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      WhatsApp pour Linux : une application native

      news.movim.eu / TooLinux · Tuesday, 20 June, 2023 - 06:03

    En dehors de la version web, WhatsApp n'a jamais développé d'application Linux native comme c'est le cas sur macOS et Windows. Cette application tierce vient combler le manque et elle est désormais disponible aussi en Flatpak.

    De quoi on parle ?

    WhatsApp pour Linux est une application desktop (de bureau) non officielle de WhatsApp. Elle est écrite en C++ avec l'aide des bibliothèques gtkmm et WebKitGtk.

    C'est un logiciel libre placé sous licence GPL-3.0 démarré il y a 3 ans. Il est possible de soutenir son développement .

    Fonctionnalités

    WhatsApp for Linux comprend l'ensemble des fonctionnalités de la version web, mais sous forme d'application native avec plusieurs fonctions utiles : raccourcis, zoom, notifications, démarrage automatique, mode plein écran, correction automatique de l'orthographe ou encore support multilingue (notamment le français ).

    Télécharger WhatsApp Linux

    Vous pouvez suivre les instructions d'installation sur Github (dépendances et commandes), mais pouvez également l'installer depuis snapcraft ou encore flathub .

    L' application officielle de WhatsApp est disponible pour iOS, Android, Windows, macOS, kaios et en version web.

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      Ce qu'il faut savoir sur Red Hat OpenStack Platform 17.1

      news.movim.eu / TooLinux · Tuesday, 20 June, 2023 - 05:49 · 1 minute

    Red Hat OpenStack Platform 17.1 renforce sa sécurité. Les nouveautés de la plateforme de cloud computing sont nombreuses, notamment la prise en charge multi-version pour Red Hat Enterprise Linux. Résumé.

    Red Hat OpenStack Platform 17.1 offre un plan de contrôle virtualisé fonctionnant sur Red Hat OpenShift.

    De quoi on parle ?

    Depuis sa création, OpenStack a été le cloud privé open source qui fournit une pile du secteur public avec une sécurité renforcée. La plateforme est conçue pour optimiser la capacité et les performances du réseau. Ainsi, les charges de travail virtualisées 4G et conteneurisées 5G peuvent être gérées à partir du même environnement.

    C'est une solution modulaire construite sur une base logicielle open sourc e Red Hat et qui a aujourd'hui 25 ans. Quels secteurs ? Soins de santé, secteur public et télécommunications.

    Quoi de neuf dans la version 17.1 ?

    Les nœuds de calcul de Red Hat OpenStack Platform 17.1 peuvent ainsi fonctionner sur RHEL 8.4 et/ou RHEL 9.2 (prise en charge multiversion).
    Désormais, le contenu de Red Hat OpenStack Platform et les mises à niveau RHEL sont séparés.

    La version 17.1 introduit égaleemnt le partitionnement de la gestion des volumes logiques avec des fonctions d'instantané et de retour en arrière.
    Domain Name System as a Service (DNSaaS), également connu sous le nom de Designate, comprend une API REST pour la gestion des domaines et des enregistrements, est multi-tenant et s'intègre avec OpenStack Identity Service (keystone) pour l'authentification.

    Autres nouveautés :
    - Open Virtual Networking (OVN) pour améliorer les services d'infrastructure de réseau et la mesure de la qualité de service.
    - Octavia pour augmenter l'évolutivité (en augmentant le nombre de connexions acheminées simultanément)
    - Accélération des chemins de données virtuels pour un mécanisme de délestage matériel plus efficace dans les environnements physiques et virtuels.
    - Fonctions de sécurité améliorées avec le contrôle d'accès basé sur les rôles (RBAC) pour une application complète et plus granulaire dans les services OpenStack
    - Prise en charge de la norme FIPS-140 (ISO/IEC 19790)
    - Fédération via OpenID Connect
    - Les tokens Fernet permettent de protéger les informations confidentielles des utilisateurs

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      200 participants à OW2con'23 et sessions en ligne

      news.movim.eu / TooLinux · Tuesday, 20 June, 2023 - 04:11

    La conférence annuelle de la communauté open source OW2 a réuni 200 participants la semaine dernière à Orange Gardens Châtillon. Des projets ont reçu des prix et des vidéos sont en ligne.

    La conférence OW2con'23 avait lieu à Paris les 14 et 15 juin, comme nous l'annoncions dans cet article . Elle a cette année réuni 200 participants, 14 sponsors actifs et 40 intervenants internationaux pour deux journées sur le thème du libre et des communs numériques.

    Trois projets open source OW2 reçoivent un prix OW2con'23 Best Project Award : ASM, BlueMind et OCS Inventory. L'événement a également été l'occasion d'annoncer que NGI Search soutient dix logiciels libres européens de recherche sur Internet.

    Enfin, si vous n'avez pas pu vous y rendre, bonne nouvelle : les vidéos et présentations des intervenants seront, d'ici quelques jours, accessibles via ce lien .

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      Un nouveau datacenter à Auch pour FullSave

      news.movim.eu / TooLinux · Tuesday, 20 June, 2023 - 04:00

    L'opérateur toulousain annonce l'ouverture d'un nouveau centre de données à Auch avec Eurofiber, qui viendra compléter les sites exploités en propre par sa maison mère Eurofiber France, dont fait partie FullSave depuis 2021.

    La souveraineté des données, cela compte. FullSave annonce que le nouveau bâtiment, construit en dix mois, offre une capacité de 30 baies, offrant un panel de baies pleines ou de baies demi-compartiment. Il est réparti sur deux salles IT de 70 m2 et une salle énergie de 40 m2.

    Conçue sur une base Tier 3, chaque baie possède une double alimentation électrique sur deux voies électriques séparées. Le site dispose aussi d'un système d'extinction incendie par gaz qui agit par étouffement en réduisant le taux d'oxygène, d'une climatisation 2N et d'un groupe électrogène. Le PUE cible de ce site est de 1,4.

    En complément de l'infrastructure technique existante, le site d'Auch intègre une pépinière d'entreprises dans les étages du même bâtiment. Cela permettra de « développer un écosystème numérique local », selon l'entreprise qui appartient à EuroFiber depuis 2021 .

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      Le forum officiel de Tor déménage ce mardi

      news.movim.eu / TooLinux · Monday, 19 June, 2023 - 04:00 · 1 minute

    Annoncée début juin , la migration du forum des utilisateurs et des développeurs Tor aura lieu ce mardi, en mode auto-hébergé. Voici ce qui change.

    Il y a un an et demi était lancé le f orum des utilisateurs du projet Tor . Pour des raisons de facilité, cette plateforme de discussion était basée sur Discourse.

    Rien de tel que l'hébergement en propre. Les développeurs annoncent donc que le forum va migrer de l'hébergement gratuit offert par Discourse vers la propre infrastructure de serveur du Projet Tor : « Cela nous permettra de mieux contrôler la configuration du forum et de fournir un service expérimental d'oignon pour nos utilisateurs qui accèdent à la plateforme via le réseau Tor . »

    Conséquence : si vous utilisez une clé U2F pour l'authentification à deux facteurs (2FA) sur le forum, vous devrez utiliser un code de sauvegarde pour vous connecter après la migration. Vous pouvez également désactiver l'authentification à deux facteurs sur votre compte ce lundi avant la migration et la réactiver par la suite.

    La migration aura lieu ce mardi 20 juin 2023 dans le courant de la journée. Elle sera accompagnée d'un changement d'adresse. Vous devez donc simplement modifier vos signets, même si une redirection sera en place : forum.torproject.org . À l'heure où nous écrivons ces lignes, la nouvelle adresse pointe encore vers Discourse.

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      Quantique de 100 à 127 qubits : mais pour quoi faire ?

      news.movim.eu / TooLinux · Monday, 19 June, 2023 - 03:00 · 1 minute

    Une percée, publiée sur la couverture de la revue scientifique Nature, démontre pour la première fois que les ordinateurs quantiques peuvent produire des résultats précis à une échelle de plus de 100 qubits, mais quel intérêt ?

    L'un des objectifs ultimes de l'informatique quantique est de simuler des composants de matériaux que les ordinateurs classiques ne simuleront jamais efficacement, y compris les supercalculateurs actuels.

    L'expérience publiée dans Nature est signée IBM. Elle démontre qu'il est possible pour un ordinateur quantique de surpasser les principales simulations classiques en apprenant et en atténuant les erreurs dans le système. L'équipe a utilisé le processeur quantique "Eagle" d'IBM Quantum, composé de 127 qubits supraconducteurs sur une puce, pour générer de grands états intriqués qui simulent la dynamique des spins dans un modèle de matériau et prédisent avec précision des propriétés telles que sa magnétisation.

    Pour vérifier l'exactitude de cette modélisation, une équipe de scientifiques de l'UC Berkeley a effectué simultanément ces simulations sur des ordinateurs classiques avancés situés au National Energy Research Scientific Computing Center (NERSC) du Lawrence Berkeley National Lab et à l'Université Purdue. Au fur et à mesure que l'échelle du modèle augmentait, l'ordinateur quantique continuait à produire des résultats précis à l'aide de techniques avancées d'atténuation des erreurs, alors que les méthodes de calcul classiques ont fini par s'essouffler et n'ont pas pu rivaliser avec le système IBM Quantum.

    Suite à ce travail révolutionnaire, IBM annonce également que ses systèmes IBM Quantum, fonctionnant à la fois sur le Cloud et sur les sites de ses partenaires, seront alimentés par un minimum de 127 qubits, ce qui devrait être réalisé au cours de l'année prochaine.

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      Comment OONI répertorie la censure internet dans le monde

      news.movim.eu / TooLinux · Friday, 16 June, 2023 - 06:21 · 2 minutes

    L'observatoire ouvert des interférences est l'un des projets lauréats du Mozilla Data Futures Lab cette année. Il surveille et mesure la censure de l'internet depuis 2012. Focus sur ses activités.

    OONI , lauréat d'une récompense au Mozilla Data Futures Lab 2023 (avec POSMO et DataKind) est une communauté mondiale chargée d'identifier la censure sur internet et d'alimenter la recherche qui permet de s'y opposer. Il s'agit du plus grand ensemble de données ouvertes existant sur la censure sur internet.

    L'initiative trouve ses origines au sein du projet Tor, même si la structure a petit a petit gagné un statut indépendant. " Notre vision a toujours été de construire des outils qui permettent aux gens d'enquêter de manière indépendante sur les interférences du réseau ", explique Arturo Filastò , chef de projet et cofondateur d'OONI.

    Les outils d'OONI, comme l' OONI Probe , peuvent être installés par n'importe qui sur des ordinateurs et des smartphones. "La sonde effectue ensuite une série d'expériences en réseau qui recueillent et publient des données ouvertes sur la censure de l'internet", explique M. Filastò.

    OONI collabore actuellement avec plus de 40 organisations de défense des droits numériques dans le monde. La communauté enquête sur la censure dans des dizaines de pays. De nouveaux outils viennent d'ailleurs de s'ajouter à son arsenal.

    Son outil principal, OONI Probe, réunit des experts régionaux et nationaux qui dressent des listes de sites susceptibles d'être bloqués, comme des sites web tels que des forums d'activisme politique ou des plateformes de médias sociaux. L'outil Probe vérifie l'accès des utilisateurs à ces sites, fournissant ainsi une image détaillée des contenus bloqués dans le monde . Il peut également déterminer où les applications de messagerie instantanée, telles que Telegram ou Signal, sont bloquées. Elle peut également vérifier si Tor ou les VPN fonctionnent dans une région donnée. Bref, dresser un état des lieux complet de la censure en ligne.

    On apprend , par exemple, sans surprise, que les pays les plus restrictifs ont des systèmes de censure centralisés (notamment la Chine et l'Iran). La Russie est un cas à part : " Bien que la censure y soit très répandue, elle est encore en grande partie - ou du moins historiquement - transférée aux différents fournisseurs d'accès à Internet ", explique M. Filastò. Il s'agit de l'une des techniques de censure les plus courantes parce qu'elle est la plus facile à mettre en œuvre, " mais elle est souvent facilement contournée ".

    D'autres pays sont également cités régulièrement dans ses rapports : Brésil (Telegram), Azerbaijan, Kazakhstan, Éthopie, Pakistan, Arménie, etc.

    Vous pouvez soutenir son action via cette page .

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      GOODTECH : OONI, le crowdsourcing contre la censure sur l'internet

      news.movim.eu / TooLinux · Friday, 16 June, 2023 - 06:03 · 2 minutes

    L'observatoire ouvert des interférences est l'un des projets lauréats du Mozilla Data Futures Lab cette année. Il surveille et mesure la censure de l'internet depuis 2012. Focus sur ses activités.

    OONI , lauréat d'une récompense au Mozilla Data Futures Lab 2023 (avec POSMO et DataKind) est une communauté mondiale chargée d'identifier la censure sur internet et d'alimenter la recherche qui permet de s'y opposer. Il s'agit du plus grand ensemble de données ouvertes existant sur la censure sur internet.

    L'initiative trouve ses origines au sein du projet Tor, même si la structure a petit a petit gagné un statut indépendant. " Notre vision a toujours été de construire des outils qui permettent aux gens d'enquêter de manière indépendante sur les interférences du réseau ", explique Arturo Filastò , chef de projet et cofondateur d'OONI.

    Les outils d'OONI, comme l' OONI Probe , peuvent être installés par n'importe qui sur des ordinateurs et des smartphones. "La sonde effectue ensuite une série d'expériences en réseau qui recueillent et publient des données ouvertes sur la censure de l'internet", explique M. Filastò.

    OONI collabore actuellement avec plus de 40 organisations de défense des droits numériques dans le monde. La communauté enquête sur la censure dans des dizaines de pays. De nouveaux outils viennent d'ailleurs de s'ajouter à son arsenal.

    Son outil principal, OONI Probe, réunit des experts régionaux et nationaux qui dressent des listes de sites susceptibles d'être bloqués, comme des sites web tels que des forums d'activisme politique ou des plateformes de médias sociaux. L'outil Probe vérifie l'accès des utilisateurs à ces sites, fournissant ainsi une image détaillée des contenus bloqués dans le monde . Il peut également déterminer où les applications de messagerie instantanée, telles que Telegram ou Signal, sont bloquées. Elle peut également vérifier si Tor ou les VPN fonctionnent dans une région donnée. Bref, dresser un état des lieux complet de la censure en ligne.

    On apprend , par exemple, sans surprise, que les pays les plus restrictifs ont des systèmes de censure centralisés (notamment la Chine et l'Iran). La Russie est un cas à part : " Bien que la censure y soit très répandue, elle est encore en grande partie - ou du moins historiquement - transférée aux différents fournisseurs d'accès à Internet ", explique M. Filastò. Il s'agit de l'une des techniques de censure les plus courantes parce qu'elle est la plus facile à mettre en œuvre, " mais elle est souvent facilement contournée ".

    D'autres pays sont également cités régulièrement dans ses rapports : Brésil (Telegram), Azerbaijan, Kazakhstan, Éthopie, Pakistan, Arménie, etc.

    Vous pouvez soutenir son action via cette page .

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      I-JEPA, l'IA de génération d'image de Meta, est open source

      news.movim.eu / TooLinux · Friday, 16 June, 2023 - 05:40 · 1 minute

    Meta vient de présenter le premier modèle d'IA basé sur un élément clé de la vision de Yann LeCun, scientifique en chef de l'entreprise. Il s'agit d'une intelligence à la Midjourney capable de créer des images réalistes. Particularité : ce travail est publié en open source.

    Le modèle présenté cette semaine est I-JEPA, soit Image Joint Embedding Predictive Architecture. Il apprend en créant un modèle interne du monde extérieur, qui compare des représentations abstraites d'images (plutôt que de comparer les pixels eux-mêmes).

    L'idée derrière I-JEPA est de prédire les informations manquantes dans une représentation abstraite qui est plus proche de la compréhension générale que les gens ont. Contrairement à d'autres IA (dont Midjourney), I-JEPA utilise des cibles de prédiction abstraites pour lesquelles les détails inutiles au niveau du pixel sont potentiellement éliminés. C'est en quelque sorte un premier pas vers une architecture prédictive à large capacité d'intégration des articulations.

    Meta explique avoir entraîné un modèle de transformateur visuel de 632 millions de paramètres à l'aide de 16 GPU A100 en moins de 72 heures : « Il atteint des performances de pointe pour la classification de plans bas sur ImageNet, avec seulement 12 exemples étiquetés par classe . »

    L'article sur I-JEPA sera présenté à CVPR 2023 la semaine prochaine. Il est possible de suivre le développement en open source sur Github .