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      Study finds link between marijuana use and cardiovascular disease

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 29 February - 23:10

    A cannabis flower is seen at East End Flower Farm, in Mattituck, New York, on November 16, 2023.

    Enlarge / A cannabis flower is seen at East End Flower Farm, in Mattituck, New York, on November 16, 2023. (credit: Getty | CECILIA SANCHEZ )

    Survey data collected from more than 430,000 US adults over multiple years suggests a strong, statistically significant link between the use of cannabis and an increased risk of cardiovascular disease, specifically heart attack and stroke.

    The open-access study , published this week in Journal of the American Heart Association, found that people who used cannabis every day had 25 percent higher odds of having a heart attack and 42 percent higher odds of having a stroke compared with those who did not use cannabis at all.

    But, the national survey data—collected between 2016 and 2020—also contained data on people who used cannabis less frequently than daily. Survey respondents were asked how many days in the past 30 days they used cannabis, which allowed researchers to estimate the odds of cardiovascular disease along the whole spectrum of cannabis use. And they found near-linear dose-responses, with more days of use per month associated with higher risk.

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      Federal health dept. says marijuana should be downgraded to Schedule 3 drug

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 31 August, 2023 - 21:35

    Life is strict and regimented for these industrial cannabis plants.

    Enlarge / Marijuana plants in a greenhouse in Santa Cruz, California. (credit: Ian Philip Miller / Getty Images )

    As dozens of states have legalized recreational and medicinal use of marijuana in recent years, the federal government has maintained its classification as a Schedule 1 controlled substance —keeping marijuana in a group defined as having "no currently accepted medical use and a high potential for abuse," which includes heroin and LSD.

    The incongruity has muddled marijuana regulation and enforcement, stifled cannabis businesses, and hampered medical research. But the situation could soon ease.

    The Department of Health and Human Services has recommended to the Drug Enforcement Administration that it should downgrade marijuana from a Schedule 1 to a Schedule 3 controlled substance, which is defined as having "a moderate to low potential for physical and psychological dependence." The move would put marijuana in the ranks of ketamine, testosterone, and products containing less than 90 milligrams of codeine.

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      Légalisons le cannabis en France – pourquoi pas ?

      Mihailo Gajić · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 8 November, 2022 - 03:40 · 6 minutes

    Bientôt la moitié des États américains auront légalisé le cannabis tandis qu’en Europe, l’Allemagne brise la glace avec ses projets de légalisation de la production et de la vente de produits à base de cannabis. La France doit-elle intensifier ces efforts ?

    Vague de la légalisation outre-Atlantique

    La semaine prochaine, cinq États américains organiseront un référendum sur la légalisation du cannabis : le Missouri, l’Arkansas, le Dakota du Sud, le Dakota du Nord et le Maryland. En cas de succès, ils rejoindront les 19 États qui ont déjà légalisé l’usage récréatif de la marijuana. Parallèlement à la récente poussée fédérale dans laquelle le président Biden, par le biais de son décret exécutif, a gracié toutes les personnes condamnées pour des infractions fédérales liées à la marijuana, cela créera une nouvelle réalité puisque près de la moitié des États ont rendu la marijuana légale. La production de cannabis pour usage personnel est autorisée dans tous les cas mais tous les États n’ont pas légalisé la production de cannabis et de produits connexes pour les achats sur le marché.

    De l’autre côté de l’Atlantique, l’Uruguay et le Canada ont fait les premiers efforts de légalisation à l’échelle nationale intégrant la production commerciale à des fins récréatives. En Uruguay, le cannabis est un monopole d’État avec une entreprise publique qui produit et vend ces produits. Au Canada, chaque province a sa réglementation dont certaines sont plus ou moins libérales. Certaines s’appuient sur le monopole de l’État tandis que d’autres reposent sur des producteurs et des vendeurs privés agréés.

    L’Europe se contente de demi-mesures

    Plus proche de la France, l’Europe a pris du retard dans ses efforts de légalisation.

    Dans la plupart des pays de l’UE, le cannabis à usage personnel est soit dépénalisé, soit la police ferme les yeux sur son usage récréatif et sa possession en petites quantités.

    En France, vous risquez une amende pouvant aller jusqu’à 200 euros pour la possession de jusqu’à 100 grammes de marijuana, comme en Italie et en République tchèque (dans ce cas, jusqu’à 10 grammes).

    Le Portugal a légalisé la possession de 25 grammes, tandis que l’Espagne a même légalisé la production jusqu’à cinq plants par personne pour un usage personnel uniquement.

    Les Pays-Bas sont un cas unique puisque la vente de cannabis est toujours interdite mais tout le monde ferme les yeux sur les fameux coffee shops . Légalement, ceux-ci peuvent vendre jusqu’à 5 grammes de produit par client et ne peuvent pas en détenir plus de 500 grammes dans leurs établissements, mais comme il est illégal de produire plus de 5 plants, il est clair que la majorité de leur cannabis provient du marché noir toléré.

    Mais dans tous ces pays, la production, la vente de cannabis et de produits connexes sont toujours interdites.

    L’Allemagne pourrait bien être le premier pays d’Europe à légaliser non seulement la production pour usage personnel mais aussi pour le marché. Cette solution est inscrite dans l’accord de coalition entre les socialistes, les libéraux et les verts du gouvernement. Les recherches publiées par le gouvernement montrent que les avantages potentiels de cette décision sont de l’ordre de 4,7 milliards d’euros par an (2 milliards provenant des ressources gouvernementales qui pourraient être utilisées à différentes fins ; et 2,7 milliards provenant de la TVA et accises sur les produits). Elle générerait également 27 000 emplois supplémentaires.

    Les détails de cette réforme ne sont pas encore connus mais il semble qu’elle suivra l’exemple du Colorado : le cannabis ne sera produit que par des producteurs agréés et vendu dans des magasins dédiés. La semaine dernière, le ministre allemand de la Santé Karl Lauterbach a annoncé que la prise de position sur la légalisation du cannabis serait d’abord adressée à la Commission européenne pour approbation et que le projet de loi ne serait rédigé qu’après cela.

    Et en France ?

    Selon l’étude nationale de 2018 , 86 % des 117 000 interpellations en France pour stupéfiants étaient liées au cannabis. Dans le même temps, le nombre de personnes interpellées pour simple usage de cannabis a décuplé, passant de 14 501 en 2000 à 139 683 en 2015. L’amende de 200 euros pour usage de cannabis a finalement été introduite en 2018.

    Le processus de consultation publique concernant la dépénalisation du cannabis s’est révélé être une bonne occasion de rater une opportunité. Selon mon humble point de vue de l’étranger, cela semble être quelque chose dans lequel les Francais excellent. L’opinion populaire est presque nettement divisée en deux au sujet de la légalisation du cannabis mais la classe politique en France semble beaucoup plus stricte dans son approche des drogues récréatives puisque les Français restent les plus gros consommateurs de cannabis récréatif en Europe .

    Par conséquent, il ne faut pas s’étonner que le président Macron n’ait pas voulu soutenir la dépénalisation juste avant sa réélection, même si je peux difficilement considérer cela comme une décision qui le ferait perdre face à madame Le Pen. Cependant, monsieur Macron peut désormais introduire des réformes impopulaires sans trop se soucier de l’opinion publique puisqu’il ne peut plus se présenter à l’élection présidentielle.

    D’autant plus que les bénéfices de ce changement éclipseraient largement les coûts. Des données provenant des États-Unis, du Canada ou de l’Uruguay montrent qu’il n’y a pas eu d’augmentation du nombre d’usagers de cannabis une fois ces réformes mises en œuvre.

    Pour le gouvernement, cela signifierait des coûts administratifs inférieurs et des recettes publiques plus élevées grâce à la TVA et aux droits d’accises sur les produits vendus et de nouvelles opportunités d’emplois dans la production et la vente du produit. Le secteur du tourisme pourrait aussi y gagner beaucoup ainsi que le secteur de l’agriculture. À long terme, avec une réglementation moins stricte en Europe et en Amérique du Nord, il y aurait un marché important pour les produits à base de cannabis. Mais si la France ne progresse pas maintenant alors que ce marché en est encore à ses balbutiements, les entreprises francaises perdront la course face à leurs homologues des États-Unis et de l’Allemagne.

    The winds of change

    La légalisation du cannabis est tout à fait compréhensible, populaire auprès des plus jeunes tandis que les personnes âgées ont tendance à avoir des opinions plus conservatrices.

    Le passage du temps changera inévitablement l’opinion publique sur cette question d’ici une ou deux décennies, comme avec le mariage homosexuel institué en 2013 inenvisageable auparavant alors que le taux de son approbation a augmenté de manière significative dans la décennie qui a suivi son introduction.

    À long terme, la bataille pour l’accès au cannabis est presque certainement gagnée. Mais la question est de savoir si nous devons vraiment attendre une autre décennie pour cela.

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      Florida tokers inadvertently smoked rat poison; 52 sickened, 4 dead

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 7 October, 2022 - 22:20

    man holds a K2 cigarette

    Enlarge / A man holds a K2 cigarette in an area that previously witnessed an explosion in the use of synthetic marijuana, in East Harlem on August 31, 2015, in New York City. (credit: Getty | Spencer Platt )

    Just hours before President Biden unveiled a major effort to reform federal marijuana laws Thursday, the Centers for Disease Control and Prevention published a report highlighting some of the collateral damage of harshly criminalizing the relatively safe drug.

    The report documented a mass poisoning from alternative marijuana products tainted with rat poison. The event—which severely sickened 52, killing four—isn't the first or even the largest of such poisonings. In 2018, rat poison-laced fake products sickened nearly 200 in a multi-state rash of poisonings that also left four dead.

    In the most recent cluster, health officials in Florida first began noting the cases in December of last year. And, based on the 2018 outbreak, they quickly linked the illnesses to synthetic cannabinoids (aka spice, K2, synthetic marijuana, or fake weed).

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      Biden pardons all federal simple marijuana possession offenses

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 6 October, 2022 - 20:20

    The morning fog leaves a layer of dew on cannabis rows in Petrolia, California, August 3, 2022.

    Enlarge / The morning fog leaves a layer of dew on cannabis rows in Petrolia, California, August 3, 2022. (credit: Getty | The Washington Post )

    President Biden on Thursday announced that he is pardoning all prior federal offenses of simple marijuana possession and encouraged state governors to do the same for state offenses. He also directed federal officials to review how marijuana is classified under the Controlled Substances Act.

    "There are thousands of people who have prior federal convictions for marijuana possession, who may be denied employment, housing, or educational opportunities as a result," Biden said in a statement. "My action will help relieve the collateral consequences arising from these convictions."

    The blazing announcement means that all prior charges, convictions, and not-yet-prosecuted offenses will be pardoned. The Justice Department will set up an administrative process for those affected to obtain a certificate of pardon.

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