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      Qu’est-ce qu’une attoseconde ?

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 7 October - 18:03

    vitesse

    Les électrons bougent et se réorganisent à des vitesses folles. Pour les observer, rendez-vous chez les attosecondes, une fraction infinitésimale de la seconde. [Lire la suite]

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      Le Prix Nobel de Chimie 2023 récompense la recherche sur les quantum dots

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Wednesday, 4 October - 11:30

    quantumdot-158x105.jpg Une représentation du concept de quantum dot généré par Midjourney

    Ces nanostructures exceptionnellement polyvalentes sont à la base d'une véritable révolution des nanotechnologies, avec des tas d'applications concrètes qui ont déjà bouleversé notre quotidien.

    Le Prix Nobel de Chimie 2023 récompense la recherche sur les quantum dots

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      Nobel de médecine : les “dompteurs” de l’ARN messager récompensés

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 3 October - 12:22

    vaccin-covid-158x105.jpg Covid-19 vaccin

    Les travaux de ces deux chercheurs sur l'ARN messager a notamment permis de développer les vaccins contre le Covid-19.

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      Les Français Anne l’Huillier et Pierre Agostini remportent le Prix Nobel de Physique 2023

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 3 October - 11:00

    anne-lhuillier-nobel-158x105.jpg Anne L'Huillier

    Avec l'Autrichien Ferenc Kraus, les deux Français ont ouvert la voie à une véritable révolution de la physique expérimentale.

    Les Français Anne l’Huillier et Pierre Agostini remportent le Prix Nobel de Physique 2023

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      Annie Ernaux ou quand un prix Nobel dynamite le libéralisme

      Jean-Philippe Delsol · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 14 December, 2022 - 03:30 · 4 minutes

    Un article de l’IREF

    Les Français ont fait les beaux jours des différents prix Nobel . On devrait donc se réjouir que l’institution de Stockholm distingue une nouvelle fois l’un de nos compatriotes. Sauf que le dernier prix Nobel de littérature, Annie Ernaux, n’a cessé ces dernières années d’effectuer des déclarations peu reluisantes. Ce n’est pas son discours de réception du prix prononcé le 7 décembre qui en rehaussera le niveau.

    La littérature comme politique

    Nous n’avons jamais lu d’ouvrages de Annie Ernaux et nous nous garderons bien d’en juger a priori. En revanche, nous n’avons pas été sourd à ses diverses sorties dans le domaine politique. Et comme Annie Ernaux considère que la littérature est indissociablement politique, nous sommes à notre corps défendant confrontés à son œuvre littéraire.

    Dans son discours de réception du prix Nobel décerné 10 décembre 2022, elle déclare pour caractériser l’évolution de son travail d’écriture : « venger ma race et venger mon sexe ne feraient qu’un désormais ». Ce qui signifie que son travail d’écriture est à la fois « social et féministe ». En effet, d’une extraction modeste et victime du machisme de la France à l’âge des ténèbres (soit avant 1981 pour ceux qui, en cette période de pénurie, auraient oublié l’ère des Lumières…), Annie Ernaux relie la souffrance des humbles, victimes de l’immonde capitalisme et celles des femmes, victimes du conservatisme phallocrate.

    En ce sens, la littérature n’est jamais neutre. Elle est politique, car tout est politique :

    « Comment ne pas s’interroger sur la vie sans le faire aussi sur l’écriture ? Sans se demander si celle-ci conforte ou dérange des représentations admises, intériorisées sur les êtres et les choses ? Est-ce que l’écriture insurgée, par sa violence et sa dérision, ne reflétait pas une attitude de dominée ? ».

    Le lecteur aura reconnu ici l’écho très en vogue du féminisme gauchiste qui apparie lutte des femmes et lutte des classes.

    De là, les multiples prises de position de l’écrivaine (selon l’horrible mot aujourd’hui utilisé : les mots ne sont peut-être pas « neutres », mais ils peuvent être laids…), que nous préférons écrire « écri vaine » en deux mots. Le 16 octobre 2022, elle défilait contre la vie chère au bras de l’un de nos hommes politiques tout à la fois les plus modérés et les plus profonds : l’inénarrable Jean-Luc Melenchon. Une preuve de qualité et de lucidité saluée comme il se doit par une bonne partie de notre presse écrite et parlée.

    L’antilibéralisme comme leitmotiv

    Une nouvelle fois, son discours de réception très politique ne manque pas de s’ingérer dans l’actualité la plus immédiate.

    Après avoir vitupéré avec force subtilité la guerre « impérialiste » de Vladimir Poutine , Annie Ernaux s’inquiète avec autant de finesse de la « montée d’une idéologie de repli et de fermeture ». S’agirait-il d’une critique larvée des régimes socialistes ? Que nenni ! puisque l’appréciation concerne les pays « jusqu’ici (sic) démocratiques ». Une idéologie « fondée sur l’exclusion des étrangers et des immigrés, l’abandon des économiquement faibles, sur la surveillance du corps des femmes ». Immigrés, pauvres, femmes, même combat ! Il nous semblait pourtant que jamais dans toute son histoire la France n’avait accueilli autant d’immigrés qu’aujourd’hui. Il nous semblait également que le « modèle social » français se caractérisait par l’État-providence le plus achevé qui soit.

    Toutefois, il manque de manière surprenante à ce tableau l’écologisme politique qui constitue la nouvelle pensée unique contemporaine. Que le lecteur se rassure, il se trouve un paragraphe plus bas ! Annie Ernaux partage alors la victoire, « collective » bien entendu, de son prix, avec « ceux et celles (étrange que les hommes soient cités en premier…) qui pensent aux générations à venir, à la sauvegarde d’une Terre que l’appétit du profit d’un petit nombre continue de rendre de moins en moins viable pour l’ensemble des populations ».

    On ne savait pas que seuls ceux qui n’avaient pas un « appétit de profit » pensaient aux générations futures. On ne savait pas non plus que la Terre serait de moins en moins vivable, a fortiori pour l’ensemble des populations. Il nous semblait que la liberté permise par la libre initiative individuelle avait rendu le monde plus habitable et que, sans verser dans l’historicisme, le progrès technique qui s’en était suivi avait enrichi les individus dans le monde entier. Il nous semblait enfin que l’attention aux questions environnementales était un luxe permis justement par le développement économique exponentiel depuis le XVIII e siècle dans l’ensemble des pays non socialistes de la planète, c’est-à-dire de ceux qui ne suivent pas les préceptes de Jean-Luc Mélenchon , le héraut de notre brillante passionaria du gauchisme.

    Triste prix Nobel décidément !

    Sur le web

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      Le Nobel de chimie 2022 récompense les inventeurs de la “chimie click”

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Wednesday, 5 October, 2022 - 16:00

    nobelac-158x105.jpg

    K. Barry Sharpless rejoint un cercle très fermé avec la réception de son deuxième prix Nobel.

    Le Nobel de chimie 2022 récompense les inventeurs de la “chimie click”

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      Comprendre le prix Nobel de Physique 2022 en 1 minute

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 4 October, 2022 - 10:23

    Les trois physiciens qui ont remporté le prix Nobel de Physique 2022 sont récompensés pour leurs travaux sur l'intrication quantique et ses implications sur un nouveau type d'informatique. [Lire la suite]

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      Le prix Nobel de médecine 2022 a quelque chose à voir avec vos origines lointaines

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 3 October, 2022 - 10:24

    Pour l'édition 2022 du prix Nobel de médecine, le jury récompense le biologiste suédois Svante Pääbo. Néandertal et Dénisova sont au cœur du prix, cette année. [Lire la suite]

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      Le prix Nobel russe Dmitri Mouratov vend sa médaille 104 millions de dollars pour aider l'Ukraine

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 21 June, 2022 - 04:00 · 2 minutes

    Dmitri Mouratov, ici lors de la cérémonie du prix Nobel de la paix à l'hôtel de ville d'Oslo en Norvège, le 10 décembre 2021. Dmitri Mouratov, ici lors de la cérémonie du prix Nobel de la paix à l'hôtel de ville d'Oslo en Norvège, le 10 décembre 2021.

    RUSSIE - Dmitri Mouratov, rédacteur en chef russe du journal d’investigation indépendant Novaïa Gazeta , a vendu ce lundi 20 juin aux enchères sa médaille de prix Nobel de la paix 103,5 millions de dollars (près de 95 millions d’euros), au profit des enfants déplacés par le conflit en Ukraine .

    Le montant de cette vente à New York, décrochée par un enchérisseur au téléphone dont l’identité n’a pas été dévoilée, sera reversé au programme de l’UNICEF consacré aux enfants ukrainiens déplacés par la guerre, selon Heritage Auctions, qui s’est chargé de la vente.

    Dmitri Mouratov avait remporté le prestigieux prix en 2021 , aux côtés de la journaliste philippine Maria Ressa, le comité les honorant “pour leurs efforts visant à préserver la liberté d’expression”.

    Le journal Novaïa Gazeta a annoncé fin mars suspendre ses publications en ligne et au format papier en Russie jusqu’à la fin de l’intervention en Ukraine, en plein durcissement du Kremlin contre les voix dissonantes.

    Dmitri Mouratov faisait partie d’un groupe de journalistes qui ont fondé Novaïa Gazeta en 1993 après la chute de l’Union soviétique. Avant la suspension de ses opérations, le journal était le dernier à exprimer des critiques envers le président russe Vladimir Poutine.

    Attaqué dans un train en Russie par un inconnu

    Novaïa Gazeta est notamment connu pour ses enquêtes sur la corruption et les atteintes aux droits humains en Tchétchénie.

    Cet engagement a coûté la vie à six de ses collaborateurs depuis les années 1990, dont la célèbre journaliste Anna Politkovskaïa, assassinée en 2006. Dmitri Mouratov a dédié son prix Nobel à leur mémoire.

    “Ce journal est dangereux pour la vie des gens”, confiait-il en 2021 à l’AFP.

    Dans une vidéo publiée par Heritage Auctions, le journaliste déclare que gagner le prix Nobel “vous donne une opportunité d’être entendu”.

    “Le message le plus important aujourd’hui, c’est que les gens comprennent qu’un conflit se passe et que nous devons aider les gens qui souffrent le plus”, a-t-il ajouté, désignant en particulier “les enfants dans les familles réfugiées”.

    Début avril, Dmitri Mouratov avait été attaqué dans un train en Russie par un inconnu qui l’avait aspergé d’un mélange rouge de peinture à l’huile et d’acétone, provoquant des brûlures aux yeux.

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