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      Taxe streaming : Spotify lâche des festivals, avant de lâcher la France ?

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 22 December - 09:00

    Spotify App Smartphone

    La bataille entre le gouvernement et Spotify se poursuit autour de la fameuse « taxe streaming ». En réponse à sa mise en place, le géant suédois annonce qu'il ne soutiendra plus le Printemps de Bourges et aux Francofolies.

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      +15%, mauvaise nouvelle pour les propriétaires d’une voiture électrique !

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 1 December - 14:22

    Lidl voiture électrique câble

    La France maintient en 2024 l'exonération de la Taxe Spéciale sur les Conventions d'Assurance (TSCA) pour les véhicules électriques, une mesure introduite en 2021 pour encourager le passage au tout électrique, mais il y a du changement.

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      X (ex-Twitter) : Elon Musk ne décolère pas face à la taxe Apple

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 3 August, 2023 - 09:30

    x-logo-elon-musk-twitter-2023-158x105.jpg X Twitter logo

    Elon Musk a toujours une dent contre la fameuse « taxe Apple ». Le patron de X veut que Cupertino fasse plus d'efforts et se dit prêt à négocier avec Tim Cook. Peut-il faire plier la marque à la Pomme ?

    X (ex-Twitter) : Elon Musk ne décolère pas face à la taxe Apple

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      Oxfam, retraites : où s’arrêtera la bêtise française ?

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 25 January, 2023 - 04:10 · 3 minutes

    YAKA : c’est à partir de cette formule magique qu’une majorité de Français résoudrait une grande partie des problèmes du pays. Je me permets de parler des Français et non pas de certains d’entre eux car ils sont une large majorité (66 %) à soutenir l’idée d’Oxfam d’une taxe sur la fortune des milliardaires français pour combler le déficit du financement des retraites. Mais ils ne s’arrêtent malheureusement pas à ce prélèvement sur les milliardaires.

    OXFAM France

    En effet, dans son dernier rapport Oxfam a la solution pour combler le trou de 12 milliards d’euros dans le financement des retraites : taxer à 2 % les 42 milliardaires français pour combler le déficit de 12 milliards d’euros qui vont manquer cette année. C’est en quelque sorte le retour d’un super ISF car avant d’être supprimé, le taux maximal était de 1,5 % et calculé non pas sur l’ensemble de la fortune puisque l’outil de travail était exonéré et qu’un plafonnement à 75 % du revenu annuel était prévu.

    De quoi donc faire fuir encore plus de milliardaires et faire réfléchir ceux qui désiraient revenir en France.

    La secrétaire générale d’EELV Marine Tondelier vient de le confirmer : « Nous voulons une France sans milliardaires ».

    La députée Insoumise Malthide Panot a déclaré : « le gouvernement a choisi, il préfère tuer des centaines de milliers de gens au travail plutôt que de taxer 42 personnes ».

    Odoxa

    Là encore la bêtise n’a pas de limites.

    En 2021 un sondage du baromètre de l’économie réalisé par Odoxa révèle qu’ une majorité de Français (66 %) choisirait de taxer les grandes fortunes pour réduire la dette.

    Cette dette de 3000 milliards d’euros correspondant à l’accumulation de 50 années de dérives financières et d’engagements pris par ce même État.

    Engagements de l’État pour la retraite

    Un rapport de la Cour des comptes de 2021 affirme que l’engagement de l’État pour les pensions des fonctionnaires s’élève à 2534 milliards d’euros + 101 milliards pour les autres retraites. Soit un total de 2635 milliards d’euros à trouver dans les années à venir.

    C’est dire si nous aurons besoin de beaucoup plus de milliardaires à ponctionner qu’aujourd’hui.

    Si l’on voulait faire payer toutes ces dettes actuelles et à venir avec une ponction de 2 % sur les milliardaires il faudra que leur fortune atteigne un total de 131 750 milliards d’euros soit 1,3 fois le PIB mondial ! Je sais bien qu’impossible n’est pas Français mais sachant que la fortune des 400 Américains les plus riches atteint péniblement 1700 milliards de dollars nous pouvons mesurer l’incompétence de ces marchands de chimères qui ne reculent devant rien pour plaire à leurs électeurs.

    Conclusion

    Le financement des retraites doit se faire uniquement à partir des cotisations sur les salaires.

    L’ âge de départ à la retraite doit être porté rapidement à 67 ans et en une seule fois.

    Pour obtenir une retraite décente, il faut intégrer une part de capitalisation .

    Au nom de l’égalité, il convient de procéder à la suppression de tous les régimes spéciaux sans application de la « clause du grand-père » injustifiée quand le système est en crise. Pour le secteur privé l’État a bien augmenté les taux de prélèvements sans remettre en question le contrat d’embauche.

    Il faut revoir les programmes scolaires pour y inclure l’enseignement de l’économie dont la quasi absence produit des étudiants qui défilent dans la rue pour leur retraite alors que rien ne peut être garanti à échéance de 50 ans.

    Ces bonimenteurs doivent être sanctionnés. Ils manipulent une population qui croira de moins en moins à la politique et ils contribuent au déclin déjà engagé du pays.

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      Et une taxe de plus pour sauver les énergies renouvelables !

      Michel Gay · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 4 March, 2022 - 04:15 · 2 minutes

    Selon l’agence Reuters citée par Boursorama , la Commission européenne va proposer à ses membres une taxe sur les bénéfices réalisés par les entreprises du secteur de l’énergie lors de la récente flambée des prix du gaz.

    Cette nouvelle recette serait ensuite investie pour subventionner encore un peu plus les énergies renouvelables et les travaux de rénovations permettant de réaliser des économies d’énergie.

    Un racket institutionnalisé

    Les gouvernements seront également encouragés à utiliser les recettes de ce racket institutionnalisé aux dépens des consommateurs-contribuables pour soutenir à la fois les industries touchées par la hausse des prix de l’électricité et les consommateurs précaires… avec leur propre argent !

    La proposition (qui devrait être publiée dans les prochains jours) ne prévoit pas directement l’introduction d’une taxe à l’échelle européenne, mais elle autoriserait les gouvernements à l’instaurer au niveau national sans enfreindre les règles européennes.

    La Commission européenne souhaite ainsi améliorer la sécurité énergétique de l’Europe et réduire son exposition à la volatilité des prix des combustibles fossiles.

    Cette nouvelle taxe permettrait ainsi d’accélérer la transition vers les énergies renouvelables, mais Bruxelles semble avoir oublié le nucléaire pourtant champion de l’indépendance énergétique et de la lutte contre le changement climatique !

    Ces plans s’inscrivent dans le cadre des politiques européennes en matière de changement climatique que les pays de l’Union européenne et le Parlement européen négocient actuellement.

    Une première version de la proposition exigerait également des pays de l’UE qu’ils assurent les stocks de gaz avant l’hiver afin de se prémunir contre les chocs d’approvisionnement, et qu’ils accélèrent l’octroi de permis pour les nouveaux parcs éoliens et solaires (et pas nucléaire ?).

    Comment détruire encore plus l’énergie en Europe et… l’Europe

    Instaurer une taxe de plus sur un produit de première nécessité (l’énergie) dont le prix élevé provient majoritairement des taxes qui lui sont déjà appliquées pour subventionner des sources d’énergies inefficaces comme les éoliennes et les panneaux solaires est un délire opportuniste de la Commission européenne.

    Cette dernière, déboussolée, profite honteusement d’une situation anxiogène en Ukraine pour faire  accepter des taxes qui iront enrichir encore plus les promoteurs éoliens et de panneaux solaires.

    C’est une fuite en avant de la Commission européenne vers le précipice énergétique, un délire de plus en plus fou qui nécessite de plus en plus d’argent (plus de 10 000 milliards d’euros ! ) pour cette fausse transition énergétique qui se trompe de chemin sous la férule des Allemands .

    Cette cynique politique énergétique européenne sans vision à long terme continue à prendre en otages les consommateurs-contribuables.

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      Ne discutez pas : en France, TOUT se surtaxe, même le recyclé !

      h16 · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Monday, 8 February, 2021 - 08:30 · 6 minutes

    par h16

    Ce n’est pas parce que la situation est morose et les soirées d’hiver un peu longues actuellement qu’il faut se laisser aller à la mélancolie. Pour éviter la déprime, rien de tel qu’un peu de sport, par exemple un combat de sumo. Et en France, quoi de mieux que deux grosses entités étatiques pour se pouiller vigoureusement ?

    Pour ce combat de pachydermes , je vous propose deux ministères bien trop dodus jetés l’un contre dans une empoignade aussi grotesque qu’illustratrice des dérives consternantes de notre exécutif.

    D’un côté, nous trouvons Minicul, le ministère de la Culture qui est particulièrement décidé à remplir ses caisses, pourtant déjà beaucoup trop abondées par un contribuable exsangue en échange d’efforts culturels désastreux, depuis l’autoflagellation rituelle à tout propos jusqu’aux navrantes productions habituelles des cultureux officiels en passant par les redevances audiovisuelles permettant par exemple à la poignée de radios d’État de se goinfrer un budget supérieur au budget combiné de 330 radios privées du pays.

    De l’autre, c’est Minitrans, le ministère de la Transition énergétique, énorme pachyderme à l’embonpoint d’autant plus significatif que ses missions ne cessent de croître avec gourmandise et qui semble décidé à pousser une de ses biens trop nombreuses marottes, à savoir celle du recyclage sans lequel toute stratégie écolo-médiatique ne saurait trouver grâce auprès de l’électeur bioconscientisé correctement syntonisé avec Gaïa.

    Le combat entre Minicul et Minitrans est déjà âpre, et chacun de ces gros monstres dodus n’entend pas lâcher l’affaire. L’enjeu est d’importance puisqu’à n’en pas douter, il marquera la direction du pays dans les prochaines années : doit-on tout faire pour recycler, ou peut-on continuer à taxer malgré tout comme il fut fait jusqu’à présent, c’est-à-dire jusqu’à la corde et au détriment d’absolument toute considération économique, écologique, pratique et sociale ?

    Toute l’histoire part du besoin affiché, pour le ministère de la Transition Trucmuche, de favoriser la filière du recyclage des téléphones portables, ce qui permet d’en accroître la durée de vie, évite la pollution liée à leur rejet et à la production de nouveaux appareils. Bonus supplémentaire évident : ce recyclage permet de créer de nouveaux emplois sur le territoire et, pour les frétillants politiciens, c’est l’occasion de rappeler tous les efforts qu’ils font afin de lutter contre le fléau du chômage. Si on y ajoute qu’en plus, les emplois concernés sont souvent associés à une mission de réinsertion, c’est le pompon : toutes les cases sont cochées, voilà du projet bien choupinet qu’on n’aura pas de mal à vendre auprès de l’électeur.

    Ce serait aller un peu vite en besogne : nous sommes en France et lorsqu’elle n’est pas formellement interdite, toute activité appelle forcément une ou plusieurs taxes roborative pour l’un ou l’autre ministère chargée de la collecter. C’est ici le cas de Minicul qui insiste pour que, même sur ces appareils, soit collectée l’indispensable, géniale et si productive Taxe sur la Copie Privée qui tabasse à peu près tous les supports numériques en France et permet de durablement coincer l’Hexagone en queue de peloton des pays de la révolution numérique en y faisant intelligemment exploser les prix des supports.

    Sacem, nouveau logo Pour les tenants compulsifs de la taxation (derrière lesquels on ne saura s’étonner de trouver la SACEM), l’affaire est claire : ces smartphones, même reconditionnés, sont des supports numériques et doivent donc s’acquitter de la petite taxounette en question à hauteur de 14 euros pour 64 Go de mémoire, ce qui propulse immédiatement les smartphones reconditionnés dans le champ de l’invendable.

    Smartphone recyclé trop cher car trop taxé, donc pas de vente, donc pas de collecte de taxe ? Peu importe. Pas de vente, pas de recyclage, pas d’emplois ? Ce n’est pas grave puisque l’emploi des taxateurs ne sera, lui, pas remis en cause par ces décisions.

    Évidemment, le Minitrans a fait part de ses griefs à Minicul qui n’entend pour le moment pas lâcher le morceau.

    Si tout ceci est assez consternant, c’est aussi assez peu cohérent de la part des deux mastodontes bureaucratiques. Ainsi, on apprend sans surprise que « Les marges du secteur sont très faibles, ajouter 14 euros par appareil risque de tuer un secteur en croissance » , sans que, pourtant, personne ne veuille s’interroger sur les raisons intrinsèques qui imposent des marges si faibles à ce secteur.

    On ne semble pas plus s’interroger sur le fait que l’emploi en France coûte si abominablement cher ou que les contraintes l’entourant sont si fortes, depuis les conditions de travail jusqu’à la formation du salaire en passant par la paperasserie administrative dantesque dans laquelle on noie copieusement chaque entreprise hexagonale, pas plus que l’incitation à rester le cul dans son canapé sont, elles aussi, si élevées – surtout actuellement.

    Mais plus à propos, cette petite histoire illustre une fois encore qu’une taxation délirante empêche le développement d’activités, et que, confrontés au problème, les ministères concernés s’empressent de trouver un moyen… de taxer autrement, tout au plus.

    Quant au constat qu’une taxe fusille de l’emploi, il ne sera surtout pas transposé à d’autres taxes sur d’autres activités. Du reste, la France croule sous le travail et le plein emploi et il n’y a donc aucune raison de s’inquiéter de l’avalanche de taxes qu’elle subit depuis des décennies.

    Le problème de cohérence ne s’arrête pas là lorsqu’on lit Minitrans qui découvre ainsi que « Taxer le reconditionné, c’est taxer deux fois le même produit : neuf et d’occasion » . Oh, ça alors !

    Ainsi donc, taxer deux fois serait méchant-méchant ?

    Vous voulez dire que taxer deux fois un bien, par exemple une habitation une première fois chaque année pendant toute la durée où elle appartient à quelqu’un, puis la taxer encore une fois lorsqu’elle serait léguée en héritage à ses enfants, ce serait aussi méchant-méchant ?

    Ou bien serait-ce comme taxer un revenu déjà taxé, chose qui se pratique en long, en large et en travers en France avec par exemple la CSG dont une partie, pourtant prélevée automatiquement, est réintégrée pour le calcul de l’impôt ( on taxe une taxe , c’est français et tout le monde semble trouver ça normal) ?

    Voilà une position étonnante de la part d’un ministère, et qu’on souhaiterait voir plus souvent pour tous les autres !

    En attendant, on ne pourra qu’observer Minicul et Minitrans se bouffer entre eux pour savoir comment taxer les Français jusque dans leurs smartphones recyclés, et pour des montants qui ne méritent objectivement pas le temps passé (on parle de quelques millions d’euros), sauf à considérer uniquement l’appétit vorace et jamais rassasié des sociétés d’ayants-droit collectrices de ces montants…

    En ce moment, compte tenu de la situation économique, politique et sociale du pays, c’est vraiment un combat indispensable.
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