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      This Means Warp

      news.movim.eu / Korben · Friday, 15 December - 12:57 · 3 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Un vaisseau spatial. Vous et votre équipage montez à bord et entreprenez un voyage intersidéral. Votre mission, si vous l’acceptez : survivre ! Ce sera déjà pas mal, la suite on verra. 😀 Combats, réparations, améliorations, gestion de crise, une chose est sûre : il faudra travailler en équipe pour s’en sortir. This Means Warp est un roguelite orienté coop !

    C’est un peu un mélange d’Overcooked et de FTL, deux EXCELLENTS jeux que je vous recommande. On retrouvera le concept global de FTL : s’occuper d’un vaisseau, de ses avaries, combattre ceux qui nous attaquent, recruter de nouveaux membres d’équipage, améliorer notre équipement… Mais un gameplay + proche d’Overcooked : en même temps, jusqu’à 4 joueurs, on doit se répartir les tâches, ne pas se marcher dessus, trouver VITE des solutions. Et ça fonctionne pas mal du tout !

    On se prend rapidement au jeu. Les contrôles sont assez simples / basiques, et même si l’interface n’est pas ultra claire au début, une fois qu’on a pris le pli, ça se passe bien. 🙂 On enchaîne les petites missions, nos personnages progressent, montent en niveau, notre vaisseau semble sur-équipé, puis on meurt face au 1er boss venu… Et on recommence avec plaisir.

    Comme tout bon roguelite qui se respecte, on débloque de nouvelles options de jeu (personnages, vaisseaux, scénarios, objets…) à force de progresser dans nos aventures. Ces aventures, justement, sont générées aléatoirement, ça se renouvelle plutôt bien, mais heureusement que les possibilités s’étoffent (un peu trop lentement à mon goût) au fur et à mesure de nos parties.

    NOS parties parce que oui, ce qui fait le sel du jeu, je l’ai déjà dit hein faut suivre, forcément, c’est le mode coop. Seul ? Autant jouer à FTL. À partir de 2 c’est déjà bien cool, à 3 ou 4 on atteint le plein potentiel de fun. J’aime beaucoup ! Bon faut s’avoir s’organiser un peu, ne pas engueuler les copains dès qu’ils font un truc qui ne vous plaît pas, et ça se passera bien. Si si, c’est possible !

    Un autre truc qui est possible : jouer en ligne. Non pas comme les pigeons sur une ligne haute tension, je veux en ligne / online / sur internet ! Pas de crossplay malheureusement, mais pour le peu que vous ayez le jeu sur la même plateforme, vous pourrez retrouvez vos potes et vivre une épopée galactique ensemble, chacun chez soi en slip devant l’écran.

    Petit bémol pour la version Switch car elle souffre de légers ralentissements. Comme souvent, rien de grave, ça ne gêne jamais le jeu, mais on le remarque. Ceci dit, je préfère quand même cette version pour le côté portable. 🤓 Ça coûte 20€. Pour jouer sur la même console je trouve que ça vaut grave le coup, si chacun doit acheter sa copie pour jouer à distance, attendez peut-être une promo. Ou alors pensez au Remote Play Together de Steam . 😉

    En toute honnêteté, ce n’est pas un jeu incroyable, y a rien de novateur, c’est un peu cheap , mais très agréable, fun, simple d’accès, avec pas mal de choses à faire / à découvrir, le plaisir du jeu est bel et bien présent. Je recommande aux fans du genre, pour passer de bons moments dans l’espace avec ses ami·e·s.
    Un bon 🚀🚀🚀/5

    Retrouvez This Means Warp sur Steam , Switch , PS4 , Xbox One & X|S

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      Against the Storm feels like WarCraft without the war, and it’s weirdly calming

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 8 December - 12:30 · 1 minute

    An advanced Settlement in Against the Storm

    Enlarge / I'd like to pretend I'd built a settlement this neatly compact and organized—with street grids, even—but alas, this is a provided screenshot. (credit: Hooded Horse)

    Back when WarCraft , StarCraft , and other real-time strategy games were all the rage, I could never actually play them against other people. Even playing against the computer, I might only eke out a victory through dumb luck or an opponent's huge mistake.

    The problem was, I was never ready to attack until I had my base perfectly in order—until the workers carrying oil or crystals or whatnot had the most efficient route from the mine to the base or until my buildings were arranged for optimal use of the revealed land. I just needed one more little guy, one more tower. OK, maybe two. I'm a turtler's turtler .

    1.0 release date trailer for Against the Storm .

    Against the Storm , which releases from Early Access on Steam for Windows today, has been a deeply satisfying outlet for this pent-up need to build and prosper—in a delightfully WarCraft -ian manner—without the messy business of war. There is still adversity: an ever-advancing "Impatience" meter, hostile spirits you uncover in the woods, and the typical constraints of resources, supply chains, and worker morale. Plus the rainstorms in the title, which occur both in-level, slowing you down, and at a macro level, washing away your little towns to make you start again.

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      Deep Rock Galactic: Rogue Core looks like a tougher, action-minded co-op dig

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 5 October - 16:56 · 2 minutes

    Screenshot from Deep Rock Galactic: Rogue Core

    Enlarge / No bugs, or even weapons beyond a pistol, are seen in Rogue Core's initial screenshots. But you get the sense that it's a more cavern-like, combat-minded experience.

    A lot of things can go wrong during a Deep Rock Galactic mission. Deep Rock Galactic: Rogue Core , a new roguelite spinoff from the makers of the cult co-op shoot-and-mine game, suggests that something has gone even more deeply, terribly wrong on Hoxxes IV. Now you, your friends, and a Processor Drone have to figure out what.

    And you'll die—a lot, probably—then try again with new gear and lessons learned, if the title and announcement trailer are anything to go by.

    Deep Rock Galactic: Rogue Core announcement trailer.



    You can wishlist Rogue Core on Steam now, and the game will launch in Early Access, which is anticipated to last for 18–24 months, in November 2024. Closed alpha tests will be announced on the game’s Steam page and fan Discord . Deep Rock ’s developer, Ghost Ship Games, promises “updates on the game’s direction right from the very earliest stage of development” and will be “adding new features to the game based on feedback and observations of how our community is playing it. Each feature will be tweaked, balanced, and polished as it is added.”

    Mikkel Martin Pedersen, co-founder and game director at Ghost Ship Games, said in a press release that the company intends to keep fans in the loop, as “our process of open development helped Deep Rock Galactic be the game it has become.” The developer also emphasized that support for the original game will continue.

    The game’s teaser trailer provides only a minimum of context for the plot. It’s heavy on the Ridley Scott Alien touches, right down to a Lego brick of a ship coasting toward a planet where the corporation has lost contact with workers who were mining near the planet’s core. Your “Reclaimers” team has to reestablish the dig. That's about all we know for now.


    Then again, the plot of Deep Rock Galactic itself, while certainly peppered with lore, is essentially “We need these minerals, these bugs are in the way, sorry if they kill you.” Rogue Core will have the same fully destructible environments, procedurally generated levels, co-op interplay, and greedy corporations, but with a focus on getting farther into a run each time.

    Your means of success is through customizing and upgrading your weapons and Phase Suit, using salvaged gear and Expenite, “a new wonder-mineral.” You complete tasks, find stuff, go deeper, and get stronger, until you inevitably fail and start again. Given the roguelite framing, you can expect some upgrades to stick with you from session to session. But R ogue may differ significantly from the far more casual, dig-by-dig nature of its foundation, if the claustrophobic, abandoned-station screenshots and trailer are any clue.

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      Un bonbon ou la mort ?

      news.movim.eu / Korben · Sunday, 7 May, 2023 - 14:49 · 2 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Dans Death or Treat , on joue l’âme d’un défunt qui lutte contre le trafic de drogue. Alors ouais dit comme ça, ça peut faire peur, mais en fait c’est tout mignon tout plein, on dirige un gentil petit fantôme qui se bagarre avec un balai, c’est dans l’esprit d’Halloween ! Citrouilles, chauves-souris et références geeks (?!) sont au programme de ce rogue-lite définitivement mortel. 👻

    Le premier truc qui frappe (à part le balai) quand on lance Death or Treat , c’est l’univers visuel : c’est bôôôô ! Les personnages sont dessinés et animés à la main, c’est très fluide, la patte graphique est de très bon goût, ça me plaît ! Aussi, les dialogues et noms de personnages, etc. sont bourrés de références à l’informatique, c’est un mashup des univers geeks et Halloween (FaceBoo, RipTok, Necrosoft…), et étonnamment ça fonctionne bien. 🤓 Les musiques sont super chouettes aussi.

    Oui mais c’est quoi comme jeu ? 🙂 Bonne question mon cher korbenaute, alors c’est plutôt simple à décrire : c’est un rogue-lite orienté baston/plate-forme, en 2D. On dirige notre petite fantôme vu de côté, on dégomme des ennemis par dizaines tout en fouillant le niveau à la recherche d’un max de bonbons, d’ingrédients et de power-ups avant d’atteindre la sortie du niveau, généré de manière procédurale.

    De temps en temps, un boss super dur à vaincre, on meurt, et on recommence. Heureusement, même si on perd nos power-ups , on conserve les ingrédients accumulés pour acheter de nouvelles armes + puissantes, améliorer nos compétences, et c’est ainsi qu’on devient de plus en plus fort. 💪🎃 Jusqu’à atteindre le boss final et l’éclater comme il se doit !

    Malheureusement tout n’est pas rose dans le royaume des morts, y a quelques défauts que j’aurais aimé souligner. Tout d’abord, si les contrôles sont bien calibrés, je n’ai pas trop réussi à me faire au côté « flottant » du personnage. Il n’a pas de pied, donc après un saut il n’atterrit jamais vraiment, il est arrivé que ça me gêne à gérer mes sauts et rebonds (comme ça « c’est ma faute je suis mauvais » ?!). 😬 C’est dommage car une bonne partie du gameplay baston est axé sur l’esquive de projectiles.

    L’autre petit point noir, c’est la répétitivité du level design . Attention c’est loin d’être scandaleux, ça se renouvelle, mais j’aurais préféré un peu + de variété sur les premiers niveaux (avant le 1er boss), surtout que, rogue-lite oblige, on va les parcourir un nombre incalculable de fois.

    À part ça, c’est du tout bon, ça sent l’amour du travail bien fait, c’est simple à prendre en main, c’est fun, c’est vraiment trop mignon… Si le mélange Halloween / internet prend chez vous, vous allez adorer ! Pour ma part, je lui met : 👻👻👻/5

    Death or Treat est disponible sur Steam , PlayStation et Xbox Series X|S

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      Découverte de Bravery & Greed

      news.movim.eu / Korben · Friday, 3 March, 2023 - 11:58 · 8 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Par la force de la sérendipité, je suis tombé sur Bravery & Greed , le premier jeu de Rekka Games, et il a fortement attisé ma curiosité car il coche pas mal de cases chères à mon cœur de gamer : baston/plateforme, coop jusqu’à 4 joueurs, pixel art , animations stylées… Oh et puis c’est français ! 🐓 Cocorico !

    En effet, Théo et Ivann se sont rencontrés à Angoulême lors de leurs études dans le jeu vidéo, via l’Enjmin. À la sortie de l’école ils décident de bosser ensemble sur ce qui deviendra Bravery & Greed , et 7 ans plus tard le jeu est édité par Team 17 ( en savoir plus ). 👏😎

    Comme expliqué rapidement en introduction, il s’agit d’un mélange de baston 2D et de dungeon crawler à la sauce roguelite : on tabasse plein de monstres dans des couloirs sombres et inquiétants, à la recherche d’artefacts pour améliorer son personnage, dans le but de terrasser les différents boss de fin de niveau. Et si on meurt, on recommence tout !

    Le mélange est super réussi, franchement, une excellente prise en main, de bonnes sensations, des labyrinthes générés aléatoirement mais qui appellent à l’exploration, avec quelques surprises, pas mal de builds possibles, ainsi que des cartes de tarot à débloquer qui permettront de varier les règles du jeu entre chaque partie, ce qui assure une bonne durée de vie, une bonne rejouabilité.

    En plus il est possible d’y jouer avec ses potes, en local, en ligne ou même un mélange des deux ! Bref, c’est tout ce que j’aime, ça me rappelle ce bon vieux Gauntlet mais vu de côté, avec des graphismes en pixel art mais “modernes”. Si vous aimez le genre, foncez ! Le jeu est dispo sur toutes les plateformes ( Steam , Nintendo Switch , Playstation , Xbox ) et y a même une démo gratos avec du online et tout.

    Pour conclure, si vous vous rappelez de ce que j’écrivais en introduction (ah bah oui, faut suivre 😁), les développeurs sont français, j’en ai donc profité pour leur poser quelques questions, auxquelles Ivann a eu la gentillesse de répondre. 🤓 C’est parti :

    Le jeu peut sembler difficile, surtout quand on arrive face à son premier boss ahah. 😄 Aurais-tu 2-3 conseils à donner aux débutants ?

    Comme tout bon roguelite , le jeu va en effet mettre ton skill à l’épreuve. De ce que j’ai constaté, il faut en moyenne 5 heures pour avoir un premier run victorieux, donc il ne faut pas se décourager, ça va venir. Je dirais que l’art de la roulade est essentiel, et Frostfang, un des boss du premier donjon est clairement un test de roulade (avec un pelage soyeux). 😄

    Il ne faut pas hésiter à lire les conseils qu’on peut trouver dans le log, et faire le tuto de classe pour bien maîtriser son personnage. Ne pas oublier d’utiliser le bouclier avec le Guerrier par exemple, ou la furtivité avec le Voleur (avant d’entrer dans une salle afin de s’occuper des cibles prioritaires ou d’esquiver les projectiles). Pour l’Amazone, lancer le Chakram rapidement avant d’engager en mêlée, cela interrompra les ennemis avant de les tailler en carpaccio. Le Magicien peut sembler intimidant, mais il faut voir son invocation comme un mur de PV gratuits entre toi et les adversaires, et il est préférable de le désinvoquer et le réinvoquer plutôt que le repositionner finement.

    Enfin, je dirais qu’il faut parfois se retenir de foncer dans le tas, se placer loin de la mêlée, gérer les groupes de monstres, et savoir souffler pour récupérer son endurance.

    Quel est ton personnage et ton build préféré ?

    Je dois avouer avoir une certaine affinité pour le Voleur, car sa furtivité en fait un excellent Rez en multi, et c’est assez satisfaisant d’arriver à relever tous ses camarades lors d’un boss fight qui semblait désespéré et d’arriver à changer l’issue du combat. Le build Voleur/Life avec flèches à tête chercheuses est un build assez satisfaisant à jouer et ça permet de faire de bons DPS en soutien au front, surtout avec de bons équipements qui bénéficient de la multitude de flèches.

    Tu as planché sur la partie graphique du jeu, qui mélange sprites 2D (The Lost Vikings fait partie des inspirations, non ?) et décors en 3D, avec de jolis effets visuels modernes : quel était le plus gros challenge pour obtenir ce résultat ?

    Bien vu pour la touche Lost Vikings, cela fait partie de certaines des influences en effet, à côté de Metal Slug, ou encore des sprites de Paul Robertson (Scott Pilgrim, Mercenary Kings, l’épisode pixel de Rick & Morty). Je me permets une petite précision technique : les décors ne sont en fait pas en 3D, mais des éléments en pixel art 2D dans une véritable scène 3D, qui sont redimensionnés pour rester pixel perfect et compenser la perspective de la caméra, ce qui fait que notre parallaxe n’est pas simulé mais est en fait la perspective de la caméra. J’espère ne pas avoir perdu tous les lecteurs après cette explication indigeste…

    Concernant l’éclairage, tous nos sprites possèdent ce qu’on appelle des normal maps : des textures qui simulent leur relief. C’est pour cela que l’éclairage semble vraiment respecter la forme des objets, ce qui n’est habituellement pas le cas pour les jeux en 2D. Dès le début du dev, nous nous posions des questions sur comment obtenir cet effet, et nous sommes tombés sur un outil s’appelant Sprite D-Light qui allait faire son Kickstarter, et après avoir contacté le dev qui était fan de notre pixel art, nous avons même été mis en avant dans sa campagne de financement !

    Enfin, nous avons aussi utilisé un peu de post processing pour obtenir le rendu final, avec une correction de la colorimétrie, et quelques effets (une légère profondeur de champ ainsi qu’un peu de bloom ). Je pense t’avoir donné là tous les éléments du rendu visuel du jeu.

    Travailler avec Team17 et sortir son jeu sur consoles, c’est un rêve pour beaucoup de gens : comment est-ce que c’est arrivé ? Quelle était leur implication dans le projet ?

    En effet j’ai grandi avec les Worms, et lorsque Debbie Bestwick, CEO de Team17 à l’époque, est venue me parler directement sur Facebook, je me suis un peu frotté les yeux. À la base, nous étions en train de poster régulièrement sur les réseaux sociaux, afin de bâtir une petite communauté et aussi pour avoir des retours. En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas allé trouver un éditeur, c’est donc lui (enfin elle) qui nous a trouvés. De là sont partie des négociations puis la signature d’un contrat en 2018.

    Team 17 nous ont vraiment aidé à pousser le jeu au maximum, grâce notamment à leur excellent département de QA (Quality Assurance), d’UX (User eXperience) qui nous ont permis d’avoir du feedback très intéressant et d’améliorer énormément de features du jeu. Ils se sont également occupés des portages sur consoles, et ont assuré la promotion du jeu. Sans un bon éditeur, c’est extrêmement difficile de tirer son épingle du jeu en tant qu’indépendant, surtout pour sa première sortie.

    Sur Steam, la démo jouable propose carrément le jeu en ligne, c’est assez rare de nos jours… Bref, c’est pas vraiment une question, mais c’est cool de l’avoir fait !

    On est plutôt old school, et en ce qui me concerne, j’ai grandi à l’époque des shareware sur PC, à jouer à DOOM premier du nom et consorts. Je sais que Steam propose une politique de remboursement assez généreuse (2h de jeu ou 15 jours après l’achat max), mais c’est quand même autre chose de pouvoir tester un jeu immédiatement et voir si la magie s’opère ou pas, sans sortir la CB. Le multi online était en effet une question importante, on se demandait si cela ne nuirait pas aux ventes de la version complète du jeu, et au final, c’était une bonne décision. Il est important que les joueurs puissent expérimenter toutes les features, même si le contenu est limité. Je pense que plus de développeurs devraient faire de même.

    Quel est l’avenir pour le jeu, et pour vous l’équipe ? Des mises à jours ? Une suite ? Autre chose de complètement différent ? 🙂

    Pour le moment, nous finissons de travailler sur Bravery and Greed , et nous avons déjà rajouté un boss optionnel, et un autre dans les fourneaux, afin de produire du contenu et remercier notre communauté de joueurs. Nous aimerions faire davantage, mais cela dépendra du succès à moyen/long terme du jeu, car les mises à jour doivent être portées sur consoles, et cela peut s’avérer relativement coûteux. Je tiens d’ailleurs à te remercier de m’avoir contacté pour parler du jeu et lui donner un peu plus de visibilité, ça fait vraiment plaisir, et je pense que notre jeu gagne à être connu : le monde a besoin de plus de roguelites en coop. 😊

    Concernant de futurs projets, je t’avoue qu’après avoir bossé aussi longtemps dessus, il va nous falloir réfléchir à la suite ensemble et trouver notre inspiration. Autant dire que cela a été le marathon de notre vie jusqu’à présent, on souffle un petit peu avant de remettre le pied à l’étrier !

    Achetez Bravery & Greed sur Steam Nintendo Switch Playstation Xbox

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      L’heure de l’Inscryption

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 5 January, 2023 - 11:05 · 2 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Un an après la version Windows, quelques adaptations (Linux, macOS, Playstation…) et quelques récompenses plus tard ( IGF , GDCA , BAGA …), c’est un jeu encensé par tout le monde qui déboule enfin sur Switch : Inscryption .

    Alors moi, je me méfie toujours des jeux qui profitent de ce genre de buzz, surtout quand ce sont des petites créations indés qui ne paient pas de mine. On crie parfois au génie pour des trucs qu’on a déjà vu (en mieux) ailleurs. Mais je me suis laissé tenté par le côté jeu de cartes / roguelite , devenu nomade grâce à la console de Nintendo, ainsi que de l’ambiance horreur… C’était parfait pour accompagner mes fêtes de fin d’année. 😀

    Et si je vous en parle aujourd’hui, c’est évidemment parce qu’il a réussi à me convaincre. Et je ne peux pas VRAIMENT vous dire pourquoi.

    On débute le jeu face à un mystérieux adversaire, un conteur, qui va nous narrer en direct notre propre histoire, en portant des masques pour jouer les différents personnages. Il nous explique les règles, le déroulement, on se déplace sur une carte et à chaque arrêt, on va pouvoir modifier son deck (ajouts, modifications de cartes, etc.) ou combattre avec. Si l’on perd, on recommence à zéro. Enfin pas totalement, car on débloque quand même des éléments qui vont rester d’une partie à l’autre. 🤓

    Au niveau du jeu en lui-même, le système ressemble à ce qu’on peut connaître chez Hearthstone , Magic the Gathering , etc. mais bien sûr avec des subtilités qui lui sont propres (par exemple, il faut sacrifier une carte pour pouvoir en jouer une autre ! Ou alors le décompte des points qui est fait à l’aide d’une balance). Et puis au détour d’une partie, on va remarquer des choses… Bizarres…

    À partir de là, difficile de vous expliquer sans spoiler, alors je vais rester vague. Disons que vos compétences en terme d’ escape room pourraient être mises à l’épreuve. Un jeu dans le jeu ? Qui lui-même est dans un jeu ? On perd pied, le cerveau explose en quatre dimensions, et on comprend le génie d’ Inscryption .

    Je ne vais pas vous dire que c’est un titre absolument incroyable ou parfait, car clairement, il ne sera pas au goût de tout le monde. Il a des petits défauts. L’ambiance un peu glauque peut rebuter. Il faut être adepte de deck building , aimer résoudre des énigmes, ne pas avoir peur de (tout ?) perdre.

    Malgré cela, et même s’il ne révolutionne aucunement le genre, Inscryption propose un gameplay très solide ainsi qu’une histoire qui tirent pleinement partie du média : le jeu vidéo.

    Il coûte moins de 20€ et propose une expérience absolument unique, tellement originale, tellement prenante, que j’aurais été triste de passer à côté. Alors je vous le conseille : jetez-y un œil ! Et essayez de ne pas le perdre. 😉

    Inscryption est disponible sur Steam , Playstation 4 & 5 , et Nintendo Switch

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      Vampire Survivors—a cheap, minimalistic indie game—is my game of the year

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 20 October, 2022 - 15:37

    Kill monsters, pick up XP gems, upgrade character.

    Enlarge / Kill monsters, pick up XP gems, upgrade character.

    If you’re a fan of roguelites and haven’t heard of Vampire Survivors , let me be the first to welcome you to your new obsession.

    The “gothic horror casual game with roguelike elements,” as its developer calls it, has been taking the indie world by storm over the past year, racking up over 120,000 “overwhelmingly positive” reviews on Steam and capturing effusive praise from critics. And until today, it was still in Early Access.

    The game has even spawned a new sub-subgenre, with games of its ilk incorporating ideas from bullet-hell shoot-em-ups, roguelites, and timed horde-survival games. These games are almost all in Early Access, and every last one is curiously cheap—$5 seems to be the price cap. But while many pretenders to the throne have arisen, Vampire Survivors still reigns supreme. It was the second real game of its kind, after the 2021 Android-exclusive Magic Survival .

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