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      Who’s the smallest of them all? Meet the world’s amazing tiniest creatures

      news.movim.eu / TheGuardian · Thursday, 8 February - 05:00

    Often overlooked in favour of larger, more charismatic cousins, we asked scientists to tell us about the smallest-known species, from a nano-chameleon to a miniature frog

    In the 19th century, the German zoologist Christian Bergmann pondered a simple question: why are some animals so small? His answer, that a warm-blooded animal’s size increases as its habitat cools, remains a rule in biology to this day .

    “Bergmann pointed out that smaller species tend to live in warmer climes. This pattern is to do with surface area and volume: smaller animals lose heat faster and struggle to maintain their body temperature when it is very cold,” says Dr Simon Loader, the principal curator of vertebrates at the Natural History Museum. “Whatever the reasons, these small species are fascinating,” he says.

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      Ce secret du gecko pour défier la gravité n'en est plus un

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 6 July, 2022 - 16:03 · 2 minutes

    ANIMAUX - Spiderman n’a qu’à bien se tenir, le gecko et ses pieds huileux pourrait bien lui faire de l’ombre. Les scientifiques sont en effet depuis longtemps intrigués par la capacité quasi surnaturelle d’adhérence de ce petit lézard. Son secret: le gras.

    Les chercheurs savent depuis plusieurs années que le bout des pattes des geckos est doté de millions de sétules, des poils microscopiques élastiques, disposés selon un certain ordre et se terminant en forme de spatules.

    Cette microstructure permet d’épouser la forme de la surface sur laquelle le gecko se déplace. Ce phénomène s’explique par les forces dites de van der Waals, une interaction électrique entre les atomes qui “relie” le reptile à la surface où il s’appuie. Mais ensuite, le gras joue un rôle de multiplicateur puissant.

    Des bottes “gecko” pour ne plus jamais glisser?

    “Nous connaissions déjà beaucoup de choses sur le comportement mécanique des sétules. Maintenant nous comprenons mieux comment elles fonctionnent à l’échelle moléculaire”, a dit le physicien Cherno Jaye, de l’Institut national américain des standards et de la technologie ( NIST ), co-auteur de l’ étude parue dans Biology letters .

    Les chercheurs du NIST ont découvert, en utilisant un microscope à rayons X, que les sétules et leurs spatules étaient couvertes d’un film gras d’un nanomètre d’épaisseur, un milliardième de mètre.

    Ces lipides, qui protègent les tissus contre la déshydratation, pourraient aussi jouer un rôle clé grâce à leur caractère hydrophobe. En repoussant toute molécule d’eau, ils fourniraient aux spatules “un contact plus étroit avec la surface”, a dit Tobias Weidne chimiste à l’Université danoise d’Aarhus, et co-auteur de l’étude, cité dans un communiqué du NIST. Le tout “aiderait les geckos à s’accrocher à des surfaces humides”, selon lui.

    Les chercheurs envisagent des applications très concrètes, via la biomimétique, aux recherches concernant les capacités du gecko . “On peut imaginer des bottes gecko ne glissant pas sur des surfaces humides, ou des gants gecko pour tenir des outils mouillés”, a dit le physicien du NIST Dan Fischer.

    Et pourquoi pas un “véhicule capable de parcourir un mur”, selon lui. D’ici là, l’étude conclut à la nécessité de poursuivre le travail pour déterminer exactement l’utilité de ce film de lipides.

    À voir également sur Le HuffPost : En Australie, il repousse un crocodile à coups de poêle

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      Biodiversité: les reptiles les moins connus seraient aussi les plus menacés

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 26 May, 2022 - 18:00 · 3 minutes

    Selon une nouvelle étude, 40% des reptiles les plus méconnus font face au risque d'extinction. Selon une nouvelle étude, 40% des reptiles les plus méconnus font face au risque d'extinction.

    ANIMAUX - Encore une mauvaise nouvelle pour la biodiversité . Des chercheurs ont en effet démontré que les espèces de reptiles qui ne sont pas répertoriées par la science sont plus susceptibles d’être menacées que les espèces évaluées.

    Publiée le 26 mai dans Plos Biology , l’étude est le fruit d’un travail collaboratif de chercheurs israéliens, anglais, américains et australiens. Ces derniers sont partis du constat que le nombre d’espèces menacées est beaucoup plus élevé que ce que reflète la liste rouge de l’ UICN (Union internationale pour la conservation de la nature).

    Utilisant un nouvel outil automatisé, ils ont alors attribué les catégories de risque d’extinction de l’UICN à différentes espèces de reptiles, en particulier celles pour lesquelles les données sont insuffisantes et/ou manquantes. Ainsi, il s’avère que 40% de ces reptiles sont concernés par un risque plus ou moins élevés d’extinction.

    Un (très) gros problème de conservation

    Au total, ces recherches se penchent sur 4 369 espèces qui ne pouvaient auparavant être classées, par manque de données. Pour estimer le risque d’extinction de chacune, les chercheurs ont mis au point un modèle informatique d’apprentissage automatique. Ce dernier propose une précision de 90% afin de qualifier une espèce en danger d’extinction ou non, et de 84% pour ce qui est de la catégorie de risque d’extinction de ladite espèce (en danger, danger critique etc, en se basant sur le modèle de l’UICN).

    Dès lors, comme l’affirme la co-autrice de l’étude Uri Roll, “notre travail pourrait être très important pour aider les efforts mondiaux visant à établir des priorités en matière de conservation des espèces en péril, par exemple en utilisant le mécanisme de liste rouge de l’UICN”. Il s’agit là d’une obligation, alors que les chercheurs sont unanimes: “l’état de conservation des reptiles est bien pire que ce qui est estimé actuellement”.

    Shai Meiri, co-auteur de l’étude, précise les espèces concernées sujettes à ce risque d’extinction: elles se trouvent “en Australie, à Madagascar et dans le bassin amazonien (...). De plus, des groupes riches en espèces, tels que les geckos et les élapidés (cobras, mambas, serpents coralliens et autres), sont probablement plus menacés” que ce qui est souligné actuellement par l’UICN.

    Financer la protection des espèces

    Le système de classification de l’UICN sert de base aux politiques et pratiques de conservation dans le monde entier. Cependant, le processus de catégorisation des espèces est perfectible, car l’on ne connaît pas parfaitement l’intégralité des espèces. Cela crée invariablement des lacunes dans l’analyse des risques d’extinction .

    C’est aussi pour cela qu’il est difficile d’affirmer qu’une espèce est éteinte. Benoit fontaine , ingénieur de recherche du CESCO, explique au HuffPost qu’“une espèce est éteinte s’il n’existe plus de membres vivants, mais c’est très difficile à prouver, car il peut rester quelques individus très bien cachés”. Le chercheur ajoute également que “si on déclare une espèce éteinte, cela coupe automatiquement tout financement pour la protéger elle et son habitat”.

    Dès lors il peut s’avérer contre-productif de déclarer une espèce éteinte, coupant des fonds de préservation essentiels à de nombreux environnements. C’est d’autant plus complexe que l’argent ne coule pas à flots pour la préservation de la biodiversité . Face à ce constat, Uri Roll affirme que “des outils avancés tels que ceux que nous avons employés ici (...) pourraient réduire considérablement le temps et le coût nécessaires à l’évaluation du risque d’extinction”.

    À voir également sur le HuffPost: Sur le climat, l’humanité a battu en 2021 les seuls records à ne pas dépasser

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      Seed-sized chameleon found in Madagascar may be world's tiniest reptile

      pubsub.dcentralisedmedia.com / TheGuardian-Australia · Friday, 5 February, 2021 - 16:21

    Male nano-chameleon, named Brookesia nana, has body only 13.5mm long

    Scientists say they have discovered a sunflower-seed-sized subspecies of chameleon that may well be the smallest reptile on Earth.

    Two of the miniature lizards, one male and one female, were discovered by a German-Madagascan expedition team in northern Madagascar.

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