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      Valériane Ayayi Vukosavljević fait l'impasse sur la Coupe du monde de basket

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 15 June, 2022 - 14:33 · 2 minutes

    Valériane Ayayi Vukosavljević (à droite) lors de l'EuroCoupe de basket, le 4 juin 2019 Valériane Ayayi Vukosavljević (à droite) lors de l'EuroCoupe de basket, le 4 juin 2019

    BASKET - Revenue à la compétition trois mois seulement après son accouchement, la basketteuse Valériane Ayayi Vukosavljević a annoncé, ce mercredi 15 juin, qu’elle allait faire l’impasse sur la Coupe du monde (22 septembre-1er octobre) après “une année très intense”, faute de pouvoir voyager avec sa fille née en janvier.

    “Le timing était sans doute trop juste pour que toute la logistique ad hoc soit mise en place et que les conditions optimales soient réunies, indique un communiqué relayé par l’ailière de l’équipe de France de basket . À noter, qu’en plus du voyage en Australie, la phase de préparation aurait été complexe, car émaillée de nombreux déplacements…. Très compliqué avec un bébé de 7 mois.”

    Enceinte pendant les JO de Tokyo

    Sur Twitter, la jeune mère précise que son “objectif [est] inchangé” et donne rendez-vous pour les Jeux olympiques de 2024 , qui se tiendront à Paris et où, avec les Bleues, elle espérera sans doute décrocher une médaille d’un plus beau métal encore que le bronze remporté aux JO de Tokyo en 2021.

    Valériane Ayayi Vukosavljević a d’ailleurs joué ces derniers Jeux (et le championnat d’Europe disputé juste avant) enceinte de sa fille. ″À ce jour, je suis enceinte de trois mois et demi, plus précisément de seize semaines”, avait-elle révélé après la compétition. Une information qu’elle avait tenue secrète dans l’équipe à quelques exceptions, dont le médecin, la coach Valérie Garnier et quelques coéquipières. “Je voulais être tranquille et faire mes deux compétitions sans me prendre la tête, sans devoir gérer les réactions d’autres joueuses, des médias ou autres”, avait-elle expliqué.

    La basketteuse a retrouvé la compétition avec Basket Landes à la mi-avril, moins de trois mois après la naissance de son enfant et a remporté la semaine suivante la Coupe de France avec son club.

    À voir également sur Le HuffPost: Une députée anglaise amène son bébé au Parlement pour demander un meilleur congé maternité

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      À la maternité, l'accueil des coparents la nuit reste un angle mort, alerte cette journaliste

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 1 June, 2022 - 16:41 · 5 minutes

    Après l'accouchement, la mère se retrouve souvent seule à la maternité. Le père étant restreint aux horaires de visite classiques, faute de lit disponible. Après l'accouchement, la mère se retrouve souvent seule à la maternité. Le père étant restreint aux horaires de visite classiques, faute de lit disponible.

    MATERNITÉ - Pas de lit ni même de fauteuil inclinant pour le coparent, heures de visite similaires à celles des visiteurs... Dans un billet publié sur L’Obs mardi 31 mai , la journaliste Renée Greusard déplore l’accueil réservé aux coparents dans nombre de maternités, alors que leur compagne vient tout juste d’accoucher. Elle a aussi créé une carte participative permettant d’explorer les maternités offrant la possibilité aux coparents de rester ensemble la nuit.

    “Moi, j’aurais aimé savoir que c’était un sujet. Je savais que ce n’était pas facile d’avoir un enfant mais je pensais qu’on accouchait, que le bébé pleurait un peu mais dormait, que c’était facile”, raconte la journaliste et autrice de Choisir d’être mère .

    Au lieu de ça, Renée Greusard s’est “retrouvée seule avec un bébé pleurant toute la nuit”, le papa devant “se reposer pour accueillir le bébé à la maison”, selon le personnel hospitalier. Une expérience qu’elle qualifie de “traumatique” auprès du HuffPost .

    Ce n’est néanmoins pas sa seule expérience qui a décidé Renée Greusard à écrire son article. “Dans mon livre, j’avais évoqué ce problème du manque d’accueil des coparents et il y a une femme qui en a parlé sur Instagram, j’ai relayé son témoignage et beaucoup d’autres sont arrivés”, explique la journaliste. “Ces témoignages m’ont bouleversée”, appuie-t-elle.

    Une carte à destination des coparents

    Face à cet afflux de témoignages, la journaliste a eu l’idée de réaliser une carte des maternités accueillantes. “Je l’actualise avec les témoignages que je reçois, mais dans l’idéal, il faudrait vérifier sur place auprès des maternités”, précise la journaliste. Pour le moment, ce sont 150 maternités qui ont été répertoriées, accueillantes ou non pour les coparents sur la carte, disponible sur Google Maps .

    “Il y a plus de vert [représentant les maternités accueillantes] que de rouge sur la carte. Ça montre que ça a quand même évolué depuis 2015”, remarque Renée Greusard, bien que “ce n’est pas parce qu’il y a plus de vert qu’il faut se réjouir”. “Il faut se demander ensuite quel accueil on réserve à ces coparents, parfois c’est un lit, mais souvent ce n’est qu’un fauteuil semi-incliné”, insiste-t-elle.

    “On est une équipe”

    Dans son billet, plusieurs témoignages soulignent le risque de dépression post-partum que peut provoquer l’isolement des femmes qui viennent d’accoucher. “Je pense que le lit de ma dépression post-partum s’est creusé là, dans le fond insondable de la solitude avec un bébé qui hurlait non-stop et la douleur physique insupportable que je ressentais”, témoigne ainsi l’une des femmes qui s’est confiée à la journaliste.

    “Dans ma mater, le papa avait le droit de venir aux heures de visite [...], tous les soins, rendez-vous pédiatre, etc. se passaient le matin et en son absence, le message est donc clair, c’est la maman qui doit apprendre à tout faire”, raconte une autre, soulignant l’accroissement des inégalités dans la charge du nouveau-né, en raison de l’absence du coparent.

    “Ce n’est pas un moment où on est censées être toute seule. Depuis la nuit des temps, lorsqu’une femme accouche on l’entoure. Aujourd’hui ce n’est plus le cas et on fait comme si n’était normal alors que ça ne l’est pas. Quand on accueille un enfant, si on est deux, on est une équipe”, souligne la journaliste.

    Une question politique

    Pour Renée Greusard, le sujet est en effet ”éminemment politique”. “Derrière les larmes, il y a des choix politiques, financiers”, appuie-t-elle, en évoquant la crise de l’hôpital . “Le fait que le coparent puisse dormir apparaît comme accessoire alors que sa présence pourrait aussi permettre de soulager le personnel hospitalier, les puéricultrices en particulier”, poursuit-elle.

    Un soulagement qui serait notamment apprécié lors de la “nuit de java”, deuxième nuit après l’accouchement, où le bébé pleure énormément. “J’ai cru que j’allais mourir cette nuit-là, on est dans un état second quand on vient d’accoucher, j’avais aussi subi une épisiotomie : tout mon corps était douloureux”, confie Renée Greusard.

    Pour la journaliste, le sujet dit également beaucoup de la façon dont les nouveau-nés sont accueillis au monde. “Ça devrait être un moment doux et ça en devient douloureux”, souligne-t-elle. Avant de raconter: “Le dernier témoignage qui m’a marqué, c’est celui d’une femme qui racontait ne pas avoir vu son mari après une césarienne de jumeaux car les visites étaient finies. Ils se sont félicités d’être parents le lendemain...”.

    La carte des maternités reste un “prétexte” pour parler du sujet aux yeux de la journaliste. Mais celle-ci permet de questionner l’accueil des coparents en France. “Idéalement, il faudrait des chambres d’accouchement avec un lit double: c’est possible, ça existe dans d’autres pays”, met en avant Renée Greusard. L’une de ses followers lui a par exemple signalé l’existence de “chambres familiales” en Autriche, une autre la possibilité en Suisse, pour le coparent, d’être logé à l’hôtel. Des possibilités qui donnent, en tout cas, à réfléchir.

    À voir également sur Le HuffPost: ”‘Je suis maltraitante’: le cri du cœur de cette sage-femme qui lance un appel non-négociable: une sage-femme pour chaque femme”

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      Britney Spears annonce avoir fait une fausse couche

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 15 May, 2022 - 07:08 · 2 minutes

    Britney Spears annonce avoir fait une fausse couche (Britney Spears et son Britney Spears annonce avoir fait une fausse couche (Britney Spears et son "mari" Sam Asghari en 2019. Photo by Jordan Strauss/Invision/AP, File)

    PEOPLE - La superstar américaine de la pop Britney Spears, qui avait révélé une grossesse surprise le mois dernier , a annoncé samedi 14 mai avoir fait une fausse couche , dans un message posté sur Instagram avec son compagnon Sam Asghari.

    “C’est avec la plus profonde tristesse que nous devons annoncer que nous avons perdu notre bébé miracle durant la grossesse”, indique ce post de la chanteuse de 40 ans , déjà mère de deux enfants, et de son compagnon, 28 ans.

    Le 11 avril, la chanteuse, révélée adolescente par plusieurs tubes planétaires dont ”...Baby One More Time”, en 1998, avait écrit sur Instagram: “J’ai fait un test de grossesse... Euh eh ben... J’attends un bébé ”.

    La nouvelle était tombée cinq mois après que la justice américaine à Los Angeles (ouest) lui avait rendu le contrôle sur sa vie personnelle en mettant fin à la tutelle exercée principalement par son père Jamie Spears. La mesure avait été décidée en 2008 en raison de troubles psychologiques de la star, qui l’a qualifiée d’“abusive” et qui, selon elle, l’empêchait de retirer son stérilet contraceptif malgré son désir d’avoir d’autres enfants.

    La couple va “continuer à essayer d’élargir leur jolie famille”

    Britney Spears et Sam Asghari, qui se sont connus en 2016, ont ajouté qu’ils “allaient continuer à essayer d’élargir leur jolie famille” et demandé qu’en attendant, on “respecte leur intimité en ce moment difficile”.

    La chanteuse a déjà deux garçons, Sean et Jayden, avec son ex-mari Kevin Federline.

    Sam Asghari, que la chanteuse appelle volontiers son “mari”, s’était réjoui de l’annonce de la grossesse dans un post séparé : “La paternité est quelque chose que j’ai toujours espéré et que je ne prends pas à la légère. C’est le job le plus important que j’aurai à faire”.

    À voir également sur Le HuffPost: “Vous m’avez sauvé la vie”, Britney Spears remercie le mouvement #FreeBritney