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World Chase Tag : une première sur la chaîne L'Équipe
sport.movim.eu / LEquipe · Monday, 20 March - 10:00


World Chase Tag : une première sur la chaîne L'Équipe
sport.movim.eu / LEquipe · Monday, 20 March - 10:00
5,7 millions de téléspectateurs pour France-Galles
sport.movim.eu / LEquipe · Sunday, 19 March - 09:57
Après l’IA qui remplace les journalistes, l’IA qui remplace les politiciens ?
ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 8 March - 12:00 · 6 minutes
Il ne s’est écoulé que trois mois depuis la mise en ligne de ChatGPT mais ces trois mois ont été riches en développement dans le domaine de l’intelligence artificielle. Comme on pouvait s’y attendre, les applications de l’IA dans tous les domaines s’accélèrent.
Ainsi, sentant tout l’intérêt commercial d’une intégration de l’outil d’OpenAI dans son propre moteur de recherche, Microsoft vient-il de proposer aux utilisateurs de Bing de disposer d’un outil conversationnel basé sur les développements ayant donné naissance à ChatGPT.
Cependant, quelques réglages restent manifestement à faire : le robot conversationnel a été plusieurs fois impliqué dans des échanges lunaires où une pointe d’agressivité pouvait même être détectée de la part de l’intelligence artificielle, clairement pas prête à se laisser expliquer la réalité.
Ceci n’a pas empêché le même Microsoft de continuer ses développements sur d’autres aspects de l’intelligence artificielle, notamment avec Kosmos-1 , un modèle multimodal capable d’analyser le contenu d’images, de répondre à des questions sur celles-ci, de reconnaître des textes à partir de photos et même de réussir des tests de quotient intellectuel basé sur des opérations graphiques à partir d’instructions en langage naturel.
Cette notion d’intelligence artificielle multimodale est importante car elle intègre différents modes de saisie tels que le texte, l’audio, les images et la vidéo et pourrait être une étape clé dans la création d’une intelligence artificielle générale (IAG) capable d’effectuer des tâches générales au niveau de l’Homme.
Parallèlement, des applicatifs pratiques de ce qui existe déjà sur le marché sont actuellement mis en place, quelques mois seulement après que les principaux outils grand public sont sortis officiellement (MidJourney, StableDiffusion, ChatGPT, pour ne citer que les plus célèbres actuellement).
On pourrait citer le cas de RadioGPT , cette radio automatique qui bénéficie des dernières évolutions dans le domaine en proposant une liste de lecture de tubes pop entrelardée de commentaires d’actualités, ces derniers étant produits par une collection automatique d’articles de presse et de factoïdes plus ou moins intéressants sur internet qui alimentent GPT3, le moteur informatique de ChatGPT. Le texte ainsi produit est alors envoyé vers un autre morceau de logiciel capable de reproduire des voix réalistes qui viendront fournir le commentaire sur la radio en ligne.
Le résultat est une radio relativement basique mais dont le fonctionnement n’est pas très loin d’une petite radio locale produite par des humains. En multipliant les moyens et l’investissement initial, nul doute qu’on pourra arriver rapidement à des radios d’une bonne qualité, aptes à concurrencer des radios régionales au moins sur le plan de la masse salariale…
Et il ne faut pas faire un grand pas en avant pour s’en persuader : on apprend en effet que ce genre d’externalité des intelligences artificielles produit déjà des conséquences palpables dans le monde du journalisme. C’est le cas en Allemagne où le groupe de presse Axel Springer commence déjà à supprimer des postes de journalistes , ces derniers étant – selon le patron du groupe – avantageusement remplacés par une intelligence artificielle.
Du reste, peut-on s’en étonner lorsqu’on voit le niveau global du journalisme de nos jours ?
Combien de ces journalistes se contentent de reprendre avec un brio discutable des dépêches officielles d’agence avec un don du copier-coller si précis que les mêmes fautes d’orthographe sont religieusement reproduites d’un articulet de presse à l’autre, d’un journal local à l’autre ? Combien de ces journaux, du reste, ne sont que l’adaptation locale minimaliste de nouvelles prémâchées, prédigérées, issues d’un complexe journalistique industriel de niveau national et qui fournit de l’information exactement comme une usine alimentaire produit du plat tout préparé à des milliers de petits restaurants qui n’ont plus de cuisine locale que leur four micro-ondes ?
On est ici dans un mouvement inéluctable, et la disparition de ce journalisme-là n’est que la logique habituelle d’économie : la valeur ajoutée de l’humain – qui n’était dans ce cas qu’un opérateur tout juste utile pour la mise en page et les (rares) retouches locales – tendant vers zéro, remplacer celui-ci par un robot virtuellement gratuit n’est pas un chemin très complexe à imaginer.
Au passage, on peut espérer que le lectorat finira par faire la différence entre la production de ces «journaux» qui ne tiennent que grâce aux subventions et à la publicité, et que ceci favorisera une reconcentration des journalistes (les vrais) vers ces entreprises d’information et d’investigation qui fournissent une analyse tangible, mesurable, et des enquêtes réelles et sourcées…
Et pendant que les journalistes s’interrogent sérieusement sur l’avenir de leur profession, un autre développement concernant les politiciens est déjà visible, ici en Roumanie , où le gouvernement a décidé de se doter d’une intelligence artificielle, Ion, comme aide à la décision et assistant personnel, qui permet d’analyser rapidement les opinions des citoyens roumains sur différents sujets d’actualité et leur permet d’interagir avec lui.
Il est bien évident qu’il ne s’agit pour le moment que d’un gadget qui se contente d’analyser les tendances statistiques de ce qui est visible sur les différents réseaux sociaux auxquels le robot a accès. Cela ressemble un peu à de la « politique en temps réel » avec tout ce que cela peut contenir de dérives néfastes dans l’impulsivité et l’instantanéité. Au-delà, l’assistant numérique du Premier ministre roumain pourrait être vulnérable aux armées de trolls et de bots sur ces mêmes réseaux sociaux. Inversement, rien n’interdit d’imaginer qu’utilisé habilement, ce même assistant puisse être utilisé pour orienter subtilement l’opinion publique : l’une se nourrissant de l’autre et réciproquement, il devient rapidement difficile de déterminer qui oriente vraiment qui…
Mais l’introduction d’une béquille numérique pour un politicien s’inscrit dans une tendance claire où l’on pourrait assister à la disparition progressive de membres du cabinet d’un ministre, puis de tout le cabinet pour enfin, en toute logique, faire disparaître le ministre lui-même en étape finale.
La question qui mérite d’être posée, dès à présent, est de savoir si ce serait vraiment une catastrophe. Le débat est ouvert et il n’est pas du tout tranché : la consternante médiocrité de nos politiciens actuels est une véritable ode à leur remplacement par n’importe quel autre procédé qui n’aura pas de mal à être mieux informé et qui pourrait même être plus équilibré. Ce n’est en rien garanti, mais le niveau est actuellement si bas que l’effort à produire n’est plus si grand.
Du reste, quant à la remarque qui consiste à dire que le contrôle passerait simplement du ministre à celui qui a entraîné et qui maintient l’IA qui le remplace, elle oublie la quantité de ministres qui ne sont déjà que des marionnettes. On changerait alors de façade, pas de marionnettiste.
Comme certains l’anticipaient il y a quelques décennies, les développements de l’intelligence artificielle sont de plus en plus rapides et rattrapent toutes les professions, notamment intellectuelles : au rythme actuel des développements et en tenant compte des tendances connues dans l’informatique, on estime que les modèles disponibles dans 10 ans seront au moins un million de fois plus puissants et capables que ceux actuellement sur le marché…
Lorsqu’on découvre par exemple que certains chercheurs réussissent actuellement à reconstruire une image à partir de l’activité cérébrale d’un individu , on ne peut que s’interroger sur les possibilités immenses et les dérives catastrophiques qui s’offrent à nous.
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Les narratifs se cachent pour mourir
ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 3 March - 12:00 · 5 minutes
À peine palpable il y a plus d’un an, le malaise de la presse prend maintenant une tournure aussi consternante que visible : si le double-salto arrière carpé rhétorique et le rétropédalage en mode furtif étaient des disciplines sportives, les journalistes des médias de grand chemin pourraient tenter la médaille olympique à mesure que leurs narratifs volent en éclats (de rire).
Rappelez-vous, c’était dans un billet de décembre 2021 qui listait les problèmes déjà nombreux et déjà évidents de la presse à tenir un discours cohérent alors que s’accumulaient les preuves de ses mensonges répétés sur différents sujets, depuis le portable de Hunter Biden jusqu’à l’existence de variants viraux en passant par l’impact réel (et très modeste) de la pandémie sur les systèmes hospitaliers.
Depuis, les choses ne se sont vraiment pas améliorées pour les scribouillards, les hommes-troncs et toute la grouillante masse des petits fact-checkers qui continuent de gesticuler pour faire croire à leur pertinence et à la solidité de leurs assertions à mesure que les faits, têtus, leur donnent pourtant tort.
Il ne sera pas nécessaire de revenir sur les affaires révélées par le portable Biden, deux précédents billets ont amplement étayé les éléments pourtant avérés que les journalistes ont consciencieusement oubliés, passés sous silence ou purement, simplement et éhontément présentés comme faux.
Depuis, on a amplement eu confirmation que les injections magiques de Pfizer et de ses concurrents ne protégeaient ni de l’infection, ni de la contamination. Les petits complotistes qui expliquaient cela dès les premiers mois de 2021 attendront encore longtemps les plates excuses des troupes de pisse-copies et autres zexperts télégéniques qui ont soutenu mordicus l’inverse, c’est-à-dire une ânerie.
À présent et à mesure que se sont empilées les révélations des #TwitterFiles , il apparaît difficilement camouflable qu’il y a bien eu une collusion complète et totalement obscène entre les industries pharmaceutiques, les médias dans leur ensemble et un joli paquet d’agences gouvernementales. Au passage, on ne pourra éprouver qu’une bonne louche de mépris mêlé à une dose de commisération pour tous ceux qui pourraient encore croire que ceci a épargné la France, sa pathétique presse, ses experts en carton et ses administrations pourries.
On rira donc franchement à chaque tentative désespérée des journaux de révérence (oui, Le Monde , Libération , Le Figaro et tant d’autres, on vous a vus) lorsqu’ils tentent de nous vendre, toujours avec les mêmes ficelles à gigot, leurs consternants services de « décodage » ou « d’analyse » permettant de repérer la désinformation dont ils sont maintenant les premiers pourvoyeurs. Empilant des mensonges toujours plus gros pour camoufler leurs précédents bobards, ces grands prêtres des narratifs officiels semblent pris d’une diarrhée qu’ils espèrent soigner en enfilant pruneau sur pruneau.
C’est ainsi que lorsque Woody Harrelson décrit l’incroyable collusion des médias, des politiciens et de l’industrie pharmaceutique lors d’un monologue au Saturday Night Live, devant des millions de spectateurs, cette même presse, devenue totalement incapable de sortir de sa transe méphitique, … lui démontre en quelques titres (tous identiques) à quel point il a bien raison de se moquer d’eux.
Reconnaissons que Harrelson a ici une partie assez facile à jouer : il lui suffit de pointer ce qui est devenu évident et ne sera contesté que par les mêmes pitres grotesques et ce alors que depuis quelques mois les bobards gonflés que la presse avait enfilés les trois années précédentes se trouvent battus en brèche par la réalité qui n’entend pas se plier aux injonctions des fact-checkers .
Ainsi, cette même presse a-t-elle été obligée de convenir à l’inefficacité du masque dont elle nous avait pourtant vanté les mérites, les études s’accumulant toutes dans le même sens. On pouffera ensuite de lire les interrogations du New-York Times qui se demande à présent si des leçons seront tirées de cet immense gâchis ; la réponse est évidemment négative lorsqu’on voit le ramassis de charlots dont la presse est maintenant composée.
Ainsi, c’est aussi cette même presse, ces mêmes frétillants télexperts de cirque qui nous annonçaient que les injections miracles étaient d’autant plus nécessaires que l’immunité naturelle ne protégerait pas contre le virus qui se retrouvent maintenant à se dédire piteusement : finalement, l’immunité naturelle, ça marche bien (voire mieux) que la double triple quadruple quintuple picouse magique.
Patatras : selon les conclusions d’une méta-analyse publiée dans The Lancet (dont la réputation peut cependant être remise en question vu le parcours récent de cette publication), « une infection causée par n’importe quel variant jusqu’au BA.1 d’omicron chez les non-vaccinés a réduit les risques de maladies graves de 88 % lors d’une seconde contamination ». Caramba encore raté pour les fact-checkers.
Quant aux gesticulations de toute la sphère des médias de grand-chemin et des anticomplotistes de combat concernant l’origine même du virus, elles prennent un tour franchement comique à mesure que les autorités admettent, du bout du communiqué de presse, que l’hypothèse d’une fuite du laboratoire P4 de Wuhan n’est plus du tout considérée comme farfelue, au contraire puisqu’elle est envisagée par le ministère de l’Énergie américain et maintenant admise comme « très probable » par le FBI .
Même s’il ne s’agit pas encore d’une acceptation totale et assumée, nous sommes maintenant fort loin des cris d’orfraie à la sauce complotiste qu’on entendait il y a encore quelques mois.
Et si l’on n’écarte donc plus cette hypothèse fort raisonnable en réalité, alors d’autres questions s’imposent : comment, par qui et pourquoi ce virus a-t-il été fabriqué, et surtout, pourquoi les médias de grand chemin, doublés des grosses plateformes sociales et des gouvernements (américains mais pas seulement), ont-ils menti comme des picouseurs compulsifs arracheurs de dents ?
Petit à petit, quelques vérités commencent à percer et chacun commence à comprendre que les mensonges ont été répétés, massifs et permanents. La crédibilité des politiciens et des médias n’a jamais été aussi basse mais on peut garantir qu’elle va continuer à s’effondrer : après tout, s’ils nous ont menti sur toute la ligne depuis des années, est-il raisonnable d’imaginer qu’ils sont subitement devenus honnêtes sur tous les autres sujets ? Sérieusement ?
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