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      Gary Lineker, Theresa May and David Nicholls join the Hay festival 2024 lineup

      news.movim.eu / TheGuardian · Tuesday, 12 March - 12:00

    This year’s festival promises to be a ‘civic platform’, with a new series of daily news analysis, a debate about the Israel-Gaza war and an appeal to the younger generation

    Elif Shafak, Anne Enright, David Nicholls, Judi Dench, Gary Lineker and Theresa May are among those lined up to speak at this year’s Hay festival.

    Novelists including 2023 Booker winner Paul Lynch, Ayọ̀bámi Adébáyọ̀, Amor Towles, Jacqueline Wilson, Marian Keyes and Jhumpa Lahiri are also scheduled to appear, festival organisers have announced.

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      Theresa May: loyal constituency MP who lost Tory support over Brexit

      news.movim.eu / TheGuardian · Friday, 8 March - 10:16

    Years in No 10 were plagued by in-fighting as she tried to deliver Brexit that would placate hard right and centrist factions

    After grand dinners at Chequers, the UK prime ministers’ countryside retreat, Theresa May often used to ask her driver to take her 45 minutes across the Buckinghamshire countryside to her home in Maidenhead, rather than staying overnight.

    Even as prime minister, May maintained a devotion to her constituency which sometimes baffled aides but encapsulated the contradictions at the heart of one of Britain’s most successful but hard-to-define politicians.

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      Theresa May becomes latest Tory MP to step down before election, saying ‘it has been an honour to serve’ – UK politics live

      news.movim.eu / TheGuardian · Friday, 8 March - 07:20

    Former PM says she remains committed to supporting Sunak as she decides to ‘pass the baton on’ after 27 years

    Theresa May has made her announcement that she is stepping down in her local newspaper, the Maidenhead Advertiser. PA Media have an excerpt from the statement:

    Since stepping down as prime minister I have enjoyed being a backbencher again and having more time to work for my constituents and champion causes close to my heart including most recently launching a global commission on modern slavery and human trafficking.

    These causes have been taking an increasing amount of my time.

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      Theresa May to step down as MP at next general election

      news.movim.eu / TheGuardian · Friday, 8 March - 06:48


    Former PM says she wants to focus on causes close to her heart after 27 years in parliament

    The former prime minister Theresa May will step down as an MP at the next general election after 27 years in parliament.

    In a statement to the Maidenhead Advertiser, the Maidenhead MP said she wanted to focus on causes close to her heart, including her work on the Global Commission on Modern Slavery and Human Trafficking.

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      Boris Johnson aurait tort de se réjouir, le précédent Theresa May le prouve

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 7 June, 2022 - 09:37 · 4 minutes

    En 2017, Theresa May et Boris Johnson étaient dans le même gouvernement. Deux ans plus tard, le second succédait à la première comme Premier ministre. En 2017, Theresa May et Boris Johnson étaient dans le même gouvernement. Deux ans plus tard, le second succédait à la première comme Premier ministre.

    ROYAUME-UNI - Ne jamais crier victoire trop vite. Au lendemain de sa “survie” au vote de défiance de son parti suite au scandale suscité par l’affaire du “PartyGate”, Boris Johnson souhaite déjà aller de l’avant.

    Après une majorité de voix en faveur du Premier ministre britannique (211 contre 148 contre), ce dernier s’est empressé de saluer un “résultat convaincant” le confortant dans son rôle de chef de gouvernement.

    Souhaitant déjà “passer à autre chose”, Boris Johnson oublie peut-être un peu trop vite un précédent qui ne joue clairement pas en sa faveur, après la perte de confiance d’une partie considérable de membres du Parti conservateur , les Tories.

    Le précédent Theresa May

    Boris Johnson doit en effet se souvenir de l’expérience de sa prédécesseure au poste de Premier ministre. Retour en décembre 2018. Boris Johnson est encore député et c’est alors Theresa May qui occupe le 10 Downing Street. Mise à mal par son choix de reporter le vote décisif sur le Brexit, 48 lettres de défiance en provenance de députés conservateurs avaient alors été déposées, obligeant alors la femme d’État à affronter la sentence du Parti conservateur.

    Le 12 décembre 2019, avec finalement 200 voix pour elle, contre 117 en sa défaveur, la Première ministre de l’époque avait été confortée pour un an à son poste, mais avait aussi été contrainte d’abandonner l’idée de se représenter comme cheffe de file de son parti pour les prochaines législatives.

    Mise à mal par ce vote de défiance et incapable de mener à terme (par trois fois) son projet sur le Brexit négocié avec l’Union européenne en échouant à le faire voter par la Chambre des communes, elle se retrouve alors en position délicate et isolée politiquement. Aux précédentes démissions de ses ministres un mois plus tôt, vient alors s’ajouter celle du lord président du Conseil.

    Malgré un vote en sa faveur quelques mois plus tôt, elle se résigne finalement à démissionner de la présidence du parti conservateur le 24 mai 2019. Elle conservera alors ses attributions au 10 Downing Street jusqu’au 24 juillet et la désignation de son successeur: Boris Johnson.

    Un “partygate” trop encombrant?

    Si Theresa May avait profité d’une marge de voix plus large que son successeur, Boris Johnson doit surtout faire face à une image fortement dégradée par le scandale dans lequel il baigne depuis l’été 2020 et l’organisation de soirées au sein même de Downing Street en pleine pandémie de Covid-19, le “partygate”. Ses justifications dans cette affaire n’ont pas aidé à redorer son blason, malgré une gestion de la guerre en Ukraine saluée sur le plan politique, là où Theresa May pâtissait de sa gestion du Brexit.

    Et si le vote de lundi est plutôt en sa faveur si l’on regarde les chiffres, dans les faits, le Premier ministre britannique jouit maintenant d’un désamour grandissant illustré durant le jubilé de platine de la reine Elizabeth II .

    Protégé pour un an, selon les règles officielles en vigueur outre-Manche, Boris Johnson va toutefois devoir affronter la grogne interne des Tories. “Un Premier ministre avec un sens de l’honneur regarderait les chiffres, accepterait le fait qu’il a perdu le soutien d’une partie importante de son parti et réfléchirait à sa position, mais je ne pense pas qu’il le fera”, a réagi le député frondeur Roger Gale après le résultat des votes.

    D’autant plus que les répercussions du “ partygate ” ne sont pas finies. Après la police et la haute fonctionnaire Sue Gray, une autre enquête est prévue, celle du  Parlement . Si cette dernière conclut, a priori à l’automne, que Boris Johnson a trompé la Chambre des Communes en affirmant ne pas avoir enfreint les règles, il n’aura d’autres choix que de démissionner pour avoir menti.

    “Des mots ont été prononcés qui ne peuvent être rétractés, des rapports publiés qui ne peuvent être effacés et des votes ont été exprimés qui montrent un niveau de rejet plus grand que jamais pour un dirigeant conservateur”, observe pour sa part l’ancien dirigeant conservateur William Hague dans les colonnes du Times après le vote de défiance.

    À voir également sur Le HuffPost: Boris Johnson massivement hué lors de son arrivée à la messe du jubilé