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      Steak, saucisse, lardons : la viande végétale remporte son combat contre le lobby bovin

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 2 January - 10:33

    Accro viande végétale

    C'est un revers judiciaire qui passe mal pour le lobby de la viande, mais une sacrée victoire pour celui du simili-carné.
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      Accro : 3 raisons de tester la nouvelle viande végétale made in France

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 5 December, 2022 - 16:01

    template-jdg-17-158x105.jpg Accro viande végétale

    Les alternatives végétales à la viande se suivent mais ne se ressemblent pas. Cette semaine, on a testé Accro, une marque française qui envoie du steak.

    Accro : 3 raisons de tester la nouvelle viande végétale made in France

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      Alimentation : pourquoi l’interdiction du nom “viande végétale” est déjà une mauvaise idée ?

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 12 July, 2022 - 15:00

    template-jdg-2021-11-09t103339-238-158x105.jpg Upside Foods viande artificielle

    Suite à un nouveau décret en France, la viande végétale va devoir changer de nom.

    Alimentation : pourquoi l’interdiction du nom “viande végétale” est déjà une mauvaise idée ?

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      Les noms liés à la viande pour les produits végétaux, c'est terminé

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 30 June, 2022 - 19:54 · 3 minutes

    En France, les produits végétaux ne pourront bientôt plus porter de noms liés à la viande ou au poisson, comme précisé par un décret paru au Journal officiel (photo d'illustration). En France, les produits végétaux ne pourront bientôt plus porter de noms liés à la viande ou au poisson, comme précisé par un décret paru au Journal officiel (photo d'illustration).

    ALIMENTATION - Les produits à base de protéines végétales ne pourront bientôt plus être appelés “steak”, “lardons” ou encore “saucisse”, selon un décret paru au Journal Officiel ce jeudi 30 juin, très attendu et salué par les filières animales.

    “Il ne sera pas possible d’utiliser la terminologie propre aux secteurs traditionnellement associés à la viande et au poisson pour désigner des produits n’appartenant pas au règne animal”, indique le texte.

    Le décret, qui entrera en vigueur le 1er octobre 2022, permet toutefois la commercialisation des “denrées fabriquées ou étiquetées” avant cette date jusqu’au 31 décembre 2023 au plus tard.

    Une victoire pour les filières de la viande et du poisson...

    Le texte était attendu “depuis plusieurs années” et constitue “une étape essentielle en faveur de la transparence de l’information au consommateur ainsi que de la préservation de nos produits et savoir-faire”, s’est félicité Jean-François Guihard, président d’Interbev, l’association interprofessionnelle du bétail et des viandes.

    De la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) aux professionnels de la volaille, tous les grands syndicats des filières animales saluent ce texte, mais demandent au gouvernement de “porter le dossier à Bruxelles afin d’élargir le périmètre d’application à tous les produits, quelle que soit leur origine”, selon un communiqué commun.

    Le décret publié précise en effet que les produits “légalement fabriqués ou commercialisés dans un autre État membre de l’Union européenne ou en Turquie, ou légalement fabriqués dans un autre État partie à l’accord sur l’Espace économique européen, ne sont pas soumis aux exigences du présent décret”.

    Les professionnels de la filière porcine considèrent que ce décret n’est qu’une “première étape de protection des dénominations traditionnelles de recettes à base de viande” en France et qu’il sera nécessaire “d’élargir cette mesure au niveau européen”.

    ...qui veulent un élargissement au niveau européen

    L’interprofession porcine estime en outre que la loi doit également “protéger les dénominations animales par rapport aux aliments artificiels de synthèse”, soit les “viandes” dites de “laboratoire”, obtenues par la culture de cellules animales, mais aussi de protéines microbiennes ou fongiques.

    A contrario, l’Observatoire national de l’alimentation végétale (Onav) regrette que le décret “place la France dans une position conservatrice, à contre-courant des enjeux actuels et de la politique européenne sur ces questions”.

    Au sein de l’Union européenne, la dénomination des produits végétaux par des termes traditionnellement réservés à la viande animale est autorisée, à l’exception des produits à base de lait animal. Par exemple il n’est pas possible d’utiliser le mot “yaourt” ou “fromage” pour un simili végétal.

    Le décret précise par ailleurs la teneur maximale de protéines végétales autorisées pour garder les dénominations -issues du code des usages des viandes- pour les denrées d’origine animale mais contenant une part de protéines végétales.

    Ainsi, un steak de viande hachée pourra continuer à s’appeler steak à condition que sa teneur en protéines végétales ne dépasse pas les 7%. Un pourcentage qui passe à 3% pour la saucisse de Francfort, 1% pour le boudin noir ou le saucisson sec, et à 0,5% pour le bacon ou les lardons.

    À voir également sur le HuffPost : Du porc végétal, une première pour la start-up Impossible Foods

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      Réchauffement climatique : le GIEC a-t-il cédé à la pression des lobbys ?

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 5 May, 2022 - 12:30

    template-jdg-2021-11-09t103339-238-158x105.jpg Upside Foods viande artificielle

    Selon le dernier rapport du GIEC, pas besoin de devenir végétariens pour sauver la planète.

    Réchauffement climatique : le GIEC a-t-il cédé à la pression des lobbys ?