• chevron_right

      Australie : un étrange requin au sourire démoniaque pêché dans les profondeurs

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 26 September, 2022 - 15:00

    bg-158x105.jpg

    Les spécialistes n'arrivent pas à se mettre d'accord sur l'espèce de ce spécimen.

    Australie : un étrange requin au sourire démoniaque pêché dans les profondeurs

    • chevron_right

      Le plus grand requin au monde n’est pas carnivore

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 28 July, 2022 - 12:01

    Une nouvelle étude suggère que le requin-baleine, celui que l'on considère comme « le plus grand poisson au monde », n'aurait finalement pas une alimentation basée exclusivement de viande de poissons. [Lire la suite]

    Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/

    • chevron_right

      Ces photos de Macron devant des requins ont inspiré des légendes ironiques

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 1 July, 2022 - 07:51 · 2 minutes

    Emmanuel Macron à l'Oceanarium de Lisbonne le 30 juin 2022, pour défendre la candidature de la France à l’organisation de la prochaine Conférence des Nations unies sur les océans en 2025. Emmanuel Macron à l'Oceanarium de Lisbonne le 30 juin 2022, pour défendre la candidature de la France à l’organisation de la prochaine Conférence des Nations unies sur les océans en 2025.

    DÉTOURNEMENT - Emmanuel Macron bientôt dans un remake des Dents de la mer, ou presque. Ce jeudi 30 juin, le chef de l’État était à l’Oceanarium de Lisbonne pour défendre la candidature de la France à l’organisation de la prochaine Conférence des Nations unies sur les océans en 2025. Pour l’occasion, il s’est exprimé devant un aquarium rempli de... requins .

    Lors de ce point presse organisé en marge de la Conférence sur les océans de Lisbonne, l’un des squales, le Napoléon, s’est approché au plus près du président. Seule une vitre les séparait. C’est un “poisson énorme, bleu, avec une bosse, le bicorne”, a expliqué Olivier Poivre d’Arvor, ambassadeur pour les pôles et les enjeux maritimes. Plusieurs requins sont passés près de la joue d’Emmanuel Macron, presque prêts à l’engloutir.

    Le moment, immortalisé par un photographe de l’AFP, n’a pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux, comme vous pouvez le voir dans les tweets sélectionnés ci-dessous. Les internautes, pas avares en blagues politiques, se demandent souvent ironiquement où se trouve le vrai requin.

    À voir également aussi sur le Huffpost: Aux Philippines, découverte de l’épave la plus profonde jamais localisée

    • chevron_right

      Un duo d'orques terrorise les grands requins blancs en Afrique du sud

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 30 June, 2022 - 16:23 · 4 minutes

    Photo d'une carcasse d'un grand requin blanc échouée suite à une attaque d'orque. Photo d'une carcasse d'un grand requin blanc échouée suite à une attaque d'orque.

    ANIMAUX - Surnommés tueurs de baleines, les orques sont également des tueurs de requins. En effet, un couple d’orques (épaulards) terrorise et tue depuis 2017 les grands requins blancs au large des côtes de l’Afrique du Sud. Ils ont ainsi réussi à chasser un grand nombre de squales de cette zone, qui semble être devenue leur territoire .

    Telle est l’ histoire intrigante qui a été présentée dans une nouvelle étude publiée le 30 juin dans l’ African Journal of Marine Science . On y apprend que les Grands Blancs ont évité certaines régions de la côte de Gansbaai, des territoires qu’ils ont dominés pendant de nombreuses années, à la suite de l’arrivée d’orques.

    Depuis 2017, huit grands requins blancs se sont échoués sur le rivage suite à une attaque d’un tueur de baleines. Plus précisément, les observations ont conclu qu’il s’agissait de la même paire d’orques, qui utilise par ailleurs des méthodes très expéditives.

    Massacre de grands blancs

    Menées depuis cinq ans et demi, les recherches ont observé un massacre en règle de grands requins blancs. En effet, plusieurs squales ont été retrouvés morts des suites d’une attaque. Détail macabre, sept d’entre eux se sont fait enlever le foie, certains aussi le cœur. Il est d’ailleurs probable que les orques aient tué plus d’animaux qu’estimé , car toutes les carcasses ne se sont pas forcément échouées.

    Face à ce carnage, les observations visuelles de grands blancs ont chuté de façon spectaculaire dans certaines baies du Cap occidental. C’est le cas à Gansbaai. Situé à environ 100 km à l’est de Cape Town, il s’agit d’un lieu qui était reconnu mondialement pour admirer le plus célèbre des requins, avec des touristes du monde entier visitant et participant à des plongées en cage.

    Les eaux de Gansbaai font parti des meilleurs endroits au monde pour admirer de près des grands requins blancs. Les eaux de Gansbaai font parti des meilleurs endroits au monde pour admirer de près des grands requins blancs.

    La donne a donc changé. En effet, l’étude suggère que les requins ressentent le risque induit par la présence d’un prédateur marin à proximité, et s’enfuient. C’est ce qu’explique l’auteure principale Alison Towner, biologiste au Dyer Island Conservation Trust: “Initialement, suite à une attaque d’orque, les grands requins blancs individuels n’apparaissaient pas pendant des semaines ou des mois”.

    Un comportement mystérieux

    Avant ces attaques sur des squales,  il n’y a que deux moments recensés à Gansbaai où les grands blancs se sont absentés: une semaine en 2007 et 3 semaines en 2016. Il s’agit donc d’un événement sans précédent dans la région. Si cela semble être à cause de la prédation par le duo d’orques, difficile d’établir le mobile de ces dernières.

    Plusieurs théories sont évoquées par les chercheurs. Tout d’abord, il pourrait s’agir de deux spécimens friands de viande de requin (c’est rare, mais les attaques d’orques sur des squales sont loin d’être exceptionnelles). Pour Alison Tower, ce comportement pourrait également ”être lié à un déclin des populations de proies, entraînant des changements dans leur schéma de distribution”.

    Dans tous les cas, la disparition des requins blancs a forcément à voir avec l’activité meurtrière des orques. Comme l’expliquent les chercheurs, même si des explications telles que “la pêche directe de grands requins blancs ou l’effet indirect du déclin des proies potentielles induit par la pêche” ont un impact, “il est peu probable qu’ils expliquent le déclin soudain et localisé”.

    Modification de l’écosystème local

    En supprimant les grands blancs, les orques rompent l’équilibre des écosystèmes locaux. En effet, “cela a déclenché l’émergence d’un nouveau mésoprédateur dans la région (prédateur au milieu de la chaine alimentaire), le requin baleinier bronze (ou Carcharhinus brachyurus). Ces derniers sont connus pour figurer au menu du requin blanc.

    Même si les orques pourraient remplacer le prédateur déchu, cela pose d’autres problèmes dans la chaine. Par exemple, les phoques à fourrure du cap n’ont plus à faire face à leur principal prédateur et risquent de déséquilibrer toute la pyramide.

    Comme le résument les chercheurs, “pour le dire simplement, bien qu’il s’agisse d’une hypothèse pour l’instant, la pression qu’un écosystème peut supporter est limitée, et les impacts de l’élimination des requins par les orques sont probablement beaucoup plus étendus.”

    À voir également sur le HuffPost:  voici le plus gros poisson d’eau douce du monde

    • chevron_right

      Comment le requin blanc a contribué à l'extinction du mégalodon

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 31 May, 2022 - 14:00 · 3 minutes

    Le requin blanc (Carcharodon carcharias) aurait été un trop Le requin blanc (Carcharodon carcharias) aurait été un trop "grand" concurrent pour le mégalodon dans la compétition alimentaire.

    ANIMAUX - Il s’agit d’un titan, l’un des plus féroces prédateurs que la terre ait porté, mais cela ne l’a pas pour autant aidé à survivre. L’espèce mégalodon (de son nom scientifique Otodus Mégalodon), s’est éteinte il y a environ 3,6 millions d’années, et si les circonstances de cette disparition sont encore floues, plusieurs hypothèses sont avancées par les chercheurs.

    L’une d’elles est notamment présentée dans une étude publiée ce mardi 31 mai dans la revue Nature Communications . Elle fait état de la concurrence opposée par une espèce apparue il y a 4 millions d’années, le grand requin blanc (Carcharodon carcharias). Si ce dernier fait figure de nain comparé au mégalodon, il a pourtant été un vrai challenger, participant ainsi à la disparition de l’un des plus grands carnivores de l’histoire.

    Compétition alimentaire

    Le régime alimentaire est un des fondements pour comprendre la place d’une espèce au sein de son écosystème . Et, c’est sur cet aspect que les chercheurs de cette nouvelle étude se sont penchés. Plus précisément, ils ont analysé diverses données afin de connaître le niveau trophique des différentes espèces, qui correspond à la place de chaque être dans la pyramide du vivant.

    Au total, l’étude porte sur vingt animaux différents , allant bien évidemment du mégalodon au grand blanc en passant par le requin taureau et le requin pèlerin. Les principales données fournies sont les isotopes (atomes) de zinc comme le montre le tableau ci-dessous .

    Cet élément chimique que l’on retrouve dans l’émail des dents des requins peut être utilisé comme indicateur pour comprendre le régime alimentaire d’un animal et en déduire son niveau trophique dans l’écosystème.

    Composition isotopique du zinc de dents et de râteaux branchiaux de la vingtaine de poissons analysés. Composition isotopique du zinc de dents et de râteaux branchiaux de la vingtaine de poissons analysés.

    Une guerre perdue d’avance ?

    Les chercheurs ont alors découvert que le grand requin blanc et le mégalodon occupaient un lieu similaire au sein de l’échelle alimentaire durant leur période de coexistence au Pliocène (entre – 5,3 à – 2,6 millions d’années). Visant les mêmes ressources alimentaires (mammifères marins, cétacés...). Les grands requins blancs auraient littéralement vidé l’assiette des mégalodons.

    Cependant, il ne s’agit probablement pas de la seule cause d’extinction, puisque le changement climatique pourrait également avoir pesé dans la balance, et surtout dans cette guerre alimentaire.

    À cette époque, un refroidissement généralisé a lieu, entraînant l’expansion des calottes glaciaires et des modifications tectoniques comme la fermeture de l’isthme de Panama entre l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud. De quoi bouleverser les circulations des courants océaniques et faire subir la biodiversité du Pliocène.

    En particulier, les baleines primitives, met de prédilection du mégalodon ont disparu. Comme l’explique pour Sciences et Avenir Guillaume Guinot, paléontologue spécialiste des requins anciens à l’Isem: “il semble probable que le mégalodon n’a pas pu se maintenir face à la baisse des ressources et à la réduction de son habitat préférentiel ”.

    À voir également sur le HuffPost : Il faut sauver l’orque aperçue seule dans la Seine