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      Avez-vous déjà vu un drone se faire attraper au vol par un aigle ?

      news.movim.eu / Numerama · Sunday, 29 October - 08:17

    aigle pygargue

    Un droniste a eu la malchance de perdre son drone en plein vol, capturé par un rapace, dans l'Utah, aux États-Unis. Un incident qui n'est pas rare dans les régions sauvages, mais qui reste spectaculaire. Une vidéo montre l'oiseau transporter sa proie dans le ciel. [Lire la suite]

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      « Mortalité accrue » des oiseaux, raisins et pommes en danger : les impacts de cette canicule

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 22 August, 2023 - 09:09

    Les températures s'envolent à plus de 40 degrés dans de nombreux départements français, et sont aussi très élevées dans les autres, alors même que le 15 août est derrière nous. Un dérèglement qui n'est pas sans conséquences sur la nature et les récoltes. [Lire la suite]

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      Comment calculer une distance à vol d’oiseau sur Google Maps ?

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 19 July, 2023 - 20:51

    oiseau animal

    Il existe des services sur le net qui permettent de calculer une distance à vol d'oiseau entre deux points, entre deux villes. C'est le cas avec Google Maps et Géoportail. [Lire la suite]

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      Reconnaissance d’oiseaux automatique avec le Raspberry Pi

      news.movim.eu / Korben · Friday, 9 September, 2022 - 07:00 · 1 minute

    Vous aimez les oiseaux ?

    Moi j’adore ! J’en ai plein mon jardin et ils me régalent avec leurs chants. Rien que de les voir voler, j’adore. J’ai des mésanges de toutes sortes, des pigeons ramiers, des pies, mais également des pics épeiches, des pics-verts, des pinsons, des loriots ou encore des petits rapaces ou des hérons.

    Seulement voilà, même si j’ai des livres, c’est parfois difficile de savoir quels types d’oiseau est présent. Certains sont difficiles à observer et d’autres sont plus matinaux que moi.

    Alors que faire ?

    Et bien avec le projet BirdNet-Pi , il est possible avec un simple Raspberry Pi et un micro, d’enregistrer 24h/24h l’environnement sonore de votre jardin pour en extraire automatiquement les chants, les piaillements et autres gloussements de nos oiseaux sauvages adorés.

    L’outil est ainsi capable de créer des spectrogrammes de chaque bruit d’oiseau capté et de les identifier. Ensuite vous aurez tout un tableau de bord avec des stats, la visualisation des espèces, de leur spectrogramme et évidemment la possibilité de réécouter certains chants.

    Ce qui est encore plus cool avec Brident-Pi, c’est que vous pourrez même partager ces données avec le monde entier via un petit serveur web embarqué (un Caddy). En voici une petite liste pour vous montrer :

    Je trouve ce projet super cool. Je ne sais pas si j’aurais le temps de mettre ça en place mais si c’est votre cas, je veux bien un petit retour à l’occasion. Peut-être que la LPO s’en saisira pour aider les particuliers à mettre ça facilement en place chez eux afin de récupérer de la données un peu partout en France.

    Vous trouverez toutes les infos sur ce projet ici .

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      Écoutez le chant des oiseaux pour aider les scientifiques

      news.movim.eu / Numerama · Sunday, 3 July, 2022 - 10:30

    Zooniverse a lancé un nouveau projet nommé BirdSong. Son objectif : aider les chercheurs à comprendre le bruit des oiseaux, et à développer des systèmes de reconnaissance automatique en écoutant leurs chants. [Lire la suite]

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      Sur la plage, attention à ne pas écraser des nids d'oiseaux

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 12 June, 2022 - 06:00 · 4 minutes

    L’opération littoral 2022 L’opération littoral 2022 "Attention, on marche sur des œufs!" vise à sensibiliser les usagers du littoral et les gestionnaires de plages au respect de la faune sauvage qui partage ces espaces souvent touristiques et fréquentés.

    FAUNE - Faire attention au sol que l’on foule, à la plage, pourrait permettre de sauver des couvées entières d’oiseaux . Plusieurs espèces, dont notamment le gravelot à collier interrompu, se reproduisent dans les milieux sableux, donc notamment sur les plages, à partir du mois d’avril et jusqu’à la fin du mois de juillet, en particulier sur la côte atlantique, de la Manche et de la mer du Nord.

    “Ils ne font pas vraiment de nid, mais forment une petite cuvette avec des œufs qui se fondent dans le sable, décrit au HuffPost Jérémy Dupuy, responsable de projet “Enquêtes et atlas avifaunistiques” à la Ligue de protection des oiseaux (LPO). Ils jouent sur le mimétisme des œufs pour ne pas être repérés par les prédateurs.”

    Sauf qu’ils sont tellement bien cachés que les habitants ou touristes ne les voient pas non plus. “Souvent, soit les promeneurs vont écraser les œufs, soit les chiens vont les débusquer et les manger ou même manger les poussins, alerte le spécialiste. Ils sont si petits que les propriétaires des animaux peuvent ne même pas le remarquer.”

    “Attention, on marche sur des œufs”

    L’opération “Attention, on marche sur des œufs” , lancée pour la troisième année consécutive par le Conservatoire du littoral, l’Office français de la biodiversité, l’Office national des forêts, la LPO, et Rivages de France, consiste à sensibiliser tous les acteurs de ces territoires: les municipalités, les pouvoirs publics, mais aussi les citoyens à faire attention à ces espèces à cette période de l’année.

    “On préconise de garder son chien en laisse, d’arrêter le ramassage systématique de ce que l’on appelle la ‘laisse de mer’ -ce que la marée va apporter sur la plage deux fois par jour-, indique Jérémy Dupuy. C’est justement ce qui permet aux gravelots de se nourrir et de nicher.”

    Il est aussi conseillé de rester sur les sentiers balisés, d’éviter de fréquenter les hauts de plage, les dunes de sable ou végétalisées en arrière-littoral et de ramasser les déchets. Si vous voyez un oiseau au sol qui semble blessé, il peut être judicieux de faire demi-tour.

    “Le gravelot à collier interrompu et le grand gravelot sont des oiseaux qui, en période de reproduction vont tout faire pour éloigner les prédateurs de leurs petits, précise sur son site la LPO. Les parents font semblant d’avoir une aile cassée pour attirer le prédateur sur eux et vont ensuite s’éloigner pour que le prédateur ne trouve pas les petits.”

    Hirondelle de mer et pipit rousseline

    Pour protéger les nids, des ornithologues essayent de les repérer en amont et de créer des enclos assez larges, avec des panneaux de sensibilisation pour que les gens évitent de les piétiner.

    Parmi les oiseaux concernés, on peut trouver aussi des sternes ou “hirondelles de mer”, qui se reproduisent sur les plages ou îlots sablonneux. “Pour le coup, les colonies de sternes sont plutôt bien connues et protégées, souligne Jérémy Dupuy. On ne va pas trouver un matin un couple de sternes qui vont s’installer comme ça sur une plage.”

    Attention aux “pontes de remplacement”

    Le pipit rousseline, petit passereau migrateur aime bien fréquenter les hauts de plage et l’arrière-dune et peut souffrir du piétinement. Si c’est bientôt la fin du printemps, il faut continuer à faire attention jusqu’à la fin juillet. En Outre-mer, les tortues marines et de nombreuses espèces d’oiseaux de mer pondent également sur les plages.

    “Beaucoup d’oiseaux vont échouer leur reproduction, à cause des dérangements ou de la prédation, mais aussi à cause des grandes marées de la mi-mai ou de la mi-juin développe-t-il. Et certains vont tenter une ‘ponte de remplacement’, une deuxième nichée, ce qui peut donner des œufs et des poussins jusqu’à fin juillet, début août.”

    Selon le responsable de la LPO, c’est tout un écosystème qu’il faut essayer de préserver de l’activité humaine. “C’est toute la biodiversité des dunes et de la plage qui est en jeu, rappelle-t-il. Il y a énormément d’espèces de plantes qui sont liées à ces habitats-là. Y faire attention permet aussi d’éviter l’érosion des dunes par le piétinement...”

    À voir également sur Le HuffPost : L214 diffuse la vidéo d’un charnier d’oiseaux en Vendée

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      Dans "Sur le Front" sur France 5, Hugo Clément mène l'enquête sur les oiseaux

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 5 June, 2022 - 16:30 · 4 minutes

    NATURE - Le silence est parlant. Que ce soit en ville ou dans nos campagnes françaises, le chant des oiseaux fait de moins en moins partie de notre quotidien . En zone urbaine, les moineaux, qui autrefois se battaient pour un quignon de pain, sont deux fois moins nombreux qu’il y a vingt ans. En milieu rural, les oiseaux des champs sont 40% de moins qu’il y a 30 ans.

    Pourquoi cette hécatombe? Est-elle uniquement liée à l’activité humaine? Sur France 5, l’émission “Sur le Front” diffusée ce dimanche 5 juin à 20h55 pose cette question: “Où sont passés nos oiseaux?” Une question simple aux réponses multiples, mais que le journaliste Hugo Clément explore avec beaucoup de pédagogie.

    Pour cela, il prend quelques exemples symboliques, comme le moineau, le chardonneret, le busard cendré ou la cigogne. Pourquoi ces oiseaux? Parce qu’ils sont tous touchés par l’activité humaine, sous toutes ses formes. Et que leurs cas, en ville et à la campagne, expliquent un phénomène plus global.

    Les oiseaux des villes

    Hugo Clément commence son enquête à Paris, où le nombre de moineaux a diminué de 73 % en 13 ans. L’espèce est officiellement “en déclin”. En cause: l’architecture moderne, avec ses bâtiments en verre, “labyrinthe mortel” qui provoque la collision des oiseaux . Mais aussi le bruit, les pesticides et les rénovations de l’habitat ancien.

    Plus d’interstice, de trou ou d’espace pour nicher, comme c’est le cas pour d’autres espèces . En Occitanie, à côté de Perpignan, dans une réserve ornithologique, les moineaux se font rares aussi. Seule solution: construire des nichoirs pour permettre aux moineaux de se reproduire, à la fois en milieu urbain et rural. Certaines municipalités se sont déjà investies de cette question.

    Le trafic d’espèces

    À Marseille, le journaliste suit des agents de la Police de l’environnement, lors d’une perquisition chez un couple soupçonné de trafic d’oiseaux. Dans les Bouches-du-Rhône, le commerce illégal d’espèces protégées est fréquent. Un exemple: celui du chardonneret élégant , en voie d’extinction dans la nature, mais pas sur les réseaux sociaux.

    Victime de sa beauté et de ses cordes vocales, il vit dans les arbres et n’a pas pour le coup de problème d’habitat. Victime du braconnage, sa population s’est effondrée depuis l’an 2000: moins 30%. Il est chassé et revendu à des particuliers, qui le convoitent “pour leur chant”. Dans le reportage, Hugo Clément contacte des trafiquants en caméra cachée: on lui propose 180€ pour acquérir un mâle.

    Broyés par les moissonneuses-batteuses

    Changement de décor: on se retrouve en Moselle, en rase campagne. Au milieu des champs qui s’étendent à perte de vue, les chants se font également rares. Et pour cause: les oiseaux en milieu agricole ont diminué de 40% en 30 ans. Et pas seulement les petits spécimens. Le busard cendré, un rapace, fait partie des espèces “quasi menacées”.

    Dans les plaines où il vit, il est notamment menacé par les moissonneuses-batteuses, qui broient leurs nids construits à même le sol, dans les champs. Une situation directement liée au réchauffement climatique: auparavant, la moisson avait lieu en août, période où tous les petits avaient déjà pris leur envol. Elle a désormais lieu en juillet.

    Si des volontaires créent des enclos autour des nids pour que les tracteurs fassent des détours, avec l’accord de l’agriculteur, la solution est artisanale. Et surtout, une autre raison explique la disparition de nombreux oiseaux en milieu rural: les pesticides.

    75% des insectes ont disparu

    75% des insectes ont disparu en 30 ans en Europe de l’Ouest, à cause des pesticides. Les papillons diurnes ont perdu 90% de leur population. Les champs à perte de vue, en monoculture et destinés l’industrie, sont également en cause. Plus d’arbres, de diversité végétale.

    Si le constat est alarmant et peut décourager, quelques solutions sont avancées: créer des zones de protection spéciales, réduire les pesticides, installer des nichoirs dans les municipalités, faire attention à la façon dont on construit, réintroduire des espèces comme la cigogne, désormais sédentaire dans l’Est de la France...

    La chasse légale

    En montagne, par exemple, où les remontées mécaniques pouvaient menacer certaines espèces, des systèmes de marquage pour que les oiseaux les repèrent ont été imaginés. Enfin, la chasse, si elle n’est pas la cause principale de la disparition, est également en question .

    En France, 63 espèces d’oiseaux migrateurs sont légalement “chassables”, beaucoup plus que tous nos voisins européens: 34 en Italie et en Espagne, 24 au Royaume-Uni, 13 en Belgique, 3 aux Pays-Bas... Quand on sait que 10 millions d’oiseaux migrateurs sont tués en France chaque année, cela a de quoi interroger.

    À voir également sur Le HuffPost: La découverte de ce récif de coraux géants (et en bonne santé) à Tahiti est une excellente nouvelle

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      La chasse au Grand Tétras, plus gros oiseau terrestre d'Europe interdite

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 2 June, 2022 - 09:15 · 2 minutes

    Le Grand Tétras (Tetrao urogallus), ou Grand coq de bruyère est sur la liste rouge des espèces menacées en France selon l'UICN. Le Grand Tétras (Tetrao urogallus), ou Grand coq de bruyère est sur la liste rouge des espèces menacées en France selon l'UICN.

    ANIMAUX - C’est un oiseau majestueux, au plumage noir de jais saupoudré de touches de vert, marron et de blanc. Queue en éventail et sourcils rouges vifs, le Grand tétras ne passe pas inaperçu. Étant le plus gros oiseau terrestre d’Europe, il est une cible de choix pour les chasseurs.

    Un répit a néanmoins été accordé à ces animaux par le Conseil d’État . La plus haute juridiction administrative du pays a ordonné le 1er juin au ministère de l’Écologie d’imposer d’ici le 15 juillet 2022 un moratoire de cinq ans sur la chasse du Grand Tétras.

    Une victoire pour les associations

    “Nos associations sont satisfaites de cette décision et appellent en outre le ministère de l’Écologie à prendre rapidement des mesures fortes pour stopper le déclin du Grand Tétras”, a réagi l’association France Nature Environnement (FNE) dans un communiqué.

    Ce sont sept associations, dont FNE Midi-Pyrénées ( acronyme de France Nature Environnement), qui sont à l’origine de cette décision. Elles avaient décidé de saisir le Conseil d’État, constatant le déclin de l’espèce et l’inaction des pouvoirs publics.

    C’est en effet ce qui est mis en avant par l’institution publique française pour justifier sa décision. L’État a en effet des obligations en matière de protection de la biodiversité et de préservation des espèces sauvages.

    Pourquoi une espèce vulnérable est chassée

    Le Grand tétras fait partie des espèces “vulnérable sur la liste rouge française des espèces menacées” de l’UICN. Il est à ce titre protégé par une directive européenne depuis 1979. Mais cela n’empêche pas l’animal de toujours être chassé dans certains départements.

    La raison? Le texte européen n’interdit pas la chasse du Grand Tétras des Pyrénées, et se contente de la réglementer: “Le Grand Tétras peut faire l’objet d’actes de chasse, mais il y a une condition : ne pas compromettre les efforts de conservation de l’espèce” relate au Monde Hervé Hourcade, juriste pour FNE Midi-Pyrénées.

    Cette décision du Conseil d’État est donc une bonne nouvelle pour l’espèce, lui laissant plusieurs années de répit. Selon les estimations, les effectifs de l’espèce ont été divisés par cinq en soixante ans. Si l’on comptait environ 18.000 spécimens dans le massif pyrénéen dans les années 1960, ils n’étaient plus que 4.000 en 2021.

    À voir également sur le Huffpost: Cette phrase de Jacques Chirac sur le climat a 20 ans et elle a pris un coup de vieux

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      Ce danger des villes qui menace les oiseaux en pleine migration

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 1 June, 2022 - 16:29 · 1 minute

    FAUNE - Les oiseaux font partie de notre quotidien. Pourtant, on sous-estime les dangers que la ville représente pour ces animaux , comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article . Chaque année, pendant la période de migration , ces oiseaux parcourent des milliers de kilomètres pour rejoindre leur lieu d’hivernage ou de reproduction.

    “A l’automne, des centaines de millions d’oiseaux migrateurs quittent leurs lieux de reproduction et entament un long vol vers leurs zones d’hivernage, parfois situées à plusieurs milliers de kilomètres, ils effectueront le voyage en sens inverse au printemps”, rappelle la Ligue de protection des oiseaux sur son site.

    Pendant leur voyage , ils se retrouvent parfois obligés de traverser des villes. Avec le risque, comme le soulignent les experts en la matière, de heurter des fenêtres et des vitrines d’immeubles, désorientés par les reflets des lumières, entre autres. C’est le cas de New York mais pas seulement, cela se produit partout dans le monde.

    Des solutions simples

    L es films transparents peuvent permettre de pallier en partie au problème et aider les oiseaux durant leur traversée. D’autres solutions existent, comme éteindre les lumières la nuit dans les immeubles de bureaux, ainsi que fermer ses stores lorsque les lumières sont allumées.

    À New York, des associations comptabilisent les oiseaux blessés ou morts après un choc avec une vitre ou un immeuble. Elles viennent également en aide aux oiseaux blessés en les amenant dans l’unique refuge de la ville dédié aux animaux sauvages où ils sont soignés et remis en liberté, une fois guéris, pour poursuivre leur migration.

    À voir également sur Le HuffPost: Comment reconnaître un cosmétique vraiment bio ?