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      À Londres, six smartphones volés chaque minute l’an dernier !

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Saturday, 26 August, 2023 - 13:00

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    Le vol de smartphones à Londres a atteint un pic inquiétant en 2022 : un mobile volé toutes les six minutes ! Les autorités locales et les responsables de la police pressent l'industrie de mettre en place des mesures pour rendre ces vols moins attrayants pour les pickpockets.

    À Londres, six smartphones volés chaque minute l’an dernier !

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      Les Centres du Progrès (23) : Londres (Émancipation)

      Chelsea Follett · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Sunday, 11 December, 2022 - 03:50 · 11 minutes

    Un article de Human Progress

    Notre vingt-troisième Centre du progrès se situe à Londres à la fin du VIII e et au début du XIX e siècle, lorsque la ville a accueilli des débats sur la nature des droits de l’homme qui allaient changer le monde. Aujourd’hui, nous considérons comme acquise la norme selon laquelle personne ne peut acheter ou vendre un autre être humain, mais il a fallu beaucoup de temps à l’humanité pour en arriver à cette norme. L’esclavage a été accepté et rarement remis en question pendant des millénaires dans le monde entier, mais aujourd’hui, l’esclavage est illégal dans tous les pays. Les batailles juridiques menées à Londres et les mesures législatives prises dans cette ville ont contribué à mettre fin au commerce mondial des esclaves et à provoquer un changement radical des attitudes à l’égard de l’esclavage – une victoire inestimable pour la liberté humaine.

    Aujourd’hui, Londres est une ville qui n’a plus besoin d’être présentée. Elle est connue pour être l’une des principales villes mondiales, ainsi que la capitale et la ville la plus peuplée du Royaume-Uni. Londres est reconnue comme un centre de commerce, de finance, d’art, d’éducation et de recherche, et fait partie des destinations touristiques les plus populaires du monde. Elle abrite le palais de Buckingham, l’emblématique tour de l’horloge Big Ben, le British Museum et la plus grande roue d’Europe, le London Eye. Elle abrite également quatre sites différents inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO : l’abbaye de Westminster, la tour médiévale de Londres, les jardins de Kew et le quartier maritime de Greenwich.

    Des preuves suggèrent que le site de l’actuelle Londres est habité depuis au moins l’âge de bronze. Cependant, l’importance du site a commencé lorsque les Romains y ont fondé une colonie portuaire en 43 après J. -C. Elle était connue sous le nom de Londinium. Londinium est rapidement devenue un centre de commerce régional, un nœud routier majeur et la capitale de la Grande-Bretagne romaine pendant la majeure partie de la période où les Romains ont régné sur la province de Britannia. Une fois qu’ils ont quitté la Grande-Bretagne, les Anglo-Saxons ont pris le pouvoir à Londres et la ville est devenue la capitale du futur royaume d’Angleterre. Après la conquête normande de 1066, Guillaume le Conquérant est devenu le roi d’Angleterre et c’est sous son règne que Londres a été associée pour la première fois aux tentatives de limiter l’esclavage.

    Dans différentes parties du monde, l’esclavage a longtemps fait l’objet de critiques ponctuelles, de diverses limites et même de brèves interdictions. Par exemple, l’empereur Wang Mang a interdit l’esclavage en Chine en l’an 9 de notre ère. Il a été rétabli peu après. Au VII e siècle, la reine franque Balthild, elle-même ancienne esclave, a contribué à la promulgation de réformes visant à empêcher le commerce d’esclaves chrétiens. Dans les années 740, le pape Zachary a interdit la vente d’esclaves chrétiens aux musulmans. En 873, le pape Jean VIII a également qualifié de péché l’asservissement des chrétiens et a plaidé pour la libération des esclaves.

    Mais la première tentative de restriction de l’esclavage à l’impact le plus durable s’est produite à Londres. Selon le Domesday Book, un vaste recensement de l’Angleterre et de certaines parties du Pays de Galles réalisé dans les années 1080, environ 10 % des habitants de la région étaient des esclaves . En 1080, Guillaume le Conquérant a interdit la vente d’esclaves aux non-chrétiens. En 1102, le Conseil ecclésiastique de Londres a interdit le commerce d’esclaves en Angleterre, décrétant que « personne n’osera plus s’engager dans cette activité infâme […] qui consiste à vendre des hommes comme des animaux ».

    En une génération, l’esclavage a pratiquement disparu en Angleterre. Il a été remplacé par le servage. Contrairement aux esclaves, les serfs pouvaient au moins posséder des biens. De plus, ils ne risquaient pas d’être séparés de leur famille. Hélas, ils ne pouvaient pas se déplacer puisqu’ils étaient perpétuellement confinés à la terre qu’ils travaillaient. Un seigneur féodal pouvait vendre cette terre, changeant ainsi qui le serf servait, mais les serfs eux-mêmes n’étaient pas vendus.

    Depuis des temps immémoriaux, toutes les grandes civilisations ont pratiqué une forme d’esclavage pendant la majeure partie de l’histoire. L’esclavage existe depuis au moins 3500 avant J.-C., lorsque les anciens Sumériens le pratiquaient. Les progrès de la navigation maritime ont entraîné la mondialisation de la traite des esclaves. Par exemple, la traite atlantique des esclaves a duré du XVI e au XIX e siècle et a impliqué le transport de millions d’Africains subsahariens à travers l’océan pour y vivre en esclavage.

    Si les premiers esclavagistes étrangers en Afrique subsaharienne étaient des Arabes – l’Arabie saoudite n’a en effet interdit l’esclavage qu’en 1962 -, les Européens n’ont pas tardé à jouer un rôle de premier plan dans la traite maritime des esclaves, transportant environ 11 millions d’esclaves hors d’Afrique. Le premier et le plus grand contrevenant était le Portugal, qui a transporté environ 5 millions d’esclaves des marchés d’esclaves africains, principalement vers sa colonie du Brésil.

    La Grande-Bretagne a transporté le deuxième plus grand nombre d’Africains réduits en esclavage (2,6 millions) dans ses différentes colonies. Au moins 300 000 esclaves africains ont été expédiés dans les colonies britanniques d’Amérique du Nord, qui deviendront plus tard les États-Unis. Cependant, l’absence quasi-totale d’esclavage en Grande-Bretagne qui perdurait depuis les réformes de Guillaume le Conquérant, allait se révéler cruciale pour retourner les cœurs et les esprits britanniques vis-à-vis de cette institution.

    Comme chacun le sait, les esclaves africains étaient traités comme des biens et non comme des personnes. Leurs conditions de vie sur les navires négriers étaient horribles, ils étaient nombreux à ne pas survivre pas au voyage. La plupart de ceux ayant survécu au voyage ont ensuite vécu le cauchemar du travail agricole forcé et éreintant dans les plantations du Nouveau Monde. Les esclaves des plantations des Caraïbes et du Brésil ont enduré les pires conditions et ont connu les taux de mortalité les plus élevés.

    Un adolescent barbadien asservi, Jonathan Strong, a été amené à Londres par son maître qui, en 1765, l’a blessé avec un pistolet et l’a laissé pour mort dans la rue. Strong, en sang et presque aveugle à la suite de cette attaque, s’est retrouvé dans une clinique pour les pauvres à Mincing Lane. Alors qu’il est soigné pour ses blessures, il fait impressionne le frère du médecin, Granville Sharp (1735-1813).

    Sharp, né à Durham mais résidant à Londres depuis l’âge de quinze ans, fut transformé à jamais par cette rencontre. Avec son frère, il emmène Strong à l’hôpital et lui paie un traitement de plusieurs mois. Mais peu de temps après s’être suffisamment rétabli pour quitter l’hôpital, Strong est repris par son ancien esclavagiste qui tente de le vendre à une plantation jamaïcaine.

    Sharp a défendu avec avec succès la liberté de Strong au tribunal battant mais seulement sur un point de détail. Hélas, la santé de Strong est définitivement compromise par l’attaque au pistolet et il meurt à l’âge de 25 ans en 1770. Sharp se consacre à la mise à l’établissement d’une législation sur la question de savoir si un homme peut être contraint de quitter la Grande-Bretagne et de devenir esclave. Ses efforts lui valent une réputation de penseur des Lumières et de militant anti-esclavagiste. Il n’est pas seul. Le mouvement abolitionniste en Grande-Bretagne prend de l’ampleur.

    En 1769, un autre esclavagiste des colonies a tenté d’amener à Londre un homme asservi, James Somerset. En 1771, Somerset s’est échappé. En moins de deux mois, il est capturé et des dispositions sont prises pour le vendre à nouveau comme esclave en Jamaïque. Trois Londoniens ont demandé que Somerset soit entendu et leur requête a été acceptée. De nombreux Britanniques inquiets envoient de l’argent pour lancer une défense juridique pour Somerset mais plusieurs avocats se portent volontaires pour s’occuper de l’affaire bénévolement. Sharp conseille longuement les avocats de Somerset.

    L’un d’eux, William Davy, est célèbre pour avoir cité à la défense de Somerset une affaire de 1569 dans laquelle un charretier aurait tenté d’amener un esclave de Russie en Angleterre. Dans cette affaire, il a été décidé que l’air de l’Angleterre était « trop pur » pour qu’un esclave puisse le respirer et que toute personne en Angleterre était donc libre. Ou, comme l’a dit le juriste londonien Sir William Blackstone (1723-1780), « l’esprit de liberté est si profondément ancré dans notre constitution qu’un esclave, dès qu’il débarque en Angleterre, est libre ».

    Somerset gagne son procès. Le jugement énonce que tant qu’il est en Grande-Bretagne, Somerset est libre. En outre, il ne peut être forcé à quitter le pays. Ce jugement marque un tournant.

    Quelles que soient les motivations initiales de Guillaume le Conquérant pour limiter l’esclavage, à l’époque du jugement de Somerset, l’absence d’esclavage en Grande-Bretagne était devenue une question de fierté britannique. C’était également une question morale pour plusieurs penseurs des Lumières, des membres du clergé – dont l’ecclésiastique anglican John Newton (1725-1807), auteur de l’hymne bien connu Amazing Grace – et le grand public.

    En 1807, grâce à la pression croissante de l’opinion publique et au travail de réformateurs infatigables tels que William Wilberforce (1759-1833) au sein du Parlement britannique de Westminster, basé à Londres, la Grande-Bretagne interdit le commerce international des esclaves avec la loi sur le commerce des esclaves. Lorsque les efforts diplomatiques visant à faire pression sur Paris et Vienne pour qu’ils signent une législation similaire se sont révélés vains, le soutien de l’opinion publique à l’usage de la force a augmenté.

    Les décideurs de Londres ont ordonné à la marine britannique de former l’escadron d’Afrique de l’Ouest en 1808 afin de bloquer l’Afrique de l’Ouest et d’arrêter le mouvement des navires transportant des esclaves à travers l’océan Atlantique. Dans les années 1850, l’escadron d’Afrique de l’Ouest comptait environ 25 navires, deux mille hommes britanniques et un millier de membres d’équipage supplémentaires recrutés localement, principalement dans ce qui est aujourd’hui le Liberia. Les officiers de la marine britannique recevaient une récompense pour chaque esclave libéré, mais la principale motivation était humanitaire – à cette époque, les efforts anti-esclavagistes étaient extrêmement populaires en Grande-Bretagne. Comme l’a dit le poète Alfred Tennyson (1809-1892), « Cet esprit de chevalerie […] nous le voyons dans les actes d’héroïsme sur terre et sur mer, dans les combats contre le commerce des esclaves. »

    Entre 1808 et 1860, l’escadron d’Afrique de l’Ouest a réussi à chasser au moins 1600 navires négriers et à libérer environ 150 000 esclaves africains. L’Espagne et le Portugal ont tenté de poursuivre la traite des esclaves en achetant souvent des esclaves à des vendeurs africains. Au milieu du XVII e siècle, le roi Tegbesu du Dahomey, dans l’actuel Bénin, tirait l’équivalent d’environ 250 000 livres par an – la majeure partie de ses revenus – de la vente aux Européens d’esclaves capturés lors de batailles. Son successeur au trône a déclaré en 1840, en réponse aux pressions exercées par les Britanniques pour qu’il cesse de vendre des esclaves : « Le commerce des esclaves est le principe directeur de mon peuple. C’est la source et la gloire de leur richesse… la mère berce l’enfant avec des notes de triomphe sur un ennemi réduit à l’esclavage » . Son acceptation de l’esclavage montre à quel point cette pratique était encore profondément ancrée à l’époque et dans le monde entier.

    La marine britannique finit par bloquer le Brésil également et réussit à mettre un terme au commerce d’esclaves brésilien en 1852. Mais les effets du mouvement abolitionniste né à Londres ne se sont pas arrêtés là. Le mouvement connut un renouveau dans les années 1860, lorsque David Livingstone, médecin écossais et membre éminent de la London Missionary Society, publia des rapports décrivant la traite des esclaves arabes en Afrique qui émurent également le public britannique. Dans les années 1870, la marine britannique a de nouveau consacré des ressources à l’arrêt de la traite des esclaves, cette fois-ci par des négociants basés à Zanzibar. Grâce en partie aux efforts lancés à Londres, le nombre de pays où l’esclavage est légal s’effondre tout au long du XIX e siècle.

    Si les législateurs londoniens des XVIII e et XIX e siècles étaient loin d’être parfaits, leur zèle anti-esclavagiste a contribué à changer le monde pour le mieux. Comme le disait l’historien irlandais William Lecky (1838-1903), « La croisade inlassable, sans ostentation et sans gloire de l’Angleterre contre l’esclavage peut probablement être considérée comme l’une des trois ou quatre pages parfaitement vertueuses de l’histoire des nations . »

    C’est à Londres que les abolitionnistes britanniques se sont organisés, qu’ils ont remporté des victoires judiciaires et législatives, qu’ils ont lancé des navires de guerre avec pour mission d’émanciper les esclaves et qu’ils ont finalement contribué à modifier des normes morales qui avaient persisté depuis l’aube de la civilisation. Pour son rôle essentiel dans la fin de la traite des esclaves et la dénormalisation de l’institution de l’esclavage, Londres est à juste titre notre vingt-troisième Centre du progrès.

    Traduction Contrepoints

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      MMA: Paddy Pimblett livre un message puissant sur le suicide chez les hommes

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 24 July, 2022 - 13:31 · 2 minutes

    Paddy Pimblett livre un message puissant sur le suicide chez les hommes à l'UFC Londres après le décès d'un ami, le 23 juillet 2022. Paddy Pimblett livre un message puissant sur le suicide chez les hommes à l'UFC Londres après le décès d'un ami, le 23 juillet 2022.

    SPORT - “Les hommes doivent parler!” C’est un cri du cœur lancé par Paddy Pimblett. Après sa victoire par soumission, ce samedi 23 juillet, à l’UFC Fight Night de Londres -grand rendez-vous des fans de MMA -, le combattant anglais a livré un message puissant sur le suicide chez les hommes.

    Après avoir été déclaré vainqueur face à l’Américain Jordan Leavitt, Paddy Pimblett a tenu à “dédier cette victoire à Baby Lee Hodgson [l’un de ses jeunes fans mort d’un cancer]. C’était un petit guerrier. Il était un battant, encore plus que nous tous réunis”. Il poursuit: “Vendredi, à 4h du matin, on m’a appris le suicide d’un ami. (...) Alors Ricky, cette victoire est pour toi!”

    C’est dans ce contexte que le combattant de 27 ans a lancé un appel: “Il y a une stigmatisation dans ce monde, on pense que les hommes ne peuvent pas parler. Si vous êtes un homme et que vous avez du poids sur les épaules et si vous pensez que la seule façon de résoudre le problème est de vous tuer, parlez à quelqu’un. Parlez à n’importe qui! Je sais que je préfère qu’ils pleurent sur mon épaule plutôt que d’aller à ses funérailles la semaine prochaine. Débarrassons-nous de cette stigmatisation.”

    Après son message, Paddy Pimblett, surnommé “The Baddy”, a salué les spectateurs et est descendu de sa cage en larmes. En fond, la musique du club de football de sa ville de Liverpool chantée par la foule, You’ll Never Walk Alone. Tu ne marcheras jamais seul.

    À voir également aussi sur le Huffpost: Le combat Francis Ngannou-Ciryl Gane à l’UFC peut changer l’image du MMA en France

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      Canicule, sécheresse: À l'Est de Londres, un incendie spectaculaire ravage un village

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 19 July, 2022 - 16:16 · 3 minutes

    INCENDIES - Un nuage de fumée noire et des bâtiments calcinés. Une centaine de pompiers sont à l’œuvre ce mardi 19 juillet dans l’après-midi pour combattre un incendie qui ravage un petit village à l’est de Londres sous une chaleur qui bat des records au Royaume-Uni , ont annoncé les soldats du feu.

    Selon les images prises depuis un hélicoptère de la chaîne Sky News, l’incendie a parcouru des étendues de végétation et détruit plusieurs bâtiments et maisons du village de Wennington, à une trentaine de kilomètres du centre de Londres.

    Une centaine de pompiers et 15 engins ont été déployés, ont indiqué sur Twitter les pompiers de Londres. “Nous conseillons aux résidents de rester chez eux, si possible, gardez vos fenêtres fermées et évitez les environs de Wennington”, a écrit sur Twitter le Havering Council, l’autorité locale.

    Des maisons détruites, des habitants évacués

    Sue Ospreay, une élue, confirme dans une vidéo que des maisons ont brûlé et des personnes ont dû évacuer. Elle ajoute qu’un complexe sportif a été ouvert pour accueillir les habitants. “Des gens viennent avec du thé, du café, de l’eau s’il vous plaît venez. Nous n’avons pas beaucoup mais ce que nous avons, nous le partageons. Laissez-nous vous aider”, appelle-t-elle.

    Plusieurs incendies sont recensés dans plusieurs zones périurbaines de Londres: à Wembley (nord-ouest de Londres), Croydon (sud), Upminster ou encore près de l’autoroute vers Dartford (est). “La situation est critique, les pompiers subissent une énorme pression”, a alerté sur Twitter le maire de la capitale, Sadiq Khan .

    Confrontés à ces “incendies importants à travers la capitale pendant la vague de chaleur record aujourd’hui”, les pompiers de Londres ont déclenché une procédure d’urgence qui permet de déployer davantage de ressources en termes de services de secours.

    Sous l’effet de la vague de chaleur qui s’abat sur l’Europe, le Royaume-Uni a dépassé pour la première fois le seuil des 40°C, avec 40,2°C relevés à l’aéroport londonien d’Heathrow, selon l’agence météo britannique Met Office.

    À voir également aussi sur le Huffpost: À cause des incendies en Gironde, Bordeaux se réveille dans le brouillard

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      La venue de Nicki Minaj à Londres ne s'est pas passée comme prévu

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 12 July, 2022 - 09:20 · 2 minutes

    Nicki Minaj, ici à Londres, lundi 11 juillet. Nicki Minaj, ici à Londres, lundi 11 juillet.

    PEOPLE - C’est ce qu’on appelle faire des remous. Ce lundi 11 juillet, Nicki Minaj avait donné rendez-vous à ses fans londoniens dans le quartier de Camden Town, mais cette dernière ne s’attendait certainement pas à ce que sa venue crée une telle agitation.

    Sur les réseaux sociaux, de nombreuses vidéos prises par des passants ont circulé. Elles font toutes état de la même chose: des centaines de personnes en train de poursuivre le SUV qui conduisait la star dans les rues de Londres.

    Les images sont impressionnantes.

    Les vidéos ont été prises quelques minutes après une première tentative de rencontre entre Nicki Minaj et ses fans. D’après des photos, elle est semble-t-il descendue une première fois de sa voiture, mais a dû rapidement remonter.

    La situation a poussé Nicki Minaj à prendre la parole sur Twitter. “Les gars, si vous ne vous rangez pas calmement, ils ne me laisseront pas sortir de la voiture. S’il vous plaît, ne courez pas dans les rues. S’ils vous plaît, rendez-vous dans un seul endroit en faisant la queue”, a-t-elle exhorté.

    Les forces de l’ordre ont dû se rendre sur place. Une vidéo montre un agent au milieu de la foule en train de crier aux fans que Nicki Minaj a quitté les lieux précipitamment et qu’elle ne reviendra plus.

    Quelques heures plus tard, un communiqué de la police de Camden a été relayé sur les réseaux sociaux. Il précise que “des ressources supplémentaires ont dû être déployées pour maintenir l’ordre public et fermer les routes”.

    “Dans l’intérêt et la sécurité de chacun”, continue le texte officiel, “les responsables de l’événement ont pris la décision de ne pas le poursuivre. Il est conseillé au public de ne pas se rendre sur les lieux.” Un ordre de dispersion a été donné. Aucune arrestation n’a été observée.

    À voir également sur Le HuffPost : Nicki Minaj a eu des gros problèmes de son à Coachella

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      Une machine à écrire comme pinceau pour cet artiste londonien

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 5 July, 2022 - 16:19 · 2 minutes

    ART - Vous n’avez sans doute jamais vu de tableau réalisé de la sorte. L’outil de cet artiste n’est en effet ni un pinceau, ni un crayon ou un fusain. James Cook, un Britannique de 25 ans, utilise une machine à écrire. Et comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus , le résultat est impressionnant.

    Il réalise des portraits de personnalités (Tom Hanks ou la reine Élisabeth) ou des paysages urbains plus vrais que nature. Originaire de Londres, il a fait ses dessins tous les lieux les plus incontournables de la capitale britannique allant de Big Ben à Piccadilly Circus en passant par une vue de la City depuis Greenwich Park.

    James Cook a découvert cet art en 2014 grâce aux œuvres de Paul Smith, un artiste du siècle dernier (1921-2007) qui produisait des œuvres similaires. Pour autant, il ne pensait pas devenir un artiste, lui qui suivait des études d’architecture. Mais devant l’énorme succès de ses toiles sur les réseaux sociaux, il a décidé de poursuivre sa passion. Au point d’organiser en avril dernier sa première exposition; une deuxième est prévue durant l’été. Lors de cette exposition, l e public pourra s’essayer aux différentes techniques que l’artiste utilise.

    Des touches de couleur

    Ses œuvres se déclinent en plusieurs formats, certaines étant des assemblages de plusieurs feuilles simples. Un format A4 peut prendre entre quatre et cinq jours à être réalisé. Pour les autres formats, il faut compter plusieurs semaines.

    Les œuvres de l’artiste sont pour la plupart réalisées en noir et blanc, mais certaines comportent des touches de couleur réalisées avec des rubans jaunes et rouges notamment. Pour réaliser les ombrages, James Cook utilise le symbole ”@” à de multiples reprises, car il représente une grande surface et peut être utilisé avec des symboles plus grands.

    Des messages écrits sont également cachés dans les œuvres. Seuls les observateurs attentifs pourront les découvrir, de quoi ajouter une dimension ludique à ces dessins pas comme les autres. Pour continuer de perfectionner son art, des donateurs lui offrent leurs vieilles machines à écrire. Le jeune artiste assure n’en avoir acheté que trois tout au plus. Il en possèderait aujourd’hui plus d’une trentaine.

    À voir également sur Le HuffPost: Ces militants écolos se collent à un tableau de Van Gogh

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      Une nouvelle espèce de nénuphar géant découverte au Royaume-Uni

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 4 July, 2022 - 13:39 · 3 minutes

    SCIENCE - Des experts de Kew Gardens, un célèbre jardin botanique à l’ouest de Londres , ont révélé ce lundi 4 juillet avoir découvert une nouvelle espèce de nénuphar géant, la première recensée depuis le milieu du XIXe siècle.

    Des spécimens étaient présents à Kew Gardens depuis 177 ans et à l’herbier national de Bolivie pendant 34 ans avant que les botanistes ne réalisent qu’il s’agissait d’une nouvelle espèce, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article.

    “Voici Victoria boliviana, le nénuphar géant qui bat tous les records et qui a été découvert à Kew après avoir passé 177 ans caché dans nos collections.”

    Les experts pensaient au départ qu’il s’agissait du “Victoria amazonica”, l’une des deux variétés connues de nénuphars géants dont le nom vient de la reine Victoria. Mais après des recherches menées avec une équipe venue de Bolivie, les experts de Kew Gardens ont établi qu’il s’agissait en réalité d’une troisième variété.

    En plus d’être la plus récente espèce de nénuphar géant, “Victoria boliviana”, dont les feuilles peuvent mesurer jusqu’à trois mètres de large, est également la plus grande au monde. Les années d’enquête pour arriver à sa découverte sont décrites dans un article de la revue Frontiers in Plant Sciences , publié ce lundi.

    “Nous avons caché ce merveilleux secret à la vue de tous”

    L’illustratrice spécialisée en dessins botaniques Lucy Smith, qui a participé à l’enquête, a raconté qu’elles avaient poussées –sans être référencées– dans une serre à Kew au cours des quatre dernières années.

    “En fait, nous avons caché ce merveilleux secret à la vue de tous pendant tout ce temps”, a-t-elle déclaré à l’AFP. ” Lorsque j’ai enfin pu observer une fleur complètement ouverte, c’est là que j’ai vraiment compris qu’il s’agissait de quelque chose de complètement différent des autres espèces. C’était une fleur spectaculaire. C’était l’une des plus grandes fleurs que j’avais vues. Et la coloration et les structures étaient très différentes de celles des autres espèces.”

    Les différences entre le Victoria amazonica (A), le Victoria boliviana (B) et Victoria cruziana, trois espèces de nénuphars. Les différences entre le Victoria amazonica (A), le Victoria boliviana (B) et Victoria cruziana, trois espèces de nénuphars.

    Carlos Magdalena, un chercheur en horticulture spécialisé dans la sauvegarde des espèces végétales en voie d’extinction, a qualifié la plante de “l’une des merveilles botaniques du monde”.

    Il a expliqué qu’environ 2000 espèces de plantes sont découvertes chaque année, mais “ce qui est très inhabituel, c’est qu’une plante de cette taille avec ce niveau de renommée soit découverte en 2022”. Encore plus dans le Kew Gardens, visité par deux millions de touristes chaque année. “Cela montre vraiment à quel point nous savons peu de choses sur le monde de la nature”, a-t-il remarqué.

    “Victoria boliviana” a été nommée en l’honneur des partenaires boliviens de l’équipe et de l’écosystème naturel de la plante dans le pays d’Amérique du sud.

    Les nénuphars géants fleurissent et passent du blanc au rose la nuit.
    Kew gardens est le seul endroit au monde où les visiteurs peuvent admirer les trois espèces du genre Victoria -“amazonica”, “cruziana” et désormais “boliviana”- côte à côte.

    À voir également sur Le HuffPost: Aux Philippines, découverte de l’épave la plus profonde jamais localisée

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      Roger Federer "espère revenir une fois encore" à Wimbledon

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 3 July, 2022 - 16:16 · 3 minutes

    Novak Djokovic et Roger Federer ont reçu l'ovation du public londonien pour le centenaire du mythique Central Court de Wimbledon. Novak Djokovic et Roger Federer ont reçu l'ovation du public londonien pour le centenaire du mythique Central Court de Wimbledon.

    TENNIS - Le roi du gazon était de retour sur ses terres. Ce dimanche 3 juillet, le public londonien a eu la surprise de voir Roger Federer déambuler dans les allées du tournoi du Grand Chelem .

    De passage à Wimbledon , l’octuple vainqueur du tournoi britannique n’est pas passé inaperçu. Et pour cause, il n’était pas inscrit à cette 135e édition. En réalité, le Suisse était de passage à l’occasion d’une prestigieuse cérémonie organisée pour le 100e anniversaire du légendaire Centre Court, théâtre de certains des plus grands matchs de l’histoire du tennis.

    Lors de son entrée, Roger Federer a reçu une ovation toute particulière de la part de la foule réunie en nombre sur ce court central de Wimbledon.

    “J’espère pouvoir revenir une fois encore” à Wimbledon, a déclaré Roger Federer, qui n’a plus joué en compétition depuis son élimination l’an dernier en quarts de finale du Grand Chelem londonien en raison de son genou blessé .

    “Wimbledon me manque. Je savais en quittant le court l’an dernier que l’année qui venait serait dure”, a ajouté le Suisse de 40 ans, vainqueur à huit reprises du Majeur sur gazon et qui reste à ce jour le tennisman le plus titré à Londres.

    “Je ne pensais pas que ça prendrait autant de temps pour revenir sur le circuit. Le genou n’a pas été tendre avec moi”, a-t-il ajouté.

    Réunion prestigieuse du “Big Four”

    À ses côtés ce dimanche, sur le plus mythique des courts de tennis, se tenaient vingt-trois autres lauréats du plus prestigieux des tournois de tennis, de Stan Smith (vainqueur en 1972) à Novak Djokovic (en quête d’un 7e trophée), en passant par Stefan Edberg (1988, 1990).

    La détentrice du record de 24 titres du Grand Chelem Margaret Court (1963, 1965, 1970), Chris Evert (1974, 1976, 1981), John McEnroe (1981, 1983, 1984), Rod Laver (1961, 1962, 1968, 1969), Björn Borg (1976, 1977, 1978, 1979, 1980) ou encore Billie Jean King (1966, 1967, 1968, 1972, 1973, 1975) étaient également présent. Il ne manquait que la détentrice du record de neuf titres à Wimbledon, l’Américaine d’origine tchécoslovaque Martina Navratilova.

    En revanche, pendant cette réunion au sommet, les quatre membres du “Big Four” étaient réuni. Une occasion rare de (re)voir le quatuor qui a dominé le circuit international masculin depuis la fin des années 2000.

    Ainsi, Rafael Nadal , Roger Federer, Andy Murray et Novak Djokovic étaient ensemble pour une grande photo de famille, aux côtés d’autres légendes du sport.

    “C’est un honneur absolu et un privilège de me tenir aux côtés de légendes de notre sport, qui ont ouvert la route pour moi et de nombreuses générations. Je suis plus nerveux que quand je joue”, a confié “Djoko” qui devait jouer son 8e de finale plus tard dans l’après-midi sur ce même court.

    “Ma première image de tennis, c’est quand j’avais 4-5 ans et j’ai vu Pete Sampras gagner son quatrième Wimbledon. À partir de là, j’ai rêvé de jouer ici. Et le rêve s’est réalisé”, a-t-il raconté.

    À voir également sur Le HuffPost: Ce ramasseur de balles a failli être blessé par Kyrgios, il finit par récupérer sa raquette

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      Retour sur scène émouvant pour Adele après cinq ans d'absence

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 2 July, 2022 - 19:04 · 2 minutes

    Adele sur la scène du BST Hyde Park Festival vendredi 1er juillet à Londres pour son retour sur scène, tant attendu. Adele sur la scène du BST Hyde Park Festival vendredi 1er juillet à Londres pour son retour sur scène, tant attendu.

    MUSIQUE - Un retour à domicile fort en émotion. Pour son retour sur scène au Royaume-Uni après cinq ans d’absence, la chanteuse Adele n’a pas su cacher  ses émotions.

    Au festival BST à Hyde Park à Londres ce vendredi 1er juillet, Adele a fait un retour émouvant sur ses terres natales. “Je suis si heureuse d’être ici”, a-t-elle lancé à la foule, implacable de retenir ses émotions au moment de monter sur scène pour entamer son tube “Hello”.

    Au son des succès de ses quatre albums, la chanteuse originaire de Tottenham a délivré un show de près de deux heures pour les 65.000 festivaliers présents à Londres.

    Parmi la foule, les deux enfants de la chanteuse, mais également plusieurs stars internationales telles que Tom Cruise , Luke Evans ou l’ancien membre des One Direction Niall Horan.

    Adele vient en aide à un fan en difficulté

    Durant son concert et alors qu’elle allait entamer le morceau “Skyfall” issu du film James Bond du même nom, la chanteuse s’est interrompue d’un coup.

    “Arrêtez, arrêtez, arrêtez. Est-ce que vous avez besoin de la sécurité là-bas?”, a-t-elle lancé à l’attention d’un groupe de spectateurs qui tentait d’attirer l’attention de la chanteuse sur scène avant de grands mouvements de bras.

    “En plein milieu, là, vous voyez où ils font tous des signes de la main? Vous les voyez ? Pouvez-vous y aller?”, a poursuivi Adele à destination du service de sécurité du concert. La chanteuse a ensuite prévenu les spectateurs de l’arrivée imminente tout en demandant à la foule “de dégager le passage” pour laisser passer la sécurité. Une fois l’incident réglé, la chanteuse a repris “Skyfall” du début, sous les applaudissements de foule.

    Ce retour sur scène était très attendu. En début d’année, la chanteuse avait été contrainte d’annuler une série de douze spectacles prévus en résidence à Las Vegas. La chanteuse avait justifié ces annulations “par les délais de livraison et le Covid ”.

    En novembre dernier, peu après la sortie de son quatrième album studio 30 , la star avait dévoilé qu’elle se produirait tous les week-ends durant douze semaines à partir du 21 janvier à Las Vegas.

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