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      LOA et LLD voiture électrique : quelles sont les meilleures offres de leasing à saisir en ce début 2024 ?

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 26 January - 18:17

    Les locations longue durée, avec ou sans option d'achat, sont d'excellentes alternatives au crédit classique pour troquer sa vieille thermique contre une voiture électrique. Les constructeurs l'ont bien saisi et beaucoup intègrent des offres de leasing attractive pour leurs modèles 100 % électrique. Découvrez quelles sont les meilleures offres à saisir en ce début d'année 2024.

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      Comment l’IA pourrait révolutionner la location de voiture

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 11 January - 08:53

    À l'aéroport Orly et à Gare de Lyon, Sixt expérimente des portiques d'un nouveau genre, qui scannent 200 fois chaque véhicule au début et à la fin d'une location. C'est la startup lyonnaise Proovstation qui les fabrique. Nous l'avons rencontrée à Las Vegas.

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      Cityscoot va mal : l’entreprise est en cessation de paiement

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 8 November - 14:52

    Fondé en 2016 et spécialisé dans la location de scooters électriques en libre-service, Cityscoot s'est déclaré le 8 novembre en cessation de paiement auprès du tribunal de commerce de Paris. Il doit maintenant trouver de nouveaux investisseurs, au risque d'être placé en liquidation judiciaire. [Lire la suite]

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      10 choses à savoir avant de louer une Tesla pour la première fois

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 26 August, 2023 - 16:05

    Hertz, Sixt, Carrefour, Leclerc, OuiCar… Les véhicules électriques de la marque Tesla sont à la mode aussi en location. Prisées des amoureux de nouvelles technologies et des curieux qui souhaitent se faire leur propre avis sur l'électrique, les Tesla cartonnent de plus en plus chez les loueurs. À tel point que certains oublient d'expliquer comment fonctionne le véhicule. [Lire la suite]

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      Location ou achat de voiture électrique : lequel est fait pour vous ?

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 21 August, 2023 - 05:45

    En France, près d'une voiture particulière sur deux est acquise en location (LLD ou LOA) en 2023. Pour autant, une majorité des acquéreurs préfère l'achat intégral du véhicule. Voyons quelle méthode est faite pour vous, selon votre profil. [Lire la suite]

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      Une Tesla chez Carrefour ? Essai de la location la moins chère de France

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 11 April, 2023 - 13:26

    Pour 79 euros par jour, Carrefour propose de louer une Tesla Model 3 avec la recharge incluse. Comment se justifie l'écart de prix entre Carrefour et ses concurrents, qui louent des Tesla à un tarif parfois deux fois plus élevé ? On vous raconte notre week-end électrique. [Lire la suite]

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      Le leasing de voitures électriques n’est pas le bon plan que l’on croît

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 1 March, 2023 - 09:03

    Une étude de l’ONG T&E pointe du doigt le fait que le leasing des voitures électriques est anormalement plus élevé que celui des voitures thermiques. [Lire la suite]

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      #Location-Based Services Market Intelligence Report Offers Insights on Growth Prospects 2021–2026

      Sagar · Monday, 26 December, 2022 - 11:26 · 2 minutes

    Stratview Research has published a new report titled “Location-based services Market” which is segmented By Location (Indoor, Outdoor), Service Type (Professional, Managed), End-user Industry (FMCG and E-commerce, Retail, Healthcare, IT and Telecom, Transportation, Oil and Gas, Other), and by Region Asia-Pacific [China, Japan, India, and Rest of Asia-Pacific], and Rest of the World [Brazil, Saudi Arabia, and Others]).

    Get free sample repost here: https://www.stratviewresearch.com/Request-Sample/2695/location-based-services-market.html#form

    Report Highlights This report covers comprehensive data on emerging trends, market drivers, growth opportunities, and restraints that can affect the market dynamics of the industry. It provides thorough analysis of the market segments which include products, applications, and competitor analysis.

    The market is bifurcated into various segments. Below given is the segment-wise analysis -

    By End-user Industry, the location based services market has been bifurcated into FMCG and E-commerce, Retail, Healthcare, IT and Telecom, Transportation, Oil and Gas, Other. The FMCG segment accounted for the largest market share in 2020. There has been an increase in the number of e-commerce establishments. Personalization features in mobile apps have contributed to their greater success.

    Which Region is expected to remain the largest market?

    By region, the Location based services market is expected to be dominated by Asia Pacific. China is not only a major regional market for LBS, but also a market, owing to significant growth in investments in infrastructure and technological capabilities, combined with internet and mobile penetration, but the country holds a prominent position in the region as well as the market.

    Who are the Key Players in the Market? This report provides market intelligence in the most comprehensive way. It also provides critical insights into the key players active in the market, that will enable strategic decision-making for the existing market players as well as those willing to enter the market. The following are the key players activen in the Location based services Market: • AiRISTA Flow (US) • Apple (US) • Aruba Networks (US) • CenTrak (US) • Cisco (US) • Ericsson (US) • ESRI (US) • GE Healthcare (US) • Google (US)

    Custom Research:

    Stratview research delivers custom research services across the sectors. In case of any custom research requirements, please send your inquiry to sales@stratviewresearch.com. Or connect with our experts at +1-313-307-4176.

    About Us

    Stratview Research is a global market research firm, offering syndicated and custom research reports along with growth consulting services. Our business intelligence and industry research reports offer clients with insightful market data to aid strategic decision making. These exclusive reports are the result of exclusive research methodology and are available for key industries such as chemicals, composites, advanced materials, technology, renewable energy, and more.

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      Immobilier : taxe, baux, normes, et rendement

      Henry Bonner · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Monday, 12 December, 2022 - 04:00 · 9 minutes

    Un point commun à tous vos investissements immobiliers est la fiscalité locale. Si vous êtes impuissant concernant la fiscalité nationale, vous conservez le choix de l’emplacement et donc des impôts locaux : taxes foncières et d’habitation et autres. Il est par conséquent important de vous pencher sur cet aspect.

    La disparition de la taxe d’habitation pour les résidences principales est en réalité une loi de recentralisation. Une partie des impôts et taxes auparavant décidés au niveau local va se retrouver dans les mains de l’État qui en redistribuera les recettes.

    L’expérience de ce genre de cas montre que progressivement l’administration centrale s’approprie l’impôt et diminue ses reversements. Les municipalités devront donc compenser leurs pertes de recette en augmentant les taxes foncières ou en en créant d’autres.

    Assurez-vous que l’investissement que vous projetez se situe dans une commune bien gérée, ayant un historique prouvé de maîtrise de ses dépenses et exempte de dettes car les taux d’intérêt remontent.

    À cet égard, Paris est très mal placé. La dette de la capitale atteindra officiellement 7,75 milliards d’euros à la fin de l’année. Elle est probablement plus proche de 10 milliards en supprimant les effets de la comptabilité fantaisiste d’Anne Hidlago. Une mise sous tutelle financière est ouvertement évoquée.

    En cas de faillite, les propriétaires à Paris intra-muros seront en première ligne, puis les propriétaires en l’Île-de-France et enfin l’ensemble des contribuables français.

    Les médias relaient régulièrement des enquêtes réalisées sur les gestions des municipalités par des associations telles que l’ iFRAP ou Contribuables associés . Elles sont un bon point de départ pour déminer le terrain. L’IREF quant à lui a publié une étude démontrant que les dépenses des collectivités locales pour attirer les entreprises n’aboutissent à rien . Attention donc aux fausses promesses.

    Choisissez une commune sobre et minimaliste.

    Les différents baux d’habitation de courte durée

    Pour l’habitation, il convient de préférer les baux de courte durée pour éviter un fatal effet ciseau (loyers très encadrés mais frais en hausse). Les locations en meublés, de logements étudiants, saisonnières et Airbnb dans les communes qui le permettent sont les différentes options qui s’ouvrent à vous.

    Certes, les locataires changent plus souvent. Mais en contrepartie, au lieu d’une révision du bail, encadré par la législation et l’indice IRL (indice de référence des loyers) vous contracterez un nouveau bail à chaque changement de locataire, ce qui vous permet plus de liberté.

    Les locations en Airbnb

    Dans des endroits touristiquement fréquentés elles sont attirantes. Votre gestion est désormais facilitée par de nouvelles agences qui proposent leurs services pour les entrées-sorties, ménage et changement de linge. Ce sont de véritables services de conciergerie mais vous resterez maître du calendrier et du choix de vos occupants.

    Mais n’oubliez pas que vous dépendrez d’un éventuel oukase municipal pouvant limiter du jour au lendemain votre quota de nuitées autorisées. Dix-huit villes les limitent déjà à 120 jours par an .

    Autre point, vos relations avec les autres copropriétaires occupants risquent de ne pas être très cordiales. Ces derniers voient d’un mauvais œil un immeuble paisible se transformer en hall d’hôtel. Pour vous familiariser avec ce marché, faites comme si vous recherchiez vous-même des nuitées. Vous verrez ainsi le type de bien proposés, à quel prix et leurs disponibilités ; ce dernier point vous permettra de déduire un taux d’occupation. Nous sommes le 5 décembre 2022, les logements bien situés devraient déjà être tous réservés de mi-décembre à début janvier 2023.

    Les locations étudiantes

    Elles peuvent être une solution si vous envisagez d’acheter dans une ville universitaire. À condition évidemment de bien choisir le profil de vos locataires. Un étudiant en sociologie n’a pas la même hygiène de vie que celui qui intègre un executive MBA (bac + 5, ayant déjà plusieurs années d’activité professionnelle). Ce dernier voudra être au calme avec une bonne connexion internet et se consacrera exclusivement à ses études. Un bon mode de gestion consiste à faire connaître vos offres dans les grandes écoles et les cursus sélectifs.

    Le co-living

    Cette offre s’est récemment développée. Plusieurs occupants se partagent dans un même logement des parties communes (salon, bureau, cuisine, jardin) et des services communs (ménage, entretien) tout en profitant d’une chambre, d’une salle d’eau et parfois d’une kitchenette privative. Les locataires s’engagent à un règlement de vie commune. Là encore, des agences spécialisées s’occupent de la gestion au quotidien. Ce créneau est adapté aux grandes maisons ou appartements situés dans des villes dynamiques. À Rennes, une chambre en co-living peut ainsi se louer 650 euros à 750 euros par mois. À Lyon, c’est 855 euros par mois.

    Le meublé destiné à du personnel détaché .

    C’est ma préférence (issue de l’expérience) dans la catégorie de logements d’habitation.

    Le preneur du bail sera dans ce cas une entreprise qui doit loger du personnel. Des agences immobilières se sont spécialisées dans ce type de services aux expatriés. Je vous conseille de les approcher pour qu’elles vous décrivent leurs attentes, notamment en matière d’équipements.

    Vous l’aurez compris, si vous voulez retrouver du rendement dans l’habitation, il vaut mieux privilégier le meublé plutôt haut de gamme, de courte durée. Vous devrez tenir compte dans vos calculs de frais de rafraîchissement plus fréquents. Mais le risque de vous retrouver avec un locataire qui ne paie pas et s’incruste est bien moindre que dans le cas des baux classiques.

    Si vous vous focalisez sur le rendement, vous arriverez vite à cerner l’emplacement idéal qui convient à chaque cas : proximité d’un centre d’affaires, d’une gare de centre-ville, villes industrielles, villes universitaires, villes touristiques. Les agences spécialisées vous conduiront vite vers les bons quartiers et vers les produits qui auront le plus de demande.

    Un rendement correct exige un bon emplacement, l’inverse n’étant pas forcément vrai.

    Plutôt l’ancien que le neuf

    Les coûts de construction ont littéralement explosé dans la dernière décennie. La rareté du foncier est loin d’être le coupable. Cette augmentation tient surtout à un empilage de contraintes pour les promoteurs. C’est d’ailleurs ce qui explique la hausse de l’indice des coût à la construction (ICC) dont je vous ai déjà parlé.

    Outre l’accessibilité aux personnes en situation de handicap ou les multiples normes d’isolation thermique dont une partie ne sera jamais rentabilisée par les économies de chauffage, citons en vrac :

    • Renforcement de l’obligation d’ascenseur (2019)
    • Douche sans ressaut (2020)
    • Contrôle de réception du dispositif de ventilation (2021),
    • Augmentation de la surface de stationnement pour les vélos (2021)
    • Collecte sélective (7 flux) des déchets de chantier (2021)
    • Repérage d’amiante naturel dans les terrains à bâtir (2022)
    • Étude sur le potentiel de réversibilité et d’évolution future des bâtiments (à partir de 2023)
    • Règles spécifiques dans les communes dotées d’un plan de prévention des risques (PPR)

    À cette liste s’ajoutent les obligations des promoteurs en matière de logement social. Le Journal des Libertés indique que les promoteurs doivent :

    « vendre à perte, lors de toute opération de logement collectif, une partie du parc ainsi construit (souvent 30 %, parfois plus) à des bailleurs sociaux, à charge pour les promoteurs de répercuter la perte sur les logements vendus au secteur privé.

    Le résultat est que tout acheteur d’un bien en immeuble collectif paie aujourd’hui une taxe discrète, impôt caché n’apparaissant dans aucune statistique fiscale, mais qui renchérit de 5 à 15 % le coût de son logement. »

    Acheter dans du neuf c’est accepter de surpayer pour toute cette folie réglementaire qui vous est inutile et nuisible.

    Certes les coûts de travaux d’amélioration dans l’ancien sont légèrement supérieurs à ceux du neuf (notamment pour l’électricité) mais dans l’ensemble, vous serez gagnant en ne payant pas pour des options qui ne seront pas rentables.

    De l’ancien mais pas de monuments historiques ni de « loi Malraux »

    Les amoureux de la belle pierre et des abattements fiscaux se laissent souvent tenter par les dispositifs d’incitation liés aux monuments historiques et, pour ceux qui sont situés en centre-ville, loi Malraux.

    Autour de moi, à l’exception d’un professionnel du bâtiment, je connais surtout des gens qui ont essuyé bien des déconvenues. Tout artisan connaît les difficultés qu’entraîne la supervision des monuments historiques et les surcoûts liés à la rénovation. L’addition dépasse systématiquement les estimations initiales.

    La plupart du temps, les déductions d’impôts (22 % à 30 % calculés sur le montant des travaux dans la limite de 100 000 euros par année pour la loi Malraux) ne compensent pas les surcoûts.

    En revanche, le classement en monument historique procure un avantage méconnu : ce type de bien est exonéré de droits de succession (impôt sur la mort) avec une contrepartie lourde : l’ouverture au public.

    Faites vos comptes sans lunettes roses !

    4 à 5 % de rendement annuel sur la durée est une cible raisonnable. L’idéal est de démarrer le plus haut possible pour pouvoir accepter une certaine érosion (l’effet ciseau, souvenez-vous…).

    Pour évaluer le rendement réel en location classique d’habitation, les banques ne prennent en compte que 70 % des loyers net encaissés sur les revenus locatifs. En effet, elles estiment que les 30 % absorbent les vacances locatives, les travaux de maintenance et de rafraichissement, les charges incombant au propriétaire, la taxe foncière, les assurances. C’est effectivement un forfait minimal que vous avez intérêt à légèrement majorer pour prendre une marge de sécurité.

    Vous pouvez utiliser deux autres méthodes.

    La plus fine est celle dite cash-flow discounted (DCF) ou en français « actualisation des flux de revenu ». Cette méthode estime le bien selon ses revenus et charges variables dans le temps et non plus fixes. Ce calcul d’origine anglo-saxonne est désormais courant au niveau européen et est en lien avec les normes comptables IFRS.

    L’autre méthode est celle du coût de remplacement qui conduit à déterminer une durée d’amortissement. Vous avez acheté votre bien 100. Si vous estimez, par exemple, qu’il sera amorti en 30 ans, c’est-à-dire que vous aurez à réinjecter 100 au bout de 30 ans pour conserver ce bien en l’état (ravalement, toiture, etc.).

    En supposant nulle l’érosion monétaire, vous devez provisionner plus de 3,33 % par an. Ce montant est à épargner de vos recettes puisque c’est une charge. En supposant 4 % annuels d’érosion monétaire, les 100 seront devenus 320 au bout de 30 ans. Voilà qui change la donne !

    Ce calcul par le coût de remplacement vous contraint à faire des estimations de long terme sur une donnée – l’inflation monétaire – que vous ne maîtrisez pas. Il est donc mieux adapté aux biens neufs à durée d’amortissement réduite qu’à l’haussmannien ou aux bâtiments anciens de qualité.

    Je me propose d’évoquer prochainement les rendements locatifs des boutiques, bureaux, commerces, entrepôts, boxes et parkings.

    Simone Wapler a rédigé ce contenu pour la lettre d’information d’Henry Bonner. Continuez à suivre leurs écrits en vous inscrivant ici.