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Dr Ezike, Director Of Dept of Public Health Admits ALL DEATHS Were Classified As Covid Deaths
eyome · 3 days ago - 21:52
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Les vérités cachées de l'ARN messager
eyome · Tuesday, 14 March - 20:26
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Covid-19: fallait-il vraiment se faire vacciner?
eyome · Saturday, 11 March - 09:50
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Monsieur Lasalle déballe, persiste et signe
eyome · Sunday, 19 February - 21:23
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Maintenant, il va falloir du courage
ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 17 February - 12:00 · 5 minutes
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Gênant !
eyome · Saturday, 11 February - 15:24
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Vaccination anti-Covid | ARTE Regards
eyome · Saturday, 11 February - 11:09
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La Commission européenne a élaboré un code de désinformation qui aujourd'hui empêche tout débat !
eyome · Thursday, 9 February - 20:25
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Bercoff s'emporte contre Véran
eyome · Sunday, 5 February - 18:50 edit
C'est intéressant ; pas une seule fois, en 20 ans de multiples tests, nous avons été capables de faire des vaccins basés sur l'ARNm prouvant leur efficacité...
Pas, une, seule, fois.
Je veux bien l'article complet si quelqu'un peut l'avoir ; c'est pour un ami...
#France, #Politique, #fr, #Covid, #Vaccin, #CaAlors, #RépondezLesFrancaisVeulentSavoir
👉le président n’est pas vacciné
Nous attendons toujours les poursuites pour diffamation.
#France, #Politique, #fr, #Covid, #Vaccin.
Il faut du courage pour avoir une opinion différente car celle-ci entraîne une singularisation pas toujours agréable, loin s’en faut. Or, de ce point de vue, les années qui viennent de passer auront indubitablement marqué nombre d’individus de traces que le temps aura beaucoup de mal à effacer.
Une fois la poussière retombée, l’écume des jours passée, une fois qu’on commence à distinguer ceux qui ont justement fait preuve de courage à bon escient de ceux qui se sont aplatis ou pire, de ceux qui ont été les porte-voix des mouvements les plus grégaires et les plus agressifs, il faut pas mal de courage pour ne pas sombrer dans la facilité de distribution des bons et des mauvais points, de ne pas crier « je vous l’avais bien dit » voire « c’est bien fait ! »
En toute occasion, il faut beaucoup de courage pour admettre s’être trompé et accepter toutes les conséquences de ses décisions parfois hasardeuses. Penser différemment, émettre des opinions contraires ou différentes de celles de la majorité, c’est non seulement multiplier les occasions de faire une erreur mais aussi celles d’être ridiculisé.
On pourra par exemple prendre le cas assez éclairant de Scott Adams, un cartooniste assez célèbre en Amérique pour avoir notamment montré les tactiques employées avec succès par Donald Trump afin de quasiment piloter l’agenda des médias, et qui s’était montré particulièrement favorable à la vaccination contre le covid au point de se moquer de ses interlocuteurs les plus prudents ayant refusé les vaccins proposés. Récemment, dans une vidéo qui a eu beaucoup de couverture sur les réseaux sociaux, il a ainsi reconnu que ceux qui ont hésité et se sont tenus à l’écart de ces injections expérimentales ont probablement fait le bon choix :
Pour le dessinateur, les opposants à cette expérimentation mondiale ont fait un choix simple : en doutant systématiquement de la parole officielle réputée pour n’être ni fiable ni bienveillante en moyenne, ils ont mis toutes les chances de leur côté.
On pourra objecter au passage qu’en réalité, ceux qui n’ont pas participé à cette opération n’ont pas simplement eu de la chance mais qu’ils ont plus simplement suivi leur instinct ou noté l’illogisme des informations poussées par les autorités ; certains n’ont pas participé tout simplement parce qu’ils ont compris que la coercition ouverte ou larvée était fondamentalement mauvaise, un viol de leur conscience ou de leurs principes.
Et à aucun moment, le courage n’a été du côté de ceux qui ont simplement suivi le groupe : compte tenu de la campagne médiatique sans précédent contre les refuspiks , de l’ostracisation active et de la rétorsion à l’encontre de ceux qui doutaient, l’acceptation passive de la pression sociale n’était pas le choix courageux.
Et il va en falloir du courage pour admettre qu’on a un peu trop aimé ce système où l’on a joué au héros devant Neflix à bouffer des chips, sans trop se fouler, sans respecter l’aventure très rocailleuse du doute, du recul devant ce qui apparaît être une expérimentation maintenant délétère. Il va falloir une grosse dose de courage pour admettre que la plupart des gens se sont précipités pour être sauvés par l’État d’un virus qui ne les tuait pas autant qu’il les a empêché de s’amuser, d’aller au cinéma ou de voyager…
Maintenant et malgré l’amoncellement d’éléments qui ne laissent plus aucun doute, il va falloir un courage hors pair pour admettre qu’injecter ce produit douteux, quasiment de force, à toute la population sans distinction était une erreur dramatique : malheureusement, le déni est encore plus facile, plus douillet (et le sera pour un moment encore).
Ce déni empêche pourtant de comprendre ce qui constitue à la fois des failles dans les raisonnements et les attitudes de certains, d’appréhender les mécanismes mis en place qui ont permis de contraindre autant de monde à se laisser injecter un produit hasardeux. Ce déni, aussi confortable soit-il actuellement, coûtera de plus en plus cher.
Et à mesure que le coût grandira, il va falloir du courage pour comprendre l’ampleur des dégâts faits aux corps, aux âmes et aux institutions.
Aux corps, avec les effets secondaires que seuls les plus obtus peuvent encore nier et qui vont continuer à toucher des millions d’humains dans les prochains mois et les prochaines années.
Aux âmes, dans la corruption des raisonnements, dans la mauvaise foi et maintenant dans ce déni des faits voire le refus de la moindre empathie pour ceux qui ont été blessés par ces bricolages thérapeutiques mal boutiqués et surtout dans l’ostracisation qu’on a fait très inutilement subir à certains (et qui continue pour une part d’entre eux, alors même que plus aucune autre raison que bassement politique ne subsiste).
Aux institutions enfin, dans la façon dont elles ont toutes été utilisées et se sont naturellement et bien sagement rangées derrière la coercition et avec les oppresseurs, et souvent en contradiction parfaite avec l’objet de leur existence même. La sauvegarde des droits fondamentaux, leur raison d’être, a été non seulement bafouée mais encouragée par chacune de ces institutions qui ont fièrement fait le jeu des gouvernants.
Oh, il va en falloir, du courage, pour admettre que le « plus jamais ça » que certains braillaient à tue-tête en évoquant les horreurs de la Seconde Guerre mondiale (ces fameuses heures sombres) ont malgré tout recommencé à se produire, que les mécanismes qui ont mené au pire ont pointé de nouveau leur nez et que beaucoup ont été – et pour certains, sont encore – du mauvais côté de la roue, à la pousser dans la direction la plus néfaste.
Il va falloir du courage pour que ceux qui ont été roulés l’admettent non pour les autres, mais surtout pour eux-mêmes afin de faire le travail nécessaire de correction qui s’impose pour éviter de répéter les mêmes erreurs.
Ce n’est vraiment pas gagné. L’erreur est souvent confortable (au moins temporairement), surtout lorsqu’elle est commise en groupe et encore plus lorsqu’elle est poussée par l’État, ce grand agent de déresponsabilisation.
Oui, souhaitons qu’après le temps de la peur vienne celui du courage.
Car sans ce courage nécessaire pour regarder les choses en face, viendra inévitablement celui de la colère.
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Selon une étude de professionnels, d'experts et de corps de métiers étant depuis le début favorables à la politique tout vaccinale, qui ce sont vautrés dedans allant jusqu'à l'exclusions à vie des déviants dans leurs rangs (sans indemnités), qui ont menti en disant que les vaccins étaient sûrs, qu'ils étaient fiables à 95%, qu'ils étaient testés et fiables contre la transmission, qui ne veulent pas reconnaître les cas de vaccinations problématiques parce que les conséquences seraient terribles pour eux et la société....... La vaccination a eu plus d'effets positifs que négatifs et les cas problématiques représentent une infime partie des cas (à peine s'ils existent).
Selon, leurs, chiffres 🤡
Même s'ils ont des cours du soir de filsdeputerie, il doivent déjà avoir une sacrée base.
Ils doivent recruter d'abord sur ce critère.