de l’UEFI). J’ai juste dû passer sur un noyau Linux 6.5.6 pour avoir un bon support du processeur graphique d’Intel qui est quand même récent et donc avoir ainsi une résolution d’écran correcte.

Par contre, attention, si vous vous lancez là-dedans, sachez que le seul port USB réellement bootable est celui qui se trouve à l’arrière. J’ai perdu pas mal de temps à essayer de comprendre pourquoi ma clé USB ne voulait pas booter alors que je l’avais branché dans les ports USB situés à droite de la machine.

Comme j’ai 1 TB sur le Nvme, j’ai divisé le disque en 2 partitions de 500 GB chacune, ce qui sera largement suffisant pour ce que je vais en faire.

Évidemment comme je suis curieux, je l’ai démonté pou voir à quoi ça ressemblait dedans. C’est assez facile, il suffit d’enlever les patins du dessous, qui cachent les vis. Puis de l’ouvrir délicatement par le haut, en prenant garde de ne pas arracher les fils pour les LEDs bleues.

Voici l’intérieur de la bête.

Comme vous le voyez, l’alimentation des LEDs peut être facilement déconnectée. Et ensuite, c’est assez basique, y’a pas grand chose. Un gros radiateur / ventilo vraiment très silencieux. Et un NVme de marque BiWIN… Aucune idée de ce que vaut ce dernier, mais comme on peut le remplacement facilement, je ne suis pas inquiet.

J’ai enlevé le radiateur quand même pour voir le processeur avec sa bonne dose de pâte thermique.

Voilà pour le petit retour côté matos. C’est donc un mini PC silencieux et discret, avec un CPU récent et performant pour peu que vous vous contentiez de faire de la bureautique / internet / mater des films avec.

Ça conviendra bien à ceux qui ont un petit budget, qui veulent un minimum d’encombrement et surtout du silence 🙂 et comme ça supporte très bien Linux, y’a de quoi faire aussi d’autres trucs cool.

Par contre, encore une fois, oubliez les usages qui demandent du GPU. C’est loin d’être un PC avec lequel on peut jouer à des jeux récents ou faire de la 3D.

Notez que d’autres modèles sont également dispo chez NiPoGi avec moins d’espace disque, moins de RAM, donc moins chers (et également de chouettes bons de réduction).

À voir maintenant ce que ça donnera sur le long terme.

Réveillez le passionné de rétro-computing en vous avec Battle of Windows , un jeu totalement addictif et super amusant où vous devrez vous battre comme un fou furieux pour tenter de sauver la vie d’un pauvre Windows 2000.

Pour les plus jeunes, Windows 2000 est le système d’exploitation légendaire de Microsoft qui a marqué toute une époque puisque c’était l’évolution naturelle de Windows NT, avec le design d’un Windows 98… Le précurseur de Windows XP et de ses Service Pack pour ceux qui s’en souviennent !

Bref, en véritable guerrier, votre objectif sera de protéger Windows 2000 de la menace constante de virus informatiques qui viennent de la droite de l’écran et se dirigent vers la gauche. Au fur et à mesure que cette horde maléfique approche, elle endommage votre système d’exploitation et menace sa survie. Mais ne paniquez pas, vous avez les moyens de les battre et surtout la détermination !

Spécialement équipé pour ce combat numérique, vous pourrez invoquer une série de fenêtres alliées capables d’anéantir l’infâme menace informatique. Ces précieuses fenêtres attaqueront et détruiront les virus au fur et à mesure qu’ils se multiplieront à l’écran.

Au début de chaque partie, vous pouvez invoquer deux types de fenêtres différentes puis progressivement, vous gagnerez en puissance et en expérience. Ainsi, comme dans un jeu de rôle, vous passerez de niveau en niveau environ toutes les 30 secondes et vous verrez alors le plaisir de voir votre mana augmenter !

Mais attention !! Le niveau de menace généré par l’arrivée des virus informatiques grandira lui aussi. Ces affreux viendront en nombre croissant et se diversifieront pour essayer de vous surprendre.

Heureusement, vous découvrirez durant le jeu quatre types de fenêtres alliées qui seront là pour vous aider. Chacune d’elles propose des capacités et des avantages uniques pour vous aider à affronter l’ennemi.

Les fenêtres de niveau supérieur sont certes plus puissantes, mais elles consomment également davantage de mana. Vous devrez donc prendre des décisions tactiques pour décider combien et quand l’utiliser.

Ce qui est vraiment sympa, c’est que pour embrasser réellement l’esprit nostalgique du système d’exploitation Windows 2000, et nous permettre de plonger à fond dedans, le jeu propose des graphismes rétro qui vous rappelleront de joyeux souvenir de longues heures passées devant votre écrans à jouer à des classiques comme le Solitaire ou le Démineur.

Battle of Windows a été créé par l’artiste et développeur Yumehiko , qui nous transporte à travers le temps avec son travail aussi créatif que nostalgique.

Pour conclure, je dirais que jouer à Battle of Windows, c’est comme plonger dans une piscine remplie de souvenirs d’adolescence. On se rappelle les heures passées devant l’ordinateur à explorer les merveilles de l’informatique de l’époque.

Pour jouer à Battle of Windows et vous engager dans ce combat pour protéger Windows 2000, vous pouvez télécharger le jeu en suivant ce lien de téléchargement .

A vous maintenant de revêtir votre armure et d’aiguiser vos compétences en matière de gestion du mana pour défendre votre bien-aimé système d’exploitation dans cette bataille informatique d’un autre temps !

Source

Vous avez toujours été fasciné par le monde mystérieux de la cryptographie ?

Et bien, aujourd’hui, je vous présente une plateforme en ligne gratuite et vraiment très fun qui va vous permettre de vous plonger dans cet univers captivant: CryptoHack !

Cette plateforme en ligne vous propose une série d’énigmes crypto et de défis pour apprendre la cryptographie moderne tout simplement en… la cassant. Hé oui !

Ainsi, en résolvant des défis, vous gagnerez des points ce qui vous fera monter dans le classement. Avant de commencer, vous devrez évidemment installer Python et pip ainsi que diverses libs qui vous seront demandés au fur et à mesure des challenges.

Les défis de CryptoHack couvrent divers sujets liés à la crypto et ceux-ci deviendront de plus en plus pointus au fur et à mesure de votre progression. Mais rassurez-vous, ce sera toujours bien expliqué dans les leçons (en anglais et très fun à faire. C’est comme un jeu finalement et en plus, c’est totalement gratuit.

À vous de jouer ! Et vous trouverez également d’autres ressources (dont root_me) pour vous exercer au Ethical Hacking en cliquant sur ce lien.

Beaucoup d’utilisateurs de Mac rêvent secrètement depuis longtemps de pouvoir faire tourner des jeux récents sur leurs machines à 3 000 boules.

Et bien, il semble que leurs prières aient été entendues !

Lors de la WWDC cette semaine, Apple a annoncé une super nouvelle pour les fans de jeux et les développeurs : Ils ont créé un nouveau toolkit baptisé Game Porting Toolkit qui devrait rendre le portage de jeux Windows sur Mac beaucoup plus facile et rapide à faire.

Pour ceux qui connaissent, ça ressemble beaucoup à un environnement comme Proton qui permet aux derniers jeux Windows utilisant DirectX 12 d’être « traduits » et lancés sous macOS.

Cet outil est basé sur le code source de CrossOver, une solution développée par CodeWeavers qui utilise Wine pour exécuter des jeux Windows sur macOS. Grâce à cela, Apple a pu concevoir son propre outil permettant « d’interpréter » en temps réel les jeux Windows pour les exécuter sous macOS Sonoma (C’est le nom de la prochaine version de macOS, pour ceux qui n’ont pas suivi). Cela signifie que les développeurs peuvent dès à présent lancer une version non modifiée d’un jeu Windows sous un Mac et voir comment il se comporte avant de procéder à un véritable portage intégral.

Ainsi, les instructions x86 basées sur Intel et les API Windows sont traduites en API macOS pour les processeurs Apple Silicon. Et bien sûr, Apple a tout prévu avec des API pour le clavier, la souris, les manettes, la lecture audio, au réseau, le système de fichiers et bien sûr Direct3D.

Même si, comme je le disais, cette solution est davantage destinée à tester les jeux avant de les porter, les utilisateurs de macOS peuvent quand même installer ce Game Porting Toolkit pour jouer. Mais attention, il y aura forcement des problèmes de performances et des bugs jusqu’à ce que les développeurs aient adapté le code de leurs propres jeux.

Chose marrante, des utilisateurs de Reddit ont déjà réussi à faire tourner Cyberpunk 2077, Diablo IV et Hogwarts Legacy sur des MacBook Pro M1 et M2 Max, avec quelques soucis de performances évidement, mais ça reste quand même très impressionnant !

Voici Diablo IV…

Voici Cyberpunk 2077 sur un MacBook M1…

Et comme vous pouvez le voir ici, sur un MacBook M2 Pro , c’est beaucoup plus fluide.

De son côté, CodeWeavers a également annoncé son propre support très attendu de DirectX 12 pour CrossOver Mac. Toutefois, ils ont précisé que ça ne serait pas non plus la solution miracle, donc on verra bien.

Avec ça plus pas mal d’évolutions côté Metal , le temps et le travail nécessaires pour adapter un jeu Windows sur Mac seront à terme nettement réduits. Si Apple continue dans cette voie, peut-être que nous pourrons, un jour, jouer à tous les derniers jeux récents Windows sous macOS.

Ah et sinon, vous l’avez bien aimé le titre de mon article ???? loooool

Source

Les nominés aux As d'Or 2023 sont tombés cette semaine : voici nos pronostics.

As d’Or 2022 : Turing Machine, Akropolis… voici les pronostics de la rédac