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      ParcourSimple – Simplifiez le suivi de vos vœux ParcourSup avec ce script

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 7 June, 2023 - 09:27 · 1 minute

    Si vous êtes en souffrance devant ParcourSup, voici un script développé par Yan Petit (que je salue !) qui permet automatiquement de voir l’ensemble de vos voeux en attente directement dans un tableau tout clean.

    Ça vous évite comme ça de cliquer sur chaque voeu et de lire le petit paragraphe qui va bien pour tenter de comprendre où vous en êtes. Je sais bien qu’il n’y a pas d’ergonome web dans les ministères, mais un petit tableau HTML ça ne manque pas de pain !

    Bref, heureusement que Yan y a pensé.

    Alors comment ça fonctionne ? Et bien ça se présente sous la forme d’un script GreaseMonkey / TamperMonkey baptisé ParcourSimple qui une fois déployé sur votre navigateur vous affichera ce genre de tableau (en haut à droite) :

    Pour ceux qui ne connaissent pas encore les extensions GreaseMonkey (pour Firefox) ou TamperMonkey (pour Chrome), elles permettent d’exécuter des scripts JavaScript personnalisés pour modifier le comportement ou l’apparence des sites web. En utilisant ces extensions, ParcourSimple vient simplement optimiser l’interface du site officiel pour une utilisation plus conviviale.

    Cette présentation visuelle simplifiée permet ainsi une meilleure visualisation des différents voeux disponibles sur ParcourSup.

    Pour en profiter, rendez-vous ici !

    Et le Github est par là…

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      Parcoursup : comment et quand accéder aux résultats d’admission

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 1 June, 2023 - 14:52

    La dernière phase de Parcoursup ouvre ce jeudi 1er juin. Et pour connaître ses résultats, c'est assez simple. [Lire la suite]

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      L’Éducation nationale empile les réformes comme les mauvaises grippes

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Monday, 23 January, 2023 - 12:00 · 5 minutes

    Mise progressivement en place depuis 2018, cette réforme des lycées a ainsi abouti depuis l’année dernière à se passer complètement de mathématiques dans son tronc commun à partir des classes de première, ne laissant cette matière que pour les filières scientifiques. Joie, délivrance et décontraction pour une grande quantité d’élèves pour qui les mathématiques n’ont constitué qu’une forme élaborée de torture mentale tout au long de leur cursus scolaire, cette suppression leur a donc permis de se consacrer pleinement à toutes les autres matières (langues, histoire, géographie, français notamment) dont ils allaient faire leur miel lors de leurs études supérieures.

    Las : une partie de ces mêmes élèves se retrouve à présent quelque peu déconfite lorsqu’il s’agit de candidater pour les études supérieures de leur choix qui, elles, réclament ou bien un niveau suffisant en mathématiques ou, pire, d’avoir continué cette matière bien au-delà de la classe de seconde. Patatras, les choses deviennent complexes : au moment de s’inscrire sur Parcoursup, certains découvrent l’horrible réalité que l’inscription en faculté d’économie (par exemple) nécessite un niveau de mathématiques qu’ils n’ont plus.

    Bien évidemment, ici, on devra s’interroger sur le raisonnement obscur qui s’est mis en place dans la tête de ces élèves pour d’un côté s’inscrire sciemment dans les classes de première et de terminale ne comportant aucune option de mathématiques avec dans le même temps la ferme intention de poursuivre leurs études dans des disciplines pour lesquelles les mathématiques, si elles ne constituent pas un pilier fondamental, n’en sont pas moins présentes et indispensables.

    Certes, ce niveau d’inconséquence portera à sourire pour des jeunes qui prétendent assez vite à participer à la société et plus alarmant, frétillent d’aise à la perspective de voter et s’engager politiquement pour certains d’entre eux…

    Cependant, ce constat ne devra surtout pas faire oublier que ce pataquès vient s’ajouter aux trop nombreux autres qui s’empilent maintenant depuis des années pour tout ce qui touche l’instruction des enfants français : alors que l’Éducation nationale permettait jusque dans les années 1970 de former des individus aptes à s’insérer dans la société, les décennies suivantes ont violemment bénéficié de chacune des lubies du moment, de réformes toutes moins habiles et pertinentes les unes que les autres et la mise en place de systèmes d’orientation ayant spectaculairement échoué à produire autre chose qu’un désastre.

    Il faut ici évoquer l’incompétence fulgurante des ministres et des administrations qu’ils ont, les uns après les autres, fait semblant de cornaquer dans le marais putride dans lequel l’équipage s’est enfoncé depuis des lustres et continue d’y barboter calmement.

    Doit-on réellement s’appesantir sur les ratages, maintenant multiples et retentissants, de Parcoursup qui, d’année en année, étonne par sa capacité à inventer des situations toujours plus ubuesques, à laisser sur le carreau des étudiants, à produire des affectations farfelues et à ne pas tenir compte ni des souhaits ni des réalités de terrain ? On pourra arguer que seul un tout petit pourcentage d’élèves se retrouve consciencieusement embrouillé (pour ne pas dire broyé) par ce système mal fichu mais même un petit pourcentage, sur un grand nombre d’étudiants, cela finit par faire beaucoup.

    Et à la fin, c’est toujours trop pour quelque chose qui devrait se passer sans anicroches au point que même le chef de l’État, pourtant pas réputé pour être en prise directe avec la réalité, finisse par admettre que ce truc est une usine à gaz stressante , rejoignant en cela les témoignages (nombreux) de ceux qui ont dû l’expérimenter.

    Quant au reste, force est de constater que malgré l’empilement frénétique de réformes, le niveau scolaire des Français ne s’améliore pas, au contraire . Tout se passe comme si la succession de ministres hétéroclites n’avaient absolument pas aidé l’institution à simplement faire son travail, au contraire même. C’est à se demander si les efforts n’ont pas été portés de façon systématique et avec application sur à peu près tout sur ce qu’il ne faut pas faire.

    Les exégètes des enquêtes de niveau scolaire menées ces dernières décennies multiplient les tergiversations, les euphémismes et les atermoiements pour ne surtout pas regarder la réalité en face et avouer que le Roi est nu, ou qu’il est, au mieux, vêtu de fripes rapiécées : la France n’est plus que l’ombre de ce qu’elle fut il y a 25 ans, et à plus forte raison il y a 50 ou 100 ans.

    Tant et si bien que la récente suppression des mathématiques du tronc commun des classes de première et de terminale a provoqué des dégâts déjà visibles une paire d’années après cette magnifique initiative, au point tel que l’actuel ministricule en charge du Titanic éducationnel français a été obligé de convenir qu’il y avait un souci et qu’il fallait faire marche arrière : dès la rentrée 2023, les mathématiques reviennent dans le tronc commun .

    Mhmh enfin, en théorie… Les dissensions se creusent entre la tête du ministère et l’administration, pour laquelle rien n’est réellement acté . Si vous êtes élève en 2023, bonne chance pour savoir ce qui va se passer exactement…

    En somme, le bordel incompréhensible qui a présidé à l’instigation d’un Parcoursup finalement mal fichu et encombrant n’a pas été contenu et le voilà qui perfuse maintenant toutes les strates de l’administration scolaire française. Le programme, les options, la nature précise du tronc commun et ce qu’on doit faire ou ne pas faire n’est plus qu’une vaste soupe conditionnelle et floue. Pour tout dire, on dirait les douzaines de pages de protocoles sanitaires que Blanquer et sa fine équipe de malades mentaux ont pondu pendant la crise pandémique en espérant rendre simple le fatras d’injonctions contradictoires qui constituait la position officielle du gouvernement en la matière.

    Dans ce bouillon opaque de réformes indéchiffrables ajoutées les unes aux autres, l’élève n’est plus qu’une variable d’ajustement. Et comme de surcroît, tout a été fait pour qu’il ne soit pas de plus en plus autonome et affûté, mais exactement le contraire, on ne parvient qu’à une unique conclusion : ce pays est foutu.

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      Parcoursup 2023 : les dates clés à retenir pour ses vœux et son orientation post Bac

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 30 December, 2022 - 16:08

    Parcoursup est pour beaucoup de jeunes un passage obligé pour accéder aux études supérieures. La campagne 2023 a commencé. Voilà les points essentiels à connaître. [Lire la suite]

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      Parcoursup: 100.000 places encore vacantes, annonce Sylvie Retailleau

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 16 July, 2022 - 22:53 · 2 minutes

    La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau, ici à l'Elysée à Paris, le 13 juillet 2022. La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau, ici à l'Elysée à Paris, le 13 juillet 2022.

    PARCOURSUP - La ministre de l’Enseignement supérieur Sylvie Retailleau a annoncé ce dimanche 17 juillet que les candidats toujours en attente de réponse sur la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup pouvaient faire leur choix parmi “100.000 places de formations encore vacantes”.

    “Les candidats peuvent choisir parmi 100.000 places de formations encore vacantes, dans un peu plus de 5800 formations différentes”, assure la ministre de l’Enseignement supérieur dans les colonnes du JDD . Elle précise que ces places se situent “aussi bien dans les nouvelles licences Accès Santé (62 LAS ont encore des places), dans les licences de droit, d’économie-gestion ou de lettres, que dans des formations sélectives comme les classes préparatoires, qui ne font plus le plein partout, en BTS ou en BUT”.

    Selon le tableau de bord de Parcoursup, 94.000 candidats n’ont encore reçu aucune proposition durant la phase principale. Il y en avait environ 91.000 en 2021.

    Mais pour Sylvie Retailleau, “Parcoursup s’améliore continuellement, année après année, depuis cinq ans. Aujourd’hui, au terme de la phase principale, un peu plus de neuf lycéens sur dix ont reçu au moins une proposition d’admission. La procédure a été plus fluide. Et il y a eu moins d’attente pour les candidats que l’an dernier”, affirme-t-elle.

    Une demi-journée avenir mise en place dès la 5e

    Selon elle, ”à la fin de la phase principale, 83,1% de l’ensemble des candidats, c’est-à-dire des lycéens, des étudiants en réorientation et des personnes en reprise d’études, ont reçu au moins une proposition en 2022, contre 82,8% en 2021″.

    Interrogée sur les améliorations possibles de la plateforme, la ministre a estimé qu’il fallait “avant tout améliorer l’orientation des élèves. Il y a déjà eu un gros travail de réalisé. Il n’y a jamais eu autant d’informations sur les formations que sur la plateforme Parcoursup. Il faut maintenant rendre tout cela plus accessible. On y travaille avec mon collègue Pap Ndiaye , le ministre de l’Éducation nationale”.

    “La demi-journée avenir qui sera mise en place dès la 5e permettra notamment de mieux faire connaître tous les métiers et d’améliorer l’orientation”, a-t-elle ajouté.

    Par ailleurs, au sujet de la création des places à l’université à la rentrée, “le gouvernement a déjà créé 84.000 places dans l’enseignement supérieur en 5 ans” et va “continuer cet effort”, a assuré Sylvie Retailleau.

    À voir également sur Le HuffPost : Cette lycéenne a montré les limites de Parcoursup avec une simple recette de cuisine

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      les résultats du baccalauréat 2022, c'est enfin aujourd'hui

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 5 July, 2022 - 05:15 · 4 minutes

    BAC - Admis, au rattrapage ou recalé? C’est le jour J pour près de 710.000 candidats au baccalauréat nouvelle formule qui découvriront ce mardi 5 juillet au matin leurs résultats, dénouement d’une session qui s’est déroulée en intégralité, pour la première fois après deux années perturbées par le Covid.

    À partir de 08H00 dans certaines académies, mais principalement à compter de 10H00 (académies de Paris, Créteil, Versailles, Lyon, Bordeaux ou Toulouse notamment), les lycéens de Terminale des filières générale , technologique et professionnelle pourront consulter leurs résultats en ligne ou sur des panneaux d’affichage dans la cour de leur établissement.

    Même si le baccalauréat a perdu de sa charge symbolique avec la réforme Blanquer qui a introduit une bonne dose de contrôle continu, la proclamation des résultats constitue toujours un moment important pour les lycéens .

    “Le bac, c’est l’accomplissement de longues années d’études, pour lesquelles on est nombreux à avoir beaucoup travaillé, donc j’attends ces résultats avec appréhension et impatience”, explique à l’AFP Ludivine, 18 ans, en Terminale dans un lycée parisien.

    A 10H00, mardi, elle sera connectée sur son téléphone, entourée de sept amis qui attendent eux aussi les résultats du bac. “On est partis s’aérer quelques jours en groupe donc on se connectera tous en même temps, ce qui est bien plus chouette que de découvrir son résultat seule dans son coin”, ajoute la lycéenne.

    “J’ai tellement hâte de savoir et après c’est vacances!”, se réjouit Ludivine.

    Sur les 709.399 candidats qui tentent de décrocher le précieux diplôme cette année, plus de la moitié (53,7%) ont présenté le bac général, qui se compose désormais d’un tronc commun de matières, complété par deux enseignements de spécialité choisis à la carte par les élèves.

    Ils sont 26,2% à passer le bac professionnel et 20% le bac technologique.

    Depuis sa réforme en 2019, la note du baccalauréat repose à 40% sur du contrôle continu et à 60% sur des épreuves terminales (le français écrit et oral, passé en classe de Première, la philosophie, les épreuves de spécialités et le grand oral, passés en Terminale).

    “Etats généraux du lycée”

    Cette année, les épreuves du nouveau bac général (pour lequel les élèves choisissent deux enseignements de spécialité) se sont déroulées en intégralité, pour la première fois après deux années perturbées par le Covid.

    Les deux épreuves de spécialité passées par chaque candidat ont cependant dû être décalées de mars à mai et des aménagements ont été décidés en raison de la crise sanitaire. Des correcteurs de ces épreuves ont affirmé mi-juin que certaines notes avaient été augmentées sans leur accord. Un début de polémique, balayé par le ministère, qui a assuré qu’“il n’y a pas eu de consignes nationales de relever les notes”.

    Les notes des épreuves de spécialité, ainsi que celles de la philosophie et du grand oral n’ont pas été prises en compte dans la plateforme d’accès aux études supérieures Parcoursup , qui délivre depuis début juin ses réponses aux voeux des candidats. Mais elles comptent dans la moyenne du bac, sésame nécessaire pour ceux qui veulent poursuivre leurs études.

    Dans un communiqué commun, des associations de professeurs de spécialité ont cependant estimé que cette première session du nouveau bac dans son intégralité “confirme” leurs “craintes”, à savoir que “le baccalauréat, comme examen national dont la valeur est garantie par l’institution, n’existe plus”.

    Dans l’attente “d’une remise à plat de la réforme du lycée et du baccalauréat”, cette Conférence des associations de professeurs spécialistes - qui regroupe notamment l’APBG (Association des professeurs de biologie et géologie), l’APHG (Association des professeurs d’histoire et de géographie) ou l’APMEP (professeurs de mathématiques de l’enseignement public) - souhaite “organiser des états généraux du lycée”.

    Cette année, les épreuves de rattrapage démarreront dès le lendemain des résultats, mercredi, et se tiendront jusqu’à vendredi.

    Le taux de réussite au baccalauréat dépasse depuis 2012 les 80%. L’an dernier, près de 94% des candidats avaient décroché l’examen qui permet d’accéder aux études supérieures.

    À voir également sur Le HuffPost: Bac 2021: “Une fois qu’on a le bac, on n’est pas sûr d’avoir quelque chose”

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      Elle piège Parcoursup avec une recette de cuisine

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 28 June, 2022 - 14:10 · 3 minutes

    ÉDUCATION - Un gâteau russe à la crème praliné qui fait des dégâts. Afin de tester les limites du logiciel, une lycéenne de Pau a joué un drôle de tour à la plateforme Parcoursup , destinée à recueillir et gérer les vœux d’affectation des futurs étudiants de l’enseignement supérieur.

    Lucièle Casteigbou, élève de terminale au lycée Saint-John Perse, ne s’attendait peut-être pas à de telles répercussions avec son idée. Critiqué pour ses démarches à rallonge afin de déposer ses vœux, Parcoursup a été piégé par l’étudiante, comme elle l’a dévoilé dans une première vidéo postée sur son compte TikTok le 7 avril.

    Après avoir sélectionné par inadvertance un établissement pour lequel elle ne comptait pas postuler, Lucièle a eu l’idée de déposer deux candidatures: une à la fac de Bordeaux et l’autre à celle de Bayonne. Mais une seule des deux était une véritable lettre de motivation. L’autre lettre était simplement une recette de cuisine d’un gâteau: le russe à la crème praliné, c omme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article .

    Le tout, agrémenté d’une “phrase d’accroche qui fait la diff” comme elle l’écrit elle-même sur TikTok. “La cuisine anglaise: si c’est froid c’est de la soupe, si c’est chaud c’est de la bière. La cuisine française étant plus raffinée, je souhaite vous faire part d’une recette traditionnelle française: le russe”, était-il ainsi écrit en ouverture de la lettre, dans une référence à Coluche.

    “C’est le système Parcoursup qui a un problème”

    Avec plus de 2,2 millions de vues sur le réseau social, la vidéo de Lucièle a attiré l’attention. Dans une seconde vidéo mise en ligne le 3 juin, elle explique qu’après une courte période sur liste d’attente, son vœu accompagné de la lettre de motivation piégée a été accepté sans le moindre problème.

    La jeune femme s’est d’ailleurs confiée à BFMTV ce mardi 28 juin pour expliquer la démarche derrière son piège tendu à Parcoursup. “Je me suis inscrite sur Parcoursup au mois de mars pour la faculté de droit de Bordeaux [...] Je voulais voir si j’allais être acceptée et si on regardait vraiment nos lettres de motivations. Du coup, ce n’est pas le cas, vu que j’ai été acceptée avec une lettre absolument nulle”, constate la lycéenne qui précise néanmoins qu’elle avait un bon dossier.

    ″Ça montre qu’on ne lit pas les lettres. On passe un temps fou pour faire des choses qui ne servent à rien. Je ne pense pas que ce soit la faute des facultés, ajoute toutefois la Paloise, c’est la faute de Parcoursup parce que les facs ne peuvent pas gérer autant de demandes [...] c’est le système Parcoursup qui a un problème”.

    Avec l’obtention de ce double choix, la lycéenne de 18 ans a finalement choisi la fac de Bayonne pour débuter ses études supérieures et poursuivre son rêve de devenir avocate. Pour le moment aucune réaction du rectorat de Bordeaux n’a été rendue publique.

    À voir également sur Le HuffPost: Emmanuel Macron explique pourquoi il a choisi Pap Ndiaye à l’Éducation

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      Sur Parcoursup, la phase complémentaire commence ce jeudi

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 23 June, 2022 - 10:00 · 2 minutes

    Sur Parcoursup, la phase complémentaire commence ce jeudi 23 juin 2022. Sur Parcoursup, la phase complémentaire commence ce jeudi 23 juin 2022.

    PARCOURSUP - Nouvelle étape pour les lycéens sur Parcoursup . Les élèves de terminale (qui en finissent avec le Grand oral du bac) mais aussi les étudiants en réorientation peuvent faire des vœux dans les formations qui ont encore des places disponibles à partir de ce jeudi 23 juin à 14 heures. Cette phase complémentaire de Parcousup s’étend jusqu’au 14 septembre.

    “(Elle) s’adresse en particulier aux candidats qui n’ont pas encore reçu de proposition d’admission” depuis le début de la phase principale le 2 juin, explique le ministère de l’Éducation dans un communiqué. Il précise que “ plus de 86,8 % des lycéens ont déjà reçu au moins une proposition d’affectation (soit une progression de 2,4 points par rapport à 2021)”.

    Les élèves peuvent faire jusqu’à 10 nouveaux vœux, en plus de ceux déjà fait en début d’année. “Dès l’ouverture, plus de 5300 formations seront proposées. La liste des formations proposant des places sera actualisée chaque jour”, assure le ministère. En 2021, plus de 82.000 jeunes ont reçu une proposition dans la phase complémentaire.

    591 candidats sans affectation en 2021

    Outre ceux n’ayant pas encore reçu d’affectation, peuvent participer les candidats qui n’ont pas validé leur vœux avant la date limite du 8 avril ou qui n’étaient pas inscrits sur Parcoursup. Les élèves déjà acceptés dans une formation peuvent aussi postuler dans une autre qui leur plait davantage que celles de leur première liste.

    Parcoursup est chaque année un réel stress pour les lycéens . Ils doivent faire leurs vœux avant une date limite, puis attendre plusieurs semaines la phase d’admission. S’ils sont pris quelque part, ils doivent accepter ou refuser la proposition, libérant ou non une place pour ceux qui se trouvent derrière eux dans la liste d’attente. Ils ont aussi un délai limité pour répondre: ils avaient jusqu’au 7 juin les premiers jours. Pour les propositions reçues entre le 7 juin et le 15 juillet, date de fin de la phase principale, le délai est de deux jours.

    Parcoursup a recueilli cette année les vœux de quelque 936.000 personnes, dont 622.000 lycéens et 186.000 étudiants qui souhaitent changer de voie. En 2021, environ 90.000 candidats étaient sans proposition à la fin de la phase principale, et 591 étaient sans affectation à la fin de la phase complémentaire .

    À voir également aussi sur le Huffpost: Bac 2021: “Une fois qu’on a le bac, on n’est pas sûr d’avoir quelque chose”

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      Parcoursup: 8 lycéens sur 10 ont reçu au moins une proposition, annonce le gouvernement

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 14 June, 2022 - 13:00 · 2 minutes

    Huit lycéens sur dix ont reçu au moins une proposition sur Parcoursup, selon le gouvernement (Parcoursup par Thierry Thorel/NurPhoto via Getty Images) Huit lycéens sur dix ont reçu au moins une proposition sur Parcoursup, selon le gouvernement (Parcoursup par Thierry Thorel/NurPhoto via Getty Images)

    PARCOURSUP - Les réponses aux voeux sur la plateforme Parcoursup ont commencé à arriver depuis le 2 juin et 83,5% des lycées ont pour l’instant reçu au moins une proposition . C’est ce qu’a annoncé la ministre de l’Enseignement supérieur Sylvie Retailleau ce mardi 14 juin lors d’un point presse à l’issue du conseil des ministres.

    La plateforme a recueilli les vœux de quelque 936.000 personnes cette année et “plus de 8 lycéens sur 10, c’est-à-dire 83,5% des lycéens, ont reçu au moins une proposition d’admission ou plusieurs. C’est un résultat meilleur qu’en 2021”, a souligné la ministre qui admet que “la réduction du temps d’attente des lycéens constitue évidemment un axe d’amélioration constant de la plateforme. L’objectif est bien sûr d’apporter des réponses le plus rapidement et à davantage de candidats”.

    Les réponses des formations s’étalent jusqu’au 15 juillet pour la phase principale d’admission, et les candidats libèrent des places au fur et à mesure qu’ils acceptent ou refusent des propositions.

    “Parcoursup fait qu’il faut voter pour la majorité”

    La plateforme d’admission post-bac Parcoursup “fait qu’il faut voter pour la majorité”, a par ailleurs estimé Sylvie Retailleau en réponse à une question évoquant les critiques de la Nupes à propos de Parcoursup. La Nupes la qualifie d e “grande loterie” et veut la supprimer. “C’est important de voir l’évolution aujourd’hui de la plateforme, l’évolution de l’accompagnement et l’évolution aussi des résultats”, a-t-elle ajouté.

    “Parcoursup fonctionne”, a-t-elle plaidé. “Cela ne veut pas dire bien sûr que (le dispositif) ne peut pas fonctionner encore mieux et qu’il n’est pas en phase d’amélioration continue. L’orientation, dont la plateforme n’est au fond qu’un outil, est par nature un moment de stress, de doute et d’anxiété légitime pour les élèves et les étudiants”, a-t-elle ajouté.

    “C’est la raison pour laquelle le gouvernement va notamment continuer de travailler à l’amélioration continue pour les prochaines années, avec un objectif de renforcement accru de l’accompagnement de tous les élèves et étudiants durant à la fois la phase d’orientation et la phase de choix”.

    Cet outil a suscité de nombreux débats dès sa création il y a quatre ans, beaucoup l’accusant d’introduire de la sélection à l’université. Plusieurs candidats à la présidentielle à gauche, dont Jean-Luc Mélenchon, avaient proposé de la supprimer.

    À voir également sur Le HuffPost: Bac 2021: “Une fois qu’on a le bac, on n’est pas sûr d’avoir quelque chose”