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      La réforme du lycée a été un désastre pour les filles en maths et en sciences

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 13 March - 06:33

    maths géométrie calcul mathématiques

    Favoriser l'accès des filles aux filières scientifiques est un enjeu majeur. La réforme récente du lycée a toutefois eu un impact néfaste sur le nombre de bacheliers scientifiques. Les lycéennes en ont particulièrement souffert, révèle cet article pour The Conversation.

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      Pour sauver le niveau des élèves français, le gouvernement s’en remet à l’IA

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 5 December - 17:38

    classe

    Le gouvernement entend généraliser une application spécialisée dans l'IA et l'éducation pour remonter le niveau scolaire de élèves de seconde. Spécialisée dans le français et les mathématiques, elle sera déployée à tous les lycéens en 2024. [Lire la suite]

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      Où trouver les résultats du bac 2023 en ligne ?

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 7 July, 2023 - 08:23

    Les résultats du Bac 2023 sont connus le 4 juillet 2023. Mais où les trouver sur le web ? Quel est le taux de réussite des candidats ? On vous explique tout, parce que le Bac, ça fait des années qu'on le voit au JT : on connaît. [Lire la suite]

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      Où voir les résultats du bac 2023 en ligne ?

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 26 June, 2023 - 16:01

    Les résultats du Bac 2023 sont connus le 4 juillet 2023 . Mais où les trouver sur le web ? On vous explique tout, parce que le Bac, ça fait des années qu'on le voit au JT : on connaît. [Lire la suite]

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      L’armée cherche ses hackers dès le lycée

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 11 May, 2023 - 12:34

    Un concours, organisé par l'armée et le ministère de l'Éducation nationale, à travers les lycées et BTS de l'Ile-de-France, espère réveiller des vocations chez les hackers en herbe. Une nouvelle édition est prévue à l'échelle nationale pour 2024. [Lire la suite]

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      chapitre 17 À quoi sert l'école ? extrait 47

      Angélique Andthehord · Friday, 2 December, 2022 - 15:16

    Devant cette grande tristesse collective, la prof essaya désespérément un :

    « Voyons, mesdemoiselles ! le règlement scolaire n'est pas si terrible que cela. Regardez les jeunes filles qui sont dans les grandes classes de notre établissement ! Elles sont sages, elles ne font pas de bêtises. Ça ne les empêche pas de rire.

    - Mais non, madame ! Les grandes, èes rient jamais. J'dis pas qu'èes sont tristes. J'en sais rien et j'l'espère pas mais elles sont… sérieuses. »

    Cette fois, les mots étaient sortis de ma bouche, tous seuls, comme une supplication.


    extrait de : C'est pour rire


    #école #enfance #élèves #règlement #tristesse #dialogue #professeur #rentrée #rire #cafard #lycée #réconfort

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      Maths pour tous, la fausse réforme

      Jean-Baptiste Noé · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 18 November, 2022 - 04:15 · 4 minutes

    Classes préparatoires et universités s’étaient émues de l’effondrement du niveau en mathématiques . Le responsable désigné fut la disparition des mathématiques obligatoires en Première et Terminale, à la suite de la réforme Blanquer .

    Son successeur vient de revenir dessus en mettant 1 h 30 de mathématiques pour tous les lycéens. Si le geste est unanimement approuvé par les acteurs de l’éducation, il suscite pourtant plusieurs interrogations, que peu de personnes soulèvent.

    Où les mettre ?

    La première est celle de la faisabilité.

    Comme très souvent en matière éducative, les idées ne tiennent jamais compte des réalités matérielles. Dans des emplois du temps qui sont déjà saturés, où ajouter 1 h 30 de cours hebdomadaire ? C’est quasiment mission impossible, ce qui va probablement contraindre à supprimer 1 h 30 de cours ailleurs afin de faire tenir le volume horaire.

    Quoi que l’on pense de la réforme Blanquer , elle a sa logique et sa structure propres. La tripatouiller en retirant des heures ici et en en ajoutant là revient à mettre à mal l’ensemble de l’édifice. Comment alors articuler les options et les matières obligatoires, comment valoriser les filières choisies ? Des cours sont ajoutés sous le coup de l’émotion sans aucune analyse globale de la réforme. Une réforme qui, entre confinements et ajustements, n’a jamais été appliquée dans son entièreté et qui est désormais mise à mal dans sa structure de cours.

    Cet ajout n’est nullement anodin pour la structure générale des cours. C’est à une refonte générale qu’il eut fallu se livrer pour aboutir à des programmes qui soient autre chose que des accumulations de rustines.

    Le coût de l’opération n’a pas non plus été communiqué, de même que sa faisabilité humaine. L’une des raisons non avouées de cette suppression des mathématiques est le manque de professeurs. Où trouver les ressources humaines pour effectuer ces cours supplémentaires ? 1 h 30 semble peu, mais cumulé sur les classes et sur l’année, cela finit par représenter un volume très important pour les lycées.

    Un problème d’égalité

    Plus gênant en revanche, l’idéologie qui sous-tend cet ajustement structurel : il faudrait aboutir à une égalité fille/garçon en termes d’études scientifiques suivies. On a ainsi vu apparaître de nombreux commentaires demandant qu’il y ait 50 % de filles dans les études scientifiques. Toujours l’obsession de la parité par construction sociale.

    C’est un fait, il y a davantage de filles en étude de droit, de lettres et d’infirmières et davantage de garçons en étude d’informatique et de sciences. Cette réalité, qui résulte d’une liberté de choix, est insupportable pour les tenants du constructivisme social. Il faut absolument nier la différence fille/garçon et donc aboutir à une égalité sexuée dans le choix des études. À ce titre, pourquoi ne pas s’émouvoir de l’absence de parité dans les études de droit, pourquoi ne pas demander qu’il y ait 50 % de garçons parmi les sages-femmes ?

    Au lieu de s’assurer et de permettre que chacun puisse développer ses talents et ses capacités au mieux, le législateur intervient par idéologie pour établir sa planification sociale. Ce qui est fort inquiétant.

    D’autant que la réalité est l’inverse de ce que croient les idéologues. Lors de mes recherches, qui ont abouti à mon ouvrage La non-mixité à l’école. Au-delà du tabou, pour une éducation innovante , j’avais ainsi démontré comment la mixité scolaire a conduit à créer des stéréotypes de genre qui conduisent à la situation actuelle d’une polarisation sexuée des études. Aux États-Unis, au début du XX e siècle, dans la région de Boston (cas étudié dans l’ouvrage), les filles choisissaient davantage les sciences que les garçons qui choisissaient eux-mêmes davantage le droit que les filles. C’est-à-dire l’inverse d’aujourd’hui, le tout dans un cadre scolaire non mixte.

    Dans les écoles non mixtes d’aujourd’hui (que nous appelons écoles différenciées), les filles choisissent davantage les études scientifiques que la moyenne nationale et les garçons optent plus pour les études juridiques et littéraires. Des cas confirmés dans tous les pays européens étudiés : Suisse, Italie, Espagne, France, Royaume-Uni. L’école mixte a renforcé les stéréotypes de genre en créant l’idée qu’il existe des matières « pour les filles » et d’autres « pour les garçons ».

    Une réalité que les idéologues de la rue de Grenelle ne veulent pas voir, tout obnubilés qu’ils sont par leurs expériences sociales réalisées sur les enfants.

    L’objectif d’améliorer le niveau scientifique des lycéens est une bonne chose, mais le problème ne se règle pas en première et doit s’inscrire dans une revalorisation globale, dès les classes de primaire. Celui de créer un nivellement égalitaire et une obsession paritaire est en revanche fort mauvais et très inquiétant.

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      Bac 2022: le taux de réussite avant le rattrapage en baisse de 4,7 points

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 5 July, 2022 - 16:56 · 2 minutes

    Bac 2022: le taux de réussite avant le rattrapage en baisse de 4,7 points (Les bacheliers regardent les résultats du bac devant le lycée Edouard Herriot à Lyon le 5 juillet 2022 par JEFF PACHOUD / AFP) Bac 2022: le taux de réussite avant le rattrapage en baisse de 4,7 points (Les bacheliers regardent les résultats du bac devant le lycée Edouard Herriot à Lyon le 5 juillet 2022 par JEFF PACHOUD / AFP)

    BAC - Quelque 86% des 709.000 candidats au baccalauréat 2022 ont été reçus d’emblée, sans avoir besoin de passer le rattrapage, un taux en net recul (de 4,7 points) par rapport à celui du bac 2021 , a annoncé ce mardi 5 juillet le ministère de l’Éducation nationale.

    En début de journée, le ministre de l’Éducation Pap Ndiaye avait évoqué “une baisse des résultats par rapport aux années précédentes”, indiquant que cela n’était “pas tout à fait surprenant” car “cette année est la première année réelle de la réforme du bac qui ne soit pas entravée par la crise sanitaire”.

    ″Ça déjoue ceux qui disaient que le contrôle continu allait donner des résultats extraordinaires. Le nouveau bac reste un examen important”, a ajouté Pap Ndiaye, lors d’un déplacement dans un lycée du Val-de-Marne.

    44.900 candidats sans accès au rattrapage

    Depuis la réforme de 2019, la note du baccalauréat repose à 40% sur du contrôle continu et à 60% sur des épreuves terminales. Les années précédentes, le taux de réussite au baccalauréat avant le rattrapage était de 90,5% en 2021, 91,5% en 2020, 77,7% en 2019, 78,8% en 2018 et 78,6% en 2017.

    Cette année, les taux de réussite avant rattrapage sont de 91,5% pour le bac général (-3,8 points par rapport à 2021), de 80,6% (-8,6 points) pour le bac technologique et de 78,7% (-3,5%) pour le bac professionnel, selon les chiffres du ministère.

    Les sessions de rattrapage ont lieu mercredi, jeudi et vendredi pour les élèves ayant obtenu une note comprise entre 8 et 10. Selon la rue de Grenelle, 44.900 candidats ont eu moins de 8 de moyenne et ne peuvent donc pas accéder aux rattrapages, ce qui représente 6,4% des candidats (contre 4,2% en 2021). 53.300 candidats accèdent au rattrapage, soit 7,6% des candidats (contre 5,1% en 2021).

    Après deux sessions consécutives perturbées par la crise sanitaire, l a session 2022 du baccalauréat s’est déroulée dans les conditions quasi-normales. Seules les épreuves d’enseignements de spécialité ont été déplacées de mars à mai, pour la voie générale et technologique.

    À voir également sur Le HuffPost: Cette lycéenne a montré les limites de Parcoursup avec une simple recette de cuisine

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      les résultats du baccalauréat 2022, c'est enfin aujourd'hui

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 5 July, 2022 - 05:15 · 4 minutes

    BAC - Admis, au rattrapage ou recalé? C’est le jour J pour près de 710.000 candidats au baccalauréat nouvelle formule qui découvriront ce mardi 5 juillet au matin leurs résultats, dénouement d’une session qui s’est déroulée en intégralité, pour la première fois après deux années perturbées par le Covid.

    À partir de 08H00 dans certaines académies, mais principalement à compter de 10H00 (académies de Paris, Créteil, Versailles, Lyon, Bordeaux ou Toulouse notamment), les lycéens de Terminale des filières générale , technologique et professionnelle pourront consulter leurs résultats en ligne ou sur des panneaux d’affichage dans la cour de leur établissement.

    Même si le baccalauréat a perdu de sa charge symbolique avec la réforme Blanquer qui a introduit une bonne dose de contrôle continu, la proclamation des résultats constitue toujours un moment important pour les lycéens .

    “Le bac, c’est l’accomplissement de longues années d’études, pour lesquelles on est nombreux à avoir beaucoup travaillé, donc j’attends ces résultats avec appréhension et impatience”, explique à l’AFP Ludivine, 18 ans, en Terminale dans un lycée parisien.

    A 10H00, mardi, elle sera connectée sur son téléphone, entourée de sept amis qui attendent eux aussi les résultats du bac. “On est partis s’aérer quelques jours en groupe donc on se connectera tous en même temps, ce qui est bien plus chouette que de découvrir son résultat seule dans son coin”, ajoute la lycéenne.

    “J’ai tellement hâte de savoir et après c’est vacances!”, se réjouit Ludivine.

    Sur les 709.399 candidats qui tentent de décrocher le précieux diplôme cette année, plus de la moitié (53,7%) ont présenté le bac général, qui se compose désormais d’un tronc commun de matières, complété par deux enseignements de spécialité choisis à la carte par les élèves.

    Ils sont 26,2% à passer le bac professionnel et 20% le bac technologique.

    Depuis sa réforme en 2019, la note du baccalauréat repose à 40% sur du contrôle continu et à 60% sur des épreuves terminales (le français écrit et oral, passé en classe de Première, la philosophie, les épreuves de spécialités et le grand oral, passés en Terminale).

    “Etats généraux du lycée”

    Cette année, les épreuves du nouveau bac général (pour lequel les élèves choisissent deux enseignements de spécialité) se sont déroulées en intégralité, pour la première fois après deux années perturbées par le Covid.

    Les deux épreuves de spécialité passées par chaque candidat ont cependant dû être décalées de mars à mai et des aménagements ont été décidés en raison de la crise sanitaire. Des correcteurs de ces épreuves ont affirmé mi-juin que certaines notes avaient été augmentées sans leur accord. Un début de polémique, balayé par le ministère, qui a assuré qu’“il n’y a pas eu de consignes nationales de relever les notes”.

    Les notes des épreuves de spécialité, ainsi que celles de la philosophie et du grand oral n’ont pas été prises en compte dans la plateforme d’accès aux études supérieures Parcoursup , qui délivre depuis début juin ses réponses aux voeux des candidats. Mais elles comptent dans la moyenne du bac, sésame nécessaire pour ceux qui veulent poursuivre leurs études.

    Dans un communiqué commun, des associations de professeurs de spécialité ont cependant estimé que cette première session du nouveau bac dans son intégralité “confirme” leurs “craintes”, à savoir que “le baccalauréat, comme examen national dont la valeur est garantie par l’institution, n’existe plus”.

    Dans l’attente “d’une remise à plat de la réforme du lycée et du baccalauréat”, cette Conférence des associations de professeurs spécialistes - qui regroupe notamment l’APBG (Association des professeurs de biologie et géologie), l’APHG (Association des professeurs d’histoire et de géographie) ou l’APMEP (professeurs de mathématiques de l’enseignement public) - souhaite “organiser des états généraux du lycée”.

    Cette année, les épreuves de rattrapage démarreront dès le lendemain des résultats, mercredi, et se tiendront jusqu’à vendredi.

    Le taux de réussite au baccalauréat dépasse depuis 2012 les 80%. L’an dernier, près de 94% des candidats avaient décroché l’examen qui permet d’accéder aux études supérieures.

    À voir également sur Le HuffPost: Bac 2021: “Une fois qu’on a le bac, on n’est pas sûr d’avoir quelque chose”