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      Un physicien controversé pense avoir trouvé des bouts de vaisseau alien

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 10 July, 2023 - 12:30

    avi-158x105.jpg L'interview d'Avi Loeb à NewsNation

    Avi Loeb, physicien affilié à l'Université d'Havrard, n'a pas la langue dans sa poche; il suggère que du matériel retrouvé au fond du Pacifique pourrait être d'origine extraterrestre, mais il en faudra bien plus pour convaincre la communauté scientifique.

    Un physicien controversé pense avoir trouvé des bouts de vaisseau alien

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      Les chasseurs de météorite ont ruiné des milliards d’années de données

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Wednesday, 19 April, 2023 - 07:30

    template-jdg-2-158x105.jpg une image d'une météorite générée par Midjourney

    Des chercheurs affirment qu'une technique populaire chez les chasseurs de météorite aurait provoqué la perte de milliards d'années de données précieuses contenues dans des météorites.

    Les chasseurs de météorite ont ruiné des milliards d’années de données

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      Ce scientifique veut récupérer une météorite contenant un matériau extra-terrestre

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Saturday, 20 August, 2022 - 10:00

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    Une technologie extra-terrestre git-elle au fin fond de l'océan ? Ce professeur d'astrophysique en est persuadé et il veut en avoir le cœur net !

    Ce scientifique veut récupérer une météorite contenant un matériau extra-terrestre

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      Un objet interstellaire rarissime se cache-t-il au fond de l’océan Pacifique ?

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 5 August, 2022 - 16:00

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    Une météorite interstellaire inestimable pourrait reposer au fond du Pacifique... mais la récupérer sera loin d'être évident.

    Un objet interstellaire rarissime se cache-t-il au fond de l’océan Pacifique ?

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      Le télescope James Webb percuté par une micrométéorite

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 9 June, 2022 - 12:21 · 3 minutes

    Le télescope James Webb orbite à environ 1,5 million de km de la Terre. Le télescope James Webb orbite à environ 1,5 million de km de la Terre.

    ESPACE -  Ce sont les aléas de l’environnement spatial. Un micrométéoroïde a percuté le télescope James Webb. Selon la NASA , l’incident s’est produit entre le 23 et le 25 mai. De la taille d’une poussière, le corps stellaire a causé quelques dommages au réflecteur du télescope, une sorte de miroir alvéolé dorée.

    Ce n’est pas la première fois que le télescope James Webb en fait les frais. “Depuis le lancement, nous avons eu quatre impacts de micrométéoroïdes mesurables plus petits qui étaient conformes aux attentes”, relate Lee Feinberg, responsable des éléments du télescope optique Webb à la NASA.

    Si ces corps stellaires sont minuscules, ils n’en sont pas moins dangereux. La cause? Leur vitesse. En effet, la rapidité de mouvement des corps dans l’espace signifie que même les plus petites particules sont dangereuses. Néanmoins, même si ce nouveau choc est plus important que les précédents, il ne compromet pas la mission de James Webb.

    Conçu pour résister à ce genre d’incidents

    Plus précisément, la NASA indique dans un communiqué que c’est le segment de miroir connu sous le nom de C3 qui a été frappé. Il s’agit de l’un des 18 carreaux d’or composé de béryllium, qui compose le réflecteur principal de 6,5 m de large du télescope.

    Le segment C3 est l'une des 18 pièces du réflecteur principal de Webb. Le segment C3 est l'une des 18 pièces du réflecteur principal de Webb.

    Le chercheur précise d’ailleurs que c’est tout à fait normal, et que l’agence spatiale américaine avait prévu le coup.“Avec les miroirs de Webb exposés dans l’espace , nous nous attendions à ce que des impacts occasionnels de micrométéoroïdes dégradent les performances du télescope au fil du temps”.

    Les scientifique ont donc conçu le télescope afin qu’il soit le plus résistant possible à ce genre d’incidents. Pendant sa construction, les ingénieurs ont réalisé différents tests et simulations. Cela a permis de choisir efficacement les matériaux, la méthode de construction des composants et les différents modes de fonctionnement du télescope.

    L’objectif est de faire face aux microdébris spatiaux, mais aussi plus largement à l’environnement spatial , qui est particulièrement hostile . “Nous avons toujours su que Webb devrait affronter l’environnement spatial, qui comprend la lumière ultraviolette dure et les particules chargées du Soleil, les rayons cosmiques provenant de sources exotiques dans la galaxie” affirme Paul Geithner, chef de projet adjoint technique à la Nasa.

    De premiers résultats le 12 juillet

    Lancé en décembre dernier, le télescope James Webb doit succéder au révolutionnaire, mais vieillissant Hubble. Alors que les astronomes doivent publier les premiers résultats issus du télescope le 12 juillet, la Nasa a assuré que ces images ne seraient pas moins étonnantes à cause de l’incident.

    Le télescope rassemble actuellement des observations de l’Univers, proche et lointain, pour démontrer ses capacités.

    À plus long terme, les scientifiques ont l’intention d’utiliser Webb pour tenter de voir les toutes premières étoiles éclairer le cosmos il y a plus de 13,5 milliards d’années, mais aussi observer les atmosphères de planètes lointaines pour voir si ces mondes pourraient être habitables.

    À voir également sur le HuffPost: Vol record sur Mars pour Ingenuity, l’hélicoptère de la Nasa

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      Ce documentaire de France 5 sur les dinosaures présente des découvertes inédites

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 5 May, 2022 - 16:31 · 5 minutes

    Le documentaire revient sur les nombreuses découvertes retrouvées sur le site de Tanis, dans le Dakota du Nord Le documentaire revient sur les nombreuses découvertes retrouvées sur le site de Tanis, dans le Dakota du Nord

    DINOSAURES - Un véritable trésor. Voilà ce sur quoi sont tombés les paléontologues sur le site à fossiles de Tanis dans le Dakota du Nord aux États-Unis . En effet, les chercheurs ont fait de nombreuses découvertes, entre une patte de dinosaure herbivore sur laquelle on a trouvé de la peau, ou encore un œuf de ptérosaure (reptile volant) avec un embryon particulièrement bien conservé.

    Diffusé ce jeudi 5 mai sur France 5, un documentaire réalisé en partenariat avec la BBC retrace ces nombreuses découvertes, qui dateraient du jour même de l’extinction des dinosaures. Les paléontologues affirment en effet que ces découvertes pourraient dater d’il y a 66 millions d’années, dans les heures entourant l’impact de la météorite à Chicxulub . Si aucune publication dans une revue avec un comité de lecture par les pairs n’a pour l’instant eu lieu, les scientifiques sont émerveillés par la découverte.

    Tanis, mine d’or à fossiles

    “La précision temporelle que nous pouvons obtenir sur ce site dépasse nos rêves les plus fous...”, a déclaré pour BBC Radio 4 Phillip Manning, professeur d’histoire naturelle à l’Université de Manchester. “Je n’ai jamais rêvé dans toute ma carrière que j’aurais l’occasion de regarder quelque chose (...) d’aussi beau, et qui raconte également une histoire aussi merveilleuse”, ajoute-t-il, illustrant l’excitation autour des découvertes réalisées sur le site de Tanis.

    On y retrouve de très nombreux fossiles, dans un état de conservation remarquable. Il y a tout d’abord cette patte de dinosaure, un petit herbivore nommé Thescelosaurus de la famille des Ornithopodes. Dans un parfait état, la jambe semblerait avoir été arrachée rapidement, sans aucune trace de maladie ni aucune preuve de prédation raconte Paul Barrett, un expert en dinosaures du Natural History Museum de Londres au Telegraph .

    D’autres restes trouvés à proximité incluent une tortue fossilisée empalée par un pieu en bois, de petits mammifères dans leurs terriers, de la peau appartenant à un tricératops ou encore un embryon de ptérosaure fossilisé à l’intérieur de son œuf. Concernant ce dernier, les rayons X ont déterminé que l’œuf de ptérosaure avait peut-être été enterré par la mère dans le sable, de la même manière que les tortues modernes enterrent leurs œufs, selon la BBC .

    Embryon de ptérosaure à l'intérieur d'un oeuf (à droite) et sa reconstitution en 3D (à gauche) Embryon de ptérosaure à l'intérieur d'un oeuf (à droite) et sa reconstitution en 3D (à gauche)

    Point commun à toutes ces découvertes, elles datent de la fin du Crétacé, et sembleraient avoir été aux premières loges du début de la fin. En effet, les fossiles découverts à Tanis présentent de nombreux éléments indiquant que ces animaux auraient assisté à la chute de l’astéroïde provoquant la disparition des dinosaures, à Chicxulub au Mexique.

    C’est ce qu’expliquait déjà une étude publiée le 1er avril 2019 dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS) , fruit de la collaboration de onze paléontologues.

    Des découvertes datant de la chute de l’astéroïde

    De nombreuses créatures aquatiques et terrestres ayant été fossilisées ensemble sur le site de Tanis semblent indiquer qu’elles seraient mortes au moment de la chute de la météorite.

    En effet, des débris ont été trouvés sur la jambe complète évoquée plus haut, ainsi que dans un ancien poisson. Il s’agit selon toute vraisemblance de minuscules morceaux de roche en fusion similaires à des éclats de verre soulevés par l’astéroïde, logés dans les branchies du poisson fossilisé .

    Ces morceaux, aussi appelés sphérules, ont été liés à l’emplacement de l’impact de l’astéroïde dans la péninsule mexicaine grâce à une datation radiométrique (la plus connue est par le carbone 14). Cela donne une mesure du choc, alors que la météorite s’est écrasée à environ 3000km de ce qui est aujourd’hui le Dakota du Nord. Voici une vidéo imageant ce cataclysme:

    Par ailleurs, il semblerait que des morceaux de l’astéroïde aient été retrouvés. En effet, des fragments ont étés retrouvés dans de l’ambre et après analyse, les chercheurs ont découvert qu’ils présentaient du fer, du chrome et du nickel, composition que l’on retrouve chez les astéroïdes.

    Devant tous ces éléments, le paléontologue Robert DePlama (chercheur de l’Université de Manchester qui dirige des projets de fouilles sur le site de Tanis) est admiratif. “Nous avons tellement de détails (...). Vous regardez la colonne rocheuse, vous regardez les fossiles là-bas, et cela vous ramène à ce jour”, comme il l’explique pour la BBC.

    Un besoin d’approfondissement

    Si ces découvertes en émerveillent plus d’un, certains paléontologues appellent à la mesure. En effet, les trouvailles sur le site de Tanis n’ont “pas encore été prouvées au-delà de tout doute raisonnable dans la littérature évaluée par des pairs”, explique Steve Brusatte paléontologue à l’Université d’Édimbourg pour la BBC.

    Le chercheur ajoute toutefois qu’il s’agit de recherches “intéressantes”, crédibilisées par le fait que des pontes de la discipline comme Walter Alvarez (père en 1980 de l’idée qu’un astéroïde avait provoqué l’extinction massive) se sont associés à l’étude.

    “Pour certaines de ces découvertes, importe-t-il même de savoir si ces animaux sont morts le jour de l’impact ou les années précédentes?” se demande finalement Steve Brusatte, ajoutant que “l’œuf de ptérosaure avec un bébé de ptérosaure à l’intérieur est extrêmement rare; il n’y a rien d’autre comme ça en Amérique du Nord”.

    À voir également sur le HuffPost: Ce reptile volant est le plus grand jamais découvert au Jurassique