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      Uber Files : Emmanuel Macron aurait contribué à cette « grande opération de manipulation »

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 18 July, 2023 - 10:15

    La commission d'enquête parlementaire sur Uber et ses opérations de lobbying auprès du gouvernement français a rendu ses conclusions. Le rapport indique que l'entreprise aurait « trouvé des alliés » au sein du gouvernement au moment de son arrivée en France, notamment Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie. [Lire la suite]

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      Uber Files : le lanceur d’alerte est le très haut placé Mark MacGann, ancien lobbyiste d’Uber

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 12 July, 2022 - 12:24

    L'ancien patron irlandais d'Uber, Mark MacGann, a révélé au Guardian avoir fourni des milliers de messages internes et compromettants qui ont été échangés au sein de l'entreprise américaine. [Lire la suite]

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      "Uber Files": Les Insoumis veulent aussi une enquête au Parlement européen

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 12 July, 2022 - 10:49 · 3 minutes

    Au Parlement européen, les députés de La France insoumise espèrent obtenir une enquête sur les révélations des Au Parlement européen, les députés de La France insoumise espèrent obtenir une enquête sur les révélations des "Uber Files", qui attaquent notamment Emmanuel Macron (photo d'illustration prise le 8 juin à Strasbourg).

    UBER FILES - L’affaire va-t-elle faire des vagues jusqu’au niveau européen? Depuis le dimanche 10 juillet et les révélations de plusieurs titres de presse sur les “Uber Files” , les oppositions françaises cherchent à mettre la pression sur Emmanuel Macron , accusé d’avoir noué des liens très étroits avec la plateforme Uber au moment de son arrivée en France.

    À l’Assemblée nationale, les députés de la Nupes demandent notamment l’ouverture d’une enquête parlementaire quand le RN demande un “droit de suite” à une précédente commission, ainsi que la transmission de questions écrites à Bercy . Et ce mardi 12 juillet au matin, les Insoumis font savoir qu’ils aimeraient également voir le Parlement européen et sa présidente Roberta Metsola lancer des investigations.

    C’est Leïla Chaibi , présidente de la délégation insoumise à Bruxelles et ferme opposante aux plateformes pratiquant l’ubérisation , qui en fait la demande. Dans son communiqué, elle fustige notamment la collusion entre le président français et ceux qui défendent les intérêts d’Uber. “Dès mes premiers rendez-vous avec les lobbyistes des plateformes, j’ai constaté qu’ils avaient des étoiles dans les yeux à l’évocation du nom d’Emmanuel Macron”, écrit-elle.

    Emmanuel Macron “VRP d’Uber”

    L’eurodéputée dénonce également la “pression” que mettrait Emmanuel Macron au sein des institutions européennes pour “tenter d’affaiblir la directive en cours de construction pour les droits des travailleurs de plateforme”. Une référence au texte qui vise à faire reconnaître comme salariat le travail pour les différentes plateformes telles qu’Uber.

    Elle ajoute ainsi qu’Emmanuel Macron “et les lobbies parlent d’une même voix offensive pour contrer la présomption de salariat pourtant proposée par la Commission”. Une action en forme de continuation du travail de “VRP d’Uber” que dénonce Leïla Chaibi. Ce qui lui fait dire que le Parlement de Strasbourg devrait ainsi “lancer une enquête sur le lobbying d’Uber” et “suspendre l’accréditation des lobbyistes européens” de l’application.

    Au passage, Leïla Chaibi déplore que la France, au cours de sa présidence de l’Union européenne, n’ait pas “publié ses rencontres avec les lobbys, jetant davantage le trouble sur les liens entre Emmanuel Macron et Uber”. Un sujet sur lequel elle réclame que le Conseil de l’Union européenne “rende publics tous les documents et rendez-vous de la PFUE portant sur les plateformes”.

    Alors que le Parlement et la Commission européennes travaillent de longue date sur la question des plateforme et de la protection de ceux qu’elles embauche, reste donc à voir si l’affaire des “Uber Files” prendra de l’ampleur à l’échelle continentale.

    À voir également sur le HuffPost : Après les “Uber files”, ces taxis parisiens dénoncent la “complicité” d’Emmanuel Macron

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      "Uber Files": Macron n'a pas prévenu l'Élysée, assure Hollande

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 12 July, 2022 - 06:30 · 2 minutes

    Président de la République au moment où Uber s'est implanté en France, François Hollande assure n'avoir été aucunement au courant des actions de lobbying d'Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie (photo d'archive prise en mai 2017). Président de la République au moment où Uber s'est implanté en France, François Hollande assure n'avoir été aucunement au courant des actions de lobbying d'Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie (photo d'archive prise en mai 2017).

    UBER FILES - Il est le président sous qui l’affaire a eu lieu. Depuis dimanche 10 juillet au soir, l’affaire des “ Uber Files ” agite la vie politique française du fait de l’implication de l’actuel président de la République, Emmanuel Macron, dans l’implantation d’Uber en France lors du quinquennat de François Hollande .

    Des agissements dont l’Élysée n’aurait pas eu connaissance à l’époque, en 2015, selon l’ancien chef d’État. C’est que l’intéressé a expliqué lundi à nos confrères de Libération , assurant: “Il n’y a jamais eu, au niveau de l’Élysée, la connaissance du moindre deal. Si ça s’est fait, l’Élysée n’était pas au courant.”

    Quel niveau de connaissance pour Cazeneuve?

    Emmanuel Macron est accusé sur la base de milliers de documents et notamment de SMS échangés entre les dirigeants de l’application et celui qui était alors ministre de l’Économie. Après que la “loi Thévenoud” d’octobre 2014, qui interdisait notamment aux particuliers de devenir taxis occasionnels grâce au service “ UberPop ”, il serait ainsi intervenu pour faciliter l’implantation de l’activité principale d’Uber.

    Cela en dépit d’une opinion publique et d’un gouvernement alors opposés à une telle arrivée. Une prise d’initiative dont François Hollande aurait donc été tenu à l’écart.

    Quant à Bernard Cazeneuve , surnommé “Caz” par dans un message de l’ancien patron du groupe américain Travis Kalanick, il était à ce moment-là ministre de l’Intérieur et donc directement en charge du conflit entre taxis et VTC . Également interrogé par Libé, celui qui est devenu Premier ministre en décembre 2016, refuse de répondre sur le sujet.

    Accusé dans les “Uber Files” d’avoir “accepté” l’accord passé entre Emmanuel Macron et Uber, il explique réserver sa parole ”à un cadre officiel, comme une commission d’enquête parlementaire, par exemple”.

    Après ces révélations, l’alliance de gauche Nupes souhaite une commission d’enquête parlementaire, tandis que le RN demande un “droit de suite” à une précédente commission sur l’affaire Alstom.

    À voir également sur le HuffPost : “Uber files”: Ces taxis parisiens dénoncent la “complicité” d’Emmanuel Macron

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      En plein "Uber files", Macron à Grenoble pour vanter le "succès" de sa politique économique

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 12 July, 2022 - 04:45 · 3 minutes

    Emmanuel Macron photographié lors d'une visioconférence Emmanuel Macron photographié lors d'une visioconférence "Choose France" en janvier 2021 (Photo by Ludovic MARIN / POOL / AFP)

    POLITIQUE - C’est l’histoire de deux actualités qui se télescopent. La première concerne les révélations au sujet du rôle controversé joué par Emmanuel Macron lorsqu’il était ministre de l’Économie pour aider Uber à s’implanter en France. La deuxième porte sur la cinquième édition du sommet “Choose France” , rendez-vous pro-business d’envergure instauré par le chef de l’État en 2018 et visant à inciter les acteurs économiques à investir dans l’hexagone.

    Ce mardi 12 juillet, c’est dans le cadre de cet événement qui s’est ouvert lundi à Versailles que le président de la République se rend du côté de Grenoble, à Crolles précisément, pour célébrer un investissement record sur le site de STMicroelectronics: 5,7 milliards d’euros.

    La multinationale franco-italienne spécialisée dans la fabrication de puces électroniques va construire avec un autre géant (américain) du secteur, GlobalFoundries une nouvelle usine sur place. Avec, à la clé, la création d’un millier d’emplois et la promesse d’une souveraineté industrielle sur cette filière aussi sensible que stratégique.

    “Un succès majeur”, se félicite l’Élysée, qui voit dans ce déplacement le résultat “de la politique d’investissement promue par le président de la République” visant à “créer de l’emploi dans les territoires” en travaillant directement avec les entreprises. Ce qui va au-delà du seul site de Crolles, puisque la présidence revendique sur tout le territoire 4000 “emplois pérennes” obtenus via Choose France depuis le mois janvier.

    “Le pays le plus attractif d’Europe”

    Une politique qui “produit des résultats”, insiste-t-on de même source, dans ce qui sonne comme une allusion discrète aux critiques adressées à Emmanuel Macron au sujet de sa proximité avec Uber au moment où la start-up cherchait à s’implanter à s’implanter en France dans des conditions favorables. Ce discours fait écho aux justifications brandies par la Macronie pour répondre à ces attaques, consistant à répéter que le volontarisme du chef de l’État pour attirer des investissements étrangers sur le territoire national n’est pas vraiment un scoop.

    “Si le nombre de projets et d’emplois issus d’investissements internationaux atteint des niveaux records, c’est grâce à la politique économique mise en place par Emmanuel Macron depuis 2017. Soyons fiers de ces résultats”, a tweeté le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, qui, selon Le Monde , s’est lui-même personnellement impliqué dans le projet de Crolles. “C’est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle”, a-t-il ajouté.

    “Pour la 3e année consécutive, la France est le pays le plus attractif d’Europe”, se félicite de son côté la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher. Une façon de répondre, sans avoir l’air d’y toucher, aux oppositions qui dépeignent Emmanuel Macron en représentant d’intérêts privés étrangers.

    À voir également sur Le HuffPost: Il n’y a que deux chefs d’opposition que Borne n’a pas cité et ça en dit long

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      "Uber Files": Qui est Mark MacGann, le lanceur d'alerte

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 11 July, 2022 - 20:49 · 3 minutes

    Un panneau de signalisation Uber à l'aéroport international de Los Angeles, le 10 juillet 2022. (photo d'illustration) Un panneau de signalisation Uber à l'aéroport international de Los Angeles, le 10 juillet 2022. (photo d'illustration)

    UBER - Les “Uber Files” ont désormais un visage. Le lobbyste Mark MacGann a déclaré dans The Guardian être le lanceur d’alerte sur les pratiques d’Uber et celui qui a fourni des milliers de documents compromettants sur la société américaine au quotidien britannique.

    Mark MacGann, qui a mené entre 2014 et 2016 les efforts de lobbying de la plateforme de voitures avec chauffeurs en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, a décidé de parler car il estime qu’Uber a enfreint la loi dans des dizaines de pays et trompé les gens sur les bénéfices du modèle de l’entreprise, selon The Guardian .

    Âgé de 52 ans, il reconnaît avoir sa part de responsabilité dans les faits qu’il dénonce aujourd’hui: “j’étais celui qui parlait aux gouvernements, qui poussait (le modèle d’Uber) dans les médias, celui qui disait aux gens qu’ils devraient changer les règles car les chauffeurs allaient en bénéficier et que les gens allaient avoir beaucoup d’opportunités économiques”, raconte-t-il dans un entretien au Guardian .

    Quand l’évolution de la société a montré que “nous avions vendu un mensonge, comment avoir sa conscience claire si on ne s’élève pas contre la manière dont les gens sont traités aujourd’hui?”, ajoute-t-il.

    124.000 documents datés de 2013 à 2017

    Uber, devenu le symbole de la “gig economy” -ou l’économie des petits boulots issue des plateformes internet de services aux consommateurs- se retrouve plongé dans son passé tumultueux depuis dimanche à la suite d’une vaste enquête de journalistes accusant l’entreprise d’avoir “enfreint la loi” et utilisé des méthodes brutales pour s’imposer malgré les réticences des politiques et des compagnies de taxis.

    Le Guardian a partagé avec le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) quelque 124.000 documents, datés de 2013 à 2017, comprenant des emails et messages des dirigeants d’Uber à l’époque, ainsi que des présentations, notes et factures.

    Dimanche, plusieurs organisations de presse (dont le Washington Post , Le Monde et la BBC) ont publié leurs premiers articles tirés de ces “Uber Files”. Ils mettent en avant certaines pratiques de Uber pendant ces années d’expansion rapide mais aussi de confrontations, de Paris à Johannesburg.

    Le Monde s’est notamment intéressé aux liens entre la société américaine et Emmanuel Macron à l’époque où il était ministre de l’Économie (2014-2016). Sont pointées du doigt certaines pratiques destinées à aider Uber à consolider ses positions en France, comme le fait de suggérer à l’entreprise de présenter des amendements “clés en main” à des députés.

    Uber dit avoir changé depuis l’éviction en 2017 de son ancien patron Travis Kalanick, aux méthodes controversées et douteuses et qui avait créé une culture d’entreprise largement toxique. Le porte-parole de ce dernier a réfuté dimanche toutes les accusations des journaux, y compris celle d’obstruction de la justice.

    À voir également sur Le HuffPost : “Uber files”: Ces taxis parisiens dénoncent la “complicité” d’Emmanuel Macron

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      Uber Files : qui est le sulfureux Travis Kalanick et qu’est-il devenu ?

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 11 July, 2022 - 11:03

    C’est l’autre grand nom qui apparaît dans la polémique des Uber Files. Face à Emmanuel Macron, Travis Kalanick, un des fondateurs d’Uber, a joué de son influence pour imposer le service de VTC en France. Qui est-il ? Pourquoi est-il aussi controversé ? Qu’est-il devenu ? [Lire la suite]

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      Uber Files: Nicolas Bouzou répond aux accusations

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 11 July, 2022 - 10:41 · 3 minutes

    Le président de la République Emmanuel Macron n'est pas la seule personnalité à être impliquée dans les Le président de la République Emmanuel Macron n'est pas la seule personnalité à être impliquée dans les "Uber Files" qui dénoncent les pratiques de l'application à son arrivée en France. L'économiste Nicolas Bouzou, entre autres, l'est également (photo d'archive prise en juin 2018 en Charente-Maritime).

    UBER FILES - Emmanuel Macron n’est pas seul à être pris dans les phares des VTC. Dimanche 10 juillet, plusieurs médias dont Le Monde et les antennes de Radio France ont publié une série d’articles incriminant Uber , le géant de la mise en relation entre véhicules avec chauffeurs et particuliers. Une application mondialement connue et dont le lobbying à son arrivée en France sont dénoncées par les enquêtes de plusieurs médias internationaux dont Le Monde et Radio France.

    Ainsi, plusieurs articles reviennent sur la manière dont l’actuel chef de l’État aurait contribué, sous l’impulsion des cadres de l’application, à faciliter l’accès d’Uber au marché français. Mais le président de la République n’est pas la seule personnalité dont le nom est cité...

    On y trouve aussi plusieurs économistes, responsables, selon les révélations de presse, d’avoir contribué à améliorer l’image d’Uber lors son déploiement dans l’Hexagone en offrant un récit particulièrement positif pouvant être martelé dans les médias. Le tout en échange de contreparties sonnantes et trébuchantes.

    Une étude facturée 10.000 euros

    C’est notamment le cas de l’économiste libéral Nicolas Bouzou. Dans un article publié par Le Monde -qui évoque également le rôle d’autres universitaires comme Augustin Landier et David Thesmar-, on peut ainsi lire que Nicolas Bouzou a “noué un partenariat avec Uber au printemps 2015”. Une coopération qui prend la forme d’une étude rédigée par l’économiste au nom de son cabinet de conseil, qui est “facturée 10.000 euros hors taxes” et “assortie d’un service après-vente auprès de la presse et des parlementaires”.

    Parue en 2016, cette étude assure que l’arrivée de la plateforme en France pourrait “créer plus de 100.000 emplois” et Nicolas Bouzou a largement médiatisé les conclusions.

    Des attaques auxquelles l’intéressé à répondu ce lundi 11 juillet, alors que l’affaire fait de plus en plus parler, et cela après avoir donné au Monde sa version des faits. Dans un message publié sur Twitter, l’économiste défend ainsi la manière dont il a procédé en travaillant avec Uber, assurant n’avoir rien à se reprocher.

    Dans cette publication, Nicolas Bouzou commence par rappeler que son cabinet est “financé par le secteur privé” et qu’il ne “reçoit pas de subvention publique”. Une manière de balayer toute accusation de malversation ou de tromperie, et ramener sa mission pour Uber à une simple prestation marchande. Ou plus prosaïquement à du lobbying.

    Vision néo-libérale, tout simplement

    D’autant que l’économiste poursuit en évoquant sa “déontologie”, à savoir: “Toujours publier le nom du financeur, être transparent sur la méthode, sourcer l’intégralité des chiffres, utiliser un maximum de sources publiques et mettre nos travaux à disposition des contradicteurs.” Un cahier des charges qui a été respecté, selon lui, au cours de la réalisation de l’étude pour Uber, l’entreprise ayant même “signé la charte éthique” de son entreprise, garantissant une “totale indépendance”.

    Surtout, l’économiste défend sans les citer ses prises de parole médiatiques particulièrement laudatives à l’égard d’Uber. ”À titre personnel, je me réjouis de l’entrée des VTC sur le marché français des transports urbains”, peut-on lire dans son communiqué. “Je défendrai toujours la concurrence, la liberté d’entreprendre et l’innovation qui sont des moteurs du progrès économique et sociale.”

    Et d’ajouter que la “concurrence est aussi souhaitable dans le domaine des études économiques où les institutions publiques ne doivent pas être mises en position de monopole”. Une manière, encore une fois, de dire que la polémique née de l’article du Monde n’a pas lieu d’être et qu’il a simplement agi d’un point de vue néo-libéral en interaction avec une entreprise évoluant dans le même système de pensée.

    À voir également sur Le HuffPost : Filmé à son insu, le PDG d’Uber s’énerve contre l’un de ses chauffeurs ruinés

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      Qu’est-ce que le « kill switch » qu’Uber utilisait pour échapper aux perquisitions ?

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 11 July, 2022 - 10:37

    Les révélations Uber Files par un consortium de journalistes ont remis sur le devant de la scène le terme « kill switch », une sorte de bouton court-circuit qui permettait à l'entreprise de désactiver des ordinateurs à distance en cas de perquisition de la police. Des méthodes planifiées et très encadrées, pour une start-up qui a toujours dit publiquement vouloir se conformer à la loi. [Lire la suite]

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