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      AirChat – Le Twitter (X) vocal qui fait le buzz

      news.movim.eu / Korben · Tuesday, 16 April - 06:59 · 3 minutes

    Depuis son lancement en version bêta il y a quelques jours, Airchat , cette application de messagerie entièrement vocale fait un buzz d’enfer dans la Silicon Valley.

    C’est vraiment un concept aussi original que bizarre (c’est mon avis) puisque l’idée, c’est de permettre aux utilisateurs de communiquer uniquement par messages audio asynchrones, un peu à la manière des bons vieux répondeurs d’antan. Concrètement, sur votre fil d’actualité, défilent des blocs de texte qui sont en fait des transcriptions de messages vocaux et si vous voulez réagir, pas besoin de clavier : vous appuyez sur un bouton, vous enregistrez votre voix, et hop, c’est envoyé ! Vous pouvez également poster des photos et des vidéos si vous le souhaitez.

    Je l’ai testé (mon pseudo c’est korben.info) et c’est vrai que l’interface utilisateur est similaire à d’autres plateformes de médias sociaux. On peut suivre d’autres utilisateurs, faire défiler un flux de publications, puis répondre, aimer et partager ces publications. C’est Twitter, c’est Threads, c’est Bluesky… Sauf que la grande différence, c’est que tout se fait à la voix !

    Ce qui est bluffant, c’est quand même la qualité de la transcription des messages audio. L’app utilise de l’ IA pour ça, et franchement, ça marche hyper bien, même en français ! J’ai eu très peu de « bug » de transcription pendant mes tests.

    Et niveau ambiance, pour l’instant ça se la touche beaucoup en mode « Vocal Fry from Silicon Valley », donc j’espère que des franc-comtois vont rapidement s’emparer de l’application pour rafraichir un peu ça. Mais ça ouvre pas mal de débats avec des conversations intéressantes.

    Bon après, j’ai quand même quelques petites réserves hein. Déjà, la vitesse de lecture par défaut est en 2x. Alors ok, ça permet d’aller plus vite, mais ça gâche un peu l’expérience. On a l’impression d’écouter parfois des robots. Le défilement automatique des messages est également un peu chiant, avec un petit retour haptique à chaque message qu’on passe, et parfois des enchainements vers le message suivant qu’on n’a pas souhaité.

    Maintenant reste à voir comme ça va se passer. Parce que autant, écrire de la merde sur Twitter (oui, j’aime pas dire X) c’est facile. Autant bablater toute la journée à l’oral avec ses amis ou de parfait inconnus sur ce genre de réseau, j’ai pas l’impression que ce soit naturel pour tout le monde, hormis les gens déjà habitués à parler en public ou en podcast.

    Mais bon, on verra bien. AirChat reste quand même une belle surprise qui dépoussière un peu le concept de réseau social. Si Twitter c’est du « micro-blogging » comme on disait à l’époque, et bien pour moi Airchat c’est du « micro-podcasting ». Après je me pose plein de questions sur ce qu’ils vont faire de nos empreintes vocales, si ça ne va pas permettre à la NSA d’encore plus nous profiler dans leurs grandes bases de données, ou si des mafieux vont pas pouvoir s’en servir pour alimenter des deepfakes vocaux à grande échelle. Tellement d’interrogations, et j’ai même pas encore bu mon café.

    Par contre, si vous voulez rejoindre la bêta fermée, il faudra vous faire inviter par l’un de vos amis.

    En attendant, comme d’hab, je vais voir comment ça se développe avant d’aller rajouter des banalités sur cet espace mais j’ai déjà des idées à la con, comme ralentir l’audio avant de le publier pour avoir quelque chose de plus naturel, et proposer des threads geek épiques façon Reflets d’Acide ou ASMR ou je sais pas, j’ai trop d’idées débiles… raaaah.

    Le silence est d’or de toute façon.

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      Test de l’Ultenic TS1 – L’aspirateur robot intelligent et innovant

      news.movim.eu / Korben · Saturday, 17 June, 2023 - 06:00 · 3 minutes

    — Test réalisé en partenariat avec Ultenic. L’article contient des liens affiliés .–

    Vous connaissez tous ma passion pour les aspirateurs robots. J’adore ces trucs… rien que le concept de l’appareil qui bosse pendant que moi, je fais autre chose, c’est assez jouissif. Et quand on a des enfants qui ne savent pas viser leur bouche quand ils mangent et un chat qui perd ses poils, la maison peut vite devenir un enfer.

    L’aspirateur robot, c’est donc le truc indispensable pour mettre un petit coup de propre tous les jours pour éviter de se laisser déborder par la saleté. Et depuis que ça existe, chaque année, de vraies améliorations voient le jour. Je dis « vraies améliorations » car ces petits robots sont de plus en plus « intelligents » et fonctionnent chaque fois encore mieux.

    C’est pourquoi aujourd’hui, j’aimerais partager mon expérience de l’aspirateur robot Ultenic TS1 , avec vous (+ code promo à la fin de l’article).

    À première vue, vous pourriez penser que c’est un aspirateur robot de plus, mais que nenni. Le TS1 combine à la fois une forte puissance d’aspiration et pas mal de fonctionnalités innovantes pour rendre votre maison ou vous appartement toujours plus impeccable sans faire le moindre effort.

    Avant tout chose, le TS1 est équipé d’une puissance d’aspiration de 3 000 Pa qui élimine même les déchets et poussières les plus rebelles. J’ai un tapis dans la salle à manger (la bonne idée ^^) et quand l’aspirateur est passé dessus, j’ai constaté qu’il était passé en mode pleine puissance. En effet, le TS1 détecte maintenant les tapis et se règle automatiquement pour les nettoyer au mieux.

    Comme je vous le disais, j’ai pas mal de poils de chat également, et sur un aspirateur robot classique, le petit bac à poussière est rapidement rempli. Mais comme le TS1 est livré avec une base aspirante, il transfère automatiquement la poussière dans sa base qui contient un sac plus grand, ce qui fait que le sac est à vider environ tous les 2 mois à 3 mois. Encore un sacré gain de temps, et en plus, il stérilise tout ça avec des UV histoire d’éviter que les bactéries se propagent.

    Au niveau de ses déplacements, comme il est assez bas (7,4 cm de haut), il passe facilement sous la plupart des meubles et sait parfaitement contourner les tapis lorsqu’il est en mode serpillère humide. Hé oui, je vous ai pas dis, mais il dispose de 2 mini serpillères qui permettent également de passer un petit coup d’eau pour rendre votre chez-vous encore plus propre.

    Il est donc autonome et grâce à sa caméra laser, il esquive enfin les jouets qu’il contourne au lieu de grimper dessus et de finir bloquer. C’est ça pour moi la killer feature. Cette même caméra lui permet également de se déplacer partout et en termes d’autonomie, une session d’aspiration peut durer un peu plus de 2h avant qu’il aille se remettre en charge tout seul.

    Il est également fourni avec une télécommande, ce qui permet de le piloter quand on n’a pas l’application à partir de main et bien sûr, il est capable de cartographie tout votre intérieur, ce qui vous permet ensuite de mettre des barrières virtuelles ou de créer des zones de nettoyage. À vous ensuite de programmer tout ça aux heures qui vous convient.

    Le Ultenic TS1 est non seulement super efficace pour nettoyer votre maison, mais il est également connectable aux assistants Google, Alexa et Siri. Vous allez pouvoir le contrôler à la voix comme si vous aviez un petit majordome robotique. Royal non ?

    Bref, une fois de plus, c’est un bon kif des geeks même si le prix reste encore un peu cher à mon goût… Quoiqu’avec le code promo TS1KORBEN à appliquer à votre panier vendu par Ultenic Europe + le coupon de réduction Amazon de 50 € , ça rend l’aspirateur beaucoup plus abordable au prix de 389,99 euros au lieu de 499,9 €. (promo valide du 17 au 23 juin 2023)

    Quoiqu’il en soit, j’apprécie vraiment ses nouvelles fonctions, y compris sa jolie couleur noire, qui change un peu du blanc qu’on retrouve souvent avec ce genre d’appareil.

    Si vous êtes intéressés par cet appareil, rendez-vous ici pour en savoir plus .

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      Comment activer Windows XP en 2023 ? – Le retour d’une légende

      news.movim.eu / Korben · Saturday, 27 May, 2023 - 06:58 · 2 minutes

    Comme vous le savez, Windows XP était un système d’exploitation que beaucoup de gens adoraient, et ce même des années après son abandon par Microsoft. Nous sommes nombreux à nous remémorer l’époque dorée d’XP quand c’était trop cool ! Eh bien, aujourd’hui, je vais vous parler d’un moyen d’activer Windows XP même sans connexion Internet.

    C’est devenu possible grâce à une série d’événements, dont la découverte d’un document datant de 2001 , qui décrivait le processus d’activation de Windows XP, ainsi que la publication d’un générateur de clés open-source sorti en 2019. Initialement, ce générateur de clés nécessitait un serveur externe pour la validation et l’installation, mais récemment, quelqu’un a partagé un exécutable Windows qui génère les codes d’identification qui vont bien pour activer Windows XP entièrement hors ligne.

    Pendant longtemps, personne n’a été en mesure de cracker réellement ce verrou de Microsoft. Mais aujourd’hui, grâce aux efforts des développeurs et chercheurs, non seulement la serrure a été ouverte, mais une solution a également été trouvée pour activer Windows XP hors ligne.

    Alors, comment utiliser cette technique pour activer Windows XP sans Internet ? C’est simple !

    D’abord utilisez ce programme pour générer une clé, et utilisez cette clé lors de l’installation.

    Puis, après l’installation, vous serez invité à activer Windows. Sélectionnez la méthode d’activation par téléphone , puis lancez xp_activate32.exe et entrez l’ID d’installation que l’assistant d’activation vous a donné.

    Enfin, cliquez sur « Suivant » et voilà ! C’est plié !

    Bien que cette méthode puisse être pratique pour certains nostalgiques de Windows XP, il est important de noter que l’installation d’un système d’exploitation aussi ancien sur un appareil connecté à Internet est fortement déconseillée, puisqu’il présente des risques de sécurité importants puisqu’il n’est plus pris en charge ou mis à jour par Microsoft.

    Bref, pensez à utiliser une machine virtuelle pour faire fonctionner Windows XP sur votre ordinateur actuel, ce qui vous permettra de rester en sécurité.

    Pour ceux qui sont curieux et qui souhaitent en savoir plus sur cette méthode d’activation, vous pouvez en découvrir davantage sur le blog tinyapps .

    À découvrir ici

    Source

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      La cryptomonnaie décryptée (3) : les différents types de cryptomonnaies

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Sunday, 12 March, 2023 - 04:30 · 8 minutes

    Par Yannick Chatelain et Antoine Roche 1 .

    Première partie de cette analyse ici .
    Seconde partie de cette analyse ici .

    En plusieurs étapes, nous vous proposons de rendre la cryptomonnaie à la portée de tous.

    Après « La blockchain est une révolution », « Les Smart Contracts », nous vous proposons de découvrir les différents types de cryptomonnaies actuellement en circulation.

    Les cybermonnaies dans le monde

    Les données communiquées par Statista et Investing montrent que le nombre total de crypto a été multiplié par 75 entre 2013 et 2021, passant d’un peu plus de 60 à plus de… 4500. Après l’explosion des cryptos ce nombre avait depuis doublé… pour atteindre en 2022, un record avec pas moins de 10 400 cryptomonnaies.

    Comme le soulignait Statista le phénomène intéressait alors de plus en plus d’investisseurs et pour cause : le bitcoin avait vu sa valeur multipliée par 30 entre avril 2017 et avril 2022 ! Et avant « la crise des crypto » qui a été largement médiatisée, ce qui a contribué à engendrer une chute de l’offre et fortement inquiété – à tort ou à raison –  ces derniers.

    À l’heure où nous écrivons on dénombre 8029 devises.

    Pour avoir une visibilité exhaustive de l’offre et des plus importantes cryptomonnaies par capitalisation, par volume d’échange, etc. il vous suffit d’accéder au classement proposé par Coingecko ou Coinmarketcap . Dans le top cinq des plus prisées et – sans grande surprise – ce sont celles dont vous avez probablement entendu parler : Bitcoin ( BTC ), Ethereum ( ETH ), Teher ( USDT ), Binance Coin ( BNB ), USD COIN ( USDC ). Si le chiffre reste conséquent, le quantitatif est à la baisse après avoir atteint un sommet historique.

    Lorsque vous vous intéressez à une cryptomonnaie il est important de savoir quel est son but, son utilité, et comprendre son fonctionnement afin de prendre des décisions éclairées. Voilà pourquoi nous vous proposons dans le paragraphe suivant une description de quelques-unes des catégories prédominantes.

    Nous nous permettons de mettre des astérisques en fonction du risque, celui-ci variant naturellement en fonction de la connaissance du sujet. Une asterisque représente un risque moindre ; cinq astérisques représentent un risque très élevé pour un néophyte, mais non figé et à même d’être réduit au fur et à mesure du développement de son expertise.

    Cryptomonnaies : les catégories phares

    Les cryptomonnaies de couche 1 (dites Layer 1) *

    Les cryptomonnaies de couche 1 sont utilisées pour effectuer des transactions financières de manière décentralisée, rapide et peu coûteuse. Elles peuvent être utilisées pour acheter des biens et services en ligne, envoyer de l’argent à l’étranger, investir dans des projets à long terme et bien plus encore. Les cryptomonnaies offrent également la possibilité de créer des contrats intelligents programmables, qui peuvent faciliter des transactions commerciales complexes sans avoir besoin d’intermédiaires.

    ex : BTC , ETH , BNB , MATIC , AVAX , XTZ , SOL

    Les stablecoins *

    Les stablecoins sont des cryptomonnaies conçues pour maintenir une valeur stable en étant indexées sur des devises ou des actifs sous-jacents tels que l’or ou le dollar américain. En réalité, ils sont utilisés pour faciliter les transactions financières en ligne en offrant une alternative moins volatile que les cryptomonnaies traditionnelles, les stablecoins sont de fait plus rassurants. Ils permettent également de transférer des fonds rapidement et à moindre coût, sans nécessiter d’intermédiaires. En outre, ils peuvent servir de « valeur refuge » pour les investisseurs lors de périodes de forte volatilité du marché des cryptomonnaies.

    ex : USDC , USDT , BUSD , DAI

    Les mèmecoins (**** niveau expert)

    Les mèmes coins sont une forme de cryptomonnaie qui tirent leur nom de leur origine dans la culture Internet des « mèmes ». (ndla : un mème est un élément culturel reconnaissable, reproduit et transmis par l’imitation du comportement d’un individu par d’autres individus, L’Oxford English Dictionary définit le mème comme « une image, une vidéo, un texte, généralement de nature humoristique, qui est copié et diffusé rapidement par les internautes, souvent avec de légères variations » Exemple : cliquez ici ». Ils sont utilisés dans la réalité pour des activités telles que la collecte de fond, le trading et la spéculation sur des actifs numériques uniques et souvent humoristiques. Les Mème coins sont généralement basés sur des blockchains de couche 1 existantes telles que Ethereum et peuvent offrir des avantages tels que la propriété décentralisée et la rareté numérique. Cependant, ils sont également soumis à une forte volatilité et peuvent être considérés comme extrêmement risqués.

    Ex : DOGE , SHIB , BONK

    Les DeFi et leur cryptomonnaie (**** niveau expert)

    Les tokens DeFi sont des cryptomonnaies émises sur des blockchains décentralisées qui permettent aux utilisateurs de participer à diverses applications. Ils ont une utilité en fournissant des droits de gouvernance, en permettant le staking (un mécanisme de consensus appelé « Proof of Stake » (POS) qui permet de garantir que les transactions sont fiables :  vérifiées et sécurisées sans l’intervention d’une tiers :  banque ou autre intermédiaire)  et la fourniture de liquidité, et en facilitant l’accès à divers protocoles et services DeFi. Les tokens DeFi permettent également l’emprunt et le prêt décentralisés, le trading et la gestion d’actifs.

    Ex : CAKE , INSUR , SNX , YFI

    Gouvernance (DAO) et leurs cryptomonnaies… (****niveau expert)

    Une organisation autonome décentralisée ou DAO (de l’anglais decentralized autonomous organization ) est une organisation qui se fixe une mission et qui fonctionne grâce à un ensemble de Smart Contracts . Ces derniers établissent et « proposent » des règles de gouvernance à une organisation ! En ce sens et bien que très balbutiant à ses débuts, le réseau Bitcoin, « peut être considéré comme le premier exemple de DAO ».

    À la différence d’une organisation traditionnelle la DAO n’a pas de hiérarchie ! Aucune ! Pas de gouvernance au sens usuel ! Dans une DAO, pas de supérieur qui décide ou donne son aval… Non ! OUBLIEZ ! Elle est une organisation gérée par un code et des programmes informatiques ce qui la rend parfaitement autonome. Elle analyse seulement les Smart Contracts établis et les positions des parties prenantes. Tout est alors stocké et accessible de façon transparente sur la blockchain et le plus souvent les décisions sont prises au sein d’une DAO par le biais de propositions. Si une proposition est votée par la majorité des parties prenantes elle est ensuite validée par la « matrice ». Point ! Spoiler : c’est la théorie mais en pratique les DAO en sont encore à un stade rudimentaire et se développent mais aucune n’est encore totalement décentralisée et autonome.

    Les cryptomonnaies qu’utilisent ces DAO (ex : SDAO, UNI, AAVE, CRV, MKR,…) offrent différentes utilités additionnelles au droit de vote et il faut toujours vous renseigner précisément dans la documentation de l’entreprise pour en comprendre les tenants et aboutissants.

    NFT les tokens non fongibles (****niveau expert)

    Un NFT, pour non fungible token est un token non fongible et non divisible ; et oui, tout cela en un seul Token, rassurez-vous, derrière tous ces termes de l’univers crypto, les choses sont plus simples qu’il n’y paraît : cela signifie que contrairement à un actif dit fongible, c’est-à-dire qui est n’est pas unique et qui est interchangeable contre un actif du même type, ce type de token (jeton) est unique !

    Il correspond à un certificat de propriété pour son détenteur, que ce soit un bien virtuel, logiciel, jeux vidéo… ou physique : biens immobiliers, œuvre d’art, etc.  Comme la cryptomonnaie, il est émis sur une blockchain , majoritairement Ethereum (ETH). Et il n’est pas divisible, comme nous l’avons précisé, ce qui veut dire que contrairement à la plupart des cryptomonnaies, par exemple le bitcoin (BTC) qui peut être divisé en 100 millions de Satochis la plus petite unité de compte en bitcoin), un NFT ne peut pas l’être…

    ex : CryptoPunks, BAYC…

    Les coins de metaverse et de gaming (expert *****, sauf si vous maîtrisez cet univers)

    Les coins de metaverse et de gaming sont des cryptomonnaies conçues pour être utilisées dans des mondes virtuels tels que les jeux vidéo et les plateformes de réalité virtuelle. Ils sont utilisés dans la réalité pour acheter des biens et services virtuels, tels que des skins, des personnages et des objets, ainsi que pour participer à des transactions de joueur à joueur. Les coins de metaverse et de gaming peuvent offrir des avantages tels que la propriété décentralisée, la transparence et la possibilité de gagner de l’argent en jouant à des jeux. Cependant, ils sont également soumis à une forte volatilité et peuvent être considérés comme très risqués.

    ex : SAND , MANA , AXS , DIO , GALA

    Quelques règles de prudence avant de se lancer

    Nonobstant les astérisques que nous attribuons, qui sont fluctuantes selon votre niveau d’expertise, comme le rappelle le ministère de l’Économie et des Finances et de la souveraineté industrielle et numérique la cybermonnaie « ne dispose pas d’un statut légal n’ont pas à ce jour de statut légal explicite et leur encadrement par les pouvoirs publics reste embryonnaire ».

    Aujourd’hui, et pour se retrouver sans se faire arnaquer, lorsqu’il s’agira de vous lancer, la plus élémentaire des prudences recommandées par le ministère et par vos serviteurs est de consulter le site de l’AMF qui vous aide à vous retrouver dans ce dédale et qui recense tous les sites d’arnaques à la cybermonnaie. Si vous souhaitez investir dans les crypto-actifs, sachez que l’AMF recense les sites risqués liés aux cybermonnaies au sein de la liste noire de l’Autorité des Marchés Financiers . Avant de vous lancer, pensez toujours à la consulter.

    Voilà pour cet article, n’hésitez pas à revenir à nos articles précédents sur la blockchain et les Smarts Contracts . Ils rendront la compréhension de ces nouveaux éléments plus aisée.

    Et rendez-vous pour l’épisode quatre : L’évolution de la DeFi , abréviation de decentralized finance (finance décentralisée). Nous vous le promettons, à la fin de ces articles vous disposerez de tous les éléments pour vous lancer… ou pas.

    « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
    Et les mots pour le dire arrivent aisément » – Nicolas Boileau-Despréaux

    1. Antoine Roche , Ingénieur, chef de produit chez SingularityDAO.
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      Technologie : la France disparaît devant la Chine et les États-Unis

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 8 March, 2023 - 04:10 · 2 minutes

    La France fut jadis la patrie des inventeurs. Ce n’est plus le cas, selon l’étude du think tank australien Australian Strategic Policy Institute . Désormais, le centre de gravité technologique se situe dans le Pacifique entre les États-Unis et la Chine.

    Si un certain nombre de pays, surtout les Anglo-saxons, arrivent à maintenir une recherche scientifique de bonne qualité, la France tout comme l’Europe décrochent complètement.

    Une compétition acharnée entre les États-Unis et la Chine au niveau technologique

    La Chine et les États-Unis dominent sans partage dans les 44 secteurs technologiques de pointe. Avec un avantage pour la Chine qui se place devant les États-Unis dans la majorité des technologies avec un risque de contrôle monopolistique pour certaines d’entre elles (comme les batteries électriques et l’hydrogène).

    Ces deux pays sont aussi les plus à même à attirer des talents ( brain drain ) et ainsi s’assurer un vivier intellectuel pour la recherche et le développement technologique. Si les États-Unis continuent d’être la destination numéro un, l’étude mentionne qu’en Chine, un cinquième des papiers scientifiques à fort impact est écrit par des chercheurs issus des pays anglo-saxons.

    Anglo-Saxons et pays émergents dans le top 5

    Comme le mentionne l’étude, le Royaume-Uni et l’Inde se classent tous deux parmi les cinq premiers pays dans 29 des 44 technologies. La Corée du Sud et l’Allemagne sont parmi les cinq premiers pays pour 20 et 17 technologies, respectivement. L’Australie y figure pour neuf technologies, l’Italie (sept technologies), l’Iran (six), le Japon (quatre) et le Canada (quatre).

    On voit que les pays du Commonwealth (Royaume-Uni, l’Australie et le Canada) arrivent à se maintenir. De même les pays asiatiques comme l’Inde, le Japon et la Corée du Sud se situent à un niveau plus que raisonnable.

    Et la France ? Elle n’est dans le top 5 que dans deux domaines : l’énergie nucléaire (5 e après les Chinois, les Américains, les Japonais et les Indiens) et la gestion des déchets nucléaires (3 e après la Chine et les États-Unis). Elle est ainsi reléguée à une place similaire à celle de la Russie, Singapour, de l’Arabie saoudite, de la Malaisie et des Pays-Bas qui ne sont dans le top 5 que dans un seul domaine.

    Après une Europe sortie politiquement de l’Histoire, une Europe qui sort technologiquement de l’Histoire ?

    À l’exception de l’Allemagne, voire de l’Italie, l’Europe est quasiment absente. La France qui était jadis un cœur technologique suit désormais la voie de la Russie : un déclin technologique.

    Ironie du sort, l’Europe a mis au cœur de sa politique la transition énergétique. Sauf que le secteur des technologies énergétiques est entièrement dominé par la Chine. L’hydrogène, les batteries électriques et les supercondensateurs sont des technologies dont les Chinois ont le quasi-monopole.

    Si cette tendance se maintient, la France et plus généralement l’Europe vont très vite se retrouver sous contrôle énergétique de la Chine.

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      Les guerres de l’IA prouvent que Google n’est pas un monopole

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 3 March, 2023 - 03:40 · 5 minutes

    Par Danny Duchamp.

    Le cours de l’action Google a chuté de près de 10 % au début du mois à la suite de l’annonce par Microsoft de l’intégration de ChatGPT d’Open AI dans son moteur de recherche. Le moteur de recherche de Microsoft , Bing, ne représente actuellement que 3 % des recherches sur le Web, loin derrière la part de marché impressionnante de Google, qui dépasse les 90 %. La domination de Google dans le domaine de la recherche est si totale et stable depuis si longtemps qu’elle a conduit de nombreuses personnes à l’accuser de monopole.

    Les allégations de monopole sont courantes dans le discours politique et elles ont été formulées contre Google par tous les côtés de la boussole politique. En 2020, le sénateur Ted Cruz a accusé Google d’utiliser son pouvoir de « monopole » pour étouffer les voix conservatrices. En 2019, le sénateur Bernie Sanders a exprimé son désir de briser Google en raison de son prétendu statut de monopole. En janvier de cette année, le ministère de la Justice a poursuivi Google pour avoir « monopolisé » la publicité numérique, qui est la façon dont Google monétise son service de recherche.

    Comprendre ce qu’est un monopole

    La définition la plus simple et la plus sensée du mot « monopole » est celle d’un fournisseur d’un bien ou d’un service sans concurrents. En ce sens, Google n’est évidemment pas un monopole car il a toujours eu des concurrents. Il les a largement surpassés mais ils n’ont jamais disparu ; un concurrent qui ne détient que 3 % du marché reste un concurrent.

    Les économistes utilisent souvent une définition plus sophistiquée du monopole . Dans cette conception, nous commençons par examiner quel serait le problème d’un monopole. Un monopole pourrait augmenter ses prix et diminuer sa qualité sans perdre de clients au profit de concurrents, puisqu’ils n’existent pas. On raisonne alors que lorsqu’une entreprise est en position très dominante sur le marché (même si elle n’est pas totalement dépourvue de concurrents), elle peut être en mesure d’exploiter le biais du statu quo, les économies d’échelle, les effets de réseau et d’autres avantages liés au fait d’être un acteur dominant du marché pour adopter ces mêmes comportements monopolistiques. Cela est censé rendre utile le fait de qualifier certaines entreprises de « monopoles », même si leur part de marché est inférieure à 100 %.

    Le problème de l’application de ce principe à Google est qu’il prévoit qu’un concurrent ne devrait pas être en mesure de le menacer, même en fournissant un produit supérieur. La récente annonce de Microsoft , et les réactions qu’elle a suscitées, vont à l’encontre de cette prédiction. Si Google est réellement un monopole, pourquoi les investisseurs s’inquiéteraient-ils de voir un concurrent développer un nouveau produit ? Pourquoi Google se démènerait-il pour organiser à la dernière minute un événement sur l’intelligence artificielle de son cru ?

    Ils ne le feraient pas

    Étant donné que cela est évident, pourquoi Cruz, Sanders et le ministère de la Justice sont-ils si confiants dans leurs accusations ? Vous pourriez penser qu’ils mentent simplement, mais la réponse la plus probable est « l’irrationalité rationnelle ».

    L’irrationalité rationnelle est une notion inventée par l’économiste Bryan Caplan dans son livre The Myth of The Rational Voter . Il s’agit essentiellement de l’idée selon laquelle les gens se convainquent de choses agréables ou faciles à croire lorsqu’ils ne paient pas le prix de leur erreur.

    « L’irrationalité rationnelle est un raffinement modeste des modèles existants du comportement humain. Supposer que toutes les personnes sont totalement rationnelles tout le temps est une mauvaise économie. Il est plus logique de supposer que les gens adaptent leur degré de rationalité aux coûts de l’erreur. »

    Dans son livre, Caplan applique ce principe principalement aux électeurs, mais la logique s’applique tout aussi bien aux politiciens et aux agences gouvernementales.

    Il ne faut pas beaucoup de réflexion rationnelle pour comprendre pourquoi Google n’est tout simplement pas un monopole. Mais Cruz n’aime pas l’habitude de Google de censurer ceux qui sont de son avis politique. Il sait que les gens sont davantage disposés à soutenir l’action du gouvernement contre Google s’il est classé comme un « monopole ». Enfin, il ne paie pas le prix de son erreur s’il qualifie Google de monopole alors que ce n’en est pas un. Il se convainc donc que Google est un monopole.

    Bien que les préférences et les incitations soient différentes pour Sanders et le ministère de la Justice, la logique est la même. Ils veulent être en mesure de classer Google comme un monopole. S’ils décident que Google en est un et qu’ils ont tort, ils n’en subissent aucun coût. Ils affirment donc que Google est un monopole et ils le croient probablement.

    En revanche, les investisseurs paient un coût s’ils se trompent. Si Google est vraiment un monopole, ils ne devraient pas s’inquiéter du nouveau Bing et devraient rester investis. En revanche, si Google n’est qu’une entreprise prospère sur le marché libre de la recherche, alors Microsoft peut représenter une menace importante et ils devraient peut-être retirer leurs capitaux. Si les investisseurs se trompent, ils risquent de perdre tout ce qu’ils ont investi. Les investisseurs n’ont pas le luxe d’être rationnellement irrationnels.

    Pour être clair, on ne sait pas encore avec certitude si Bing, alimenté par l’IA, va prendre le contrôle du secteur de la recherche. Mais ce que l’on sait, c’est que les investisseurs prennent cette possibilité très au sérieux, démontrant ainsi qu’ils ne croient pas que Google est un monopole. Et comme ces investisseurs ont beaucoup plus intérêt à être rationnels en la matière, il serait sage d’accorder beaucoup plus de crédit à leurs opinions qu’à celles des politiciens et des experts.

    Sur le web

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      Non, les cryptomonnaies ne sont pas mortes

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 1 March, 2023 - 04:30 · 3 minutes

    L’écosystème des cryptomonnaies a particulièrement été malmené ces derniers temps, entre la chute du projet blockchain Terra Luna, et la faillite de FTX, une plateforme de trading.

    Créée en 2018, Terra Luna est une blockchain dont le stablecoin, le TerraUSD (UST), est adossé à cinq monnaies traditionnelles (dollar américain, euro, livre sterling, yen et yuan), mais qui a perdu sa parité avec le dollar avant de chuter de manière drastique en 2022. De la même manière, la chute de FTX a été provoquée par les actions frauduleuses de son fondateur, Sam Bankman-Fried, ayant réinvesti les fonds de ses clients dans des paris douteux. Des répercussions désastreuses à la fois pour les investisseurs, mais aussi pour les entreprises qui proposaient des services liés de près ou de loin à ces projets.

    Nul doute que ces événements ont donné du grain à moudre aux prétendus visionnaires du « scam » (en français, arnaque) que sont les cryptomonnaies. Des échecs qui conforteraient l’idée selon laquelle la monnaie ne peut être gérée par des acteurs privés et plus généralement des échecs qui seraient une preuve supplémentaire de l’incapacité de l’écosystème à tenir ses promesses. Les mêmes qui ont déclaré la mort de Bitcoin plus de 400 fois depuis sa popularisation (nous l’attendons toujours), et accusé entre autres d’être la plus grande pyramide de Ponzi de tous les temps – au risque d’étaler au grand jour leur méconnaissance du fonctionnement intrinsèque du protocole.

    Nous assistons pourtant à un mécanisme inhérent à toute économie de marché : l’élimination des mauvais acteurs – en l’occurrence, ceux ayant reproduit les défauts de la finance traditionnelle comme le fait de confier son capital à un acteur centralisé, avec les risques que cela implique – pour repartir sur des fondations plus saines. Le fait que 91 % des cryptomonnaies ont disparu depuis 2014, le plus souvent en raison d’un trop faible volume d’échange ou d’un abandon pur et simple du projet, est particulièrement probant. Pendant ce temps, d’autres projets, comme Ethereum, continuent de progresser et de bénéficier de l’investissement sans relâche de leur communauté.

    La deuxième blockchain en termes de valorisation et la première en termes d’usage a effectué en 2022 une mise à jour fondamentale dans son protocole, appelée « The Merge ». L’évolution consiste à adopter un nouveau mécanisme de consensus, moins énergivore : le Proof of Stake (POS). Après son implémentation, la consommation énergétique du réseau a chuté de 99,9 % , et alors qu’elle oscillait entre 46,31 et 93,98 térawattheures (TWh) par an auparavant, elle est désormais proche de 0,03-kilowattheure (kWh). En plus de contrecarrer les arguments critiques sur l’impact écologique des cryptomonnaies, le POS est présenté comme un moyen pour améliorer la scalabilité d’Ethereum, à savoir la capacité d’une blockchain à s’adapter à la hausse progressive des transactions (un élément essentiel pour son développement). Cette mise à jour aura donc des répercussions certaines sur le développement de tout un écosystème.

    N’oublions pas que la popularisation d’Internet et l’avènement du web2 ont aussi valu bon nombre de condamnations prématurées , avant de s’ancrer pleinement dans le quotidien de chacun. Certes, cette révolution est de nature différente de celle des cryptomonnaies – dont les origines relèvent d’une philosophie foncièrement hostile au monopole étatique de la monnaie, au contrôle des transactions économiques par les États et à leur ingérence dans la vie privée des citoyens à l’ère d’Internet. Nous ne pouvons que le constater aujourd’hui : les gouvernements et banquiers centraux ont tout intérêt à empêcher leur développement, ou du moins à minimiser leur portée en les présentant comme de simples outils spéculatifs.

    Les récents événements illustrent les travers dont souffre l’écosystème mais ils ne doivent pas occulter le fait que d’autres projets, qui reposent sur des bases plus solides, ne cessent de progresser. Il serait donc prématuré d’enterrer une révolution technologique qui n’est encore qu’à ses prémices.

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      ChatGPT vu par l’Intelligence Artificielle

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 28 February, 2023 - 04:20 · 6 minutes

    Chat GPT est une intelligence artificielle de type Chatbot développée par OpenAI. Utilisant le modèle GPT-3 (Generative Pre-training Transformer 3) ChatGPT est opérant sur des thématiques diverses,   est capable de s’adapter à un large éventail de sujets de conversation et de fournir des réponses fluides et naturelles. Si chatGPT a beaucoup fait parler de lui pour ses performances, époustouflé le monde, pour avoir, entre autres, passé avec succès l’examen final du MBA (Master of Business Administration) de la prestigieuse université proposé par l’école de commerce Wharton.

    Dans l’article de recherche consacré à cet « exploit » Would Chat GPT3 Get a Wharton MBA ? » (Chat GPT3 obtiendrait-il un MBA Wharton ?) les auteurs sont dithyrambiques :

    « ChatGPT3 est remarquablement doué pour modifier ses réponses en réaction à des indices humains. En d’autres termes, dans les cas où il n’a pas initialement réussi à faire correspondre le problème avec la bonne méthode de résolution, Chat GPT3 a pu se corriger après avoir reçu un indice approprié d’un expert humain. Compte tenu de ces performances, Chat GPT3 aurait reçu une note de B à B- à l’examen. »

    Allons plus loin.

    ChatGPT selon l’IA…

    « L’intelligence artificielle est devenue un outil essentiel pour les entreprises qui cherchent à améliorer leurs processus. ChatGPT est un outil révolutionnaire basé sur l’intelligence artificielle qui offre aux entreprises une solution efficace pour automatiser leurs processus. Il peut être utilisé pour des applications telles que la génération de contenu, le traitement du langage naturel, la classification et les prédictions. Il est conçu pour aider les entreprises à automatiser leurs processus et à simplifier les tâches complexes.. ChatGPT est plus qu’une simple technologie d’IA ; c’est un outil à part entière qui crée des possibilités infinies pour les entreprises.

    Avec l’avènement de l’intelligence artificielle, les possibilités offertes aux professionnels du marketing et à leurs clients se sont considérablement élargies. Le ChatGPT est un outil innovant basé sur l’intelligence artificielle qui permet aux entreprises de concevoir et de distribuer rapidement des contenus optimisés pour leur public cible. Dans cet article, nous allons examiner en détail le fonctionnement de ce système et voir comment il peut aider les copywriters à créer des contenus plus efficaces.

    Une technologie particulièrement intéressante à ce sujet est ChatGPT, une plateforme qui utilise l’apprentissage profond pour créer et générer du contenu automatiquement. Dans cet article, nous vous expliquerons comment ChatGPT peut être un atout précieux pour votre entreprise et pourquoi vous devriez envisager de l’utiliser..

    Écrire un article fatigue beaucoup les neurones !

    Mais grâce à ChatGPT vous pouvez désormais faire appel à l’intelligence artificielle pour vous aider à écrire vos articles.

    ChatGPT est une application qui a été spécialement conçue pour vous aider à créer rapidement et facilement des articles de qualité. Il utilise l’intelligence artificielle pour comprendre votre sujet et générer automatiquement un article intelligent, pertinent et intéressant.

    Avec ChatGPT, écrire un article n’est plus une tâche longue et fastidieuse. Vous n’avez pas besoin de passer des heures devant votre ordinateur à essayer de trouver les mots justes ou à chercher des informations sur le sujet. Tout ce dont vous avez besoin, c’est d’un sujet et ChatGPT fera le reste pour vous ! Grâce à lui, la rédaction d’articles devient plus rapide et plus efficace. Et comme il s’agit d’une technologie basée sur l’IA, il continue d’apprendre constamment afin que ses résultats s’améliorent !

    ChatGPT est une application de chatbot qui se base sur l’IA pour vous aider à produire du contenu de qualité. En effet, il est capable de comprendre ce que vous voulez écrire et peut même des suggestions en fonction du contexte.

    Ainsi, si vous avez besoin d’aide pour écrire un article, n’hésitez pas à faire appel à ChatGPT !

    Énormément !

    Énormément ! Selon l’intelligence artificielle, ChatGPT est le meilleur endroit pour trouver des chats.

    « Les chatons sont mignons et il y a une grande variété de chats à choisir. Vous pouvez trouver des chats de race pure, ainsi que des mélanges.

    ChatGPT offre également des conseils sur l’alimentation et la santé des chats, ainsi que des informations sur les races de chat et leurs caractéristiques. Vous pouvez également trouver des informations sur les comportements et les habitudes courantes des chats, comment choisir un bon vétérinaire et comment régler certains problèmes de comportement. Enfin, ChatGPT propose une variété de produits pour chats tels que des jouets, des litières et d’autres articles utiles.s intéressants et uniques. Vous pouvez également trouver des conseils et des informations sur la façon d’accueillir et de prendre soin d’un chat. De plus, vous pouvez discuter avec d’autres propriétaires de chat pour demander conseil et partager vos expériences. »

    ChatGPT a écrit une partie de cet article

    Non rassurez-vous je ne suis pas devenu fou ! Depuis « ChatGPT selon l’IA… » c’est une lA qui écrit cet article –  notons qu’il y a encore quelques ajustements à faire – et non ChatGPT ne vous aidera pas à choisir votre chat. Quoique, il suffira de le lui demander : «  quel est le meilleur chat ? »

    Toutefois ce que j’avais demandé à l’IA que j’ai utilisée, à savoir copymatic était de rédiger un article relatif à l’avis de cet IA sur ChatGPT : « ChatGPT selon l’intelligence artificielle » ! Donc par delà cette étonnante histoire de chat, ne vous formalisez ni des fautes d’orthographe ni des erreurs de syntaxes et de grammaires que j’ai volontairement conservées. Je tiens donc à remercier copymatic … et projette donc d’acheter un chat… Mais plutôt un chat qui parle…

    Pour le reste l’IA ne cessera de progresser, soulevant de nombreux questionnements. Je laisse le lecteur en juger, et réfléchir à la façon dont cette IA pourra être utilisée dans son secteur d’activité… Si le monde de l’enseignement dans lequel j’évolue s’inquiète pour partie, je me suis rendu compte en rédigeant cet article que lors de la rédaction d’un article l’IA (à qui il manquera toujours l’empathie) nécessite une relecture approfondie des éléments qui sont avancés, quitte à rectifier et/ou compléter. Il doit être paramétré de façon très précise pour obtenir un résultat fluide et censé…  Pour un article complet et étayé sur ChatGPT de nombreux éléments manquent, des références font défaut, il m’aurait fallu les intégrer lors de mon paramétrage.

    Aussi, il me semblerait intéressant de tenter l’expérience suivante avec des étudiants volontaires : Après avoir suivi un même cours, tirer au sort la moitié du groupe qui utilisera ChatGPT, l’autre non, de leur soumettre un même sujet. Puis dans un deuxième temps valider par un quizz – par exemple-  les acquis finaux des étudiants. Est-on certain que les étudiants n’ayant pas utilisé ChatGPT auront retenu moins de choses ? Je demeure plus optimiste que Stephen Hawking , rien n’est moins certain.

    « La création d’une intelligence artificielle serait le plus grand événement de l’histoire de l’humanité. Mais il pourrait aussi être l’ultime. » Stephen Hawking

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      La cryptomonnaie décryptée (1) : oui, la blockchain est une révolution !

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 17 February, 2023 - 04:30 · 7 minutes

    En plusieurs étapes nous vous proposons de rendre la cryptomonnaie à la portée de toutes et tous.

    La blockchain

    Décrire et expliquer la technologie blockchain n’est pas une sinécure pour la rendre compréhensible à tout un chacun… avant d’en venir au bitcoin et à la cryptomonnaie revenons si vous le voulez bien sur son histoire. Pour faire très simple, la blockchain est une base de données avec pour principales particularités : Décentralisation, immutabilité, consensus.

    Décentralisation

    La prise de décision pour valider une transaction quelle qu’elle soit est collective… Et les valideurs doivent avoir prouvé leur expertise !

    Immutabilité

    Il est impossible de modifier une transaction qui a été inscrite sur la blockchain.

    Consensus

    Un système blockchain établit des règles concernant le consentement des participants pour l’enregistrement des transactions. Nul ne peut enregistrer de nouvelles transactions si l’ensemble des participants du réseau n’a pas donné son accord.

    La blockchain est-elle totalement secure ?

    Dans le monde du hacking , qu’il soit éthique ou dévoyé, il est une règle intangible : tout ce qui est fait par l’homme peut être défait par l’homme !

    Au demeurant, s’il existe, le risque de piratage d’une blockchain est infime !

    Seule une attaque des 51 % connue sous le nom d’ attaque Goldfinger peut fonctionner. Sachez par ailleurs que les attaques des 51 % sont des problèmes pour les petits réseaux blockchain qui fonctionnent en « Proof Of Work » ; le peu de mineurs y opérant peuvent facilement être débordés par un attaquant. Nous reviendrons dans un prochain article sur la notion de « Proof Of Work » et « Proof Of Stake » et de mineurs. Retenez que le piratage d’une blockchain peut se faire seulement s’il y a une combinaison de hackers expérimentés et capables de fournir la puissance équivalente à 51 % de la puissance de calcul total des mineurs de la blockchain. Bref, notez juste que c’est un risque extrêmement rare.

    Quelle que soit la finalité de la blockchain qui, adaptée, peut se mettre au service de nombreux secteurs bien au-delà de la cryptomonnaie, banque, assurance, agroalimentaire, etc . elle est une technologie de stockage et de transmission d’informations de manière sécurisée et décentralisée. Cela signifie qu’au lieu de stocker des données sur un seul serveur centralisé, la blockchain répartit les informations sur un réseau de participants, appelés nœuds . Chaque nœud possède une copie de la blockchain et valide les transactions qui y sont ajoutées.

    La blockchain est souvent associée aux cryptomonnaies telles que le bitcoin mais elle a de nombreuses autres utilisations potentielles. Par exemple, elle peut être utilisée pour stocker des contrats, des données de vote, des informations médicales, des certificats d’authenticité et bien plus encore. La sécurité de la blockchain repose sur des algorithmes cryptographiques qui garantissent l’intégrité des données et la confidentialité des utilisateurs.

    Blockchain et cryptomonnaie

    Vous le savez certainement si vous êtes un expert, la blockchain n’est pas née de la dernière pluie de bitcoin tombée – ou pas –  dans votre escarcelle, tant s’en faut !

    La personne (ou le groupe anonyme) connue sous le nom de Satoshi Nakamoto est considéré comme le créateur de la première cryptomonnaie moderne : le bitcoin. Celui ou ceux qui se cachent derrière ce pseudonyme sont présenté(s) comme les artisans de l’architecture blockchain rendant le bitcoin et les autres cryptomonnaies possibles…

    Mais les choses sont légèrement plus complexes, n’en déplaise à leur génie, ils n’en sont pas les inventeurs, si vos serviteurs peuvent vous éclairer deux remarques :

    D’une part, ils ont pour ainsi dire hacké au sens constructif du terme la blockchain originelle disponible en open source. Nakamoto a ainsi et dans un premier temps, téléchargé en 2008 le code open source (donc modifiable) de la blockchain sur SourceForge afin que les développeurs de logiciels du monde entier puissent contribuer au projet, l’élaboration d’une blockchain adaptée à la cryptomonnaie…  Bitcoin voit ainsi le jour en 2009.

    D’autre part, dans sa thèse intitulée « Systèmes informatiques établis, maintenus et approuvés par des groupes mutuellement méfiants » ( Computer Systems Established, Maintained and Trusted by Mutually Suspicious Groups David L. Chaum — Published April 1982) David Chaum a décrit une base de données blockchain.

    C’était en 1982 et c’est d’une part la première proposition connue d’un protocole blockchain… soit 27 ans avant Bitcoin. Et pour rendre réellement à Caesar ce qui appartient à Caesar, Chaum est également connu pour avoir développé ecash, une application de monnaie électronique visant à préserver l’anonymat d’un utilisateur, un système qui a été mis en application dans les années 1990 par l’entreprise DigiCash. Ce cypherpunk né en 1955 est ainsi le pionnier, tant sur ses recherches sur les communications anonymes que pour avoir été le premier à conceptualiser l’argent liquide numérique. Oui, forcément cela calme les génies bitcoinien ! Nous en sommes désolés Satoshi Nakamoto !

    Le bitcoin dans la lignée des cypherpunk

    Le bitcoin n’est ainsi pas né ex nihilo ! Il a émergé en force en s’appuyant sur des expérimentations préexistantes, dans la dynamique et la poursuite d’une idéologie cypherpunk, des individus qui prônent l’utilisation proactive de la cryptographie dans le but d’assurer la confidentialité et la liberté des individus sur Internet.

    En définitive, le bitcoin, les cryptomonnaies n’ont fait que populariser le buzzword blockchain ! Il est dans toutes les bouches qui s’en gargarisent à l’envi et n’y comprennent pas forcément grand-chose, mais cela pose son homme et sa femme dans une soirée high tech.

    Un registre ouvert kesako ?

    Pour ce qui concerne la cryptomonnaie, c’est le registre public de toutes les transactions bitcoin par ordre chronologique !

    Cela permet d’assurer la traçabilité des transactions bitcoin. Le but est simplement d’empêcher qu’un petit malin, autrement appelé un escroc, puisse dépenser ses bitcoins auprès de plusieurs usagers différents au même moment.

    Clé publique et clé privée. Quel rôle dans la blockchain ?

    Avant d’aller plus avant dans l’univers des cryptomonnaies, il vous faut comprendre la différence entre une clé publique et une clé privée et comment elles s’insèrent dans la blockchain des cryptomonnaies.

    Facile une fois encore, cela relève de la cryptographie asymétrique inventée dans les années 1970. Comme vous pouvez le deviner la clé privée doit être conservée précieusement par son utilisateur et ne doit être divulguée sous aucun prétexte, tandis que la clé publique doit être partagée avec le réseau.

    Suivez-nous bien… concentrez-vous : une clé publique est générée à partir d’une clé privée à l’aide d’une méthode de multiplication par courbe elliptique. Cette méthode n’est pas réversible (il est impossible de retrouver une clé privée grâce à la clé publique). Dans le domaine des blockchain, une clé privée permet de signer une transaction et donc d’envoyer des cryptomonnaies… Si un utilisateur décide d’envoyer des bitcoins à un autre usager de façon cryptée (clé privée), le réseau pourra valider ou non la transaction (clé publique).

    Vos clefs, vos cryptos !

    Le dicton « vos clefs, vos cryptos » est un avertissement important pour les détenteurs de cryptomonnaies.

    En effet, contrairement aux comptes bancaires traditionnels, les transactions de cryptomonnaies ne sont pas complètement régulées par des tiers de confiance, ce qui signifie que la sécurité de vos fonds dépend entièrement de la manière dont vous les protégez. La clé privée est la clé secrète qui permet d’accéder à votre portefeuille de cryptomonnaies. Elle doit être gardée en sécurité et jamais partagée avec quiconque. La clé publique, quant à elle, est l’adresse publique de votre portefeuille de cryptomonnaies. C’est cette adresse que vous pouvez partager pour recevoir des paiements.

    Les échanges centralisés permettent d’acheter facilement des cryptomonnaies mais ils représentent également un risque important pour la sécurité de vos fonds (nous vous invitons à vous renseigner sur la récente affaire FTX si vous souhaitez en savoir davantage). Les échanges centralisés conservent généralement vos clés privées, ce qui signifie que si l’échange est piraté ou fait faillite, vos fonds peuvent être perdus. En outre, les échanges centralisés peuvent être la cible d’attaques de hackers , ce qui peut également compromettre la sécurité de vos fonds. Par conséquent, il est important de transférer vos fonds vers votre propre portefeuille de cryptomonnaies, où vous contrôlez vos clés privées et donc la sécurité de vos fonds. Ne vous inquiétez pas, nous vous expliquerons tout dans cette suite d’articles.

    « Quand l’innovation transforme l’électronique en mine d’or, on sait qu’une blockchain est passée par là. » Khaled Haddad

    À suivre : les mystères mystérieux du Smart Contract